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same situation (Luxeyla)

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Premier jour. Premier jour ou tu retournais sur les bancs de l'université. Premier jour ou tu retrouvais réellement une vie sociale en dehors de ceux qui te rendais visite habituellement. Et c'était étrange, vraiment. T'avais la sensation d'être perdu, d'avoir tout les regards fixés sur toi et vraiment, ça te rendais mal à l'aise. Alors tu gardais la tête baissé contemplant tes pieds comme s'ils étaient une chose merveilleuse te frayant un chemin parmi les curieux avant de regagner l'extérieur. T'avais une heure trente de pause et t'avais aucune idée de ce que tu pourrais faire. Tu voulais pas t'intégrer à un groupe et être prise en pitié, tu voulais pas qu'on te pose des milliers de question alors tu restais juste là, les yeux ballants, faisant tourner les pages de ton téléphone comme si ça t'occupais vraiment. Soupir. Ouais, c'était vraiment étrange comme premier jour. Mais en même temps, tu ne pouvais pas vraiment t'attendre à quelque chose de totalement exceptionnel. C'était toujours compliqué les premiers temps et.. Bah tu savais juste pas comment agir ni quoi faire. Tout te semblait tellement abstrait que tu finissais par t'adosser contre un mur fixant un point quelconque à l'horizon. Ouais, tu devais vraiment avoir l'air paumée comme fille. Triste pour toi. Tu poussais un soupir rangeant ton téléphone dans ta poche ne sachant absolument pas quoi faire pour passer le temps. T'avais juste l'air d'être à l'ouest et pas du tout dans ton élément. Rien de bien chouette en fait.
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Il t'était trop difficile de rester concentrée sur tes révisions en restant chez toi. Tout était sujet à distraction, que ce soit la télévision, l'ordinateur, ta guitare qui prenait la poussière et même Carambar, ton chien qui ne cessait de demander à jouer ou à sortir se balader. Trop difficile pour toi qui a bien du mal à ingurgiter des pages et des pages de vocabulaire, de techniques de rédaction journalistique. Passé d'une carrière sportive au statut d'étudiante s'avérait bien plus ardu qu'il n'y paraissait. Cela avait était plutôt aisé les premières années mais plus ces dernières passent plus la rigueur est de mise. Et pourtant tu ne lâcherais pas. Ton avenir était en jeu et tu te doutais que la famille de Xaver aurait du mal à t'accepter si tu ne possédais aucuns diplômes. Déjà que tu allais devoir faire des preuves, autant avoir un bon profil dira t-on. Tu avais donc délaissé ton appartement pour aller te bourrer le crâne à la bibliothèque universitaire. En étant dans une ambiance studieuse, tu auras plus de facilités à te mettre dans le bain. Tu traversais les longs couloirs, tenant dans une main ton laptop et tes bouquins dans l'autres. Un vrai jeu d'équilibre. Pour une fois les corridors n'étaient pas bondés néanmoins une silhouette adossée contre le mur retenait ton attention. La jeune femme ne semblait pas dans son élément, ce qui était plutôt étrange en soit. Bienveillante, tu t'arrêtais à sa hauteur." Vous cherchez quelque chose ? " Tu aurais tout aussi bien pu lui demander si elle allait bien, mais ce n'était pas facile de poser cette question quand on ne connaît pas la personne.
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Tu croisais les bras sur ta poitrine, fermant les yeux quelques secondes comme pour te déconnecter du monde. Peut être bien que ce n'était pas vraiment efficace mais ça t'apaisais au moins un peu, c'était déjà mieux que rien. Ouais, c'était vraiment que pour quelques secondes puisque quand tu regardais à nouveau ce qui pouvait s'passer autour de toi, le problème était de nouveau là. Tu ne te sentais pas bien,, toujours aussi perdu et t'avais la sensation de ne pas pouvoir trouver une issue de secours. Ouais, rien de bien génial. Y avait encore et toujours ces regards qui t'foutais mal à l'aise, les sourires compatissants que tu détestais et.. Cette fille, sortie de nul part. Tu levais ton regard bleuté vers elle un peu perturbé par son apparition soudaine, par l'éclat de sa voix aussi. Ou peut être étais tu tellement à l'ouest que t'avais juste pas fait attention à son entrée dans ton champs de vision. Tu continuais à la regarder comme ça pendant quelques secondes, vérifiant que t'étais bien la cible de ses paroles et finalement, tu lâchais le mur te servant de dossier trouvant refuge chez la brune. Peut être qu'elle allait te prendre pour une folle, qu'elle te pousserait au loin comme si t'étais pas nette et que ça serait encore pire par la suite mais t'avais pas réfléchi. T'avais l'air perdu, apeuré et là, tu venais de fondre en larme contre l'épaule d'une inconnue. J'veux juste sortir d'ici.. que tu sortais entre deux sanglots. S'il te plait.
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Pas toujours facile d'être étudiante dans une grande université comme Harvard, il faut sans cesse repousser ses limites mais le pire reste sans doute de jongler entre les études et sa vie sociale. Toi qui en plus a toujours eu du mal à avoir des relations stables avec tes amis, ta familles et les rares hommes de ta vie, cela s'était empiré en posant tes valises ici. Il faut quand même dire que t'avais fini par te retrouver mariée pour ensuite divorcer deux ans plus tard. C'est quand même du high level quand on y pense. Heureusement que tu avais réussi à reprendre ta vie en main et à te concentrer sur l'essentiel à savoir ton diplôme. C'est pas que tu aimes pas Harvard mais tu ne comptes pas passer toute ta vie sur les bancs des amphis. En chemin pour la bibliothèque, tu t'arrêtes en face d'une jeune étudiante qui semblait débarquer sur terre. Tu lis une certaine déstresse dans son visage, une émotion que tu as souvent connue. Tu ranges tes bouquins et ton portable dans ton large sac longchamp, avant de soutenir de nouveau son regard. Un long blanc s'installe après ta question. Pas le temps de comprendre quoique ce soit qu'elle s'effondrait littéralement dans tes bras. Un peu désarçonnée, tu ne la repoussais pas pour autant. Ce n'était pas de la pitié que tu venais à ressentir vis à vis d'elle mais de la compassion. Elle demandait à sortir d'ici, te suppliait même." D'accord. On va aller respirer un peu dehors. " proposais-tu alors que dans un geste apaisant, ta main caressait son dos. Tu ne savais pas ce qui l'oppressait tant mais cela ressemblait fort à de l'angoisse.
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Misérable c'était sûrement le mot qui te définissait le mieux à ce moment là. Parce que ouais, t'avais l'air totalement misérable pour la peine. L'truc, c'est que tu pouvais rien faire contre. T'étais venu ici parce que t'étais bien obligée, après tout, c'était ton université et d'un coup, tu t'étais sentie totalement oppressée. Par les gens, les regards et les murmures. Alors ouais, tu lâchais prise parce que y avait des trucs un peu trop dur à supporter quand on était dans une impasse comme la tienne. Et c'était ce qui expliquait que tu pleurais abondamment dans les bras d'une parfaite inconnu. Parce que c'était la seule qui s'était arrêtée consciente que quelque chose ne tournait pas rond. Peut être bien que maintenant, elle te prenait pour une dingue, mais t'étais au bout du rouleau. Disons que t'avais pas pu t'empêcher de craquer de la sorte. Et même si elle parlait pas beaucoup, elle s'montrait compréhensive acceptant ta supplication sans broncher et venant même à montrer un geste attentionnée à ton encontre. Tu reculais un peu tentant de prendre une grande bouffée d'air mais les larmes continuaient à ruisseler sur tes joues sans vouloir s'arrêter. Ouais, fallait que t'ailles dehors. Tu baissais juste la tête pour pas avoir à regarder les autres t'accrochant à la brune comme à une bouée de sauvetage. Réflexe totalement idiot mais fallait croire que tu te cherchais un point d'ancrage aujourd'hui. J'suis désolée.. Et t'avais vraiment l'impression de passer ton temps à t'excuser ses derniers temps. Depuis ton réveil en fait. Tu t'excusais auprès de tout le monde alors qu'au fond, c'était pas ta faute, t'avais pas choisis tout ça. Lux, je m'appelle Lux.
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Tu fus détourné de ton objectif premier d'aller étudier. En soit c'est des choses qui peuvent arriver mais aujourd'hui les circonstances étaient pour le moins déconcertantes. Il devait y avoir une chance sur un million pour qu'une étudiante tombe en larmes dans tes bras. Mais pour toi qui a le don de te retrouver dans les situations les plus ubuesques, ce n'est pas si étonnant que ça. C'est bizarre parce qu'elle te rappelle un peu toi, à pleurer à chaudes larmes, peu importe le fait que vous soyez en public. Il faut croire qu'elle a la larme facile mais c'est qu'elle doit avoir ses raisons. Tu avais donc plus l'habitude de te trouver à sa place et non à ta place actuelle. Ce qui expliquait pourquoi tu ne savais pas trouver les mots réconfortants. Tu n'es pas ce genre de fille sur qui on vient se reposer en cas de problème ou à qui on demande des conseils. Il y a un début à tout, dira t-on. Elle semblait oppressée et ça n'augurait rien de bon si elle restait là dans cet atmosphère qui ne lui inspirait pas confiance visiblement. Tu la faisais traverser les couloirs le plus rapidement possible." Tu n'as pas à t'excuser. " On a tous des faiblesses, des coups durs  et tu ne pouvais pas la blâmer pour être tout simplement humaine. Vous quittiez l'enceinte du yard pour rejoindre l'extérieur avant qu'elle te décline son identité." C'est original mais joli. Moi c'est Keyla ou tout simplement Key. " Tout ce que tu souhaitais c'est qu'elle se sente en sécurité." Tu veux t'asseoir là- bas ? " demandais-tu en désignant un banc à l'écart, ce qui la mettrait certainement un peu plus à l'aise. Puis tu n'avais pas vraiment envie que ses jambes lâchent et que tu te retrouves à appeler les secours parce qu'elle a fait une crise de panique.
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Que tu finissais par lancer essayant de garder ton calme. Mais c'était compliquée, vraiment. T'avais la sensation de couler sans avoir aucune bouée de sauvetage pour te permettre de garder la tête hors de l'eau et.. T'avais peur, c'était surtout ça en fait. T'étais terrorisé à vrai dire et tu ne savais plus vraiment quoi faire. C'était comme si t'étais une intrus parmi la foule de gens et t'avais aucune idée de comment reprendre un cours de vie normale. Peut être même que t'y arriverais pas. Tu paniquais quand t'étais toute seule, tu paniquais quand t'étais au milieu des autres et parfois, tu souhaitais pouvoir t'enfermer chez toi et ne jamais en sortir. Parce que c'était plus simple comme ça. Pas de regard, pas de chuchotement. Ouais, t'avais la trouille. Keyla c'est jolie aussi. que tu murmurais faute de savoir quoi dire d'autre. Et puis c'était peut être pas le meilleur moment pour avoir une discussion à vrai dire. T'étais juste complètement paumée pour le coup alors ouais.. Ouais, ce serait mieux. D'être assise, d'être stable. Parce que là, t'avais la sensation que le sol tournait sous tes pieds et t'étais pas sûre de pouvoir tenir la cadence encore longtemps. C'était dingue de se sentir comme ça. Tu comprenais même pas comment ça avait pu arriver. T'étais dans le couloir et d'un coup, t'avais paniqué. C'était arrivé soudainement sans que t'es le temps de comprendre le pourquoi du comment et.. Okay, t'avais du mal à respirer. T'inspirais longuement rejoignant finalement le banc et après avoir prit place dessus, tu posais tes mains sur sa tête comme si elle ne pouvait tenir seule. J'sais pas ce qui m'arrive je.. Ouais, pourquoi tout était si compliqué maintenant ?
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Venir en aide à une inconnue était une première pour toi. Avec la poisse qui t'a si souvent collé, tu avais plus l'habitude que ce soit les autres qui te sauvent et non l'inverse. D'autant plus que tu n'as jamais été une bonne conseillère. Mais en voyant cette fille totalement chamboulée, tu t'étais senti obligée de faire le premier pas avec l'impression bizarre de te voir en elle. Il semblait donc que tu étais la mieux placée pour l'épauler mais surtout l'écouter. A défaut d'avoir un beau discours rassurant à lui fournir, tu pourrais toujours être attentive. Ce n'est pas par pitié que tu es prête à écouter son histoire mais tout simplement parce qu'en connaissance de cause, tu sais que c'est ce qu'il y a de mieux à faire. Peut être n'a t-elle personne à qui se confier. Tu n'es pas psy, juste une inconnue qui ne cherchera en aucun cas à la juger étant très mal placée pour cela. Au son de sa voix, impossible de nier qu'elle était chamboulée et qu'il ne serait pas facile de lui faire décocher rien qu'un mini sourire mais tu sais être persuasive quand tu le veux. Tu te disais que s'asseoir l'aiderait, que son sang circulerait mieux ou autre connerie et qu'il lui serait plus facile de retrouver sa respiration sans défaillir. Sa tête s'effondrait dans ses mains, ce qui était mauvais signe. Perdue était bien faible comme mot pour définir son état." J'ai toute la journée devant moi pour t'aider à remettre dans l'ordre dans tes pensées. " Tant pis pour les révisions, ça peut attendre. Il y a plus urgent." Si tu commençais par le début ? " lui demandais-tu en cherchant son regard.
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Respire, expire. Ouais, c'était ce que tu faisais depuis un bout de temps déjà mais rien ne semblait vraiment marcher pour la peine et.. T'étais juste dépitée. Tu détestais avoir la sensation de ne pas pouvoir t'en sortir puisqu'en temps normal t'étais une battante. Fallait croire que cette fois, c'était juste trop pour toi. Que t'arrivais pas à trouver la sortie. Inspire, expire. Et puis y avait cette fille, Keyla. Celle que tu ne connaissais de nul part et qui pourtant chercher à t'aider. Tu faisais tant pitié que ça ? Probablement. Mais c'était peut être mieux pour toi de ne pas avoir quelqu'un que tu connaissais à tes côtés. De te sentir comprise sans que ça ne semble hypocrite. Parce que ouais, quand Joa ou Talya te disait que tout irait bien, tu savais au fond que c'était juste pour te soutenir sans forcément être vrai. Mais merde, où étais Rox hein ? Où était Roxanna ? T'avais besoin d'elle, plus que jamais. Mais elle était partie roucouler avec Demyan et même si tu savais qu'elle allait revenir à Boston, elle te manquait. Affreusement. Rox c'était ton pilier, t'avais besoin de Rox. Sans elle, t'étais rien. Bref, commencer par le début. Plus facile à dire qu'à faire à vrai dire mais tu voulais bien essayer. Paraît que j'avais une vie de rêve, un copain, un diplôme et tout ce qui allait avec. Et maintenant.. T'avais plus rien. C'était con mais c'était le cas. J'ai eu un accident de voiture et ça m'a valut trois semaines dans le coma et un an en moins de souvenirs. Voilà, t'étais amnésique. Tu ne te souvenais pas des gens, de lui. Surtout de lui. C'était probablement le plus douloureux. Voir quelqu'un prêt à mourir pour toi et avoir du mal à mémoriser son prénom.
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Tu aurais pu passer ton chemin, continuer ta vie sans chercher à comprendre pourquoi cette brune avait le regard perdu. Après tout tu ne la connaissais pas, tu ne lui devais rien et pourtant c'était plus fort que toi. Il avait fallu que tu joues les mères Thérésa, comme si du sang quincy coulait dans tes veines alors que Dieu sait à quel point tu as pu te montrer égoïste par le passé mais les gens changent comme on dit. Tu n'aurais rien en retour de cette bonne action mais cela t'importait peu. Tu ne recherchais rien à vrai dire. Tu agissais en tant que simple humaine qui était elle même passée par de douloureuse épreuves et qui avaient souvent eu besoin d'une épaule pour pleurer. Tu ne savais absolument pas si elle aurait la volonté de se confier à toi simple inconnue mais ça ne t'empêcherait pas de rester auprès d'elle jusqu'à temps que tu sois sûre à 100% qu'elle pourrait repartir seule. La solitude n'est jamais bon. On peut faire des choses stupides lors de ces moments sombres et là encore c'est le vécu qui parle. Sans la brusquer, tu lui demandais de te raconter son histoire mais si elle ne se sentait pas capable de le faire, tu ne lui en voudrais. Ce n'est guère facile de parler de ses peurs et de ses doutes. Et forcément quand tu l'entendais dire qu'elle ne se reconnaissait plus dans sa vie, tu ne pouvais que te retrouver en elle. Comme quoi ton intuition sur le fait que sa tristesse ne t'était pas étrangère, n'avait pas failli." Je suis désolée. " Personne ne mérite que sa vie lui soit arrachée en plein bonheur. " J'ai connu ça. Cette sensation d'être prisonnière de sa propre vie, cette peine que tu vois dans les yeux de tes proches que tu ne reconnais plus. C'est normal d'avoir peur, de se sentir tel un monstre. Se reconstruire semble impossible sauf si tu fais preuve de courage et que tu n'as pas peur d'être toi même. " C'était assez étrange que de rencontrer une personne qui traversait ce que tu avais du vivre et tu vivais encore avec cette amnésie. Les conséquences de cette dernière était encore bel et bien présente.
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