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ALLÔ CHARLIE BOBO, ALLÔ CHARLIE ARRÊTE D'ME REGARDER J'SUIS TROP BEAU ♦

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Assis sur un lit aux urgences de l'hôpital, Leo avait des envies de suicides, meurtre, fin de sa vie, il n'en pouvait plus de lui, des boulets qu'il traînait à longueur de journées. Après les cours, le jeune homme avait passé quelques heures à la bibliothèque universitaire avec quelques élèves en cours avec lui pour réviser, travailler, très sérieux le garçon quoi. Il y avait cette fille, en première année de socio, elle venait d'arriver et dés le premier jour où elle lui avait demandé de l'aide pour retrouver son chemin sur le campus, il savait qu'elle serait dangereuse vu comme elle avait failli se faire renverser. Enfin bon, elle lui avait demandé de l'aider à attraper un livre trop haut pour elle, il l'avait aidée, elle s'était appuyée contre l'étagère et avait réussi à faire chanceler l'étagère au point de faire tomber quelques livres sur le crâne de Leo. Des ouvrages bien lourd qui avaient réussis à lui faire une bosse et lui avait entaillé le haut du front. Paniquée, elle l'avait emmené aux urgences et il attendait sagement qu'un docteur s'occupe de ses points de suture pour qu'il puisse retourner travailler. Il balançait ses jambes dans le vide, ça piquait, ça saignait, ça lui faisait mal et personne ne venait. Enfin le rideau devant son lit s'ouvrit et il commença à râler. « C'est pas trop tôt ! Vous savez que les gens ont une vie ? Allez, j'espère que vous n'êtes pas le boulet de service, j'aimerai ne pas être trop amoché ça serait la moindre des choses vu le temps que vous mettez à soigner vos patients ! » Il tourna le regard vers l'interne qui allait lui saccager le front, il reconnut Charlie et instantanément il me fit à sourire. « Charliiiie ! Allez dépêche, j'espère que tu es plus douée avec les sutures que pour voler sur un balai. » Il se mit à rire mais se ravisa, ça tirait la peau du front et il avait mal le pauvre chouchou.
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J'avais eu un soucis sur la route en rejoignant l'hôpital et j'étais du coup arrivée en retard. Les résidents ayant déjà réparti différentes tâches à leurs internes, je m'étais du coup retrouvée reléguée aux urgences... et je détestais ça. Premièrement parce que : voir tout ces cas chirurgicaux super intéressant me passer sous le nez m'agaçait. Et deuxièmement : parce que je n'avais pas fait toutes ces études pour donner simplement un laxatif à un gamin qui avait avaler des billes, ou désinfecter une petite brûlure sans intérêt. C'était ridicule. En plus, aujourd'hui il y avait peut de médecin sur ce service, du coup, la plus part des patients attendaient depuis au moins une demi-heure. Donc forcément j'avais le droit à tout une tas d'insulte, et de remarques désagréables, parce que dans ce genre de cas les patients aimaient faire part à leur médecin de leurs mauvaises humeurs... Certains patients refusaient même que je les soigne parce qu'ils voyaient bien que j'étais jeune et me considéraient donc comme inexpérimentée. En général ils criaient au scandale, et demandait à voir l'un des mes supérieurs.
Bref : je détestais les urgences. C'est donc en cachant mon agacement derrière un joli sourire que je passais de patient en patient, ravalant ma fierté, me faisant à l'idée que je n'allais rien apprendre aujourd'hui et essayant de rester calme face à l'agacement de certains patients. Après avoir examiné les bleus que c'était fait un enfant de huit ans avec un pistole à bille, je lui prescris une crème, jetant rapidement mes gants en caoutchouc avant de tirer le rideau qui donnait sur le lit du patient suivant. J'attrapais machinalement le dossier du dit patient, et relevait immédiatement la tête en lisant son nom. Leo était assit sur le lit, et comme tout bon patient qui se respecte : il râlait parce qu'il attendait déjà depuis un petit moment. Il croisa mon regard et je levais légèrement les sourcils en esquissant un petit sourire amusé. On ne c'était pas revu depuis la soirée d'Halloween à Salem, fameuse soirée dont je ne gardais que de très vague souvenir concernant ma tentative de voler sur un balai. Je reposais mes yeux sur le dossier du jeune homme, qu'une infirmière avait remplit à son arriver, histoire de connaître ses antécédents, savoir s'il était déjà sous traitement ou s'il avait des allergies. Je rangeais ensuite le dossier avant d'enfiler une nouvelle paire de gant pour l'examiner. « Je savais faire des points de suture avant même de savoir marcher. » Dis-je en pouffant de rire. C'était un peu exagérée, mais en y réfléchissant bien : ce n'était pas si loin de la réalité ! J'attrapais de quoi travailler : désinfectant, coton, file et aiguille, avant de m'approcher de Leo. Posant une main sur mon menton, l'autre doucement sur le haut de son front, puis je tournais légèrement sa tête pour mieux voir sa blessure. Il avait une vilaine plaie sur le front, rien de très grave, mais c'était suffisamment profond pour que ça saigne et que ça lui fasse mal. Il allait tout de même lui falloir quelques points de sutures et puis vu le bleu qu'il avait autour de la plaie, peut-être passer un scanner pour s'assurer que rien ne clochais dans sa petite tête. « Tu t'es fait ça comment ? »  demandais-je en attrapant un coton imbibé de désinfectant et de venir délicatement nettoyer le contour de la blessure.

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« Excuse-moi de douter trente secondes de tes compétences mais je t'ai vu il y a dix jours en train d'essayer de voler à cheval sur un balai, pas très professionnel tu crois pas ? C'est dur de me faire à l'idée que tu es peut-être en plus celle qui va me défigurer ! » Le sourire qu'il affichait rendait ses paroles beaucoup plus inoffensives même s'il n'en pensait pas moins, il aurait préféré un vieil intello à lunettes bien dégueulasse plutôt qu'une petite blonde portée sur l'alcool. En même temps, il imaginait qu'elle n'aurait pas plus confiance de prendre une séance de psy avec lui, quand on connaît le phénomène, pas certain qu'on veuille mettre ses problèmes personnels entre les mains de Leo Halberstam et se baser sur ses conseils. Vous savez ce qu'on dit ? Que les mecs qui font psychologie veulent avant tout régler un problème personnel. Ça fait réfléchir hein ? Toujours envie d'aller consulter ? Elle mit ses gants et commença à le torturer … pardon l'ausculter. Il faisait de petites grimaces de douleur lorsqu'elle appuyait un peu trop fort. Elle lui demanda comment il s'était fait ça, Leo ne put encore une fois s'empêcher d'ironiser. « J'ai sauvé une grand-mère qui s'était coincée dans un arbre après un saut en parachute. » Il garda son petit air sérieux un instant avant de s'esclaffer et donner une tape dans le bras de la jeune interne. Elle commença ensuite à désinfecter la plaie ce qui le remit de suite à sa place, il grimaçait de nouveau, tentant de garder un peu de dignité. « Non en fait je me suis pris des livres sur la gueule à la bibliothèque à cause d'une camarade longue histoire. » Il releva le regard vers Charlie avec un sourire demi-moqueur. « Et toi si tu es si douée pourquoi tu es obligée de t'occuper de pauvres petites sutures à faire comme moi ? » Bah madame jesaisfairedessuturesdepuisquejaideuxans, dans Grey's Anatomy, Cristina Yang est rarement aux urgences, enfin bon simple observation, peut-être que la Quincy n'était vraiment pas douée. Pour le coup, il craignait un peu pour sa vie.
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Je comprenais totalement que Leo ne soit pas rassuré. Il m'avait vu grimper sur un balai et sauter du haut d'une table, il avait été témoin des effets ravageur de l'alcool sur mon organisme, alors forcément il ne devait pas être rassurer à l'idée que j'approche une aiguille de son front. J'avais certainement perdu toute crédibilité en tant que chirurgienne à ses yeux, c'était donc le moment de lui prouver que je valais mieux que cette ado attardée qui buvait trop en soirée. Je finis tout de même par lui demander ce qu'il avait fait pour se faire mal, tout en examinant la plaie sur son front. Il lâcha, d'un air très sérieux qu'il avait sauvé une grand-mère coincée dans un arbre. Je retirais mes mains de son front juste à temps, puisque ce crétin vint me donner une petite tape sur le bras avant de pouffer de rire. L'espace d'un instant je l'avais cru, puis j'avais imaginé une grand-mère coincée dans un arbre et face au ridicule de l'image j'avais très vite compris qu'il me faisait marcher, comme à son habitude. J'attrapais un coton imbibé de désinfectant avant de venir tapoter délicatement autour de la blessure pour la nettoyer, retirer le sang qui avait couler et voir précisément l'ampleur de la plaie. Leo reprit alors son sérieux, évoquant s'être prit des livres sur la tronche. Je pouffais immédiatement de rire avant de lâcher : « C'est moins glorieux tout de suite. Je préférais l'histoire de la grand-mère. » Puis évidemment il ne pu s'empêcher de me demander ce que je faisais ici, à m'occuper de ce genre de blessure superficiel, si j'étais aussi douée que je le disais. Le sourire moqueur que j'avais sur les lèvres s'effaça, je restais un moment silencieuse, jetant le coton tâché de sang, avant d'attraper un seringue pour anesthésié la zone que . « Je suis arrivée en retard. » déclarais-je simplement. « Normalement je devrais être en cardio aujourd'hui, assister à de supers chirurgies, apprendre pleeeeiiiinn de truc ... » dis-je d'un air rêveur, puis j'ajoutais d'un air un peu plus déçu : « Mais à la place je suis là. » J'esquissais un sourire, plantant mes yeux dans ceux de Leo, avant de poursuivre d'un air voulu un peu plus enjoué. « J'ai donné un laxatif à un gamin et maintenant je vais défigurer un ami ! C'est sûr que c'est moins intéressant que d'être au bloc opératoire ... Mais bon, les patients sont un peu plus bavards. » C'est certain qu'un patient, allongé sur une table d'opération, avec la poitrine ouverte, n'était pas aussi bavard qu'un idiot qui c’était prit des livres sur la tête. « Bouge pas. » dis-je enfin en approchant l’aiguille de la seringue de son front pour venir rapidement piquer les alentours de la plaie. Je l'avais déjà vu grimacé alors que je nettoyais sa blessure, je n'allais donc pas le faire souffrir d'avantage, avec ça il ne sentirait plus son front et il ne partirait pas d'ici traumatisé.

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Charlie était quand même sacrément mal placée pour juger de ce qui était glorieux ou pas hého. Miss je vole sur des serpillères, il ne voyait pas en quoi aider une camarade et se blesser dans cet accomplissement avait quelque chose de honteux. Enfin … en y repensant c'est vrai que son histoire était légèrement risible, néanmoins ce n'était pas une raison pour que la blonde se moque ainsi. Quel terrible médecin elle faisait là ! Leo la remettait bien vite à sa place en lui demandant ce qu'elle faisait à se coltiner les sutures, elle qui était si forte. Il ne put s'empêcher de pouffer avec son histoire de panne de réveil. Encore une fois, il fut rappelé à l'ordre par les picotements au niveau de sa plaie qui étaient provoqués à chacun des mouvements de son visage. « Je trouve que je suis une très bonne compensation, j'ai le charme, le physique, l'intelligence, tu peux apprendre plein de trucs de ma part aussi. » dit-il avec un clin d'oeil. Ça vaaaa elle le connaissait avec le temps, ce genre de choses ne devraient plus tant l'étonner que ça. Il fronça d'ailleurs les sourcils – mais pas trop : blessure oblige encore une fois. « Hey ! Tu vas pas me défigurer hein ? C'est une blague ? Sinon appelle un chirurgien esthétique, la génétique m'a bien gâté évite de détruire l'oeuvre de Dame Nature tu seras mignonne ! » Elle lui ordonna ensuite de ne pas bouger et il s'appliqua à le faire, il ne voulait effectivement pas être défiguré. Il ne bougea donc pas, ni ne parla le temps que la jeune femme le recouse.
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Apprendre des trucs avec Léo ? … Je ne savais pas vraiment si je devais y voir une proposition coquin ou pas. Venant de lui, quelques part je ne serais pas surprise, il avait le dont pour lancer des remarques franchement déplacer et ce à n'importe qu'elle moment du jour ou de la nuit. Je ne préférais pas relever, poursuivant mon boulot sagement. Il remarqua alors que j'avais discrètement évoqué l'idée de le défigurer et sembla légèrement paniqué. Un sourire vint aussitôt étirer mes lèvres. Pour la première fois j'avais le dessus dans notre relation, ce n'était pas lui qui étant en position de force, non, ce coup si j'avais le pouvoir, j'avais de quoi le faire taire, et c'était terriblement jouissif ! Je pouffais de rire, savourant le moment avant de lui ordonner de ne pas bouger. Il m'écouta, restant immobile alors que j'admirais le pouvoir qu'avait l'aiguille que je tenais entre mes doigts. J'aurais voulu que ce moment dure pour toujours, mais bon il fallait tout de même pas que j'abuse et me mis donc au boulot, posant une main près de sa plaie avant de rapprocher l'aiguille de l'autre pour venir refermer soigneusement la blessure. Ça prit un peu de temps, puisque je m'appliquais à la tache, essayant bien faire afin que cette vilaine coupure ne laisse le moins de trace possible. Bon je n'étais pas spécialisée en chirurgie plastique, en faite je n'étais encore spécialisée en rien, donc je ne pouvais pas garantir à 100% que le résultat serait impeccable, il aurait certainement une cicatrice, petite, mais cicatrice quand même. Après cinq longue minutes durant lesquels je savourais le silence et l'immobilité de Leo, je finis enfin la partie la plus délicate, je n'avais plus qu'à lui mettre un pansement histoire de garder tout ça au propre et j'allais pouvoir passer au patient suivant. Je jetais donc l'aiguille usagée avant d'attraper une compresse et de quoi lui faire un pansement. « Tu seras tout tout beau avec ton pansement sur le front. » dis-je un petite sourire narquois sur les lèvres, alors que je découpais ma compresse pour lui donner la taille idéale.

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