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Besoin de se défouler (feat. Maxym)

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Maxym & Ricardo
Besoin de se défouler
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Le gymnase, probablement l'un des endroits où Ricardo préférait passer son temps libre. Bon, en retirant le stade de football et son lit, évidemment. Mais lorsqu'il avait besoin d'évacuer la pression et de penser à autre chose, c'est là qu'il se rendait. Cela faisait quelques jours que sa relation avec Maxym avait prit une nouvelle tournure. Disons simplement qu'ils n'étaient plus ensemble. Pas de tromperie, ni de violente dispute. Ric avait juste été très distant et la Dunster s'était lassée. Forcément, le brunet ne vivait pas très bien la rupture. Malgré le fait qu'il se soit éloigné largement d'elle ces derniers temps, il y était quand même très attaché. Si ça se trouve, ce con était même encore amoureux. Une histoire comme la leur, ça ne s'oublie pas. Après tout, Ricardo n'était jamais resté aussi longtemps avec une femme jusqu'ici. C'est donc avec un bas de jogging, le torse nu et des bandages autour des mains, que le brésilien tapait fort dans le sac de frappe. La transpiration le gagnait mais il n'avait aucune envie de faire de pause. Préférant s'abîmer les mains jusqu'à l'épuisement.
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C'est dans le plus grand fracas que Maxym débarque dans le gymnase. On compense comme on peut. La demoiselle avait comme armes contre le désespoir l'effort physique et la haine d'autrui. Le corps épuisé, qui subit l'absence de limites de la belle. Comme si avoir chaque muscle qui souffre faisait qu'elle entendait moins le principal. Il y avait eu l’entraînement de l'équipe de basket dont elle était désormais la capitaine, et quelques kilomètres où le macadam avait subit ses foulées. Des membres du groupe la suivait, et c'est donc dans des éclats de voix qu'ils rentrèrent de leur footing. Il fallut bien entendre les bruits contre le sac de frappe pour que la belle tourne ses traits vers Ricardo. Et s'arrête net, autant dans sa phrase que dans son pas. « Je.. ouais, ouais, j'vous rejoins. » Les laissant passer devant pour rejoindre les vestiaires. Non pas qu'elle compte une seconde faire la distance qui les sépare. En fait, son instinct de survie lui dirait plus de courir en sens inverse, de courir jusqu'à s'effondrer quelque-part. Loin d'ici et surtout de lui. Loin de ce gymnase qui les a vu se rencontrer, et qui doit bien s'amuser de la voir plantée à l'arrêt, là. L'esprit qui lui hurle de bouger et le cœur qui la cloue au sol. Voilà à quoi on en est réduit.
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On frappe, même si ça fait mal aux doigts. Même si on a des fourmis dans la paume et que nos poignets nous demande de nous arrêter. Tiens, manquerait plus que Ric ne puisse plus utiliser ses mains pendant quelques jours. Au moins, ça lui permettrait de passer ses journées à glander dans sa chambre à la Mather House. Puisque en ce moment, il a pas forcément envie de faire grand chose de plus. Le brésilien ne fait même pas attention au groupe qui traverse la salle. Trop concentré sur son sac de frappe, malgré le fait qu'il sente quelques regards sur lui. Pourtant, une voix le stoppe net dans son élan. Cette voix.. Il se tourne légèrement, même s'il sait très bien qu'il allait devoir lui faire face. Son regard se pose alors dans celui de Maxym. Du coup, il s'arrête de cogner, et ses mains l'en remercieront. Il la regarde dans les yeux, la trouve encore plus belle qu'avant. Pourtant, elle est pas nécessairement à son avantage, elle vient de courir. Mais il s'en fou, il l'a connu dans cette tenue après tout. "Salut.." lance t-il, presque timidement mais surtout maladroitement. Il se sent un peu con là. Car il sait qu'elle est à deux doigts de lui balancer tout ce qu'elle a sur le cœur à la gueule. Il était prêt à l'écouter. Il connaissait la furie Maxym. Mais il avait du mal à reconnaître celle qu'il avait devant lui. Une mine qu'il n'avait encore jamais vu.
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Ah ouais, il l'a jamais vu cette mine ? Normal, c'est une création Ricardo Rafael. Il vous présente son œuvre. Il a prit une fille, là, qui semblait pas vraiment faite pour être accrochée à une autre âme, il l'a amadoué, et quand elle est devenue bien docile, l'a juste lâché sur le bord de la route. Alors, vous demandez pas pourquoi Maxym est devenue comme ça. Plus friable. Instable. Qui s'est vidée de son eau au lieu de s'en prendre directement à lui. C'est pas l'envie qui lui manque. J'vous jure qu'elle aimerait s'approcher et marquer son visage de ses phalanges. Puis se barrer. En rire avec les amies le soir, et retrouver avec plaisir la piste d'autres draps. Ouais, sauf que ça marche pas comme ça. Y a rien qui marche comme d'habitude avec lui.  "Salut.." Il est pas facile à sortir ce salut, hein ? Et j'y réponds même pas. J'm'en fous de te saluer, j'vais pas non plus te demander comment ça va, ou toutes ces conneries. Mais j'suis contente que t'aille bien, l'absence de nouvelle avait nourrit quelques inquiétudes. Mon regard se rassure, mon cœur se serre d'avantage. Dans les explications, ne reste plus que celle de la lassitude. La prochaine fois, attrape la première traînée qui passe, ça fera moins mal. J'préfère la colère à la tristesse, c'est plus facile à gérer. Enfin, va bien falloir que j'parle à un moment. Allez, Max, on fait la meuf fière. On relève le menton, on s'invente un blindage. « Salut. Salut Ric. » Qu'elle balance, de ses lèvres faites aussi bien pour embrasser que pour cracher son fiel. « J'suis heureuse que tu sois vivant. J'commencais à me demander si t'étais encore de ce monde tu sais, à force de parler dans le vide. » Conneries. Juste pour placer l'essence du problème. Ce qui fait que j'ai pris les décisions à prendre. S'avance, au fur et à mesure que la colère arme ses pas. « Alors ouais, salut. C'est tout ce que t'as à dire ? Salut ? Pas de « je suis désolé d'être un gros con » ? » Parce que t'en es un. Pour me faire ça, faut en être un. Et moi, j'peux plus m'arrêter de déballer les trucs, maintenant que ma gorge s'est libérée de ses sanglots. Ils reviendront, quand la rage s'apaisera. « C'est marrant hein, comme t'as toujours eu la critique facile me concernant, sur mon comportement et toussa. Mais je t'ai jamais lâché, moi. » Même quand t'es partis, quand tu m'as laissé en plan dans ce camping. « La prochaine fois que tu te lasses d'une meuf, un conseil, assume, soit pas un lâche. » Les billes solidement plantées dans celles adverses, le regard foncé abîmé de déception. Enflammé de colère. « Personne n'aime les lâches. » Et t'en es pas un, normalement. Mais normalement, t'es pas celui qui doit fracasser mes sentiments contre un mur. Rien ne te ressemble, là-dedans.
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C'est compliqué de lui faire face. Mais il fallait bien que ça arrive un jour. Après tout, ils fréquentaient la même université. Bon, heureusement que leurs cercles d'amis n'avaient rien en commun par contre. Je ne saurais pas expliquer ce qui se passe dans ma tête et ans mon cœur en ce moment. Tout est chamboulé, depuis de nombreuses semaines. Mais dire que je n'avais plus de sentiment pour la belle brune serait mentir. Evidemment, on oublie pas ce genre de relation, même si on en a envie. Alors, je me suis montré plus distant, certes. Et le pire, c'est que c'était pas nécessairement voulu. Disons que j'avais du mal avec la reprise des cours, du sport, à lié les deux.. A retourner vivre à la Mather House. Les "vacances" au Brésil avaient été difficiles. Que ce soit dans le travail ou dans le fait d'être loin de Maxym. Et pourtant, à mon retour, il y avait quelque chose de bizarre entre nous. Un malaise, j'sais pas. Une connerie en tout cas. "Salut. Salut Ric. J'suis heureuse que tu sois vivant. J'commencais à me demander si t'étais encore de ce monde tu sais, à force de parler dans le vide. Alors ouais, salut. C'est tout ce que t'as à dire ? Salut ? Pas de « je suis désolé d'être un gros con» ". J'évite de lever les yeux au ciel, même si j'en ai bien envie devant ses paroles. Je la connais par cœur et son petit jeu de femme forte, ça marche pas avec moi. J'préfère donc la laisser parler. Qu'elle crache son venin tant qu'elle le veut. Je changerais pas d'expression face à elle. "C'est marrant hein, comme t'as toujours eu la critique facile me concernant, sur mon comportement et toussa. Mais je t'ai jamais lâché, moi". Bah tiens, comme si ça avait été mon but. Je crois que Maxym a encore beaucoup de choses à découvrir sur moi. "La prochaine fois que tu te lasses d'une meuf, un conseil, assume, soit pas un lâche. Personne n'aime les lâches". C'est bon, elle a finit ? Je retire mes bandages sans la quitter du regard avant de les jeter sur un banc un peu plus loin. "J'me suis pas lassé de toi.." finissais-je par répondre. Qu'elle le croit ou non. "J'étais distant, c'est vrai. Je te l'accorde, et j'en suis désolé. Mais ça veut pas dire que j'ai plus de sentiment pour toi ni que je n'ai plus envie d'être avec toi". J'hoche la tête, léger sourire en coin. "Ça, c'est ta décision". Elle a perdu patience. Je peux le comprendre. Mais faut pas qu'elle confonde tout, j'ai rien fais de mal.
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J'vous le dis, Maxym aurait préféré que ça se fasse dans les cris, dans la brutalité. Qu'elle ai sincèrement mal, sur l'instant, pour ensuite ne garder qu'une haine féroce. Trompe-moi bordel, fait ce que font les hommes. Ou lasse-toi, arrête de m'aimer. Faut que tu me le balances. Là, que tu me poignardes directement. Pas juste des petites blessures, un poison qui m’asphyxie progressivement. Qui m'empêche de vraiment te détester. J'veux dire, j'essaye là. J'essaye vraiment, mais j'arrive pas à appuyer là où ça fait mal. Comme je pourrais le faire pour d'autres. J'le vois, que ça te fait rien. Tout ce que je balance, ça se perd en echo dans le gymnase, ça te passe au-dessus. Ca me fait à peine du bien. "J'me suis pas lassé de toi.." C'est des putains de conneries. Secoue la tête, encore et encore, tout en reculant d'un pas. J'te crois pas. "J'étais distant, c'est vrai. Je te l'accorde, et j'en suis désolé. Mais ça veut pas dire que j'ai plus de sentiment pour toi ni que je n'ai plus envie d'être avec toi". Le « désolé » fait son petit effet. Faible pansement. "Ça, c'est ta décision" Qu'il arrache juste après. Ca électrise la belle, qui se rue sur Ricardo pour le pousser au niveau des épaules. Voilà, aiguise ma colère. « ME MET PAS CA SUR LE DOS. » Qu'elle hurle, se reculant par la suite en le pointant du doigt. « Fait pas comme si tout ça c'était de ma faute. » Moi, j'étais là, j'attendais. J'attendais un signe qui est jamais venu. « Tu m'as ignoré, tu m'as laissé tombé, cet été, et depuis la rentrée. Tu m'as lâché, j'ai juste arrêté la mascarade. » Maxym, elle laisse pas sa liberté, pour un absent. Pour quelqu'un qui l'aime pas assez pour s'inquiéter d'elle tous les jours. « Tu.. tu sais même pas ce que je faisais, comment je me sentais, tu t'en foutais. T'étais.. juste concentré sur ta petite personne. Quand on aime quelqu'un, on fait pas ça. » Ou alors, on m'a mentit. Les paroles s'étranglent dans sa gorge, elle suffoque, les billes qui se remplissent d'eau mais la fierté qui les retient.
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Avec quelques paroles, on a réveillé la furie. Tant pis. Vaut mieux que tout sorte d'un coup après tout. Elle s'approche, me pousse. Je me laisse faire, comme si j'allais répliquer de toute façon. ""ME MET PAS CA SUR LE DOS. Fait pas comme si tout ça c'était de ma faute". J'arque un sourcil, l'air perplexe. "J'ai jamais dis que t'étais la responsable Maxym. J'suis le seul fautif. Mais j'ai jamais dis que je voulais arrêter d'être avec toi, j'veux que les choses soient claires". Non, la quitter ne m'a jamais traversé l'esprit. Sinon, on en serait pas là. Je lui aurais simplement dis bye bye puis je serais passé à la suivante. C'est pas comme ça que je vois les choses. "Tu m'as ignoré, tu m'as laissé tombé, cet été, et depuis la rentrée. Tu m'as lâché, j'ai juste arrêté la mascarade". J'hoche la tête. Je pourrais baisser cette dernière, mais je préfère soutenir le regard de la brune. Pas le moment d'être lâche, de lui donner encore plus de raisons de penser que je le suis. "Tu.. tu sais même pas ce que je faisais, comment je me sentais, tu t'en foutais. T'étais.. juste concentré sur ta petite personne. Quand on aime quelqu'un, on fait pas ça". Je m'avance vers elle doucement, mais ne fais aucun geste. Non, j'peux pas me permettre de créer le contact. "J'ai jamais prétendu être le petit ami idéal Maxym. Toi, comme moi, on est pas habitué à tout ça. Et même après plus de huit mois de relations, il peut m'arriver de ne pas savoir quoi faire. J'ai eu un coup de moue. Pas par rapport à toi, mais par rapport à tout". Je la regarde dans les yeux puis soupire. "Tu mérites pas d'un mec qui te laisse sur le côté. J'peux pas te forcer à m'attendre.."
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Ricardo est trop solide. Son visage trop fermé. Il peut encaisser, autant ses mots que son attaque. Il peut tout endurer. Maxym ne peut pas. Ca déborde, constamment.  "J'ai jamais dis que t'étais la responsable Maxym. J'suis le seul fautif. Mais j'ai jamais dis que je voulais arrêter d'être avec toi, j'veux que les choses soient claires". C'est pas clair. Y a rien qui est clair, dans cette distance que t'as mis. Mais on est d'accord sur le fait que le fautif est masculin. « Tu l'as pas dis mais t'as fais tout pour, c'est pareil. » T'as rien fais contre, plutôt. Tu ne m'as pas retenu alors que j'aurais voulu. Moi, j'aurais aimé que tu t'imposes, que tu refuses que j'écrive un point final. Pour une fois, qu'on me dise non. "J'ai jamais prétendu être le petit ami idéal Maxym. Toi, comme moi, on est pas habitué à tout ça. Et même après plus de huit mois de relations, il peut m'arriver de ne pas savoir quoi faire. J'ai eu un coup de moue. Pas par rapport à toi, mais par rapport à tout" Il s'approche, elle ne bronche pas. Mais qu'il ne s'avise pas d'un éventuel contact. « Je sais qu'on.. sait même pas trop ce qu'on fait. Mais m'envoyer un message, m'appeler, c'est trop ? Je fais parti du tout, quoique t'en dise. T'as pas à.. me mettre de côté de ta vie, juste parce que t'as « un coup de mou « . » Qu'elle accompagne de guillemets tracés par ses doigts. C'est l'expression provoquant une rupture la plus naze de l'histoire. "Tu mérites pas d'un mec qui te laisse sur le côté. J'peux pas te forcer à m'attendre.." J'vais pas faire la fille qui accepte tout, juste parce qu'elle veut pas te laisser partir. Alors que je supporterai pas qu'une autre effleure ta peau. Ou même que tu m'aimes moins. « Je le mérite pas, non. » Mais je peux pas vivre à moitié. Le regard passe du sol aux billes d'en face. C'est difficile, tu sais, de te regarder dans les yeux. « Tu savais que je m'inquiétais, que j'en souffrais, et ça t'as pas fait réagir Ric. » T'es passé avant moi. « Et attendre quoi, au juste ? Que t'ai finit ta phase pour te rappeler que j'existe ? » Je suis pas celle qu'on met sur pause quand on a mieux à faire.
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