Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityTHOMAS - Le secret de la réussite réside dans la simplicité!
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THOMAS - Le secret de la réussite réside dans la simplicité!

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Revenir après plusieurs mois sans nouvelles, revenir dans cette ville ou tout à commencé. Qui aurait cru que tu en serais capable ? Pourtant tu es bien là, la tête haute, la barbe légèrement plus poussée que la dernière fois. Une chemise en jean avec les manches retroussées, un jean plutôt badasse. Des simples chaussures, une coiffure à l'arrache, une clope entre tes lèvres. Tu regardais ton téléphone, regardant impatiemment l'heure. Tu n'étais pas patient, tu n'avais pas gagné ça malgré ta cure. Les déménageurs étaient censés arriver pour amener les derniers meubles, et c'est seulement une fois que tu avais terminé ta clope qu'ils venaient se garer devant toi. Énervé, tu levais les yeux au ciel et au final, tu leur payais un café histoire de bien commencer la journée. Une fois tout ça, terminé, tu commençais en leur compagnie à monter les dernières meubles, heureusement qu'il y avait un ascenseur. Et après deux heures d'efforts, tu étais enfin tranquille dans ton chez toi. Autant continuer dans ce sens, tu enlevais tes vêtements pour revêtir une tenue de sport, ton casque sur les oreilles et tu descendais courir pendant un moment. Il n'y avait que ça de vrai, que ça qui pouvait te détendre. Repensant encore aux réactions des personnes qui allaient te retrouver dans peu de temps. A ton ancienne famille : Les mather. Tu ne pouvais plus continuer comme ça, tu n'aurais jamais pu rester vivant si tu n'aurais pas fait cette cure. Tu aurais certainement été retrouvé mort dans un ravin. Tu évacuais toutes ces mauvaises pensées, tu reprenais le chemin de ton loft. Tu avais couru pratiquement une heure et il était temps que tu déballes tes derniers cartons pour retourner en cours. Limite la boule au ventre, qu'allait penser tes amis ? Tu prenais une douche, changeant de vêtement. Tu faisais couler un café et tu lançais la musique dans le salon, posant un carton sur la table, commençant à le déballer. Totalement motivé, il ne t'en restait plus qu'une vingtaine.
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LE SECRET DE LA RÉUSSITE RÉSIDE DANS LA SIMPLICITÉ
timoteï et thomas.
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Le bruit du ballon et de couinements de chaussure se faisaient entendre dans le gymnase. Il faut dire que l’entraînement battait de son plein, tout le monde se donnait à fond et cela faisait du bien de s’occuper de cette manière. Après plus de deux heures d’entraînement, on finit par se reposer sur un banc. J’attrape mon téléphone pour regarder l’heure qu’il était et il fallait que je bouge maintenant si je voulais aller aider Titi à défaire ses cartons, meilleur ami au cœur tendre oblige. Je tape dans les mains de mes coéquipiers avant de partir dans les vestiaires pour prendre une bonne douche. J’avais tendance à me mettre à chantonné durant ce cours moment de plaisir, une strophe sur la mather house me vient en tête :  La mather house est dans la place. Quoi qu’il se passe ! Ils sont beaux, ils ont la classe ! Aucun d’eux ne se remplace ! Mather House kiss my ass ! C’est sûrement l’adrénaline qui me donne cette envie de chanter comme cela, mais j’étais seul après tout. Je m’habille rapidement une fois sec et partit en direction de mon quartier où se trouvait l’appartement de mon bro’. J’arrive rapidement après avoir couru un peu parce que j’étais en retard comme toujours vous allez me dire. Je toque à la porte une fois devant celle-ci et entre comme une fleur, déposant mon sac de sport au coin de la porte et retire mes shoes. Hey titi ! Sorry pour le retard ! dis-je en lui faisant des yeux doux parce qu’il fallait que je le charme  pour ne pas qu’il m’en veuille… Ben oui, je l’ai pas aidé à monter les meubles, c’est mal venant d’un bestfriend forever ! Oui, oui on se l’est promis. Je pris à mon tour un carton et commence à l’ouvrir tout en levant les yeux vers lui. Ca va aujourd’hui ? Ben oui, toujours prendre soin de son titi, il est vachement utile.
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Et dire que tu détestais tes parents, que tu ne voulais plus les voir auparavant. Que tu disais que ta vie n'était qu'une merde sans fin. La mort de ta petite amie et ta descente aux enfers, tes engueulades à répétition avec Grace et Alexys. Tu n'as jamais vraiment bien pris soin de toi, tu n'as jamais fait ce qu'il fallait pour que tu sois heureux. Et aujourd'hui ou plutôt depuis quelques jours, tu avais décidé de tout changer. De reprendre ta vie en main, de finir tes études, de reprendre l'entreprise à ton père et vivre ta vie. Fini les déceptions, les joints, les rails, les piqûres et tout le reste. Ce n'était plus ton monde, certes tu pouvais profiter des soirées, mais tu n'étais plus dans le trip de la drogue. Tu en as tellement chié pour t'en sortir, ce n'était pas pour replonger dedans tête baissée. Trop de pensée négative prenaient possession de toi, et le seul moyen que tu avais trouvé était de courir un coup. Ensuite peut-être que ton Bro allait bouger son cul jusqu'à chez toi pour t'aider à tout déballer. Tu avais lancé la musique, tu buvais ton café tout en sortant les nombreux verres de ce carton. Tu savais que tu n'allais pas pouvoir éviter éternellement l'université et que demain, tu serais dans l'obligation d'y retourner et faire ton come back. Tu t'en fou du regard des autres, tu crains juste des amis que tu as lâché du jour au lendemain sans donner une seule nouvelle. Tu n'avais supprimé aucun message sur ton portable et tu voyais encore ceux d'Alexys. Elle t'avait blessé, mais pas autant que toi. Tu les relisais les uns après les autres. Laissant même tomber ton téléphone sur la table pour reporter ton attention sur ton pote qui débarquait. Un léger sourire sur les lèvres, tu baissais le son de la chaîne. « Hey. A vrai dire ça ne m'étonne même plus de toi. » lançais-tu avec une pointe de moquerie. Il était un peu comme toi, rarement à l'heure et ce n'était pas seulement pour ça que le courant passait si bien avec lui. Sans plus attendre, il attaquait un carton, pas le plus petit. « Ben écoute, j'me prépare psychologiquement pour demain et toi ? » ton petit cœur s'emballe parfois un peu trop et t'a un peu peur de perdre tes moyens.
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timoteï et thomas.
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Je savais que Titi n’était pas dans une situation facile, il s’était barré comme un voleur et avait une réputation de merde à cause de la drogue et tout ce qui tourne autour de cela. Ces relations n’ont jamais été très posé à part avec sa défunte petite-amie, la vie est ainsi mais il s’était mis en tête de changer et de devenir quelqu’un de bien. Je sais qu’il en a chier durant sa cure de désintoxication, je venais le voir assez souvent pour le savoir. Je pense honnêtement être capable de tuer celui ou celle qui oserait s’en prendre à lui, qui oserait le faire retomber dans cette merde. Maintenant, j’étais bien décidé à être un vrai soutient pour lui et le faire passer avant tout le monde. On se connaît depuis qu’on est gamin, je ne peux pas le laisser de côté une nouvelle fois. Bon, j’aurais pu être là plus tôt pour l’aider à monter les meubles mais en tant que co-capitaine de l’équipe de basket, il fallait que je bouge mon cul et me montrer présent à l’entraînement. J’avais fait mon possible pour arriver un peu près à l’heure mais ce n’était pas gagné. Il parlait mais il était aussi en retard que moi d’habitude, on n’est pas ami avec des gens qui ne te ressemble pas un minimum. Dis celui qui a toujours cinq jours de retard. dis-je avec un sourire au coin moqueur. Je décide tout de même de commencer à débarrasser à mon tour, je pris le premier carton qui n’était pas un poil plume. En l’ouvrant je découvris les assiettes, les poêles enfin ce genre de chose qui permettait de cuisiner. Genre titi, t’essayes de devenir un cuisto ou quoi ? dis-je avec un sourire, tout en retirant les assiettes une par une. Je me doutais que l’ancien mather stressait à l’idée de retourner à l’université. Il allait être regardé par tout le monde mais il était plus fort qu’il le pensait. J’étais sûr que tout allait bien se passer. Je serais là don’t worry … Ne te préoccupe pas trop de ce que les autres disent, j’ai bien revu la plus part de mes ex … Ben oui, il ne faut pas croire que tout le monde m’attendait à Harvard … Nan et surtout que j’étais grave dans la merde maintenant avec Keyla.
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Tu bois tranquillement ton café, t'asseyant sur une chaise haute déballant tranquillement ton carton de verre. A croire que tes parents pensaient que tu allais inviter du monde chez toi. Tu les place les un à côté des autres, tu avais un peu de tout. Flûtes, verre sur pieds, verre simple, coloré ou non. Tu te demande bien ou tu vas foutres toutes ces merdes. Tu regardes les différents meubles et au final tu sens que tu vas devoir en ramener chez tes parents. Tu continue ton boulot, car après tout ça, une petite bouffe ou un truc comme ça, tu ne dis pas non. Tu rigoles légèrement en entendant les propos de ton ami. Il n'avait pas tord, et tu hausses doucement les épaules. « J'changerais certainement jamais. » enfin sur certains point, la preuve tu avais déjà fait des énormes progrès et tu comptais bien continuer sur ce chemin. Tu te lèves pour les glisser dans ton vaisselier. Les empilant les un sur les autres, histoire de gagner de la place. Tu regardes les poêles qu'il sort, une, deux, trois et au final ça n'en finit pas. Tu déteste ta mère, tu ne fera jamais à bouffer pour quatre mille personne, pas besoin d'autant de chose. Surtout que tu n'as jamais réellement fait à manger. « Vas-y j'vais être exemplaire. J'te fais à manger après. » à part faire cuire de la viande et faire du riz, pâte et tout le reste, tu ne savais pas faire grand chose. Mais au moins, tu ne seras jamais en manque de matériel. « Moque toi, moque toi. J'ai pas de femme pour me faire à manger, moi ! » soufflais-tu sur un ton taquin. Tu poses un regard sérieux sur lui, c'est vrai qu'il était le seul en ce moment même qui t’appréciait encore. Il était le seul à qui tu donnais encore des nouvelles, le seul que tu t'autorisais à voir pendant ta cure. Il était le seul au courant de ta situation, là ou tu habitais, ce que tu étais devenu... Tu baissais un instant la tête « Des fois j'me demande si j'ai pris la bonne décision. » lançais-tu rapidement.
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Nan, en effet tu ne vas jamais changer. dis-je avec un sourire au coin. Je ne voulais pas spécialement qui change son côté de sa personnalité, autant dire qu’un Titi à l’heure, ce n’est pas un Titi. Je déballais les assiettes tranquillement, et je peux vous dire qu’il en avait… Il a pas besoin de faire la vaisselle pendant plus d’une semaine j’en suis persuadé. Cela me surprenait mais au moins je saurais où venir quand il n’y aura plus d’assiettes chez moi… Ben oui, avec les deux maladroites que je me tape comme colocataire, je peux vous dire que dans deux semaines je n’ai plus aucune assiette. Je failli mourir étouffer quand mon Titi me dit qu’il allait me faire à manger après … Je le fixe pendant quelques minutes clignant des yeux plusieurs fois comme si je rêvais. Tu sais faire à manger toi ?! dis-je avant de me mettre à rire comme un con. J’espérais car sinon il allait finir par mourir de faim… ou obèse. J’arque un sourcil quand il me parle de femme qui fait à manger, parce qu’il pense que mes femmes –soit mes colocataires savent faire à manger ? Alors là, laissez-moi rire, elles savent même pas faire des pates… Si tu parles de mes colocs mec… Tu es un chef étoilé à côté d’elles. dis-je le plus sérieusement possible… Le pire c’est que j’étais sérieux ! Je savais que mon petit minou avait peur de retourner à l’université et je peux le comprendre d’un côté. Mais il doit faire face, il est là pour avoir son diplôme, pas pour s’intéresser à ces voisins tous plus cons les uns que les autres. Laisse tomber Titi, tu as bien fait d’être revenu cela montre ta motivation. Tu peux avoir la tête haut car tu t’en es sorti toi ! dis-je en lui donnant une petite tape dans le dos. Je mis les assiettes dans le lave-vaisselle pour les relaver parce que voilà autant que cela soit propre avant de manger.
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« Tu ne me reconnaîtrais même pas si j'serais à l'heure. » lançais-tu avec un léger sourire. Ce n'était pas faux, mais trop de changement, tue le changement. Déjà devenir totalement clean pour tout ce qui était drogue, c'était déjà énorme. Que tu reprenais tes études correctement, travaillant un minimum, encore un autre. Plus d'engueulade, plus de dispute avec tes parents, encore un bon point. Bref, ton regard se posait sur Thotho, plus que sérieux. Tu croisais les bras sur ton torse, attends genre il te croit pas que tu sais faire à manger ? Il arrive même à te vexer, bordel. Tu boudes, oui tel un gosse alors qu'au final tu as quand même vingt-six piges quoi. « Non mais t'es sérieux ? J'vais pas manger que des converses dans ma vie steuplait » tu fronces les sourcils et tu retournes à ton poste. « C'est sur que là j'vais mettre de la mort au rat dans ta bouffe ! » soufflais-tu comme une vipère, froid et sec à la fois. Tu rigolais, du moins à moitié, gardant toujours ton plus grand sérieux. Tu laisses un sourire s'étirer sur tes lèvres, posant ton regard sur l'horloge. Bordel, il était déjà cette heure, ton ventre commençait à crier famine. « Mec, j'ai la dalle. Tu fais à manger ? » tu te moquais bien de lui, il te cherchait, il te trouvait. Tu partais alors dans la cuisine, fouillant dans tes placards. Tu sortais des pâtes, ça ira pour lui comme pour toi. Il n'avait pas à faire son difficile après tout. Tu faisais chauffer de l'eau, sortant de la viande du congélateur. « C'est sûr. Mais j'ai pas tellement envie de retomber là-dedans et pourtant tout mes potes sont là-dedans. Donc j'chui un peu à l'écart, le vieux et tout le bordel qui ne veut plus s'amuser. » tu le regard un instant et tu commences à te détendre, heureusement qu'il était là.
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timoteï et thomas.
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Pour ne pas le reconnaître, je ne le reconnaîtrais pas c’est sûr et certain. Je pourrais même penser qu’il ait un jumeau que je n’aurais jamais vu… Nan, de toute façon ça ne risque pas d’arriver donc il n’y a aucun problème. J’ai failli mourir étouffé quand il me dit qu’il allait me faire à manger, comme si il allait vraiment me faire à manger… D’ailleurs savait-il au moins faire à manger. A en croire ces dires, il ne mangeait pas que des boîtes de conserves, donc cela veux dire qu’il sait tout de même faire des conserves. Nan mais je ne sais pas moi ! J’ai jamais été en colocation avec ta personne mon chaton. Généralement quand on se voit, on bouffe pizza enfin ce genre de chose. J’ouvre la bouche choquée qu’il ose même penser mettre de la mort aux rats dans ma bouffe. Naaaan, t’oserais même pas ! Sans moi tu te sentirais grave seul ! Bien sûr que j’y croyais, il allait se faire chier sans son meilleur ami, j’en met ma main à coupé. Le ventre de monsieur criait famine et il faut dire que vu l’heure qu’il était c’était normal. J’avoue que j’avais également la dalle parce que l’entraînement ça creuse plus qu’on le pense. Puis, il voulait que ce soit moi qui fasse à manger maintenant ? A croire que non vu qu’il était en train de faire cuire des pates. Nan mais laisse titi, je vais faire des spaghettis à la bolognaise. Bouge tes grosses fesses. dis-je avec un sourire au coin. Je sortis deux steaks hachés que je laisse décongelé un peu en attendant que l’eau boue. Je m’occupais de laver deux assiettes, quatre couverts et deux verres pendant qu’il m’explique qu’il a peur de retomber là-dedans et qu’il va être vu comme le vieux qui ne sait plus s’amuser. Je lève les yeux au ciel avant de secouer la tête. Vaux mieux que tu sois vu comme un vieux vivant qu’un vieux mort mon gars ! Je fais peut-être la fête mais la drogue je n’y touche pas, j’ai déjà failli y rester et on va dire que cela m’a suffit. Je viens finalement à m’occuper de la viande après avoir mis les spaghettis à cuire. J’étais un vrai petit cuistot, vous croyez quoi.
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On dirait deux gosses, deux gosses en train de se chamailler en permanence. Et à vrai dire c'était un peu ce qu'il se passait, toujours en train de se lancer des pics en pleines poires. Tu l'aimes, tu l'apprécies énormément et il sera certainement le seul meilleur pote ou limite frère que tu pourrais laisser sans nouvelle. En même temps, tu savais que si un jour tu avais le malheur de faire ça, il te chercherait jusqu'à ce qu'il te retrouve. Tu ferais de même, car au final tu ne serais pas ici en ce moment s'il n'avait pas été là pour te soutenir. Il était un peu tout ta vie maintenant, une personne sur qui tu pouvais compter, sur qui tu pouvais parfois te relâcher. Même si plusieurs personnes croient ça, il n'y a jamais eu de l'amour entre les deux, juste une forte amitié, que très peu peuvent comprendre. « Un jour tu en auras marre de tes colocataires et tu vas venir habiter ici. » lançais-tu en rigolant. Tu savais que ce n'était pas tous les jours rose quand tu habitais avec des femmes. Tu l'avais fait avec Grace et au début c'était plutôt un carnage, une guerre qui ne s'en finissait jamais. Des fringues à gauche et à droite, des joints et des bouteilles un peu partout. Enfin bref, jamais tu voudrais revivre ça, maintenant que tu prenais soin de toi et de tout ce qu'il y avait autour de toi. « J'dis pas le contraire, j'te laisserais dans le congel comme ça pas de décomposition et tu seras vers moi. » oui tu es sadique, même dégueulasse, mais il sait parfaitement que tu rigoles. Tu n'oserais pas, ça serait bien trop dur et pi voilà, même si tu le cherches, tu l'aimes ton Thom. Il t'achève en permanence, te bourre d'un cul pour te prendre la place à la cuisine. Tu rigoles, tu peux vraiment pas te retenir, tu prends alors de quoi mettre la table. Au moins, ça tu savais faire. Deux assiettes, les couverts, les verres, rien de bien compliqué. Tu poussais un peu les cartons, et tu regardais dans le placard ce qui traînait « Tu veux quoi à boire ? » lançais-tu avec un léger sourire. Tu poses tes mains sur tes fesses « D'puis quand j'ai un gros cul ? » tu laissais ta bouche ouverte comme si tu allais gober des mouches, bordel qu'est-ce que tu aimais ton cul plat. Bien musclé par le sport que tu faisais. « Sois pas jaloux d'mon cul toi. » Il n'avait pas tord, c'était mieux d'être vivant que de se retrouver dans une tombe. Tu haussais les épaules et ton regard se posait enfin sur Thomas « Tu n'as pas tord et c'est pas comme si j'avais arrêté l'alcool. » un sourire malicieux, une idée te traverse la tête. Tu sors plusieurs bouteilles, vodka, get, malibu, rhum …
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Titi et Gros Minet, j’étais bien sûr le Gros Minet. On se courrait toujours après en se tapant dessus mais sans lui, je ne serais sans doute pas le Thomas qu’on connaît aujourd’hui. Well, il n’avait pas tord peut-être qu’un jour j’allais finir par venir m’installer ici à force de vivre sous le contrôle de deux folles. C’est fort possible qu’un jour, je vienne avec ma valise demandant l’asile politique. dis-je en secouant la tête. Elles allaient me rendre folles et j’en avais totalement conscience et c’était bien cela le pire. Genre t’es prêt à me foutre dans un congélot après m’avoir tué juste pour dire que je suis avec toi ?! T’es pire qu’un psychopathe. dis-je en secouant la tête doucement. Je finis par voir qu’il était temps de bouffer et je ne préférais pas le laisser faire à manger en sachant qu’il est prêt à foutre de la mort au rat dans ma bouffe. Je le pousse d’un coup de cul pour prendre sa place de cuisto. Eh bien, ce que tu as… J’imagine qu’on va éviter l’alcool alors partons pour un soda. dis-je alors que je m’occupais de la viande. Des pates à la bolognaise maison, il n’y a que cela de vrai. T’as toujours eu un gros cul, mais je n’ai pas dis qu’il était laid. Je suis pas jaloux, j’ai le même que toi après tout. dis-je avec un sourire au coin moqueur. Un cul est un cul après tout. Il n’avait pas arrêté l’alcool, c’était impossible pour lui en fait. Quand je le vis sortir toutes les bouteilles je compris rapidement ce qu’il voulait dire. On se la met bien c’est ça ? dis-je en arquant un sourcil. Ce mec me connaissait que trop bien maintenant, cela en faisait même parfois peur.
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