Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilitygrandpa embrasse bien (timana)
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grandpa embrasse bien (timana)

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grandpa embrasse bien
nirvana et timoteï.
mise en page par blasphemy
C’est quand même une abomination de la nature ces trucs de.. haaaaaaaaa. Je râle, je pers patience, marre de ces fils d’écouteurs qui s’enroulent sur eux même dans une poche de jean pendant deux minutes où tu les laisses dedans le temps d’attraper ton kinder bueno d’ton sac. Emmêlés tout est emmêlé. A croire qu’ils twerk dans ma poche, en secret, sans que personne ne le sache. Révélation mesdames, Messieurs les têtes de bite. Les écouteurs twerk dans la poche et c’est la raison pour laquelle ils sont tout le temps emmêlés, ces p’tits batards. Je tâche aussi de regarder devant moi le temps de marcher histoire de pas me prendre un lampadaire en pleine gueule. Ce serait so sad de se prendre un poteau dans la gueule j’pense. Un gros bleu, beurk, moche. Je relève la tête une fois de plus, mes doigts entre le fil blanc de mes écouteurs. Daaaaaamn. Je m’arrête brusquement faisant râler le p’tit mec qui a manqué de se prendre mon dos. Grand, brun, la barbe de je sais pas combien de jours sur la gueule. Beaaau. Sainte Marijuana, c’est lui, tu crois ? Ca ne peu pas être lui. Je me suis affirmée qu’il était mort dans un caniveau après une overdose de moi. Je me cache derrière la poubelle, juste à côté le temps qu’il passe. Je le regarde, son visage, sa dégaine. C’est étrange. C’est peut être son sosie finalement. Je ressors de ma cachette ans un bouquant pas possible. Les poubelles qui tombe, tout s’écroule sur mon passage, don’t care. C’est pas moi qui suis payé pour ramasser les poubelles. Je m’arrête devant lui, un petit signe de la main. Salut.. ! Quelques instants après me voilà, mes lèvres, sur les siennes. Ma main du salut, toujours en l’air, trop d’émotions pour penser à la baisser. Pas de doute, c’est bien lui, c’est sûr. Je reconnaitrais entre mille sa langue qui manie la mienne trop facilement. Je me retire, ma main qui finit sur sa joue, une gifle, une claque. Ce que tu veux, sur sa joue. C’est mérité, de toute façon, hein ? Oui. Comment tu vas depuis ta mort ? Bien ? Ça va ? Moi je vais super bien. Je lui souris, gaiment. Weeeeird.
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La vie n'est pas rose, elle est toujours compliquée. Tu avais besoin de prendre l'air, de t'acheter des nouveaux vêtements. A croire que tu n'en as jamais assez, tu as passé la journée dans les boutiques pour au final ressortir avec seulement un sac. Bordel, tu es compliqué, à ta place tes potes auraient déjà dévalisé un magasin entier. Tu marchais tranquillement dans la rue, les mains dans les poches, ton sac de fringue dans ton sac de cours. Au bout de quelques mètres, tu te fais griller une clope. Tu en as fort besoin, tu continue ton chemin en direction de ton appartement. Il faut que t'y repasse pour reprendre des affaires, tu aimes faire des détours. Mais après tu prendrais ta voiture, tu as déjà suffisamment marché pour aujourd'hui. Alors que tu n'allais pas tarder à arriver près de chez toi, une personne devant toi s'arrête brusquement, genre sans prévenir. Les gens comme ça, ça t'énerve mais bon il y en a tellement. Tu laisses échapper un simple soupir, levant les yeux au ciel et tu décides de passer à côté d'elle. Tu n'as pas que ça à foutre, et d'attendre qu'elle reprenne sa marche. Tu fini ta clope que tu laisses tomber au sol, l'écrasant au passage. Et voilà qu'un fracas se fait entendre pas loin de toi et une femme déboule devant toi. Pas n'importe laquelle, celle qui s'était arrêté genre un mètre devant toi. Et tu savais parfaitement de qu'il s'agissait, Nirvana. Tu pensais ne jamais la revoir et voilà qu'elle se pointait tel une fleur devant toi. « Salut. » soufflais-tu, mais sans avoir le temps de dire autre chose, elle déposait ses lèvres contre les tiennes. Surpris, pourtant tu la laissais faire. Mais c'était sans attendre sa gifle que tu reçu genre quelques secondes après. Tu ne comptais plus le nombre de gifle que tu venais de recevoir depuis ton retour. « Content que tu ailles bien, ça se voit dans ta façon d'être. » lançais-tu avec un léger sourire moqueur. Ne prenant même pas la peine de répondre à sa question.
(Invité)