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AMBRA VITTORIA DI MANCINI fiche; terminée C'est le 20 juin 1988 à Milan, que la famille Di Mancini m'ont accueillie dans leurs bras, ils m'ont prénommée Ambra Vittoria. Je suis célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis hétérosexuelle et j'en suis fier(e). Je viens d'une classe sociale moyenne. J'ai décidé de participer au Summer Camp organisé par Harvard pendant l'été. Sinon, dans la vie de tous les jours je suis journaliste de mode. Et pour terminer, je voudrais intégrer les citizens. |
Études Officiellement, je suis journaliste de mode. Je dis bien officiellement car jamais je ne révelerai le fait que je fasse partie de la mafia italienne, sauf à mon frère qui a juré de ne le répéter sous aucun prétexte... La mode, c'est beau, c'est chic, c'est mignon, c'est bien rangé ; de votre part, c'est vu comme un métier stable. Seul les sommes astronomiques que les mannequins se tapent pour défiler sur un podium en tortillant du cul viennent troubler la calme plat du monde de la mode ainsi les filles mortes d'anorexie et les suicides dûs au stress et à la pression que l'on essaye vaguement d'étouffer, ce domaine n'a vraiment rien d'excitant. Hors moi, j'ai besoin d'action pour me sentir vivante. Sentir les battements de mon coeur s'accélérer lorsque j'asséne à ma victime le dernier coup qu'elle sentira. Le coup fatal. Toutes ces choses que vous trouvez horrifiantes sont pour moi banales et peuvent être qualifiées comme étant une drogue pour moi, indispensable à ma survie. Toutes ces choses sont autant de raisons qui font que jamais je ne quitterai la mafia, c'est pour moi une seconde famille. | Caractère Ma plus grande qualité est certainement la loyauté. En dehors de mon travail, je ne prononcerai aucune parole que je ne pense pas, si je jure, c'est qu'il faut me croire et quand je parle, ce n'est jamais pour rien dire. Impitoyable, honnête, loyale, dure. Les ordres sont les ordres et que ce soit à n'importe quelle heure du jour et de la nuit, je les exécuteraient coûte que coûte. Si un jour je reçois l'ordre de vous tuer, vous aurez beau m'implorer, me supplier, me soudoyer... Tant que l'on m'a certifié que vous êtes innocent, je ne vous écouterai pas. -Naïveté, peut-être?- Le seul argent que je veux est celui que l'on me donnera après vous avoir fait exploser la tête à coup de barre de fer, de revolver ou alors après vous avoir tranché la gorge. Je ne suis pas comme ces femmes féministes qui militent pour leurs droits soit disant bafoués... personnellement, je m'en fiche puisqu'en affaires, c'est moi la femme qui se trouve supérieure à celles que je fais amener de Roumanie ou de Bulgarie pour les employer dans les maisons closes ou dans d'autres endroits dont je pense que le seul nom vous donnerez la nausée ; dans cette pratique, j'ai une seule régle d'or : je n'emploierai jamais d'enfants dans ces conditions, la simple vue de certaines choses pourraient briser leur innocence et les marquer à vie. Les armes que je fais passer illégalement sont aussi une activité que j'aime faire bien que je préfére très largement les utiliser mais pour ça, chaque chose en son temps... Je ne suis pas attachante et seulement ceux qui trouve les femmes dangeureuses attirantes pourront essayer de m'approcher mais surement ma carapace dure et froide les fera repartir aussi vite qu'ils en sont venus. Si vous êtes un homme et que vous persistez dans ce sens, je risque de vous ouvrir mon lit, ça n'ira jamais plus loin, sachez messieurs que je ne m'attache pas. Encore pire, si vous êtes une femme, rares sont celles qui réussissent à nouer une amitié avec moi... et si elles y arrivent, elle ne sera que de surface parce que, les amis sont les seules personnes que l'on peut choisir et le plus souvent, je choisis la proie que m'a fixée mon chef et je me rapproche d'elle dans le seul but de l'éxécuter. Autant dire qu'il vaut mieux me fuire que m'approcher, non? |
Everyone Has Their Own Story
Un minimum de 30 lignes est demandées pour l'histoire de votre personnage.
I - Je dors. Enfin, je dormais. La voix de ma petite soeur me tire rudement du sommeil et me force à ouvrir les yeux sur son visage pétrifié par la peur.
« Ambra, sors, vite ! Les serpents envahissent ta chambre. » me dit-elle du ton le plus empreint par la frayeur que je lui connaissais. Je me reléve subitement et examine la chambre autour de moi... elle avait beau dire, il n'y avait aucune trace de serpents.
« Préviens Sandro et les autres aussi... On est tous en danger si ils viennent dans les autres piéces. » se permit-elle de rajouter. A moitié dans le cirage, je prend son visage entre mes mains et essuie les larmes qui avaient déjà commencé à couler. La voir dans cet état m'était insupportable et les larmes commençaient aussi à perler aux coins de mes yeux.
« Ma puce... retourne dans ta chambre, y'a pas de serpents ici. » Elle se mit à hurler et elle pleura de plus belle. Je me sentais tellement impuissante que je me laissa retomber sur le matelas et me mis à me boucher vainement les oreilles pour essayer de camoufler les cris incessants de ma petite soeur. Quelques minutes plus tard, elle quitte finalement ma chambre en me laissant un goût amer de tristesse dans la bouche.
II - Je suis peut-être impitoyable, mais la seule chose que je redoutai dans mon travail était de mettre fin à la vie d'un innocent. Je me renseignai et on ne voulait rien me dire, rien me dire sur Ulükah Williams. Tout ce que je savais c'était que je devais le tuer, forcée de m'exécuter, je le fis. Seulement, la balle n'est pas allée se loger au bon endroit et il ne s'en tira qu'avec une simple perte de mémoire... comme quoi le bon Dieu existe dans certains moments. Je me devais de le surveiller et avec ça, je pouvais le faire librement puisqu'il ne se rapellait pas de mon visage. Je me rendit donc à Harvard pour effectuer une surveillance rapprochée, pour bien m'assurer qu'il ne se souvenait de rien et je fut contrainte de me rapprocher de lui. Par différentes manières, je réussis à savoir quelle était le genre de fille d'Ulükah et je réussis à devenir amie avec lui sans qu'il ne se doute de rien... Je n'avais jamais été aussi fière de moi, je mettais à profit un de mes talents cachés que je venais de découvrir : mon talent d'actrice car je me faisais bel et bien passer pour autre que moi. Bien sûr, lorsque j'étais en mission, je mentais sur ma carriére et mon métier mais voilà que je réussissais à mentir sur moi même. Mon caractére. Enfin, mentais-je vraiment ou alors faisais-je ressortir la belle partie de moi même? Je ne sais pas. En tout cas, je me suis prise à mon propre jeu et je commençai à ressentir des sentiments plus qu'amicals pour lui. Voilà une bonne raison pour ne plus jamais se laisser aller et devenir vraiment la femme au coeur de pierre que je disais être.
III - Le proverbe "qui aime bien, chatie bien" prend tout son sens entre mon frère et moi. Il est mon petit frère, normal que je m'occupe de lui comme une grande soeur, non? J'ai largement appris qu'aimer faisait du mal, c'est surement l'une des raisons pour laquelle je ne peux m'empêcher de le protégér. Certes, je le protége d'une bien drôle de façon mais... c'est la mienne et pour moi, elle marche assez bien je trouve. Déjà, j'essaye de le raisonner lorsqu'il se met en couple, lorsqu'il tombe amoureux ou même lorsqu'une de ses copines le largue. Enfin, je ne le raisonne pas, je l'engueule plutôt. Oui, c'est plus fort que moi et c'est mon côté franginechianteprotectrice qui ressort, ma phrase préférée c'est : « C'est quoi ça? Arrête ça tout de suite, mon frère c'est pas le genre à être nian-nian, fleur bleue. On t'as jamais appris ça, maintenant vire toi et oublie la celle-la. » A vrai dire, quand j'apellais une de ces ex "celle-la", c'était que j'étais sous un bon jour. Sous un très bon jour, même. Toutes les insultes du monde étaient passées entre mes lèvres pour qualifier ces filles qui, pour moi après avoir fait du mal à mon frère ne méritaient que ma visite entre quatres murs pour leur faire comprendre qu'on ne jouait pas aux garces avec lui.
J'avais aussi pour but d'être la seule tête blonde de sa vie, mais ça a semblé échouer bien malgré moi. Il a une nouvelle blonde dans sa vie, Alys sa petite copine. Contrairement à lui, je n'ai pas une confiance aveugle en elle et si elle venait à lui faire du mal, c'est sur que je ne la louperai pas en tout cas, avec moi, elle est sous haute surveillance et le moindre dérapage sera... comment dire? Durement sanctionné.
the face behind
↬ PSEUDO/PRÉNOM - Pink hell. ↬ ÂGE - 15. ↬ PAYS/RÉGIONS - France. ↬ OÙ AS-TU CONNU LE FORUM - Tout le monde le connaît ! ↬ TES IMPRESSIONS - ici. ↬ CRÉDIT(S) - Pink hell, tumblr, weheartit, Bazzart. ↬ AVATAR - Lindsay Ellingson ↬ SCÉNARIO OU PI? - Scénario. ↬ LE MOT DE LA FIN - ici. |
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