BALTER ► make this day, something beautiful.

Belle journée. Je me levais et espérais que ce dicton soit vrai pour une fois à cause du mal de crâne que je me coltinais suite à hier soir. Je me souvenais de toute cette soirée, mais le nombre de verres que j’avais dû boire m’étaient complètement inconnu. Malheureusement. Je ne voulais pas me regarder dans le miroir, mais en me levant de mon lit, ce fût mon premier réflexe. J’avais une mine de cadavre et mes cheveux semblait imbibés de bière ou d’un tout autre alcool. Je faisais une grimace, mécontente de ce que je voyais avant de directement me diriger vers ma salle de bain privée. J’enlevais tout les vêtements que j’avais sur moi, faisant l’eau chaude commencer à couler, pour être sûr qu’elle soit à la bonne température avant de me jeter vers l’inconnu. Je déposais mes sous-vêtements sur ma petite table en bois à côté de l’évier, et je me tournais pour rentrer dans ma douche, faisant par la même occasion un shampoing décapant d’alcool. Quand j’en ressortais une demi heure plus tard, je me demandais bien ce qui pourrait faire de ce jour, quelque chose de spécial. J’attrapais mon téléphone, envoyant un message à Walt, un ami, pour lui demander de venir. Que j’avais terriblement besoin de lui. Quand ce fût envoyé, je repassais sur mon corps de nouveaux sous-vêtements. Un string noir avec un soutient gorge de la même couleur accompagné d’une chemise ouverte blanche. Je me posais sur mon lit, prenant mon téléphone dans la main, en attendant ce faux-prince charmant. Il pouvait rentrer de lui même dans ma chambre, parce qu’étrangement, la porte n’était jamais, ou presque, fermée.

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░░░░░░░░ feat. bane j.-walkerson

Gueule de bois, c'était actuellement ce que je voyais à travers le miroir de ma salle de bain, j'avais des cernes comme pas possible, les yeux encore éclatés, les cheveux dans un sale état, je puais le tabac et l'alcool, je détestais les lendemains de soirées. Je me foutais à poil, entrant dans la douche pour n'en ressortir qu'une quinzaine de minutes plus tard, lavé, douché, réveillé du moins pseudo-réveillé, il me fallait un café parce que sinon j'allais m'écrouler. Après avoir enfiler un boxer, je mettais un jean et un t-shirt, rien de bien superficiel, et je me rendais dans la cuisine histoire de me faire un café serré, le bien noir, bien amer, bien fort pour au moins être sûr que je garde les yeux ouverts toute la journée. J'entendais mon portable vibrer, posé sur la table basse, en le récupérant je vouais que c'était Bane qui m'avait envoyée un sms, la belle voulait que je la retrouve chez elle, c'est vrai que ça faisait un petit moment qu'on ne s'étaient pas vu, ma foi pourquoi pas ça allait me changer les idées et j'étais sur au moins de foutre quelque chose de ma journée, je ne resterai pas à faire ma loque à l'appart comme ça. Je buvais mon café avant d'enfiler ma veste en cuir, de prendre mon portable, mes clopes, mon zippo et mon portefeuille et de quitter d'appartement pour rejoindre ma caisse et rouler vers le campus. Arrivé devant la porte de sa chambre à la résidence des roses, je toquais, histoire de bien faire, de faire dans la politesse parce que je sais clairement que sa porte est ouverte et que je peux rentrer comme chez moi.

Je ne savais pas, ou du moins, plus ce que c’était que d’avoir une vie un minimum saine. Je ne dormais presque plus à force d’aller à des soirées et j’aimais plus ou moins ça. J’étais constamment défoncée et à la recherche de table où danser comme une débauchée, et je rigolais en voyant les vidéos ou même les visages des autres qui essayaient de me reprendre. J’étais jeune, je voulais en profiter et ce quoi qu’il puisse se passer. En envoyant ce message à Walt, j’étais plus ou moins contente, parce que je savais que lui au moins ne me montrerait aucune photo de moi entrain d’embrasser des gars ou de boire la tête à l’envers, les sourcils froncés et un regard accusateur sur son visage. Je savais qu’il serait simplement lui et qu’on allait passer une journée formidable. En entendant toquer à ma porte, je me levais de mon lit, les cheveux lâchés qui retombaient sur le dos de ma chemise, l’humidifiant un peu. Je marchais jusqu’à cette dernière, l’ouvrant. Je souriais en voyant que c’était lui. « Tu pouvais entrer tu sais ? Et faire comme chez toi. » Je m’éloignais de la porte, allant me poser sur un siège, ne le quittant pratiquement pas des yeux. J’allumais une cigarette qui se trouvait à deux centimètres de ma main. Et je me concentrais sur ce qu’il faisait. À son visage je voyais que lui aussi avait dû passer une nuit plutôt arrosée. Mais après tout, c’est ce que j’appréciais avec lui, parce que nous avions le même quotidien. « Elle était bien ta soirée ? » Je prenais une bouffée de ma cigarette après avoir dit ça, continuant de le regarder. Relâchant lentement la fumée qui se trouvait dans ma bouche. « Parce qu’apparemment, elle t’a bien réussie. » Je rigolais en disant cela. J’adorais taquiner les gens, puis il n’avait pas si mauvaise mine. J’étais pire il n’y a même pas une demi heure de ça. Nous les filles, avec notre maquillage, on se retrouvait complètement défigurée les lendemains matin de soirée. C’était atroce.

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Cette vie de débauche, est-ce vraiment ce que je désire ? Esr-ce que ma vie aurait été différente si j'avais été le fils parfait pour mes parents, rendre compte de cette responsabilité au sein de la famille, je suis l’aîné, mon rôle aurait été de veiller sur Palmyr et Caleb, j'aurais alors suivis un tout autre chemin je pense, mes vivres ne seraient pas coupées, j'aurais un compte en banque bien garni, je serai même membre de la Eliot House qui sait mais non, j'ai suivis un autre chemin et ça ne m'a pas vraiment réussis après toutes ces années. Je vis dans la débauche depuis plus de huit ans, je sors plus que je ne vais en cours et pourtant jusqu'à l'année dernière j'arrivais à garder un rythme entre mes sorties et mes études mais il a fallut que Caleb s'en aille et ça a été le début de la fin et je crois que depuis deux ans, jamais je n'ai autant touché le fond. Ce matin, lendemain de soirée, ceux-là je ne les compte plus depuis tout ce temps, et je déteste quand ils arrivent, tout faire au ralenti, pas parler trop fort pour éviter le mal de crane, j'aime pas ça et pourtant je le cherche à chaque fois que je décide de me foutre une mine, d'oublier tous mes problèmes et de les noyer dans l'alcool et la drogue et la plupart du temps, trop souvent, ça ne me réussit pas. Bane m'avait demandée de passer la voir, ça faisait un petit moment qu'on ne s'étaient pas vu et c'est vrai que ça allait me donner l'occasion de bouger et de pas faire ma loque toute la journée en restant ici alors une fois que j'étais prêt, je quittais l'appartement pour prendre ma caisse et me rendre sur le campus. Une fois devant la porte de sa chambre chez la confrérie des roses, je toquais et quelques secondes après elle venait ouvrir la porte, m'interpellant direct en me disant que j'aurais pu faire comme chez moi et entrer, j'affichais un petit sourire Je sais ouais mais j'ai voulu faire dans les bonnes manières. elle s'éloignait pour aller s'asseoir sur un siège un peu plus loin, j'en profitais pour rentrer et refermer la porte puis elle ne mettait pas de temps à deviner que j'avais la gueule de bois Ça se voit tant que ça que je suis mort ? lui demandais-je en lâchant un petit rire venant enlever ma veste et m'asseoir sur son lit. J'temmerde, je déteste les lendemain de cuite. lui disais-je en souriant. Bon alors, pourquoi t'avais tant besoin de me voir que ça ?.

Être chez les Cabots, c’est aussi ce qui faisait que les gens me voyaient comme la fille plutôt facile et ouverte d’esprit. Mais en fait ça n’avait rien à voir. J’avais eu une vie qui faisait que qu’importe ce que je faisais, ça ne pouvais pas être pire. Alors je lui ouvrais la porte et lui indiquait qu’il était comme chez lui normalement, avant d’aller me poser dans un fauteuil, fumant ma première clope de la journée. Je ne le quittais pas des yeux, le regardant fermer la porte derrière lui. Il disait avoir voulu faire le jeune homme de bonnes manières, et ça me faisait esquisser un sourire, parce que je le connaissais bien et il pouvait vraiment me surprendre quelque fois. Je lui demandais si la soirée à laquelle il était surement allé avait été à la hauteur de ses attentes. Je lui indiquais aussi par la même occasion qu’elle lui avait plutôt bien réussie dans un petit rire discret. Il me posait la question pour savoir si ça se voyait tant que ça, et je ne pouvais pas vraiment lui répondre négativement quand je n’arrêtais pas de fixer ses yeux complètement épuisés et son visage assez décoloré.  « Non, pas du tout, ça ne se voit presque pas. Si on regarde tes chaussures du moins. Parce que ton visage te trahit largement. » Je souriais en disant cela, écrasant la cigarette dans l’objet adapté pour. Me dirigeant vers lui, assit sur mon lit. Je le contournais quand il me demandait pourquoi j’avais eu tant besoin de le voir que ça. Venant me positionner derrière lui sur le lit, je passais mes mains sur ses épaules pour les faire redescendre dans son dos. Je me couchais alors par la suite à côté de lui. Le regardant dans sa position assise. « Personne n’aime les lendemains de cuite, on est tout les deux dans ce cas précis aujourd’hui. » Je souriais, attrapant une de ses mains avec la mienne pour jouer avec ses doigts. « Et ne fais pas comme si tu ne sais pas pourquoi je t’ai envoyé ce message. Tu t’en doutes un minimum. » Je venais me relever, pour approcher mon visage du sien. Mes yeux croisaient ceux de Walt et je décidais de reculer, allant vers la petite cuisine. « Tu veux quelque chose à boire ? Après une bonne cuite, c’est le seul moyen de s’en remettre. » J’haussais les épaules, comme-ci j’étais persuadé de ce que je venais de dire, mais au fond je voulais juste boire un peu malgré ma mine terrible sous ce petite maquillage.  

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C'est vrai qu'en temps normal je serais rentrer comme si j'étais dans mon propre appartement mais je sais pas, j'avais voulu faire le gars civilisé qui reprend l'éducation que lui ont donnés ses parents, ça la surprend à voir son regard quand elle vient m'ouvrir. Elle me laissait rentrer en me disant que j'aurai pu faire comme chez moi et de part son petit sourire alors qu'elle portait sa clope à ses lèvres, je me doutais bien qu'elle me fixait, qu'il y avait quelque chose de changé chez moi, surement ma sale gueule de lendemain de soirée que je déteste avoir. Ouais, je déteste ça putain. lui dis-je sourire aux lèvres avant de venir m'asseoir sur son lit, elle ne tardait pas à venir me rejoindre après avoir terminée sa cigarette et l'avoir écraser dans le cendrier. Elle venait se positionner derrière moi, je sentais ses mains se poser sur mes épaules et venir se balader dans mon dos, ouais à cet instant je frissonnais alors que je lui demandais le pourquoi du comment de ma venu ici. Elle bougeais juste à côté de moi, s'allongeant, prenant l'une de mes mains et jouant avec mes doigts, je la regardais en souriant alors qu'elle me disait que j'avais une vague idée de ce que je faisais ici Toi aussi t'as fais la folle hier soir et ouais j'ai ma petite idée. elle se redressait pour approcher son visage du mien avant de se lever du lit et de se rendre dans sa petite cuisine me demander si je voulais boire un truc. Personnellement, j'en connais un autre remède. oh ouais et je crois que j'étais venu pour ce remède particulier, je restais assis sur le lit, à la fixer en souriant, attendant qu'elle comprenne ce que je voulais, maintenant, j'avais pas frissonner pour rien au contact de ses mains dans mon dos.

Walter était une véritable énigme que je n’arrêtais pas de vouloir solutionner comme si s’en était mon devoir. Je ne le connaissais pas comme beaucoup de personnes le devaient. On ne parlait pas plus que ça de nous ou même de ce qu’on aime, mais on partageait une certaine chose que je n’enviais à personne d’autre. J’étais allongée à ses côtés, jouant dans ses doigts comme pour s’il s’agissait de petite chose mobile qui m’appartenaient. « Je fais la folle presque tout les soirs, ce n’est pas bien dur de le remarquer. » Je souriais bêtement à mes paroles, comme pour justifier le fait que j’aime cette vie que je mène et que ça n’empiétait jamais sur mon travail scolaire qui était au meilleur de sa forme contrairement à ce qu’on croirait en me regardant. Je me relevais, me dispersant un peu en allant vers ma cuisine, lui proposant à boire alors que je savais bien que ça ne le tenterait pas vraiment. Je le regardais, mon sourire malin sur les lèvres, en écoutant ses paroles. Je me rapprochais lentement de lui, pour finalement n’être qu’à quelques centimètres de son corps. Je posais ma main sur sa joue, la caressant doucement. Je souriais à la douceur de cette dernière, la faisant glisser jusqu’à son menton pour relever sa tête vers la mienne, embrassant délicatement ses lèvres. Les décollant peu de temps après. « Ha oui ? Et ce remède m’implique-t-il dans tes bras ? » Mon autre main venant longer le long de son bras pour arriver jusqu’à sa main, la prenant avec délicatesse pour la placer sur ma cuisse. Remontant ma main vers son cou qu’elle frôlait doucement, elle passait sous le col de son haut pour venir caresser l’arrière du bas de sa nuque.  Je l’embrassais à nouveau. Mais, mes baisers ne duraient jamais longtemps pour le laisser en haleine un instant. Ils laissaient tous place à des sourire sournois et manipulateur. J’adorais ce début de journée. Il me semblait si parfait.

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C'est vrai que je ne connaissais pas grand chose de Banissa, si je sais qu'elle n'aime pas qu'on l'appelle comme ça, elle préfère Bane, c'est une des seules choses que je connais d'elle, son corps évidemment n'entre pas en compte, on va dire que sur le plan physique pour moi, elle n'avait aucun secret, et c'était la même chose pour elle, elle savait peu de choses sur moi mais physiquement, elle savait tout. Elle était allongée sur son lit, juste à côté de moi, elle avait prit en otage l'une de mes mains pour jouer avec mes doigts, me dire qu'elle était une adepte des lendemains de soirées, ça m'étonnait encore qu'elle ne soit pas une petite verte, vu son mode de vie Qu'est-ce que tu fou encore chez les roses, viens chez les verts. lui dis-je lâchant un petit rire alors qu'elle se levait pour se rendre dans sa petite cuisine me proposer à boire mais j'avais pas soif, selon elle c'était le meilleur remède contre la gueule de bois mais je ne me gênais pas pour lui dire qu j'en connaissais un autre et qu'il était la raison de ma venue ici, enfin la raison pour laquelle elle m'a fait venir ici. Elle n'a pas mit de temps pour comprendre ce que j'avais voulu dire, elle laissait tomber cette idée de m'offrir quelque chose à boire pour se rapprocher lentement de moi, une fois bien trop proche de moi, sa main se posait sur ma joue, la caressant quelques instants avant de la faire glisser jusqu’à mon menton qu'elle relevait pour rapprocher ses lèvres des miennes et m'embrasser tendrement, un baiser doux que je savourais jusqu'à la dernière seconde avant qu'elle n'enlève ses lèvres pour les ouvrir et me suggérez une hypothèse, je souriais la fixant En effet, ça prend en compte cette condition. elle se montrait entreprenante, glissant son autre main le long de mon bras jusqu'à ma main pour la saisir et la mettre sur ma cuisse, je souriais baissant les yeux vers celle-ci avant de les relever sur ses yeux une nouvelle fois. Sa main revenait se glisser dans ma nuque où elle rapprochait son visage une nouvelle fois pour m'embrasser, c'était à mon tour de me montrer entreprenant et de poser mon autre main sur son autre cuisse et la tirer vers moi histoire qu'elle soit assise sur moi, à califourchon, la collant un peu plus dès lors contre moi pour intensifier le baiser et le rendre plus passionnel.

En l’entendant me dire que je devrais rejoindre les verts, j’avais un petit rictus qui apparaissait parce que ce n’était pas du tout dans mes intentions. Si je ne connaissais rien sur lui, il ne savait rien sur moi non plus. Par-delà cette apparence que j’avais à toujours faire la fête, je me complaisais à pouvoir rester tranquille de temps à autre, et d’écouter les filles parler de leur maquillage et de leurs shampoings qui ne donnaient rien de très concluant sur elle. Après, peut-être que je me trompais à penser que chez les Mathers, ce soit la fête tout les jours sans pause. On a tous des aprioris après tout sur les autres confréries, mais on les garde toujours pour nous. « J’aime bien être une rose, c’est reposant. » En effet c’était reposant. Je me fichais de ma réputation et les filles ne me courraient pas derrière pour que je sois la parfaite poupée Barbie. Non pas qu’elles ne le souhaitent pas, mais elles ont déjà compris que ce serait une autre paire de manches que de faire ça. Après avoir été dans ma cuisine puis revenue en face de lui, j’embrassais ses lèvres. Ça me faisait du bien d’avoir un minime contact avec lui. On était comme ça nous, de vrais fous au final. Des inconnus qui se complaisaient dans leur jeu de possession. L’espace d’un instant il était à moi et je lui appartenais aussi. Personne d’autre ne comptait. Je lui posais une question. Innocente, frêle et gentille petite question. Et il me répondait de la manière la plus positive possible. Ma main glissait sur son corps et j’aimais sentir ses pigments sur le bout de mes doigts. Je l’embrassais après avoir déposé une de ses mains sur ma cuisse, et il continuait le jeu en posant son autre main sur la copie conforme de celle-ci. Il me tirait vers lui et je me retrouvais maintenant à califourchon. Je souriais par delà le baiser qui ne cessait pas pour une fois. Il était passionné, langoureux. J’aimais cet instant privilégié à ses côtés. J’aimais me sentir comme englobé dans sa vie sans vraiment l’être. La main qui était sur sa joue glissait lentement de cette dernière vers son torse puis sur le bas de son haut, passant en dessous de ce dernier pour remonter sur son ventre. Elle caressait sa peau et me donnait envie de lui arracher ses vêtements. Il était définitivement plus habillé que moi en ce moment.