Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityour drug (waltana)
Le Deal du moment : -43%
-100€ Pack rééquipement Philips Hue ...
Voir le deal
129.99 €


our drug (waltana)

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Casque sur les oreilles, casque peut être volé dans le bus ou dans la rue, je ne sais plus vraiment à qui il pouvait bien appartenir. Rouge, imposant, peut être trop imposant pour mon p’tit corps fin taille 32, un cul à rentrer dans une boîte à godasse. Le logo qui jogge les côtés des casques, marque que je ne pourrais jamais me payer, même jamais en rêver en temps normal. Les temps changent, la roue a tournée pour moi, voler a été la meilleure chose que j’ai commencée de toute ma vie. Même commencer à aller à la salle de muscu pour ressembler à Serena William c’est rien comparé à ça. Mains dans les poches de ma veste à peine repassée, portée depuis trois jours. Senteur sueur crade et clope. Rien à foutre. J’ai pas besoin de sentir le chanel number five pour mon p’tit détour du soir avant de rentrer chez moi. Escalier, deux par deux, longues jambes pratiques. Le dos de ma main pour donner quelques coups sur la porte qui semble être la bonne après avoir bien vérifier. Il ouvre la porte, le brun statique face à moi, grand, toujours trop grand. Qui lui a donné une surdose de soupe à c’connard la. Hein ? C’est malsain d’être aussi grand. Visage relevé vers le sien, une tête de plus que moi, l’mec. Salut. Je rentre sans attendre une certaine invitation à rentrer. Toujours en sourire, mains dans les poches du sweat crado. C’est fade, d’un fade. J’pourrais t’repeindre les murs un jour, si tu veux. Une fresque ici, là. Des meufs à poil, puis, bob marley, pourquoi pas. C’est un mec cool. Je me retourne vers lui, yeux pétillants, mains sur son torse. J’peins à poil, j’pense que t’aimerais beaucoup !

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
our drug.
feat. nirvana singleton


Un énième joint de fumé, un énième mégot dans le cendrier, une énième bouffée de fumée qui embaume le salon, l'appartement, c'est ce que je fou quand j'ai rien à faire, que j'ai la flemme de sortir mon cul dehors, je sais même pas quelle heure il est, j'en conclu qu'il fait nuit en regardant par la fenêtre, raison de plus pour rester assis comme une larve dans mon canapé à mater des conneries à la télé. Sans que j'attende de visite particulière, on venait toquer à la porte de l'appart, j'étais intrigué ouais donc ça valait la peine que je me lève pour aller ouvrir et j'avais la surprise de trouver sur le seuil, Nirvana. Après m'avoir saluée, elle fait comme chez elle, sans que je lui ai permise d'entrer, elle s'invite d'elle même à l'intérieur, ne s'empêchant pas de critiquer l'esthétique de mon appartement, à chaque fois c'est comme ça de toute façon, on se taquinent, on se cherchent Le fade me va, touche à rien tu seras gentille. lui sortais-je refermant la porte d'entrée alors qu'elle se ramenait vers moi, posant ses mains sur mon torse pour continuer dans sa lancée, me dire qu'elle[ fait ça à poil, j'ai presque rien entendu ouais Chacun ses délires. mes mains vont sur les siennes pour les retirer de mon torse puis je bouge à côté d'elle pour rejoindre mon canapé Qu'est-ce que tu viens foutre ici ? ouais franchement, pourquoi elle est là si ce n'est pour me casser les couilles comme elle sait le faire.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Monde en couleur, monde à la con illuminé par un peu de peinture souvent tout aussi noir que le cœur d’la personne jouant avec. Pinceau, doigt.. Rien n’est assez puissant pour sortir toute une atmosphère sur un mur, une toile.. Cet endroit, chargé de.. Drogue, imbibé de déchet pour poumons. C’est l’m’avance parfaite pour peindre. Bizarrement j’me sens comme chez moi ici, bien qu’un peu trop grand pour moi. Ma maison est une caravane, j’pourrais vivre dans ses chiottes ca serait pareil. Le fade me va, touche à rien tu seras gentille. Triste, bien trop triste. J’pourrais pas voler ses murs, son appart, ou l’ambiance qui règne ici. J’peux toujours essayer de voler ses clés et le virer de chez lui, l’expédier, loin. Le temps qu’il revienne j’aurais déjà rajouté ma sauce. Il enlève mes mains de son torse, son cul sur son fauteuil aussi mou qu’Adèle et son bide graisseux. J’viens chercher d’quoi m’envoyer dans une dimension parallèle trop géniale. Une jambe par dessus le canapé suffit pour l’enjamber et me retrouver assise, plutôt avachis. J’ai plus rien, fait pas l’radin. J’sais qu’il va le faire, insister ça craint, ca fait faible. Je soupire en m’enfonçant à l’autre bout du canapé, les jambes tendues de travers. J’vois okay, tu préfères m’voir mourir de manque, c’est cool. On voit les pootes ! Mais est ce que c’est vraiment un pote d’ailleurs.. un ami ? J’en sais rien damn. Je remets mon casque sur mes oreilles la musique qui tourne toujours, les yeux fermés, comme chez moi. À l’aise Blaise.

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
our drug.
feat. nirvana singleton


Je sais que mon appart fait lugubre, trop de blanc sur les murs et c'est vrai que j'ai jamais pensé à refaire la peinture, ce que proposait Nirvana aussitôt son beau petit cul à l'intérieur de l'appart. J'ai pas non plus pensé à foutre du déo parce que ça pue vraiment le drogué qui se laisse aller, enfin le tabac froid et quelques senteurs de weed par ci par là, enfin bref, elle est venue à l'improviste, sans prévenir alors qu'elle a mon numéro dans son portable quoi. Je la remettais vite fait à sa place, lui disant qu'elle pouvait toujours parler, qu'elle pouvait arrêter son délire de refaire les murs avec sa peinture et de le faire à pol qui plus est, ce qui je dois bien avouer serait sympa mais voilà, je lui dis non et je vais poser mon cul dans le canapé où je lui demande ce qu’elle vient faire ici. Elle me rejoint sur le canapé l'enjambant, s'asseyant pour me dire qu'elle était là pour que je la dépanne en drogue, comme si j'avais pas déjà assez de mal à m'en procurer, demandant de la thune à ma petite sœur quand j'en ai besoin juste pour ces merdes. Elle veut pas que je fasse mon radin mais elle me connait un minimum, elle sait que je vais lui dire d'aller se faire foutre et comme presque avoir réaliser qu'elle avait poser une question conne elle foutait son casque sur les oreilles, s'en allant sur son petit nuage Fais pas chier, j'ai déjà assez de mal comme ça à m'en procurer. je sais qu'elle m'entendait quasi pas mais bon j'allais faire un effort, j'ouvrais mon paquet de roulée e j'en sortais une tête de weed que je lui jetais au visage Tiens j'vais faire mon pote. ouais parce que je sais pas ce qu'on étaient l'un pour l'autre.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

J’suis pas éduquée à être polie comme les gens l’entendent. Mes parents me l’ont appris mais j’ai jamais eu l’exemple des faits qui allaient avec. Sérieusement, grandir au tié-quar c’est apprendre la vie en accélérer. Là bas t’apprends pas à être polie, à respecter les gens, ou à pas rentrer à l’improviste chez tes potes. Je suis chez moi partout, l’appartement de Walter c’est home sweet home. Lui, moi. On est pareil, ou justement pas du tout. Il est ce mec froid, il a perdu son frère, j’ai perdu ma sœur. Drogués assumés.. Deux loques que la vie malmène. C’est moche. C’est sûrement ce qui fait qu’on se parle encore malgré le vent que j’lui ai mis, il y a quelque temps maintenant. C’est humain tu vois, psychologique tout ça, on se rapproche des gens comme nous par réflexe. Mais bon, on s’en tape. J’suis juste la pour venir chercher de quoi partir, loin, voir les poneys et les nuages un peu plus. Mais faut pas rêver. Il refuse, parce qu’est Walter. Musique sur mes oreilles, les orteils qui bougent en rythme dans les baskets. Hééé ! P’tits machins verres qui atterrit sur moi. Le casque tombant sur la nuque je me redresse pour prendre le p’tit caviar d’herbe, c’te merde qui coûte blinde. J’en veux pas, c’est bon. T’mas dis non une fois, c’est non tout court. Je lui renvoie. J’suis pas une nana contrariante, hein.. joke. J’veux bien une bière. S’teuplait, Walteer d’amouuuur. Un p’tit clin d’œil, lèvre mordue par mes dents. Un truc qui fait grave sexy sur Rihanna. Mais sur moi ca l’fait pas. Bon alors, t’as pas de p’tite minette à serrer ce soir ? Bambam, dans un coin du bar, c’est rapide avec toi non ? Tu mets pas deux heures. J’ricane en passant une main dans mes cheveux à peine démêlés. Ou alors j’ai lancé la nouvelle mode de recaler Walter l’sexy. J’aaime être influente sur le peuple ! Bon allez.. pleure pas. Tu dois avoir un truc la, une poupée, une chatte en plastique, nan ? T’as une gueule à en avoir mens pas.

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
our drug.
feat. nirvana singleton


Nirvanna est pas la plus sage des meufs que je connaisse, c'est pas une verte pour rien, une genre de mauvaise fille à sa sauce, ouais elle est spé comme nana mais je sais pas j'aime bien, bon clairement j'ai surtout pas aimer quand elle m'a recalée quand je l'ai dragué, j'ai pas l'habitude qu'on me dise non alors quand cette blondinette m'a fait comprendre que j'avais aucune chance, ouais je l'avais mauvaise. Mais je me suis pas arrêté là, enfin on s'est pas arrêtés là, maintenant on se cherchent, on se taquinent tout le temps, est-ce qu'elle me plait derrière tout ça ? Aucune idée, elle reste mignonne même avec ses airs de garçon manqué, son je m'enfoutisme et sa façon de parler. Elle est juste là pour me taxer des narcotiques, histoire de planer comme elle aime le faire, un de nos points communs je dois avouer et elle sait très bien que c'est pas mon genre de faire mon gentil et de dire oui sur ce qui m'appartient, elle s'en rends compte presque toute seule, juste à voir ma gueule d'ignorant et mon mutisme pour qu'elle comprenne que je faisais mon radin, pour la peine elle s'abandonnait dans son putain de monde de peinture au-dessus des nuages en remettant son casque sur la tête. Au final je jouais son pote ouais, lui balançant un tête de weed dans la gueule, ça te fais chier ? Parfait, elle me la renvoi parce que mademoiselle n'a pas eu ce qu'elle voulait la première fois, et bien comme avec la weed, la bière tu peux te la carrer ou je pense pétasse Bien-sûr. Regarde ma poubelle y doit y avoir des bouteilles dedans, t'as qu'à pisser dedans et la foutre au frigo. par cette sublime métaphore se cachait un simple petit non. Fermes ta gueule Nirvanna sérieux, joue pas la fière parce que tu m'as recalée, si c'est pour me casser les couilles, tu peux te casser avec plaisir. ouais j'étais pas d'humeur à supporter les piques qu'elle me lançait dans la tronche.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

La vie d’ma mère, j’lui demande une petite bière de merde. Une canette en bouteille, j’en ai rien à foutre pourvus que ca m’pique la gorge en p’tites bulles avec un gout trop amer à dégueulasse. J’veux juste, une bière. Demandée gentiment, quelques battements de cils, une mines de chaudasse endurcie et il me la refuse avec beaucoup de sympathie. Ca a le don d’me faire sourire et étrangement, d’me faire aussi grave plaisir. J’suis bizarre, surement. C’est moi. Bien-sûr. Regarde ma poubelle y doit y avoir des bouteilles dedans, t'as qu'à pisser dedans et la foutre au frigo. Howaaaaw, que de réponse. Que d’agacement de sa part, ca pourrait presque être excitant de lui faire un tel effet.. il doit être à son max niveau démonstration de ses pensées la. Walter le mystérieux, hein. Ta mère le mystère. C’est dans ta bouche que j’vais pisser crevard. Monsieur se vénère, tout seul dans son canapé. Un vrai chien enragé ce mec là. Il passe sa journée à fumer puis rager sur le monde. Je me lève, face à lui. J’mets pas longtemps à limite sauter sur lui, mes jambes callées sur le côté des siennes, le cul sur ses cuisses. Les casses couilles attirent les casses couilles, tu le savais pas ça ? Mes longs doigts, fin, glissée sous sa mâchoire pour se resserrer gentiment sur celle ci. Tu pourrais presque être le genre de me mec qui m’fait kiffer. Maaaais.. Tu sais pas y faire avec les nanas comme moi. Peut être qu’avec les autres, ouais, elles en peuvent plus, c’est le super coup d’leur vie et tout le bordel. Mais ça ne marche pas sur moi. J’suis espiègle, sauvage, j’m’échappe entre les mailles du filet. Le resserré ca sert à rien à part m’étouffer. Faut juste savoir me maitriser. Tas la haine, sur tout et rien, c’est ça ? T’aimerais.. Voir tout le monde souffrir comme tu souffres. J’sais ce que c’est, tout ça. J’le rejette à ma manière, par la peinture, l’alcool.. le reste.

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
our drug.
feat. nirvana singleton


Elle a craquée elle ? Elle a refusée cette tête de weed alors que c'était pour ça qu'elle à débarquée ici et elle veut que je lui paye une bière, non mais sérieusement je suis mort de rire intérieurement, elle est amusante. Je lui décroche un non catégorique reflétée dans les belles paroles poétiques que je lui balance à la figure, et vu son regard, elle ne s'attendait pas à ce que je lui réponde ce genre de blabla, tant mieux et vu ce qu'elle me répond en contre-partie, je comprend vite qu'elle n'a pas aimée mais je m'en balance grave. Mais c'est qu'elle aime pas qu'on lui dise non. tiens ça me rappelle nous deux au Royals, quand je l'ai branché, qu'elle m'a dit non, qu'elle m'a recalée, une douce rancune qui guide mes dires ? Ouais je pense, j'aime pas qu'on me dise non et là bizarrement elle me prouve clairement qu'elle aussi elle aime pas qu'on lui refuse ce qu'elle demande. Alors que je lui demande de dégager de chez moi si c'est pour me casser les couilles comme elle aime visiblement le faire, elle se lève et vient juste en face de moi où elle finit par s'asseoir sur mes cuisses, son regard qui fixe le mien, ses doigts qui viennent glisser le long de ma mâchoire pour la resserrer entre ceux-ci et me dire que je pourrais être son type de mec mais que je ne m'y prend tout simplement pas comme il faut avec elle, et bizarrement je souris, un sourire arrogant et con ouais Une de perdue, dis de retrouvées. comme dit le dicton ouais, je vais pas chialer mes tripes parce qu'elle m'a dit non quand j'ai voulu lui faire des avances, je sais assurément que des dizaines me diraient oui si je le leur demandais, Nirvanna est loin d'être une grosse perte. Et maintenant elle joue à quoi à me faire la morale sur la vision du monde, enfin non, prétendre savoir comment je vois les choses, ma main vient serrer ses doigts qui serrent ma mâchoire pour les retirer Je t'arrêtes de suite. On va pas parler de ça toi et moi, on se connait pas assez pour et t'es personne pour me faire la morale. mon regard restait fixe dans le sien Bouge ton cul de sur moi. j'vais finir par avoir la gaule sinon.. non je déconne, tu m'énerves de fou là c'est tout.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Mon type de mec, c’est quoi exactement. Est ce que quelqu’un sur Terre à vraiment un type de mec, genre bien spécial ; Moi on m’a toujours dit l’amour c’est baaaam, comme ça. C’est violent, ca frappe méchant. Sans prévenir parce que l’amour, bah c’est une pute. Elle ne peut pas faire la différence entre un mec qui est ton genre et l’autre nan. Nan ? J’sais pas, c’est trop weird. Peut être que j’suis destinée à vivre avec un roux, gros… Dur. J’le vivrais mal. Toute ma vie, j’le vivrais très mal. Mais Walter n’est pas roux, il est même plutôt très brun et c’est aussi un fdp certifié et ca m’fait kiffer. Une de perdue, dis de retrouvées. Il pousse mes mains de son visage, toujours assise sur lui, un ricanement qui se fait entendre entre mes lèvres. Je t'arrêtes de suite. On va pas parler de ça toi et moi, on se connait pas assez pour et t'es personne pour me faire la morale. Mais queeeeel hooomme. J’te fais pas la morale p’tit con. J’en ai rien à foutre de ta p’tite vie d’merde qui te rends tout triste. T’es juste un lâche. Tu cours derrière toutes les meufs sans même essayer d’en garder une seule, pendant longtemps. C’est d’la peur ? Ou juste d’la nullité ? Tu vois celle qui t’empêche de savoir tenir une nana. Il me demande de descendre, d’me pousser de lui. Mais entre nous, c’est comme demander à un gosse de lâcher son chocolat. Je bouge mes fesses sur les côtés au dessus de lui. Dans l’genre relou, t’fais pas mieux. J’voulais une bière et j’lai pas eut, dure la vie, hein ?

(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)