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Mishanna
This is war
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J’sais pas si tu sais, mais lorsqu’on est amoureux, du moins, je veux dire, vraiment hein, pas juste un amour passager, une copine qui va venir squatter ton lit de temps en temps pour te permettre de te faire plaisir ou autre, de te vider et faire comme si tu avais une vie normale, je parle de celle qui vous feras avoir confiance en vous à un point que vous n’imaginez pas, celle qui vous procureras un bonheur intense, un bien-être fou comme vous n’avez jamais ressenti, une envie de passer votre vie à ces côtés, celle qui saura vous rassurez en un regard, en un toucher, un mot, un geste, celle avec qui tu vas tout simplement te sentir combler comme personne n’avait réussi auparavant… Eh bien, pour cette fille-là, vous allez vouloir son bonheur et plus encore, tout ce que vous désirez, c’est de voir un beau sourire affiché sur son visage, de voir comment elle est avec vous, comment elle se sent bien, de la voir s’épanouir à vos côtés, et, pour elle, vous allez toujours vouloir lui faire plaisir, non pas pour la garder à vos côtés, mais, je ne sais pas, c’est un réflexe, des envies que vous exhaussé sans vraiment vous posez de questions, vous savez que ça lui fera plaisir, alors vous foncez, vous ne cherchez pas à comprendre. C’était ça, ouais, c’était exactement ça. J'étais amoureux, amoureux comme jamais je ne pensais l'être, et, j'étais prêt à tout pour cette jeune femme, j'étais prêt à tout pour elle. Certain dirons que ça fait nianian, d'autres ne dirons rien, mais dans tous les cas, j'en ai rien à foutre. Je l'aime, et si quelqu’un ou quelque chose lui faisait du mal, il en faisait à moi aussi. Dernièrement, j’étais rentré dans une guerre contre les Mathers, j’voulais leur peau, j’voulais leur faire les pires crasses au monde, j’leur laissais pas vraiment le choix, j’leur demandais pas vraiment leurs avis, tout ce que je voulais, c’était les ridiculiser, qu’ils se rendent compte qu’entre nos deux confréries, la meilleure, c’est la nôtre. J’voulais leur montrer ou la supériorité était, et que c’était pas un clan de junky éclaté aux amphétamines qui allaient venir nous casser les couilles. L’un d’entre eux avec toucher à Oksanna, ils allaient devoir tous subir la vengeance des Eliots. J’étais assis sur le canapé, ma tablette entre les mains, un petit fond de musique histoire d’avoir un peu de vie, et, je réfléchissais, je notais toutes les crasses que je pourrais leurs faire, qu’ont pourraient leur faire. J’savais pas par où commencer, alors, toutes les idées qui me venait en tête, je les écrivais, une à une, sans me poser de questions, sans me demander si c’était bien ou si c’était mal. Quand quelque chose va contre les Mather, c’est bien, faut pas chercher plus loin. Est-ce que c’est grave d’en être arrivé à ce point-là ? Non, j’pense pas, j’pense juste qu’il faut savoir faire la part des choses, c’est-à-dire, savoir s’arrêter de frapper avant que la vie ne quitte leurs corps. Ah ces Mathers, on va bien rigoler avec eux, bande de junky de merde. •GleekOut!
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