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Cleavon Lontrell Brownhill fiche; Finished C'est le 2/10/1970 à Cleveland dans l'Ohio, que la famille Brownill m'ont accueilli(e) dans leurs bras, ils m'ont prénommé(e) Cleavon Lontrell. Je suis marié et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis hétérosexuel et j'en suis fier(e). Je viens d'une classe sociale moyenne. J'ai décidé de participer au Summer Camp organisé par Harvard pendant l'été.je travaille en tant que Professeur de Droit depuis une quinzaine d'années. Et pour terminer, je voudrais intégrer les citizens. |
Études Comme vous pouvez vous en douter, j'ai fait des études de Droit à Yale dans le Connecticut. Là-bas, l'emploi du temps était plutôt chargé, c'était le moins que l'on pouvait dire. Cours de Droit public, Apprentissage des Institutions Internationales, Initiation à l'Economie, Cours de Droit Constitutionnel et j'en passe. Yale était l'une des plus grandes Universités de toute l'Amérique et reconnue dans le monde entier. Elle avait donc un certain nombre d'exigences. Ce n'était pas chose facile d'autant plus que je n'avais jamais fait de Droit. C'était donc un peu suicidaire de ma part de m'inscrire en licence de Droit. Mais avec beaucoup de hargne, j'ai fini par obtenir des résultats convaincants après des débuts difficiles. Elève, j'étais plutôt le garçon studieux, qui se dépassait toujours pour atteindre son but. Je travaillais énormément car je considérais que j'avais un certain retard à rattraper et que si je voulais me faire une place parmi les plus grands, je devais donner tout ce que j'avais. Si je n'étais pas en train de faire mes devoirs, j'avais le nez fourré dans un livre à la Grande Bibliothèque. J'étais aussi très impliqué dans la vie étudiante. J'ai d'abord intégré une fraternité, intégré des clubs visant à sensibiliser les étudiants à la politique, à la nature et au respect des autres. J'ai également été président de confrérie ce qui n'est, bien sûr, pas négligeable du tout. J'ai fini par obtenir mon diplôme de Yale. J'ai alors enseigné dans un premier temps dans des lycées plutôt défavorisés. J'ai travaillé avec des élèves ayant des difficultés socialement et moralement. J'ai aussi travaillé avec des handicapés. Je voulais être un exemple pour les autres en tant qu'homme mais aussi en tant qu'Afro-Américain. Je voulais montrer qu'on pouvait réussir et être "black" même si je trouve ce principe de division ethnique un peu stupide. Par la suite, j'ai enseigné dans des Universités et j'ai fini par enseigner à Harvard. | Caractère Ouvert d'esprit ♦ La première chose que l'on remarque chez moi, c'est mon ouverture d'esprit. Je suis quelqu'un qui ne s'arrête pas aux apparences. Je vais bien au-delà des apparences. Je ne juge qu'après connaître la personne et non avant. Vous verrez d'ailleurs dans mon cercle d'amis que l'on trouve de tout. Tout est pour moi une question de feeling. Le respect les uns des autres est un principe qui me tient beaucoup à coeur. J'accepte beaucoup de défauts mais pas le manque de respect. Il est pour moi fondamental surtout envers des personnes inconnues ou plus âgés. Je ne suis pas du genre à me moquer d'une certaine personne pour son style vestimentaire. Il peut m'arriver de taquiner mais pas de me moquer. Je suis aussi quelqu'un d'avenant, d'accueillant. Je vous accueillerai à bras ouvert si je n'ai aucune raison de me méfier. J'ai certains principes comme celui de vivre ensemble, tous, comme des frères, comme une grande famille. Un peu idéaliste? Peut-être. Modeste ♦ Vous allez me dire je n'ai pas de quoi me vanter? Non? Ah bon, je croyais! Je suis quelqu'un d'humble. Quant j'ai fait une bonne action ou que j'ai réussi quelque part, je préfère le garder pour moi plutôt que de le crier sur tous les toits. J'ai d'ailleurs horreur des vantards ou de ceux qui se croient supérieurs aux autres. C'est dégoûtant et ils ne sont pas dignes d'intérêt pour moi ces gens-là. Je préfère les ignorer plutôt que de leur accorder une importance quelconque. Leur répondre serait leur accorder de l'importance. Or, rien n'est pire que l'indifférence. Calme, posé ♦ Je suis quelqu'un de relativement calme. Je veux dire, il m'arrive d'avoir des moments où je pars dans des délires que seul moi comprend, ou bien que je devienne soudainement excité mais j'ai également des moments où j'aime avoir une certaine tranquillité, une certaine indépendance. J'aime parfois me retrouver seul. Je ne suis pas un solitaire mais j'aime qu'on me laisse respirer, et vivre en toute tranquillité. Simple ♦ Outre mes allures de Professeur cool, je reste un gars simple. Mon bonheur se fait de petites choses simples: être seul chez moi, un bouquin à la main , sur la terrasse; sur le fauteuil, tassé avec ma femme. Je n'accorde pas d'importance aux choses chères, de très grande valeurs car moi il y'a des choses dans la vie qui n'ont tout simplement pas de prix. Fêtard ♦ J'ai beau être professeur, il n'empêche que je suis un amoureux de la fête. Je suis toujours là quand il s'agit de mettre l'ambiance, de se déhancher sur du Michael Jackson. Je suis même capable de danser sur du classique, c'est pour dire! Très souvent, mes danses sont ridicules mais je m'en fiche. Le but est de s'amuser. Le reste... Pitre ♦ Je suis un vrai guignol. J'aime bien amuser la galerie de temps en temps, faire le pitre quitte à me ridiculiser. J'aime beaucoup l'humour et si je peux redonner le sourire aux gens, alors je n'hésite pas une seconde! Têtu ♦ Je suis une vraie tête de mule. Les autres ont beau me déconseiller quelque chose ou me le conseiller d'ailleurs, je n'en fais qu'à ma tête. J'ai l'impression qu'en suivant les conseils des autres, je perds mon indépendance, ma liberté en quelque sorte. Je prends parfois des décisions un peu arbitraires ou inappropriées parce que je n'ai pas suivi ce qu'on me disait. Cela me retombe parfois dessus mais je continue à en faire qu'à ma tête. Séducteur ♦ J'aime bien séduire les femmes. C'est vraiment un jeu pour moi. Et, je suis extrêmement joueur à un point que vous ne pouvez même pas imaginer. Je séduis parfois sans vraiment avoir un but précis. Je séduis parce qu'une fille me plait. Je fais des blagues, laisse des sous-entendus bien suggestifs et observe la réaction. Bien sûr, mes opérations séductions ne vont pas plus loin car je suis marié et je tiens (malgré les apparences) à ma femme. On aime qu'une femme dans sa vie... Beau parleur ♦ Je suis un beau manipulateur. De par mon charisme, j'arrive à retourner le cerveau de n'importe qui. Je suis très intelligent et rusé. J'arrive à amadouer les gens, hommes comme femmes, pour atteindre un but précis. Parfois j'utilise l'humour et parfois je joue sur les sentiments, sur ce à quoi les gens tiennent le plus. Je suis aussi beau parleur quand il s'agit de tenir des promesses que je ne tiens pas toujours. J'avoue, je manque parfois à mes promesses ce qui agace un peu (beaucoup) ma femme. Franc et spontané♦ J'aime la franchise. Si j'ai envie de dire quelque chose, je le dis sans hésiter et finalement peu importe les conséquences que ça peut engendrer. Je ne suis pas toujours du genre à garder les choses pour moi-même ou si je les garde c'est pour un petit laps de temps.Ma franchise peut parfois se confondre avec de la maladresse. Il y'a des choses trop abruptes, qu'il ne vaut mieux pas dire mais que je vais dire quand même. En fait, je ne réfléchis pas toujours avant d'agir. Je fonce un peu tête baissée. Je sais que j'ai tort d'agir ainsi mais je continue encore et encore d'agir de la sorte. Menteur ♦ Je n'ai pas toujours été honnête. Je mens peut-être un peu trop facilement et pour des choses aussi bêtes les unes que les autres. Je vais par exemple mentir lorsque ma femme me demandera qui a cassé sa vaisselle soit disant mignonne en porcelaine en prétendant que c'est sa mère lorsqu'elle est venue nous rendre visite pour éviter de m'attirer des ennuis. Avec le temps, je suis devenu un bon menteur et il est assez difficile de remarquer que je mens ou non. Oui, je suis devenu un très bon comédien. Romantique ♦ J'aime le romantisme pur. Les dîners en chandelle, les bains moussants entourés de bougies, les ballades près d'un lac, les bouquets de fleur déposés délicatement sur la table de nuit, les câlins sous la couette, bref, ça se passera de détails. Je sais me montrer romantique sans trop exagérer non plus. Je ne vais pas apprendre l'italien tout ça pour glisser des mots doux comme le miel aux oreilles de ma femme. Je n'en fais pas trop mais je fais ce que je juge assez. Après, je sais ce qui plait à ma femme et ce qui ne lui plait pas. C'est ça aussi se montrer romantique: c'est montrer que l'on connaît sa conjointe. Charismatique ♦ J'arrive non seulement à captiver, à séduire ceux avec qui je parle mais j'arrive également à m'imposer, me montrer autoritaire. J'arrive très vite à restaurer l'ordre dans une salle, à faire taire tout le monde, à effrayer les plus résistants (oui car j'aime aussi martyriser mes élèves de temps en temps) et à me faire respecter. En cours, on ne me prend pas pour son camarade de classe. En dehors, c'est une autre affaire... Protecteur ♦ J'ai tendance à vouloir protéger les gens qui me sont proches. Je les surveille, veille sur eux, un peu comme un ange gardien. Mais bon, je suis parfois un peu trop sur le dos de mes proches qui me laissent sous-entendre que je ne les laisse pas assez respirer. C'est plus fort que moi. Je suis protecteur dans n'importe quel genre de situation: ça peut être glisser mon bras autour des épaules de ma femme ou encore harceler mes neveux de textos quand ils sortent et qu'ils sont placés sous ma garde. Sensible ♦ Sous mes airs de gros dur, je suis un mec très sensible. Je suis sensible à beaucoup de choses. Je ne supporte pas voir une femme pleurer par exemple. Je suis sensible à des sujets qui me tiennent à coeur comme le respect des cultures, la malnutrition, l'injustice, le racisme, la discrimination sous toutes ses formes ou encore le respect de la nature. Mais n'allez pas croire que je vais pleurer devant un film à l'eau de rose. Il faudra déjà me passer sur le corps pour que j'en regarde un.... Sympathique ♦ En général dès qu'on me voit, on se dit "celui-là, il a l'air bien sympathique". En fait, sans vouloir me vanter, c'est quelque chose de naturel chez moi. Je veux dire, je me lève pas un matin et me dis "Tiens aujourd'hui j'ai envie d'être sympa avec les gens". Je souris, j'accueille à bras ouverts, j'encourage, je motive, j'aide les gens dans le besoin. C'est dans ma nature et ce sont des principes que j'ai toujours eu. On ne devient pas sympathique. On l'est ou on ne l'est pas. Jaloux ♦ C'est peut-être un de mes plus gros défauts. Je suis jaloux que dans un contexte de relation amoureuse. Je ne vais pas être jaloux parce que telle personne a quelque chose que moi je n'ai pas. Par contre, dès que ça touche à ma femme, je sors les crocs. Ce n'est pas de ma femme que je me méfie mais des autres hommes. Là, seuls les hommes peuvent me comprendre...C'est l'attachement que j'éprouve à ma femme qui fait que je sois comme ça. Bien sûr, je ne suis pas un "addict". J'ai d'ailleurs horreur des femmes qui collent trop. Mais je m'y suis attaché et c'est, désolé du terme maladroit, "mon territoire". Ma jalousie est en fait maladive et ma femme me le reproche très souvent. C'est en fait source de conflit... Dépressif ♦ Non, je sais ce que vous imaginez et non je ne me drogue pas aux médicaments ou à quoi que ce soit d'autre. Mon côté dépressif s'est en fait révélé au grand jour peu de temps après mon divorce. Je me suis marié à 25 ans avec une certaine Monisha. Mais Monisha m'a trompé, je l'ai découvert après trois ans de mariage. On se disputait souvent mais je n'ai jamais su pour quelle raison elle m'avait trompé. Bref, quand j'ai appris la nouvelle, je l'ai viré de chez moi et j'ai demandé le divorce. Elle ne m'a pas retenu. Peu de temps après, j'ai sombré dans l'alcoolisme. Au début, c'était deux voire trois bouteilles de bière. Puis, avec le temps, la situation s'est aggravée. Ma mère se faisait tellement du soucis. Pendant quelques mois, je suis resté chez moi à boire comme un trou pour oublier. Oui, je voulais oublier. Et, quand j'ai remonté la pente grâce à celle qui allait devenir ma future femme, j'ai essayé de reprendre mon poste de professeur que je n'avais pas assuré. Ils ont longtemps hésité mais ont finalement cédé. Il me reste encore quelques séquelles de cette rude période. Je bois encore de temps en temps mais avec modération. |
Everyone Has Their Own Story
C'est un 2 octobre 1970 que je suis né à Cleveland dans l'Ohio. J'étais alors le troisième fils des Brownhill. Il y'avait eu avant moi Byron, Terrell, et Jebron. J'ai également deux petites soeurs: Laneice et Promise. Ma famille et moi avons grandi dans une grande ferme. Nourrir les poules, traire les vaches, courir dans les champs était notre quotidien. Mon père était un fermier Afro-Américain d'ascendance haïtienne et ma mère une afro-américaine d'ascendance dominicaine. Nous vivions donc tous les huit ensemble dans cette grande ferme. J'ai en fait passé la majeure partie de mon enfance dans l'Ohio. Le cadre me convenait bien. A l'école, j'étais un élève brillant mais pas toujours exemplaire. Je faisais un peu le pitre, j'amusais la galerie. Des punitions, j'en avais eu et ça ne m'avait jamais réellement servi de leçon. Ma maîtresse s'acharnait sur moi et était à l'affût de tout. Mais, je sais qu'au fond, elle m'aimait bien. J'étais un petit chenapan attachant on va dire. Toujours là à faire les quatre cents coups aussi bien à l'école qu'à l'extérieur. Faut dire que j'étais bien entouré avec mes trois grands frères qui étaient de bons farceurs. Nous étions les quatre garçons plein de malice. Mes petites soeurs, en revanche, étaient toutes sages.
Mon père était un homme un peu strict et exigeant. Quant je commençais à grandir, il a voulu m'envoyer travailler en ville au lieu d'aller à l'école. Heureusement, ma mère était souvent là pour lui rappeler qu'on était plus en 1950 et que je devais aller à l'école. Aller à l'école n'était pas un luxe réservé à une élite mais bel et bien obligatoire. Je suis donc allé à l'école au plus grand regret de mon père. Il avait réussi à faire abandonner mes grands-frères mais pas moi. J'étais l'exception. J'avais l'impression aussi d'avoir marqué une nouvelle ère étant donné qu'il laissa également mes petites soeurs aller en cours sans broncher.
On me surnommait "Tom Sawyer" au collège. J'avais beau prendre des coups de bâtons sur la nuque ou sur les doigts, j'étais toujours aussi chenapan. Je divertissais les élèves et agaçais les professeurs les plus strictes. Je leur avais donné du fil à retordre et j'étais d'ailleurs étonné que je n'aie pas été viré de mon collège pour mon comportement. Peut-être qu'au fond, ils aimaient les chenapans comme moi? Aucune idée. Bon, je n'étais pas non plus une catastrophe et puis mes résultats restaient honorables. C'était peut-être ce qui jouait en ma faveur. Mes parents étaient plus ou moins fier de moi. Disons qu'ils étaient fier du fils qui ramenait de bonnes notes mais pas de celui qui perturbait la classe. Dès mon enfance, j'avais réussi à m'imposer, à me montrer charismatique. Je séduisais les gens par mes paroles, les amadouais pour m'éviter des ennuis. La ruse était le mot roi. Souvent, je m'en sortais plutôt bien. Mais, avec le temps, les professeurs ont vite repéré mon jeu. On ne gagne pas à tous les coups, si?
Après être diplômé d'un très bon lycée, j'ai fini par étudier dans une grande université, l'une des plus grandes au monde: Yale. Avec Harvard et Berkeley, elles étaient les universités les plus prestigieuses de toute l'Amérique. Mes parents n'étant pas forcément riches, j'avais réussi à obtenir une bourse ce qui n'était pas chose facile.Là-bas, j'y ai étudié le Droit. C'était assez dur d'autant plus que je n'avais pas fait de Droit. J'ai donc travaillé dur, passé des nuits blanches pour comprendre quelque chose à mon cours. J'avais l'impression que c'était du japonais pour moi. Des mots tellement compliqués qu'il fallait retenir, des notions incompréhensibles qui me décourageaient. Mais il me fallait de la motivation. Je me suis donc donné à fond pour réussir et mes efforts ont fini par payer. Je ne voulais pas seulement réussir. Je voulais surtout me faire une place, m'imposer. Je me suis donc cultivé pendant longtemps et travaillé à fond mes cours. Je m'impliquais avec beaucoup de sérieux aussi bien dans mes études que la vie étudiante. Je participais à certains concours, intégrais certains clubs. Tenez, j'ai même été président de confrérie durant deux ans. Epatant, hein?
Après des résultats acceptables (il était bien dur d'avoir la moyenne à Yale), j'ai fini par passer un concours pour devenir Professeur, concours que j'ai eu haut les mains. Le niveau à Yale était tellement élevé, que les exigences au concours me paraissaient minimes. J'ai d'abord exercé dans des lycées en difficultés ou dans des classes où les élèves étaient handicapés. J'ai beaucoup aimé travailler avec eux et croyez-moi, ils pourraient donner des leçons de vie à certains. C'était une bonne période pour moi jusqu'à ce que je rencontre une certaine Monisha. Nous étions jeunes et fous amoureux l'un de l'autre..enfin, c'est ce que je croyais. Nous sommes restés ensemble deux ans puis, on a décidé de faire le grand pas et de se marier. Ma mère ne cessait de me dire de me méfier d'elle et que cette décision était précipitée. Mais j'en ai fait qu'à ma tête et j'ai quand même épousé Monisha..pour le meilleur et surtout pour le pire. Les disputes à la maison étaient fréquentes, notre couple était aux bords de la crise. Et, pour couronner le tout, Monisha me trompe avec un collègue de travail. Je me suis donc bagarré avec ce collègue, ai viré Monisha de chez moi et ai demandé immédiatement le divorce. Elle n'a pas refusé.
Quelques temps après le divorce, la dépression s'installa. C'était un échec dans ma vie sentimentale. Je me suis donc consolé et trouvé refuge dans l'alcool. Je buvais de plus en plus jusqu'à me mettre dans un sale état. Mes parents étaient mort d'inquiétude surtout ma mère qui maudissait cette Monisha. J'ai arrêté pendant quelques mois mon métier de professeur et me suis fait remplacé. Une après-midi, quand je suis sorti de chez moi, j'ai revu une femme, une femme que j'avais connu quand j'étais dans l'Ohio. Elle était en fait dans ma classe au primaire et au collège! Elle était surprise de voir ce que j'étais devenu. J'avais tenté de lui expliquer que ce n'était que temporaire et que je me relèverai mais elle ne me croyait pas. Elle m'a alors soutenu, quitte à me harceler pour me faire arrêter de boire. Pour la remercier, je l'ai invité à dîner..et nous avons dérapé..ou plutôt laissé parler nos sentiments. Nous nous sommes emportés. On était surpris, ce baiser était inattendu mais révélateur d'une attirance qui avait toujours existé entre elle et moi. Nous avons donc continué à nous voir avec du malaise au départ mais avec le temps, on était plus confiant.
Elle avait réussi à me faire remonter la pente. Après des négociations, on a fini par me laisser réexercer mon métier de professeur de Droit. J'ai donc tenté ma chance à Harvard et, à ma plus grande surprise, j'ai été accepté. J'ai donc déménagé à Cambridge avec un petit pincement au coeur. Je pensais à elle. Où allait-elle aller? Qu'est-ce qu'il en était de notre relation? J'ai appris alors qu'elle aussi déménageait à Cambridge pour des raisons personnelles. Nous nous sommes donc revus là-bas. Entre les pauses, j'allais manger un morceau avec elle. Le samedi soir, on s'invitait tantôt chez l'un tantôt chez l'autre à dîner. Puis, nous avons officialiser notre relation amoureuse. Après quatre ans de relation, on a fini par se fiancer et quelques mois plus tard par se marier. Voilà maintenant deux ans que nous sommes devenus de jeunes mariés. A 39 ans? et alors?! Il n'est jamais trop tard pour se marier!
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