Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibility[Septembre] - Courir après les souvenirs.
-67%
Le deal à ne pas rater :
Carte Fnac+ à 4,99€ au lieu de 14,99€ (nouveaux clients / ...
4.99 € 14.99 €
Voir le deal


[Septembre] - Courir après les souvenirs.

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Huit degrés. Huit putains de degrés. Qu'est ce qui t'as prit de retourner dans ce pays où les températures sont déjà si froides alors qu'on est à peine en octobre. T'es quand même content que le soleil soit là, ça aurait pu être pire. Y'aura peut être même bientôt de la neige. Tu as gardé ta grosse barbe, tu as espoir qu'elle te protège un peu du froid, et avec ce bonnet péruvien, tu as le parfait look de musicien sud-africain, ou SDF. Au choix. Peut être un peu hipster sur les bords.

Tu t'es planté sur les bords du fleuve, pour réviser tes cours; depuis ton retour, tu n'aimes pas réellement rester enfermé. Tu te sens vite oppressé. T'as quand même passé un an à vivre sous une tente, et tu dois avouer que t'as plutôt aimé ça. Tu es maintenant quasiment sur que dans quatre ans, quand tu seras chirurgien diplômé, tu t'installeras définitivement la bas. En attendant, tu viens de sortir de douze heures de gardes, et tu dois encore bosser pour un partiel dans deux jours. Ta nuit a même pas été de tout repos, t'as du aider à accoucher deux personnes, dont une pour des jumeaux. Mais t'es encore passionné par ce que tu fais, donc tu te moques bien des cernes que t'as sous les yeux, qui te donnent encore plus l'air d'un musicien péruvien. Ouais, t'as opté pour le fait que ton look, c'était celui du musicien, pas du clochard.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Malgré le froid, tu avais décidé d’aller courir le long du fleuve avec Jolly et Speculoos. Le froid n’avait jamais été un problème pour toi, sachant d’ou tu venais. Tu ne te sentais pas si dépaysé que cela. C’était tout de même étrange d’être de retour ici, alors que tu avais passé les neuf derniers mois à New York, si on pouvait appeler cela comme cela. Tu avais besoin d’air, de respirer à nouveau, et surtout de te sentir en santé. Tu n’avais jamais été une des plus grandes sportives qu’il puisse exister. Cependant, depuis que tu étais sortie du centre de désintox, tu t’étais promise que tu ferais attention à ton corps, que tu ne laisserais plus ta maladie venir te descendre dans le fond du gouffre. Et pour cela, l’air frai était ce qu’il te fallait. Tu avais lâché Speculoos, il n’aimait pas être en laisse, mais tu gardais Jolly près de toi. Soudain, Speculoos décidait d’aller courir vers une personne assise sur l’herbe près de la rivière. « Speculoos, revient ici. » Criais-tu, ne voulant pas déranger cette personne.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Alors que tu t'étais perdu dans l'un des cours de votre professeur de génétique, un petit chien arrivait à ta hauteur. Tu tournes doucement ta tête vers lui et le reconnaît instantanément, surtout que la propriétaire ne tarde pas à l'appeler. Septembre, ton ancienne petite amie. La seule fille qui a réussi à rentrer dans ta vie de la sorte. Cela doit faire plus d'un an que tu ne l'a pas vu, pourtant tu ne peux pas t'empêcher d'avoir le cœur qui s'affole, et tu sais que c'est pas bon pour toi. Respirant profondément, tu te redresse, donnant quelques caresses à Speculoos et fixes Septembre avec un léger sourire. " Salut, Septembre. "
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Cela te faisait vraiment du bien d’être à l’air frai, de sentir ce vent glaciale sur ton visage. On pourrait te croire quelque peu suicidaire de ne sortir sans bonnet, mais les températures n’égalaient rien à ce dont tu te souvenais du Canada. Il te manquait ton pays parfois, mais tu savais aussi que tu ne pourrais jamais retourner vivre là-bas. Est-ce que tu serais même capable d’affronter ta mère? De vraiment lui dire ce que tu pensais de ce qu’elle t’avait fait vivre, qu’elle n’avait qu’enclencher ta descente dans l’abysse. Mais peut-être que cela pourrait te permettre d’avancer, de tout mettre en arrière, parce qu’elle te retient ta mère. Malgré tous tes efforts, il y a toujours une partie de quoi qui est lié, et dont tu n’arrives pas a t’en débarrasser. C’est pour cela qu’aller courir te faisait du bien. Tu pouvais te libérer l’esprit ainsi. Tu ne t’attendais juste pas à ce que ton chien aille saluer un inconnu. Il se relève, et là, c’est l’hécatombe. Julian. Tu t’arrêtes à plusieurs mètres, tenant toujours Jolly en laisse, qui s’agite quelque peu. « Julian. »
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)