CALEB ESTEBAN JOHNSON ► Hunter Parrish

Je suis né il y a 22 ans maintenant 22 longues années. J'ai le bonheur de les partager avec un être qui m'est cher ma jumelle Adel. Elle est ma moitié, j'ai une autre jumelle mais nous sommes beaucoup moins proches. Je sors plutôt duun grande fratrie.
Je suis quelqu'un de simple. Avec Adel nous nous lancions des concours du meilleur élevé, souvent elle était première et moi deuxième et inversement. Depuis mon plus jeune âge je suis un passionné de tout ce qui touche les ordinateurs, j'adore ça. Je veux vraiment en faire mon métier. Je n'ai jamais été douer avec le relationnel des gens. Je les comprends pas totalement mais les machines pour moi c'est vraiment clair.
Ce qui concerne ma vie sociale j'ai quelques potes comme un étudiant normal, je ne suis pas lep lus populaire parce que ce n'est pas du tout ce que je cherche, je veux faire ma vie et avancé, si les gens son là tant mieux sinon tant pis ce qui concerne les filles plus précisément c'est simple il y en a jamais eu dans mon lit. Je ne suis jamais tombé amoureux, j'ai dragué quelque fille et embrassé certaine mais je ne suis jamais allé plus loin. Je ne considère pas sa comme un jeu, je n'ai jamais eu une grande attirance pour une fille particulière alors je veux au moins attendre une fille qui ma fasse fantasmé, même si je ne serais pas forcément avec elle plus tard j'ai envie qu'elle me fasse rêvé.
Ma famille, a par Adel je n'ai jamais été très proche de mes autres frères et soeur, mes parents non plus ne sont pas les personnes que je préfère mais je respecte mes obligations avec le sourire.
Maintenant que le cadre est posé je vais vous raconter les 3 jours les pires de ma vie


Je ne sais plus a quelle heure c'était mon téléphone n'arrêtais pas de vibrer dans ma poche. J'étais en plein cours. Au bout de 3 fois les vibrations pour un appel je me suis dit que cela devait être urgent. Je sortais donc de cours pour décrocher. C'était ma mère. Les quelques secondes entre le temps où j'ai vu son numéro et le temps ou j'ai décroché le téléphone toute sorte d'idée mon courru dans la tête mais je ne m'attendais pas du tout à cela.
"Oui maman!" J'étais tendu.
"Caleb c'est Adel, elle a tenté de ce suicidé..." Là je lâchais mon téléphone. Je n'en revenais pas c'est impossible. Je l'aurais vu, non ma jumelle. Ma Adel, celle qui est née quelques secondes après moi. Je n'ai encore une autre jumelle mais avec elle la connexion na jamais fonctionnée, on n'est pas plus proche que ça l'un de l'autre. Tant doit qu'Adel, c'est ma moitié, c'est une très grosse partie de moi, on passe beaucoup de temps ensemble. Je ne suis pas du genre a pleuré, mais là les larmes coulaient sur mon visage. C'est la voix de ma mère au téléphone qui m'appelait, oui mon téléphone a tenu le choque en tombant.
"Caleb, parle-moi Caleb!" Je reprenais le téléphone en main. Je déglutissais difficilement.
"Elle est dans le coma rejoint moi à l'hôpital dans sa chambre" J'avais failli. Je n'avais pas su être là pour elle c'était horrible. Je n'arrivais plus à parler a ma mère. Je prenais mon sac, elle avait raccroché. Je ne réfléchissais à rien du tout. Je fonçais à l'hôpital mes cours, tant pis. Ma soeur est la chose la plus importante de ma vie et je ne la laisserais pas tomber. J'arrivais enfin à sa chambre, quand ma mère me prise dans ses bras. Je n'arrivais toujours pas à parler, ma mère me connais, elle sait que je ne pourrais pas décrocher mot avant de l'avoir vu. J'entrais dans la chambre de ma jumelle, je tirais la chaise pour être près d'elle. Je serais ma main contre la sienne. Je n'avais pas l'intention de quitter cette chambre. J'allais tout faire pour qu'elle se réveille.
"Je t'en supplie ma Adelou, reviens, me laisse pas, j'ai besoin de toi plus que tu peux l'imaginer" J'étais terriblement mal de la voir dans un état pareil ma Adel. Je passais les nuits suivantes avec elle. Je ne décollais pas du fauteuil. Je m'en foutais d'avoir mal au dos ou quoi je voulais être près de celle dont je suis né. Enfin arriver le jour elle ouvrait les yeux. C'est aussi simple mes larmes ont coulé le long de ma joue. Je ne pleure jamais devant elle.
"J'ai eu tellement peur" jamais je n'aurais pu la perdre.