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ECHO FAITH HAMILTON ►Anna Speckhart

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Echo Ainsley Hamilton

Anna
Speckhart
Fiche d'identité
Nom HamiltonPrénom(s) Echo AinsleyÂge21 ansDate de naissance 13 juin 1995Lieu de naissance ÉdimbourgStatut amoureux haineureuse Orientation sexuelle bisexuelle Classe socialepauvreÉtudes majeures Arts plastiquesÉtudes mineures /Job gérante d'une galerie d'art/artiste peintreChoix de groupe #1 MatherChoix de groupe #2 Lowell


MATHER
Fêtarde, couche tard et je m'en foutiste au possible, Echo est une jeune femme qui n'a aucune limite, aucun panneau stop se mettant à un moment donné au travers de son chemin, qu'elle se retrouve avec une gueule de bois venu d'un autre monde le lendemain ou qu'elle se retrouve affalé sur un canapé dont elle ignore la provenance après une soirée bien arrosée. Elle ne se fiche pas de ses études mais préfère amplement profiter de la vie et s'amuser avant tout. C'est ce qui fait qu'elle sait qu'elle serait parfaitement bien au sein des Mather. D'être près d'une grande famille, chose qu'elle n'a connu qu'un laps de temps trop court.

LOWELL
Echo est une artiste dans l'âme. Depuis toute petite, elle peint. Elle peint pour se souvenir, pour s'éveiller, pour s'amuser et se rendre heureuse ou faire exploser sa rage dans un panel de couleur. Peu lui importe. L'art c'est une partie de sa vie, ça se voit rien qu'à ses doigts toujours tâchés de peintures. Elle sait qu'elle se sentirait bien au sein de la confrérie Lowell tout en sachant que la majorité des personnes au sein de ce groupuscule ne partagent pas forcément sa façon de voir le monde et de l'emmerder profondément.
APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES.
APRÈS LA BOMBE.
Je me trouvais près du stade de football lorsque c'est arrivé. Mes souvenirs sont plutôt flous et seuls les cris et les bruits de déflagrations me reviennent clairement en tête. Je pense que le choc a atténué mes souvenirs. Les gens couraient dans tous les sens, certains me bousculaient alors que je tentais de descendre des gradins. Je ne suis pas de ce genre de fille à avoir peur, à frissonner dans des situations qui effrayeraient n'importe qui mais là, ce jour-là, j'ai réellement su que mon cœur pouvait s'affoler pour autre chose que de la bonne adrénaline, que ma peau pouvait se couvrir de chair de poule autrement qu’en regardant un film d'horreur, que je pouvais crier à m'en péter les cordes vocales. Je n'ai pas été blessée, bien heureusement mais les souvenirs sont vivaces et me collent à la peau. Je reste, depuis cet événement, assez paranoïaque sur les bords mais je le cache. Cela ne sert à rien d'en parler ou de montrer que ça m'a atteint. Je suis vivante et c'est ce qui compte.

APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES.
Concernant les agressions, je n'en ai été victime qu'une seule fois. Un pauvre con qui s'est soudainement excité à la vue d'un corps frêle comme le mien. J'ai appris, ce jour-là, que ma force de caractère n'avait rien à voir avec la force physique. Fort heureusement, je n'étais pas seule à ce moment-là et l'agresseur s'est enfui alors qu'on venait me libérer de son emprise. Plus de peur que de mal, en soit malgré quelques bleus et égratignures. Cet épisode m'a rappelé des souvenirs enfouis qui refont peu à peu surface … Moi, qui me sentais à peu près en sécurité ici, je deviens de plus en plus paranoïaque et sursaute à la moindre brusquerie et au moindre cri. Un stress post-traumatique ? Sûrement. Mais il arrive bien trop tard.

Pour la prise d'otages, je n'étais pas présente. Fort heureusement, pour une fois, mes conneries m'ont sauvées la mise. J'étais partit fumer un joint en dehors du campus, voulant oublier ma rage et ma haine. Drôle de façon de le faire, oui. Je n'ai appris qu'en rentrant ce qui était en train de se passer. Sous mes yeux, des policiers et plusieurs forces de l'ordre dont j'ignorais le nom s'étaient postés tout autour de mon université. Un bordel monstre et j'avais réussi à attrapé une fille totalement paniquée, qui m'avait expliqué la situation. Je ne suis pas du genre héroïque ni altruiste alors, j'ai simplement attendu nerveusement, espérant (et priant inconsciemment) pour qu'aucuns de mes amis ne soient retenus à l’intérieur et bel et bien en sécurité. En peu de jours successifs, j'avais ressentie la peur des milliers de fois. Un sentiment que j'avais réussi à enfouir très loin au fond de moi. Ce ne fut pas agréable et je suis heureuse de n'avoir perdue aucun amis dans cette prise d'otage.
ITEM LIBRE (FACULTATIF).
Parce que peut-être que t'as envie de nous faire partager des points essentiels à savoir à propos de toi ? Ouais, on pense à tout ici :p Du coup, cet endroit, c'est le tien. Sous forme de liste ou d'anecdote, tu peux laisser libre court à ton imagination ! Si t'en as pas envie, tu peux supprimer (la div et l'onglet), tout simplement, on t'en voudra pas :D


Biscotte Cynique
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Biscotte Cynique et j'ai 19 ans. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à je ne sais plus :loukas: . ECHO FAITH HAMILTON ►Anna Speckhart  1001568715 alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Anna Speckhart comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par theempressmoonchild. Je fais environ 500 + mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.
Mot de la fin ?ECHO FAITH HAMILTON ►Anna Speckhart  73120010

Je souhaite ▲ (retire la balise le symbole et sa couleur qui ne correspond pas)
adhérer un flood d'intégration (?)
je veux être parrainer

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Once upon a time

Je crois que je n'ai jamais parlé de ma vie à personne. Je n'ai jamais mis au courant quiconque de ce qui m'est arrivé lorsque je n'étais encore qu'une enfant, perdant ses dents de lait et souriant encore face à l'avenir. Je n'étais rien d'autre qu'un être représentant l'innocence et une certaine forme de sagesse. Je me rappelle du sourire de ma mère et de ses yeux si semblables aux miens, je me rappelle de mes sœurs, mes grandes sœurs, qui me choyaient et m'aimaient sans aucune limite, de cette maison en pleine campagne écossaise. Je n'ai pas eu un début d'enfance vraiment spécial. J'étais juste Echo Ainsley Hamilton, la petite dernière de la famille et l'enfant à l'esprit inventif.

Ma plus grande sœur, Joana était déjà au lycée quand j'avais 8 ans. Elle voulait faire du Droit et l'autre, Marin-Rhym âgée de 10 ans voulait devenir médecin. Je n'ai pas suivi cette voie. J'avais déjà d'autres ambitions, d'autres envies. Déjà petite, mes doigts se trempaient dans la peinture et créaient. J'inventais des choses dont je rêvais, dont j'avais envie. Bien sûr, le talent ne m'est pas venu tout de suite. Ce n'était pas inné. Mais j'ai continué car c'était la seule chose qui m'apaisait.

J'avais une magnifique famille, un père relativement absent mais toujours présent pour sa femme et ses filles lorsqu'il rentrait à la maison. Je crois que je n'ai jamais rien soupçonné. Je crois que mon père restera malgré tout un héros pour moi, dans mon cœur et même si ça m'arracherait les lèvres de le dire à voix haute. Je l'aime, c'est indéniable mais je le hais d'une certaine façon.

Mes parents ont subitement divorcés alors que je n'avais que 11 ans. J'ai vécu ça comme une déchirure. Comme si on me demandait de choisir entre deux personnes que j'aimais plus que moi-même, dont j'avais radicalement besoin. J'ai pleuré dans les bras de mes sœurs des nuits entières, à ne plus savoir quoi faire, à en faire des crises d'angoisses. Pourquoi me faisaient-ils ça N'étions-nous pas heureux ? Nous formions une belle famille, non ?  Ma mère s'est lentement refermée sur elle-même, laissant des tas de responsabilités sur les bras de mes sœurs. Entre nous trois, je pense que mes sœurs sont celles qui ont le plus souffert. Elles ne disent rien aujourd'hui mais je le sais que ça les a en quelque sorte usées et que c'est pour cela qu'elles n'ont, toutes deux, toujours pas d'enfants. J'ai parfois l'impression que je les ais écœurés du rôle de parent. Je ne peux m'empêcher de me sentir, moi aussi, coupable mais je ne leur dis pas et ne leur dirais jamais. Je ne suis pas du genre à extérioriser mes émotions, à montrer ce que je ressens réellement. J'ai peur et j'ai surtout un cœur mort. Mon cœur est mort. Et pas seulement à cause de ma famille. Non. Le pire, c'est après qu'il m'a explosé en pleine face.

Ma mère s'est remariée. Je lui en ai voulu, longtemps, j'étais devenue une adolescente difficile, une fille rebelle, une fille stupide. Je jouais dans la provocation pour pouvoir la faire réagir. Dans l'espoir qu'elle poserait à nouveau e regard sur moi et m'observerait comme elle le faisait avant, avec amour, l'amour d'une mère dont tout enfant avait tant besoin. Elle ne l'a jamais fait. Ou plutôt si. Mais bien trop tard.

Son mari était un célèbre homme d'affaires, divorcé lui aussi et ayant la charge de son fils âgé de 19 ans. Son fils. Il s'appelait Oliver. Sans vraiment être beau, on ne pouvait lui enlever son charme. Il m'était totalement indifférent et je ne l'ai pas du tout accepté dans la famille. Ou plutôt dans cette famille recomposée qui me faisait penser à un simulacre de quelque chose de ridicule. Mes sœurs avaient depuis longtemps pris leur propre appartement et j'étais donc à la charge de ma mère, mon père ayant perdu le procès.

J'ai enchaîné les petits délits, me suis trouvé des fréquentations et pas vraiment les plus bonnes. J'ai bu, j'ai fumé, je me suis même fait tatouer. Je pensas à cette époque que ma vie irait mieux comme ça. Que j'irais mieux en lâchant totalement prise. Non. J'allais juste tout droit vers l'enfer.

Oliver a commencé à devenir étrange avec moi au bout de deux mois. Ça avait commencé par des regards un peu trop chaleureux et des sourires un peu trop charmeurs pour un demi-frère. Je n'y faisais pas vraiment gaffe mais chaque fois qu'il me regardait, mon corps se figeait et un malaise s'emparait de moi. Je n'étais pas bien du tout lorsque je me retrouvais seule avec lui. Puis un soir, il passa simplement à l'acte.

Ses mains qui parcouraient mon corps de jeune fille, son souffle dans le creux de mon oreille et son sourire. Ce fichu sourire. Mes yeux n'ont jamais autant laissés couler de larmes qu'à cette époque. Il ne m'a jamais violé. Il testait simplement mes limites (et les siennes peut-être). Il aimait voir mon corps réagir à des caresses que je détestais, il ressentait un plaisir sadique et ignoble à entendre mes pleurs et à les étouffer avec sa main. Je n'ai jamais rien dit. Ma mère, a finie par tout découvrir au bout d'un an. J'avais 13 ans à cette époque et malgré ma minceur j'avais déjà le corps d'une jeune fille de 16 ans. Ma mère, et le père d'Oliver furent anéantie par cette nouvelle. Ce n'était pas facile de savoir que pour l'une, sa fille avait été attouchée sexuellement, qui plus est par son demi-frère et pour l'autre, que son fils était en fait un pervers dérangé.

Oliver a été condamné pour pédophilie et agression sexuelle et a écopé d'une peine à perpétuité. Aujourd'hui, je ne ressens plus l'envie de parle de ça et l'est enfoui au plus profond de moi-même. Mais après cela, ma vie a totalement dérapé. Ma psychologue de l'époque me disait qu'il y avait deux types de réactions après ce genre de traumatismes. Certains, se renfermaient  sur eux-mêmes, se coupant totalement du monde, ce qu'on appelé vulgairement un suicide social alors que d'autres, comme moi, s'autodétruisaient. Alors je me suis détruite. Mon cœur et mon esprit étaient comme morts. Je n'avais plus envie de rien, plus envie de vivre, plus envie d'espérer, juste de me laisser porter par la vague de mon existence écœurante. Je ne me suis jamais victimisé et ait seulement fait ce que je savais faire de mieux : faire semblant. J'ai souris, j'ai ris, j'ai fait la fête, j'ai fait l'amour et j'ai même fait semblant d'aimer. Ce que je n'arrive plus à faire aujourd’hui. Je suis peut-être devenue trop franche, trop naturelle.

Mon art, lui aussi, a déraillé au cours de ces années de tumultes. Il est devenu sombre, étrange, noirâtre. Mon professeur d'art plastiques aime me catégorisé dans les artistes torturés. Il ne sait pas à quel point il est proche de la vérité. Pourtant, je n'arrive pas à m'apitoyer sur mon sort. Sans être quelqu'un de fort ou de courageux, loin de là, je me dis sans cesse avec vivacité que d'autres ont été dans mon cas et qu'ils sont toujours en vie. Alors, moi aussi, je devrais l'être. Moi aussi, j'aimerais vivre. Je le voulais vraiment à cette époque, réussir à vivre de nouveau.

Alors, à présent, je n'ai plus aucun contact avec ma mère, je communique avec mon père par mail et j'ai très souvent mes sœurs au téléphone, celles-ci habitants, à présent, en Irlande, je ne peux pas les voir souvent, ne pouvant me permettre de prendre l'avion pour me déplacer, faute de moyens.

Quand j'ai eu 17 ans, ma décision a été prise. J'avais déjà accumulé pas mal de conneries et je ne pouvais me permettre de ne pas poursuivre mes études. Alors j'ai bossé, me droguant le cerveau avec de l'herbe, pour me concentrer un maximum. Le jour je révisais et la nuit, je fêtais. Toute ma vie n'est qu'un bordel sans nom et je le vis plutôt bien.

Par un miracle, auquel je ne crois pas encore, j'ai réussi à intégrer Harvard qui sélectionne habilement ses étudiants. Je me sens heureuse et fière d'être ici et d'y débuter ma troisième année. Entre temps, j'ai eu le temps de me faire des amis, choses que j'avais du mal à accepter il y a quelques années et j'ai même eu des relations plus ou moins durables. Fille ou garçon, je n'ai jamais joué ma difficile et me suis trouvé dans cette bisexualité que mes sœurs ne comprennent pas vraiment mais qu'elles acceptent. Je ne compte ni m'engager que ce soit en amour ou en amitié (si ce n'est avec de rares personnes,) ni tenter le Diable et me faire encore plus souffrir. Je suis, à présent, une fille qui revient de loin mais ce n'est pas maintenant que j’arrêterais de vivre. Jamais. Je me laisse porter, glisser et pour le moment, je ne coule pas sous le poids de mon passé. C'est tout ce qui compte.  

Au cours de cette année, j'ai pu profiter de faire bien des rencontres. Jusqu'à l'inévitable. J'ai provoqué le mal, lui ai sourit, l'ai nargué en faisant mon intéressante. L'ombre menaçante m'est tombée sur le coin de la gueule au sens propre du terme. Elle m'a acculée dans une ruelle assombrie et crasseuse pendant des heures, quelques minutes, je n'en sais rien. Jusqu'à ce que je tombe de fatigue, sans lâcher aucune larmes, mais l'esprit clairement détruit. Je suis peut-être revenue différente de ce traumatisme mais je n'y peux rien. Le renfermement m'a l'air d'être la seule solution en ce moment ...
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Bon courage pour ton retour avec ce perso ECHO FAITH HAMILTON ►Anna Speckhart  3850463188
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Re Bienvenue parmi nous ECHO FAITH HAMILTON ►Anna Speckhart  3850463188
Good luck pour ta fiche Vic
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Bon retour ECHO FAITH HAMILTON ►Anna Speckhart  73120010
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Rebienvenue ECHO FAITH HAMILTON ►Anna Speckhart  1f609
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(Re)bienvenuuue. ECHO FAITH HAMILTON ►Anna Speckhart  2511619667
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rebienvenuuuue ECHO FAITH HAMILTON ►Anna Speckhart  3850463188
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ECHOLOGIE LE GRAND RETOUR MON ÂME-SOEUR ET TOUT LE TRALALAAAAA

Pas bienvenue j'te souhaite que du malheur :feldt: (emo)
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(re)bienvenue parmi nous et bon courage pour ta fiche ECHO FAITH HAMILTON ►Anna Speckhart  2109348208 ECHO FAITH HAMILTON ►Anna Speckhart  3850463188
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