Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityNichonya இ c'est tellement Paris
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Nichonya இ c'est tellement Paris

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Nichonya
mise en page par mad love
Paris, ô Paris. Cette ville me faisait rêver. Cette ville me faisait vibrer. Les monuments, l'architecture, les toits, la Seine, les pavés sur lesquels je m'amusais à marcher telle une funambule prête à tomber de sa corde, la poésie qui se dégageait de certains quartiers ... J'aimais cette fille. Certes ma Russie natale me manquait, mais vivre de mes propres ailes me plaisait. Bien qu'au départ, mes parents m'avaient mis dans un pensionnat, celui du meilleur lycée privée de la capitale, j'avais réussis à m'émanciper de la dictature de la mégère qui nous servait de surveillante. Bien entendu lorsque mes parents avaient eu vent de mes exploits, ils m'avaient menacés de me couper les vivres, comme d'habitude, mais bien rapidement, ils étaient tombés d'un commun accord en me laissant vivre chez des amis à eux que je connaissais depuis mon enfance et qui avait eu la politesse de bien vouloir m'accueillir. Cela faisait maintenant 2 mois et demi, presque 3 que j'étais dans la ville lumière. Je connaissais certaines choses, certains endroits mais ce n'était pas le vrai Paris, ce n'était pas le Paris des parisiens mais depuis peu, un de ces habitants m'apprenait à vivre cette vie là. Nicholas. Un grand brun ténébreux qui avait su me retourner la tête. Comme on dit, que jeunesse se fasse non ? (aa) D'ailleurs, alors que nous avions cours aujourd'hui à 9 heyre, il m'avait dit de me tenir prête à 8 heure pétante devant l'entrée de mon immeuble dans le 16ème arrondissement. Je m'attendais à ce qu'il vienne me prendre pour aller en cour mais en vue de sa tenue, il avait imaginer autre chose. Rapidement, je sortais de l'entrée, remontant la fermeture éclaire de ma veste tout en remettant quelques longues mèches blondes derrières mes oreilles Tu crois qu'on arrivera à l'heure ? dis-je en regardant ma montre alors qu'il me tendait un casque. Je l'attrapais entre mes mains et avant de le poser sur ma tête, je déposais un baiser sur ses lèvres rapidement, parce qu'apparemment, nous étions pressés. Tandis qu'il me demandait d'enrouler mes bras autour de sa taille, je le faisais tout en posant ma tête contre son épaule On va où ? lui demandais-je en criant un peu afin qu'il m'entende, évitant les moucherons qui volaient, oui parce que c'est pas glamour de manger des moucherons lorsqu'on est à l'arrière du scooter de son copain. Saluuuut toi (aa)
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Aujourd'hui, j'allais aller chercher ma petite amie devant chez elle. Cela me faisait bizarre de me dire que j'avais une petite amie, c'était un peu.. Dingue. Bah ouais, j'étais un mec banal, timide, pas doué avec les filles. Et pourtant, ma petite amie était une grande blonde, un canon. Elle était parfaite et je me sentais doucement, mais sûrement, tomber amoureux d'elle. C'était bien la première fois que cela m'arrivait. On devait aller en cours, à 9h, mais je voulais passer une petite heure avec elle, dans un endroit où j'aimais bien aller quand j'étais seul, pour me poser tranquillement et être comme seul au monde, coupé du monde de Paris, des voitures partout, de cette population en permanence. Une fois devant chez elle, je lui tendais un casque. « On verra bien. » répondais-je quand elle me demandait si on serait à l'heure. J'en avais aucune idée, tout dépendrait du temps qu'on passerait là où je l'emmène et de si on a envie d'y repartir une fois qu'on y sera. Je loupais souvent les cours quand j'allais là, parce que j'étais tellement bien, qu'il y avait tellement personnes, que j'oubliais la notion du temps et je ne voyais pas l'heure passer. Elle montait derrière moi et essayer de me parler, en criant, alors que je conduisais le scooter, slaloman entre les voitures. Je détestais la circulation Parisienne et j'étais bien heureux d'avoir un scooter dans ses conditions. Je ne répondais pas et 10/15 minutes plus tard, j'arrêtais le scooter. Anastasiya descendait et retirait son casque, je faisais donc de même. Je rangeais les casques, bloquait mon scooter et attrapait sa main. « Viens. » disais-je simplement, me mettant donc à marcher pendant quelques minutes, avant d'arriver à ce petit coin de paradis que j'aimais tant, moi, l'amoureux de la nature. On arrivait devant un grand lac, il n'y avait absolument personne, sauf les animaux évidemment et je trouvais cet endroit magnifique. « Voilà l'endroit où je suis quand je sèche les cours. » lâchais-je en riant légèrement.

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