Invité
est en ligne
Invité
Maddy L. Delaunay
Fiche d'identité
Nom DelaunayPrénoms Madeleine, LouaneÂge 21 ansDate de naissance 7 septembre 1994Lieu de naissance Paris, FranceStatut amoureux CélibataireOrientation sexuelle HétérosexuelleClasse sociale MoyenneÉtudes majeures InformatiqueÉtudes mineures MusiqueJob professeur de piano pour enfantsChoix de groupe #1 Lowell HouseChoix de groupe #2 Cabot HouseLOWELL HOUSE.
Pourquoi la Lowell House ? Parce que je n'aime pas étaler mon "intelligence" comme les Dunsters (et ceci n'est pas une critique, l'université a besoin de gens comme eux), et que mon seul autre refuge en dehors de tous mes gadgets... C'est la musique. Ma capacité à retenir les choses avec tant de facilité m'a aidée à apprendre le piano et le violon avant l'âge de dix ans. J'ai appris le violoncelle en grandissant, et je chante depuis.. Que je suis en âge de parler. Même si au départ, c'était des babillements. Récemment, je me suis mise à la guitare toute seule. La Lowell House, c'est mon univers. Sans parler de musique, j'aime regarder de bons films, regarder quelqu'un dessiner pendant des heures, ou juste.. Fermer les yeux, et écouter quelqu'un chanter. Ça m'apaise beaucoup plus que n'importe quoi d'autre. La Lowell House, ce n'est pas forcément étudier un art. C'est être un artiste, oui, mais aussi apprécier l'art à sa juste valeur. Et je pense être de ces personnes.
CABOT HOUSE
Outre la Lowell House, je pense correspondre aux critères de la Cabot House. Pourquoi ? Parce que je suis belle, et je prends soin de moi. Je le sais, même si je ne m'en vante pas toujours. Ceci étant, ça peut-être un atout, notamment au Starbucks quand je demande plus de chantilly dans mon caramel macchiato. Bon, d'accord, pas que. Je me sert de cette beauté pour me cacher derrière, surtout quand on vient me soupçonner d'avoir volontairement fait sauter les plombs de mon voisin, ou modifié le mot de passe de son Wi-Fi parce que la veille il écoutait Deezer jusqu'à 4h du mat, veille d'un de mes jours d'examens. Cette candeur que je dégage naturellement, c'est un peu mon arme massive pour évincer les soupçons. Mais outre ce détail, j'ai les mêmes valeurs qu'une Cabot : La douceur, la fidélité, je ne supporte pas la traitrise entre proches, et encore moins entre amies. Et puis, évidemment... J'aime les hommes. Sans en abuser. Je suis le genre de fille qui croit aux vraies histoires d'amour.. C'est niais, je sais. Mais dans le fond, je le suis un peu.
Pourquoi la Lowell House ? Parce que je n'aime pas étaler mon "intelligence" comme les Dunsters (et ceci n'est pas une critique, l'université a besoin de gens comme eux), et que mon seul autre refuge en dehors de tous mes gadgets... C'est la musique. Ma capacité à retenir les choses avec tant de facilité m'a aidée à apprendre le piano et le violon avant l'âge de dix ans. J'ai appris le violoncelle en grandissant, et je chante depuis.. Que je suis en âge de parler. Même si au départ, c'était des babillements. Récemment, je me suis mise à la guitare toute seule. La Lowell House, c'est mon univers. Sans parler de musique, j'aime regarder de bons films, regarder quelqu'un dessiner pendant des heures, ou juste.. Fermer les yeux, et écouter quelqu'un chanter. Ça m'apaise beaucoup plus que n'importe quoi d'autre. La Lowell House, ce n'est pas forcément étudier un art. C'est être un artiste, oui, mais aussi apprécier l'art à sa juste valeur. Et je pense être de ces personnes.
CABOT HOUSE
Outre la Lowell House, je pense correspondre aux critères de la Cabot House. Pourquoi ? Parce que je suis belle, et je prends soin de moi. Je le sais, même si je ne m'en vante pas toujours. Ceci étant, ça peut-être un atout, notamment au Starbucks quand je demande plus de chantilly dans mon caramel macchiato. Bon, d'accord, pas que. Je me sert de cette beauté pour me cacher derrière, surtout quand on vient me soupçonner d'avoir volontairement fait sauter les plombs de mon voisin, ou modifié le mot de passe de son Wi-Fi parce que la veille il écoutait Deezer jusqu'à 4h du mat, veille d'un de mes jours d'examens. Cette candeur que je dégage naturellement, c'est un peu mon arme massive pour évincer les soupçons. Mais outre ce détail, j'ai les mêmes valeurs qu'une Cabot : La douceur, la fidélité, je ne supporte pas la traitrise entre proches, et encore moins entre amies. Et puis, évidemment... J'aime les hommes. Sans en abuser. Je suis le genre de fille qui croit aux vraies histoires d'amour.. C'est niais, je sais. Mais dans le fond, je le suis un peu.
APRÈS LA BOMBE.
Deuxième année d'université, janvier 2013. L'approche des examens, des premiers partiels, alors évidemment, j'ai eu la mauvaise idée de m'enfermer dans la bibliothèque, bouquinant sagement en écoutant de la musique sur mon Ipod, casque enfoncé sur les oreilles, volume à fond. Puis les vitres ont explosé, les gens ont commencé à se jeter à terre, et évidemment, j'ai fait de même, un peu trop tard, probablement. Un morceau de verre s'est logé dans ma jambe, et je me suis retrouvée rapidement ensevelie sous une étagère de la Bibliothèque. J'étais tétanisée.. Et je l'avoue, à ce moment là, j'appelais Osean, désespérément. J'avais peur de le retrouver aussi dans le coin, de le savoir blessé aussi... Et notre famille ? Et si Boston aussi était touché ? Je ne comprenais pas ce qu'il se passait, c'était tellement soudain... Puis, j'ai perdu connaissance. Quand je me suis réveillée, j'étais à l'hôpital, sous morphine. J'ai eu de la chance de ne pas perdre l'usage de mes jambes, mais vu les blessures, j'ai eu le droit à une chirurgie, et de la rééducation pendant plusieurs mois. J'ai perdu des proches, dans cet attentat. Des camarades de classe, des amis, et ça m'a révoltée. Qu'on ai pas su .. Qu'on ai pas pu réagir avant que les choses arrivent. C'est principalement ce qui m'a poussée à employer mes compétences informatiques pour le piratage de données. Pour trouver les failles, dans l'espoir d'empêcher ce genre de chose d'arriver.
Deuxième année d'université, janvier 2013. L'approche des examens, des premiers partiels, alors évidemment, j'ai eu la mauvaise idée de m'enfermer dans la bibliothèque, bouquinant sagement en écoutant de la musique sur mon Ipod, casque enfoncé sur les oreilles, volume à fond. Puis les vitres ont explosé, les gens ont commencé à se jeter à terre, et évidemment, j'ai fait de même, un peu trop tard, probablement. Un morceau de verre s'est logé dans ma jambe, et je me suis retrouvée rapidement ensevelie sous une étagère de la Bibliothèque. J'étais tétanisée.. Et je l'avoue, à ce moment là, j'appelais Osean, désespérément. J'avais peur de le retrouver aussi dans le coin, de le savoir blessé aussi... Et notre famille ? Et si Boston aussi était touché ? Je ne comprenais pas ce qu'il se passait, c'était tellement soudain... Puis, j'ai perdu connaissance. Quand je me suis réveillée, j'étais à l'hôpital, sous morphine. J'ai eu de la chance de ne pas perdre l'usage de mes jambes, mais vu les blessures, j'ai eu le droit à une chirurgie, et de la rééducation pendant plusieurs mois. J'ai perdu des proches, dans cet attentat. Des camarades de classe, des amis, et ça m'a révoltée. Qu'on ai pas su .. Qu'on ai pas pu réagir avant que les choses arrivent. C'est principalement ce qui m'a poussée à employer mes compétences informatiques pour le piratage de données. Pour trouver les failles, dans l'espoir d'empêcher ce genre de chose d'arriver.
APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES.
Vous savez pourquoi je redoute le mois de janvier prochain ? Parce que c'est systématiquement à cette période que les merdes nous tombent dessus. Janvier 2015. Depuis quelques mois déjà, les agressions se succédaient, et quand les confréries ont carrément fermé, j'avoue... J'ai flippé, j'osais plus aller en cours. Enfermée dans ma chambre, je cherchais sur internet et dans les réseaux de la police ( oops ? ) la moindre information qui nous permettrait de trouver QUI se cachait derrière les agresseurs ? Puis, ils ont fini par se montrer ? Ce 17 janvier 2015 donc, j'étais en amphi en train d'écouter un débat sur la France, alors touchée (comme récemment...) par un attentat terroriste, quand ce taré est arrivé... Au début, beaucoup d'entre nous ont cru à une mauvaise blague, jusqu'à ce que le type tire sur une fille et la traine par les cheveux au centre de la salle. J'étais terrorisée.. Ce jour là, j'ai pris une balle dans la jambe en bougeant trop, et c'est un ami français, Maxime, qui a pris soin de moi, au risque de prendre une balle... Même blessé, il a tenté de me rassurer comme il le pouvait. Qu'est ce qu'on avait d'autre que l'entraide, ce jour là? Tous ceux qui ont essayé de faire les fous ont fini blessés ou en grand danger. J'ai vraiment cru que ma vie allait s'arrêter là, jusqu'à ce que les flics arrivent, et .. Que le type se tire dans la bouche. J'étais tellement proche de lui que je me souviens d'avoir vu mon chemisier blanc tâché de son sang; et j'ai pleuré. Pendant un moment, je n'arrivais plus à parler, plus à rien. Aujourd'hui, la vie a repris son cours, mais j'avoue que tout ça me fait peur.. Et si ça recommençait ? De nos jours, le danger menace à tous les coins de rue. Et Harvard est une cible de choix. J'aurais pu décider de changer d'université, mais j'ai décidé de vivre comme je l'entend, malgré la peur. Après tout, regardez... La France a été touchée dans un petit restaurant, un petit concert... Aujourd'hui, partout est un danger. On doit juste apprendre à vivre avec.
Vous savez pourquoi je redoute le mois de janvier prochain ? Parce que c'est systématiquement à cette période que les merdes nous tombent dessus. Janvier 2015. Depuis quelques mois déjà, les agressions se succédaient, et quand les confréries ont carrément fermé, j'avoue... J'ai flippé, j'osais plus aller en cours. Enfermée dans ma chambre, je cherchais sur internet et dans les réseaux de la police ( oops ? ) la moindre information qui nous permettrait de trouver QUI se cachait derrière les agresseurs ? Puis, ils ont fini par se montrer ? Ce 17 janvier 2015 donc, j'étais en amphi en train d'écouter un débat sur la France, alors touchée (comme récemment...) par un attentat terroriste, quand ce taré est arrivé... Au début, beaucoup d'entre nous ont cru à une mauvaise blague, jusqu'à ce que le type tire sur une fille et la traine par les cheveux au centre de la salle. J'étais terrorisée.. Ce jour là, j'ai pris une balle dans la jambe en bougeant trop, et c'est un ami français, Maxime, qui a pris soin de moi, au risque de prendre une balle... Même blessé, il a tenté de me rassurer comme il le pouvait. Qu'est ce qu'on avait d'autre que l'entraide, ce jour là? Tous ceux qui ont essayé de faire les fous ont fini blessés ou en grand danger. J'ai vraiment cru que ma vie allait s'arrêter là, jusqu'à ce que les flics arrivent, et .. Que le type se tire dans la bouche. J'étais tellement proche de lui que je me souviens d'avoir vu mon chemisier blanc tâché de son sang; et j'ai pleuré. Pendant un moment, je n'arrivais plus à parler, plus à rien. Aujourd'hui, la vie a repris son cours, mais j'avoue que tout ça me fait peur.. Et si ça recommençait ? De nos jours, le danger menace à tous les coins de rue. Et Harvard est une cible de choix. J'aurais pu décider de changer d'université, mais j'ai décidé de vivre comme je l'entend, malgré la peur. Après tout, regardez... La France a été touchée dans un petit restaurant, un petit concert... Aujourd'hui, partout est un danger. On doit juste apprendre à vivre avec.
ITEM LIBRE (FACULTATIF).
Elle a trois tatouages : Un chiffre romain à l'intérieur du bras gauche, VIII I IV , une phrase tout près du poignet de ce même bras, fata viam invenient, qui veut dire en anglais "The fate will find a way", le destin trouvera une solution. Pour finir, elle a un symbole chinois à l'intérieur de son bras droit. Elle montre ces tatouages très rarement, et leurs significations sont liées à sa famille. Peu de personnes en savent le sens. + Elle possède ce qu'on appelle une mémoire eidétique, plus communément mémoire photographique, et son quotient intellectuel dépasse largement la moyenne. Néanmoins, elle ne s'en vante pas et seuls ses proches le savent + Elle a une cicatrice au niveau de sa cuisse gauche, un petit rappel des attentats de janvier 2013 à Harvard + derrière ses airs de crack informatique, elle est d'une douceur et d'une fragilité qui frôlent l'hypersensibilité + en revanche quand on l'énerve elle devient vite redoutable + Son père les a abandonné sans donner de nouvelles alors qu'elle n'avait que 10 ans. Et même s'il revenait aujourd'hui, elle ne lui pardonnerait pas + elle est très protectrice envers son petit frère de dix ans son cadet, qui venait de naître quand leur père est parti, et sa petite soeur de 17 ans. + elle parle couramment 14 langues : Le français, anglais (les deux sans accents), le néerlandais, l'allemand, l'espagnol, l'espéranto, l'estonien, le finnois, le gallois, le lituanien, le roumain, le russe, le chinois et l'islandais + s'adonne parfois au calcul calendaire, qui permet de trouver en un instant le jour correspondant à n'importe quelle date de naissance. + elle ne porte pas le nom de son père mais celui de sa mère, parce qu'elle a voulu à tout prix se détacher de lui.
Elle a trois tatouages : Un chiffre romain à l'intérieur du bras gauche, VIII I IV , une phrase tout près du poignet de ce même bras, fata viam invenient, qui veut dire en anglais "The fate will find a way", le destin trouvera une solution. Pour finir, elle a un symbole chinois à l'intérieur de son bras droit. Elle montre ces tatouages très rarement, et leurs significations sont liées à sa famille. Peu de personnes en savent le sens. + Elle possède ce qu'on appelle une mémoire eidétique, plus communément mémoire photographique, et son quotient intellectuel dépasse largement la moyenne. Néanmoins, elle ne s'en vante pas et seuls ses proches le savent + Elle a une cicatrice au niveau de sa cuisse gauche, un petit rappel des attentats de janvier 2013 à Harvard + derrière ses airs de crack informatique, elle est d'une douceur et d'une fragilité qui frôlent l'hypersensibilité + en revanche quand on l'énerve elle devient vite redoutable + Son père les a abandonné sans donner de nouvelles alors qu'elle n'avait que 10 ans. Et même s'il revenait aujourd'hui, elle ne lui pardonnerait pas + elle est très protectrice envers son petit frère de dix ans son cadet, qui venait de naître quand leur père est parti, et sa petite soeur de 17 ans. + elle parle couramment 14 langues : Le français, anglais (les deux sans accents), le néerlandais, l'allemand, l'espagnol, l'espéranto, l'estonien, le finnois, le gallois, le lituanien, le roumain, le russe, le chinois et l'islandais + s'adonne parfois au calcul calendaire, qui permet de trouver en un instant le jour correspondant à n'importe quelle date de naissance. + elle ne porte pas le nom de son père mais celui de sa mère, parce qu'elle a voulu à tout prix se détacher de lui.
Dreamy
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Mélanie, si ce n'est pas Dreamy sur les sites d'entraide et j'ai 22 ans . Je suis française et j'ai connu le forum grâce à un projet sur PRD, y a quatre ans, oui oui. Je suis déjà présent sur le forum sous les traits de anciennement, ma douce Roxanna ;-;. J'utilise Lily Collins comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par Blondie. Je fais environ 200 à 1500 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.
Mot de la fin ? ▲ Au revoir, Alice Roxanna Lewis-Blackburn
Je souhaite ▲ (retire la balise le symbole et sa couleur qui ne correspond pas)
adhérer un flood d'intégration (?)
je veux être parrainé
Mot de la fin ? ▲ Au revoir, Alice Roxanna Lewis-Blackburn
Je souhaite ▲ (retire la balise le symbole et sa couleur qui ne correspond pas)
adhérer un flood d'intégration (?)
je veux être parrainé
(Invité)