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WILDER Δ get your filthy hands off me

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La ferme Silver, mon discours te permettra de faire un article bien plus intéressant que ce que tu aurais pu faire à la base, alors arrête de jouer les ingrats. Certes. Il a reçu bien plus d’informations que prévu, mais Avery se devait de relever les regards du conférencier. Il voulait surtout engager la conversation d'une manière ou d'une autre. Merci de t'offrir aux yeux d'un mec pour mon article.  Le garçon emprunte le même chemin que Victoria, entrant donc dans un grand couloir vide. Mais je vois que t'as remarqué le petit regard intéressé de Mr. Wilder, t'es jaloux ? Un sourire amusé naquit sur les lèvres de l'étudiant. Sa remarque lui ramène les souvenirs de leur erreur après la Gatsby Party. Plutot déçu de voir que tu n'es jugée que sur ton physique. J'te pensais fière comme fille.. Pas l'genre catin. Lance un regard à la blonde avec un petit sourire qui adoucit ses mots.


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Merci de t'offrir aux yeux d'un mec pour mon article. Je lève les yeux au ciel. Comment un mec peut-il être aussi casse-couille, ça, ça me dépasse ! J'crois que t'as pas compris la situation, Avery. Moi, j'suis celle qui a gagnée, qui est arrivée première et qui a eu ce qu'elle voulait. Toi, t'es le pauvre type qui n'a rien à faire là, et qui a eu la chance de pouvoir grappiller assez de ma conversation avec Mr. Wilder pour faire un article potable. Je lui lance un sourire froid et continue de marcher, le Winthrop sur les talons. Putain mais il compte jamais me lâcher lui hein ? Il m'énerve, la situation m'énerve. Je ne veux pas me retrouver près de lui après tout ce qui s'est passé, j'ai bien trop envie de lui faire perdre son sourire niais à coup de claques dans sa belle gueule de petit con. Plutôt déçu de voir que tu n'es jugée que sur ton physique. J'te pensais fière comme fille.. Pas l'genre catin. J'ai bien vu son petit sourire, mais celui-ci n'adoucit rien du tout. Je ne tourne, le prends par le col, le retourne et le plaque violemment contre le mur derrière lui. L'endroit est désert. Pas un bruit, pas un chat, ce qui ne m'aide pas à me contenir. Putain mais qu'est-ce que tu veux à la fin Avery ? Tu comptes me lâcher quand, hein ? dis-je froidement, le regard furieux.

hj:
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Elle continue à se jeter des fleurs. Alors il aura un bon article grâce à elle et en aucun cas pour le travail qu'il va fournir derrière ? Personne n'arrive à la hauteur de Victoria, c'est ça ? C'est bien le profil type d'une eliot. Avery ne réponds pas à cette remarque, mais continue sur sa lancée. Autant la charrier jusqu'au bout sur ce décolletée. Sauf que la garçon finit contre le mur du couloir dans un bruit de surprise. Les doigts adverses ont capturé son col et les yeux noirs de la blonde tuent l'étudiant. « Tu devrais apprendre à te contrôler. C’est pas la première fois que tu dérapes... » ..quand elle est avec lui. Mais il ne la pensait pas agressive. Plutôt calme au contraire. Le genre de fille qui se contrôle pour ne pas se donner en spectacle devant une foule. Le couloir est vide. Personne. Ca lui offre une opportunité de s’énerver contre lui. « T’as toujours pas compris que la menace ne marchait pas sur moi Wild ? »  
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Tu devrais apprendre à te contrôler. C’est pas la première fois que tu dérapes... Regard noir. Petit con, il fait référence à quoi là, hein ? A cette fois où j'ai craqué après qu'il m'ait convaincu de le faire avec ses gestes et ses belles paroles ? Ou à l'erreur regrettable et avouée que j'ai commise, en le faisant traverser le campus nu ? Vu son air de connard, j'opte pour la première option, et ça me met sacrément en rogne. Et tu devrais apprendre à rester à ta place et à me foutre la paix Avery. Je fulmine. T’as toujours pas compris que la menace ne marchait pas sur moi Wild ? Un sourire mauvais se dessine au coin de mes lèvres. Et les faits, ça marche sur toi dis ? Tes p'tites aventures nudistes de la dernière fois étaient une erreur, mais crois moi si tu continues mon prochain coup sera bien pire et celui-là, je ne le regretterais pas. Quoi que tu me diras, vu son attitude, je regrettais de moins en moins le premier sale coup que je lui avais fait, même s'il n'avait pas été justifié. J'avançais un peu vers lui, rapprochant mon visage du sien, menaçante. Il faudra quoi pour que tu me lâches ? Pourquoi tu peux pas t'empêcher de m'emmerder là, hein ? C'est quoi son problème ?!
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Le hasard les a réunis. Sans lui, Avery ne serait pas venu vers Victoria. L'étudiant ne veut plus la voir, pas après le coup qu'elle lui a fait. C'était degueulasse. « J’doute que tu regrettes le premier. » Après tout, elle l’a mis à dans une situation embarrassante et c’est suffisant pour faire naître cet air jubilatoire sur ses lèvres. Elle s'approche, réduit l'espace entre leurs deux visages. Quand est-ce qu'il la lachera ? Certainement quand il n'aura plus le malheur de recroiser ce regard hautain. Il la méprise désormais.. mais il ne faut pour oublier qu'il l’appréciait avant. « Dès qu'on sera sorti du couloir, t'auras plus besoin de me voir. » Et sur ces mots, il lâche 'l'échange de regard et se débarrasse de l'emprise féminine d'un revers de la main. Il part de son côté et quand il arrive au niveau de la porte, il comprends que celle-ci est fermée. C'est pas tout. Au même moyen, un bruit sourd oblige Avery à plaquer ses mains sur ses oreilles. Le son d'une alarme incendie.
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J’doute que tu regrettes le premier. Je lève les yeux au ciel. Oui je regrette, parce que pour le coup, j'y ai été fort avec lui et au final ça n'a été pour rien. Au contraire, ça a envenimé le semblant de relation potable qu'on avait réussi à établir, et ça nous a mené dans cette hargne et cette haine qui nous uni désormais. Donc oui .. même si maintenant qu'il me saoule bien comme il faut, je suis nettement moins catégorique. Dès qu'on sera sorti du couloir, t'auras plus besoin de me voir. Petit sourire narquois, et un regard fier pour la forme. J'espère bien. Il me sort de mes gonds ce type, c'est incroyable. Avery se détache de mon emprise, s'approche d'une double-porte qui barre le couloir. Fermée. Ahah le con, s'il voulait faire une belle sortie c'est fichu. Je me moque .. jusqu'à ce que l'alarme incendie ne se déclenche. Oh mais non .. non dites moi que non ! Je plaque mes mains sur les oreilles, les sourcils froncés. Je reste ainsi plantée là quelques secondes avant de me décider à bouger et de repartir sur mes pas. Impossible de retourner à la salle de conférence ou d'avancer plus loin, une deuxième double-porte s'est fermée en plein milieu du couloir. Je pose une main sur la poignée, tente d'ouvrir mais .. fermée elle aussi. Putain mais nooooon quoi ! Non ! Je force, secoue la porte, mais rien n'y fait. Les portes coupes-feus ont dû se déclencher en même temps que l'alarme incendie, interdisant ainsi à tout le monde d'entrer et de sortir. Bien sûr, il faut que ce soit PILE à ce moment là et PILE avec ce type là que ça m'arrive. Fermée. dis-je sèchement à Avery pour qu'il reste à distance et qu'il ne tente pas d'ouvrir la porte à son tour. Bon .. et bien je fais quoi maintenant hein ?
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Ses mains n’atténuent pas l’alarme. Il a l’impression qu’elle se fait de plus en plus forte. Les portes se claquent devant les yeux impuissants du garçon. Victoria tente d’ouvrir mais rien n’y fait. Visiblement, tout  est fermé. Aucune fenêtre, aucune issue de secours. Rien. Plus il regarde, plus ça l’angoisse. Son regard se pose sur un extincteur. Il n’y a pas de feu. Pas encore. Urgh. L’idée lui vient seulement quand il s’est approché de l’objet rouge. Le saisit, prend de l’élan et frappe contre le porte extérieur. Elle n’a même pas bougé. Il retente. Une fois. Deux fois. Trois fois. Même une quatrième fois. Il n'a plus de force. Mais il continue, cette fois avec le porte coupe feu que Victoria n’a pas réussi à ouvrir. Par chance, celle-ci cède au bout de deux coups. Ca leur laisse un libre accès au reste du couloir. « Viens. » En trois rapides foulées il retourne dans la salle de conférence déserte. Toujours pas de flammes et la température n’a pas augmenté.
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Je regarde autour de moi à la hâte, dans l'espoir de trouver une solution. Aucune fenêtre dans ce couloir, et aucune porte à ouvrir. Il n'y a pas d'issu. Mon cerveau tourne à cent à l'heure, je réfléchis à une possible option lorsque Avery s'avance vers un extincteur qu'il décroche du mur, et se dirige vers l'une des deux portes. Je le regarde la cogner violemment, l'air interdit, sans rien dire tandis qu'il essaye un certain nombre de fois, toujours plus fort, sans succès. Le Winthrop se retourne, fonce de l'autre côté, tape deux coups sur la porte couvre-feu qui cède. Quelle brute. dis-je tout bas, l'air mauvais. Viens. J'ai pas envie de lui obéir, mais pour le coup j'ai encore moins envie de rester ici alors je finis par le suivre jusqu'à la salle de conférence, à présent vide. La pièce est grande, majestueuse, haute de plafond et toujours éclairée. Le bruit de l'alarme est bien moins présent. J'avance, marche sur l'estrade et laisse Avery vérifier l'ouverture des portes. Personnellement, j'ai trop la flemme pour monter les gradins et il a l'air motivé pour le faire alors .. Mes yeux se baladent sur le grand bureau de l'estrade. J'avance encore, jusqu'à voir un téléphone un peu plus loin. Oh punaise ! Juste à côté, une liste de numéro, donc un d'urgence. Les doigts croisés très fort, je saisis le combiné, tape le numéro, attends impatiemment .. jusqu'à ce qu'on décroche. Une voix masculine, à laquelle je résume la situation. On est coincé, enfin, je suis coincée, dans cette putain de salle de conférence avec l'alarme en fond sonore, et j'en ai marre. Je déverse sur ce pauvre type toute ma frustration, jusqu'à ce qu'il se confonde en excuse et déclare enfin que les portes ont été verrouillées pour des raisons de sécurités, et qu'elles devraient rouvrir d'ici une demie-heure, maintenant que l'incendie a été contrôlé. Sans un merci ni un au revoir, je raccroche et soupire longuement. Pas la peine de tout casser, ça rouvrira dans trente minutes. J'doute que la patience soit une de tes vertus mais va falloir que tu tiennes, et en silence je te pris. Ne rends pas les choses plus lourdes, ça m'emmerde déjà assez d'être bloquée ici avec toi. lançais-je à Avery avec froideur.
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Au moins la brute arrive à ouvrir la porte coupe feu. Ils se retrouvent au point de départ. Avery monte les gradins pour atteindre les portes qui sont elles aussi fermées. Putain. Et ces portes sont comme la première, soit impossible à ouvrir. Sans oublier qu'il a déjà perdu pas mal de force. Pas la peine de tout casser, ça rouvrira dans trente minutes. J'doute que la patience soit une de tes vertus mais va falloir que tu tiennes, et en silence je te pris. Ne rends pas les choses plus lourdes, ça m'emmerde déjà assez d'être bloquée ici avec toi. Il la toise du regard puis s'assoit sur un des sièges proche de la porte bloquée. Vous savez c'qu'il a envie de faire ? Parler. Ouais, juste pour faire chier celle qui veut rester dans le silence. Un vrai gamin c'te Silver. Mais il l'assume. Le garçon sort son téléphone et met de la musique. « Pour couvrir l’alarme. Ne m’en veux pas, j’ai pas d’écouteurs. »
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Trente minutes .. Ça me fait terriblement chier de devoir les passer avec lui, mais au moins, c'est pas les quarante-huit heures durant lesquelles j'ai du le supporter en Arizona. J'suis déjà excédée par la situation mais avec un peu de silence, et si je me concentre très fort, je suis quasi-certaine de réussir à ne pas lui sauter dessus pour le rouer de coups. Je fais quelques pas, avance devant le bureau sur lequel je m'assois. Mon sac posé à côté de moi, je l'ouvre, regarde à l'intérieur à la recherche de n'importe quoi qui pourrait me faire passer le temps .. jusqu'à ce que j'entende les premières notes d'une musique. Pour couvrir l’alarme. Ne m’en veux pas, j’ai pas d’écouteurs. Je. Vais. Le. Tuer. Mais t'as quel âge Avery, sérieusement ? Il a l'air fier de sa connerie en plus. Tu peux pas rester calme pendant une demi-heure ? C'est trop dur pour toi hein ? C'est quoi ton problème, tu veux que j'm'énerve encore comme tout à l'heure ? Ça te plait quand je te gifle ou quand j'te fais des sales coups ? Non parce que là, vu son insistance à vouloir me les briser j'commence à vraiment me poser la question.
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