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Il devait être quinze heure ou presque lorsque Julius fut tiré de son profond sommeil par son réveil. Ce dernier ouvra ses paupières lentement, essayant tant bien que mal de se comprendre ce qui se passait. Enfin, après que ses tympans aient explosé, il était parvenu à arrêter le réveil en le frappant brutalement. Il referma ses paupières, essayant de replonger dans le pays des rêves. Hélas, il ne put faire cela, même après s'être retourné dans tout les sens. Alors après quelques minutes seulement, le bel homme décida de se lever de son lit, son sanctuaire sacré. Il bailla et se dirigea ensuite vers sa salle de bain, marchant comme un mort vivant qu'on voit dans les films de nos jours. Gyro prit ensuite une bonne douche bien chaude avant de revenir une nouvelle fois dans sa chambre. C'était une journée plutôt banale qui l'attendait, il n'avait absolument rien de prévu, à part cette oeuvre de charité organisée par une cousine à lui qui allait commencer vers dix huit heure. Il avait largement le temps de se préparer, bien. Il ouvra son armoire et prit tout son temps pour décider ce qu'il allait porter. Julius se décida enfin sur un tuxedo noir. Après l'avoir enfilé, il décida d'aller déjeuner dehors, tout près de l'hôtel où l'événement allait avoir lieu. Ainsi, il referma son armoire puis quitta son loft aussitôt. Une fois dehors, le jeune homme sauta dans sa 1967 Impala, un cadeau qui lui a été offert par sa petite soeur. Il mit le contact et appuya sur le champignon pour se rendre le plus vite possible au Vaspiano, son restaurant italien préféré. Son estomac continuait à crier encore et encore en agonie, réclamant qu'on le nourrisse, si bien que Julius regrettait déjà d'avoir dormi presque toute la journée.
Après une bonne vingtaine de minutes, il était enfin arrivé au Vaspiano. Caesar se stationna et descendit de la voiture. D'une démarche lente et assurée, il entra à l'intérieur du restaurant où tout le monde l'avait presque instantanément remarqué. Il avait cette allure irrésistible, cette aura qui intimidait tout malheureux qui osait croiser son regard, son sourire qui faisait fondre les demoiselles qui ne pouvaient le quitter des yeux, envoûtées par son charme. Il déposa son fessier devant une table pour deux et commanda une simple pizza aux quatre fromages. Après seulement quelques minutes, un serveur lui apporta sa commande avec le sourire aux lèvres, ainsi qu'un verre de jus d'orange et il repartit aussitôt. Julius prit tout son temps pour savourer cette délicieuse pizza. Une fois qu'il eut terminé, ce dernier se leva de sa chaise et alla payer le gentil monsieur qui l'attendait, le sourire aux lèvres, avant de quitter le restaurant. Ensuite, il sauta de nouveau dans sa voiture et se dirigea vers l'hôtel, qui était à dix minutes du Vaspiano. Cette fois-ci, son estomac s'était tenu tranquille, tant mieux. Après un petit moment, il était arrivé devant l'hôtel en question, appelé Overlord. Il se stationna dans le parking avant d'y entrer. Il était arrivé à temps vu qu'il était dix huit heure tapante. En entrant dans la salle de fête de l'hôtel, il avait remarqué que tout le monde était déjà là. Dieu merci, personne n'avait remarqué son absence. Mais, il devait faire une apparition rapide auprès de tout le monde, alors, tenant un verre de vin, il parlota un peu avec tout le monde, changeant de cible toutes les deux minutes, jusqu'à ce que ses yeux aperçoivent une charmante demoiselle qui l'envoûta presque. Elle était vêtue d'une magnifique robe et dotée d'une beauté divine. Après l'avoir scanné pendant un moment, Julius se décida enfin et toujours d'une démarche lente et assurée, il s'approcha d'elle jusqu'à ce qu'ils furent séparés par quelques centimètres. Tout en la regardant dans ses beaux yeux, il lui déclara d'une voix douce. "Bonsoir, mademoiselle. Vous vous amusez bien ?"
Après une bonne vingtaine de minutes, il était enfin arrivé au Vaspiano. Caesar se stationna et descendit de la voiture. D'une démarche lente et assurée, il entra à l'intérieur du restaurant où tout le monde l'avait presque instantanément remarqué. Il avait cette allure irrésistible, cette aura qui intimidait tout malheureux qui osait croiser son regard, son sourire qui faisait fondre les demoiselles qui ne pouvaient le quitter des yeux, envoûtées par son charme. Il déposa son fessier devant une table pour deux et commanda une simple pizza aux quatre fromages. Après seulement quelques minutes, un serveur lui apporta sa commande avec le sourire aux lèvres, ainsi qu'un verre de jus d'orange et il repartit aussitôt. Julius prit tout son temps pour savourer cette délicieuse pizza. Une fois qu'il eut terminé, ce dernier se leva de sa chaise et alla payer le gentil monsieur qui l'attendait, le sourire aux lèvres, avant de quitter le restaurant. Ensuite, il sauta de nouveau dans sa voiture et se dirigea vers l'hôtel, qui était à dix minutes du Vaspiano. Cette fois-ci, son estomac s'était tenu tranquille, tant mieux. Après un petit moment, il était arrivé devant l'hôtel en question, appelé Overlord. Il se stationna dans le parking avant d'y entrer. Il était arrivé à temps vu qu'il était dix huit heure tapante. En entrant dans la salle de fête de l'hôtel, il avait remarqué que tout le monde était déjà là. Dieu merci, personne n'avait remarqué son absence. Mais, il devait faire une apparition rapide auprès de tout le monde, alors, tenant un verre de vin, il parlota un peu avec tout le monde, changeant de cible toutes les deux minutes, jusqu'à ce que ses yeux aperçoivent une charmante demoiselle qui l'envoûta presque. Elle était vêtue d'une magnifique robe et dotée d'une beauté divine. Après l'avoir scanné pendant un moment, Julius se décida enfin et toujours d'une démarche lente et assurée, il s'approcha d'elle jusqu'à ce qu'ils furent séparés par quelques centimètres. Tout en la regardant dans ses beaux yeux, il lui déclara d'une voix douce. "Bonsoir, mademoiselle. Vous vous amusez bien ?"
(Invité)
J’avais été gentiment réveillé par Berlioz, mon chien. Je pouvais lire en lui comme dans un livre ouvert, et lui en moi si vous voulez tout savoir. Il savait quand j’étais triste, et il faisait tout pour me remonter le moral, quand je ne voulais pas être dérangé il le savait et il ne venait pas me déranger. Il me connaissait parfaitement, et il était joueur. Tous les chiens le sont, les chiens qui sont bien traité et heureux en tout cas. Mon Berlioz était sur ma figure au petit matin, presque tous les matins, et à chaque il me léchait le visage jusqu’à ce qu’il sante que ça m’agace. Ce matin ne faisait pas exception, il s’était juste mis sur mon visage et n’avait pas arrêté de me lécher. Je commençais ma journée de la meilleure des façons, et j’aurais pu rester comme ça toutes le reste de ma journée si je n’avais pas des plans. Je finissais par me lever, prendre une douche et ensuite mon petit déjeuner. Rien de très gros, un fruit et un café accompagné d’un grand verre d’eau. Je savais que ce soir j’allais à une œuvre de charité, et il y avait bien assez de nourriture là-bas déjà. J’avais pas mal de chose à faire avant de commencer à me préparer, je devais envoyer quelques cartons pour ma sœur en Australie, promener mon chien, ranger un peu l’appartement –parce que personne d’autre dans l’appartement ne va mettre à main à la pâte- et aussi me trouver une robe. Je sais, je m’y prends un peu au dernier moment, mais il était plus difficile que vous ne pourriez le pensez de jongler entre vie privée et vie scolaire. J’ai beau avoir des tas d’heures de libre, le travail que j’ai à Harvard augmente de jour en jour. Alors oui, pour certaine chose comme me trouver une robe, je m’y prends à la dernière minute. Je prenais Berlioz vers 15 heures et allait me promener dans le parc avec lui. Il était tout heureux, tout content, il faisait des choses de son côté, et moi, je discutais avec mes parents. Ils essaient de me convaincre de venir les voir plus souvent en Australie et ne semble pas comprendre que ma vie était aujourd’hui plus à Boston qu’autre chose. Je ne disais pas que je ne les rêverais plus jamais, mais dans l’immédiat je ne comptais pas prendre un avion et m’éclipser en Australie pendant une semaine. Je leur ai promis de venir à Noël par contre, en espérant qu’il s’en contente. Il était 16H30 quand j’arrivais à déposer les cartons de ma sœurs à la poste, une bonne chose de fait. J’avais renoncé à ranger l’appartement et avait décidé de passer le reste de ma journée à faire les magasins. Après deux ou trois boutique, je trouvais une robe rouge bordeaux magnifique que je voulais absolument. J’ai eu un coup de foudre quand je les vu, elle tombait parfaitement sur les hanches et était élégante, je savais déjà quelle coiffure et qu’elle bijoux j’allais mettre rien qu’en la voyant, elle était parfaite. Je me dépêchais de rentrée chez moi et je me préparais pour un évènement que j’espérais inoubliable, à l’hôtel Overlord.