C'est le 14 septembre 1993 à Corby, que les membres de la famille Xamhor m'ont accueilli dans leurs bras, ils m'ont prénommé aksel newton ( on se demande ce qui a bien pu lui passer par la tête pour qu'elle m’appelle comme ça. ) mais tout le monde me surnomme newt. ( c'est plus court et mon vieux que mon vieux prénom. et ceux qui s'amusent à me nommer tout de même newton, ils se font incendier du regard. ) . Je suis célibataire et fier de l'être ( à quoi ça sert de s'attacher quand on finit par nous lâcher ? je suis libre de faire ce que je veux avec qui je veux, elle est pas belle la vie ? ) et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis bisexuel ( et ouais, je suis pas du genre à m'arrêter au sexe de la personne, tout dépends de la personne en sois finalement. ) et j'en suis fier. Je viens d'une classe sociale moyenne. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études d' architecture (majeur) et arts plastiques (mineur) depuis quatre ans et travaille en parallèle de mes études en tant que peintre de rue ( on me voit souvent assis sur un muret un crayon à la main mais je ne gagne pas beaucoup d'argent, je fias plus par plaisir que pour l'argent des passants qui ont pitié de moi. ). Et pour terminer, je voudrais intégrer les lowell ou les mather.
Tu as toujours été passionné par les arts. Depuis tout petit, tu sais que tu veux travailler dans ce domaine. D’ailleurs, ta ère t’avais offert pour tes deux ans, une valise avec de la peinture à l’intérieur. Grave erreur. Tu avais repeins avec tes doigts tous les objets qui trainaient sur ton chemin. Le moins qu’on puisse dire, c’était qu’elle n’étais pas ravi du résultat. Mais depuis ce jour-là, la peinture n’a jamais quitté ta vie. Puis au fur et à mesure que le temps passait, la qualité de tes dessins augmentait. Certes, toi, tu n’es jamais satisfait de tes œuvres mais ton entourage dit que tu as du talent. Ce n’est pas pour rien d’ailleurs que parfois lors de ton temps libre, on te retrouve dans le parc d’Harvard ou bien dans de jolis coins de la ville avec un crayon à la main en train de griffonner sur un carnet. Celui-ci ne quitte jamais ton sac de cours. Tu aimes peindre avec toutes sortes d’instruments, que ce soit au crayon basique ou à la peinture. Tu n’as guère peur de te salir les mains. Voilà la raison pour laquelle tu penses que Lowell est bien pour toi.
Tu n’en as pas l’air comme ça mais tu ne te laisses pas marcher sur les pieds. Tu as un sacré caractère et gare à ceux qui te cherchent un peu trop. Surtout quand tu as bu, c’est dix fois pire. Il faut dire que dès qu’il y a de l’alcool, tu es toujours présent. Tu ne raterais pour rien au monde une occasion pour boire afin d’oublier ta triste vie. Tu adores les fêtes rien que pour ça, certains sont là pour draguer ou pour danser sur une musique dès plus abrutissante, toi c’est juste pour picoler. D’ailleurs, parfois il t’arrive de peindre quand t’es saoul et le résultat est beau à voir – ironie ! Tu fumes également et pas que de la cigarette. T’as fumé ton premier joint à l’âge de seize ans lors d’une fête où tu n’avais déjà plus les idées claires et depuis tu en fumes de temps en temps. Puis t’as peut-être l’air solitaire comme mec mais c’est loin d’être le cas. Tu aimes bien être en groupe et si même si tu as un corps qui pourrait s’envoler au moindre souffle de vent, tu n’hésites pas à te servir de tes poings pour défendre ceux qui t’entourent. Quitte à avoir des bleus, l’inconvénient d’avoir un corps fluet et qui marque facilement.
Cela t’a marqué, il faut dire que tu venais d’entamer ta première année et tu ne t’attendais pas du tout à ce qu’un événement pareil arrive surtout dans une école. Toi qui se sentais comme chez toi dès ton arrivée, la suite fut un peu plus difficile. Néanmoins, tu eus de la chance, certes tu étais présent à Harvard mais tu ne fus pas touché pas les différentes bombes. Tu étais en train de rire avec des camarades de classe quand un grand boum se fit entendre et tu vis avec effroi ce qui se déroulait. Tu ne comprenais plus rien. Tu entendais des cris et tu restas tétanisé par la peur. Tu ne fus guère blessé physiquement mais psychologiquement, ton esprit fut légèrement torturé après. Tu sursautais au moindre bruit t’attendant à une autre explosion puis au fils du temps, tu oublias. Seuls les débris des anciens bâtiments touchés te font passer à cet événement dramatique. Tu te sens chanceux de ne pas avoir fait parti des nombreux blessés ce jour-là.
La faim, c’est horrible comme sensation. Tu ne manges pas beaucoup, enfin si mais tu as un mauvais tic. Dès que tu avales quelque chose, tu ne peux pas t’empêcher d’aller aux toilettes pour te faire vomir aussitôt après. Alors, c’est à se demander ce qui avait bien pu se passer dans ta jolie petite tête ce jour-là. Pourquoi diable es-tu entré dans ce restaurant rapide pour te goinfrer d’hamburger ? Toi-même tu l’ignores et tu l’ignores encore toujours malgré les nombreuses questions qui te tournaient dans la tête à ce moment-là. Quand la prise d’otage est arrivée, tu étais dans la file d’attente, soupirant et murmurant que c’était long. Puis tel un film américain, tu te retrouvas recroqueviller sur toi-même, un homme armé hurlant à tout le monde de rester silencieux. Tu te mis à trembler comme une feuille, t’allais mourir. Tu fermas les yeux priant quelqu’un au ciel de te protéger. Tes prières ne furent guère entendues, au contraire il faut croire qu’elles t’ont porté malchance. Un client se fit abattre devant toi et cette image resta marquée dans ton esprit. Tu voyais les minutes défiler sur la grosse pendule accroché dans le restaurant, tu avais bien du mal à ne pas regarder le corps devant toi. Puis l’homme armé parti menacé d’autres personnes plus loin et tu fus soulagé. Il allait arrêter de te faire stresser à passer prés de toi. Et quelques temps plus tard, il fut neutralisé. Tu quittas le bâtiment le plus vite possible et depuis ce jour, tu n’as jamais remis les pieds à McDonalds. Tu évites même de passer à côté, les souvenirs revenant à la surface.
Tu es un vrai casse-cou, tu t’es déjà cassé deux fois le poignet gauches, une fois le poignet droit et tu as passé deux mois avec un plâtre à la jambe. Mais cela ne t’empêche pas de faire l’idiot à chaque fois que l’envie t’en prend. x Tu ne peux pas t’empêcher de te faire vomir à chaque fin de repas. C’est plus fort que toi, du coup tu as un corps assez fluet dont tu as un peu honte. x Tu fumes comme un pompier, tu sais que ce n’est pas bon pour la santé mais tu t’en fiches. Il faut que tu aies ta cigarette toutes les heures sinon tu risquerais de craquer. Tu fumes au moins deux paquets par jour et encore là, ce n’est que pendant la semaine. Le week-end, c’est encore bien pire surtout que pendant les fêtes, tu te retrouves souvent avec autre chose qu’une vraie cigarette dans la bouche. x Tu es un grand stressé de la vie, tu ne peux pas t’empêcher de te faire du souci pour un rien. Et quand tu es anxieux, tu ne peux t’empêcher de te mordre la lèvre, presque parfois jusqu’à ce que tu sentes le goût de sang dans ta bouche. x Tu souffres de diabète. Tu es obligé de surveiller ton taux de sucres fréquemment afin d’éviter d’être en hypoglycémie. Du coup, dans ton sac, on peut y trouver du jus d’orange et des choses sucrés afin d’éviter tous soucis. Tu ne voudrais pas qu’un malaise t’arrive en plein milieu de la cours. Tu dois également te piquer par insuline trois fois par jours. C’est dur à supporter mais tu sais que tu n’as pas le choix. Cette maladie a été découvert lorsque tu avais huit ans mais il faut dire que de ton côté paternel, il y a quelques antécédents. Et bien entendu, toi malchanceux, t’en as hérité. x
Mot de la fin ? ▲ Ajout libre.
Je souhaite ▲ (retire la balise le symbole et sa couleur qui ne correspond pas)
adhérer un flood d'intégration (?)
je veux être parrainer si oui, par pseudo du parrain (voir la liste des parrains)