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- Save me from the distress ✽ THIBALT

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❝ Save me
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THIBALT & JULES.

J'avais bu.. Ah ouais, j'avais pire que bu, trop.. Quoi que c'est jamais trop en fait, sur ses belles paroles je bois une nouvelle fois dans ma bouteille de vodka, j'me sentais mal, tellement mal, la drogue, plus l'alcool me faisait multiplier mes émotions x100 et ça sentait pas bon, vraiment pas pas bon, mon cerveau était en surchauffe, tout remontait à la surface, les bons, les mauvais souvenirs, absolument TOUT. Assise au fond d'mon lit, les yeux rivés sur la porte, j'avais une sorte de flashback de l'accident, j'me souvenais pas de tout, seulement de quelques fragments, j'étais tombé dans l'coma après l'accident, j'ai même pu de souvenirs des derniers moments passés avec mon frère, c'est ça l'pire j'crois, n'pu se rappeler du dernier moment que j'ai pu passer avec lui, s'il s'était amusé à cette fête où MOI je l'avais forcé à aller, c'tait moi qui aurais du crever ce soir-là, pas lui, il avait rien demandé, il voulait rester à la maison et, MOI je l'ai forcé à s'ramener avec moi à cette putain de soirée.. Tout était de ma faute, le fait qu'il soit pu là aujourd'hui, que j'me retrouve à nouveau seule, c'moi qui l'avait déclenché et mérité par la même occasion. J'sentais les larmes d'eau salées couler sur ma joue doucement, je reniflais comme un porc, essuyant mes larmes qui ne cessaient d'augmenter. J'avais mal, tellement mal et la douleur n'arrêtée pas de perdurer, elle était toujours là, parfois moins visible et d'autres comme ce soir où elle est au sommet, c'tait sûre j'allais pas réussir à dormir de la nuit.. j'attrape mon portable, appelant le dernier numéro composé, sa sonne, la voix de Thibalt retentit, j'reste silencieuse un moment ne laissant échapper que des sanglots pathétiques. - Il.. Il me manque. J'savais pas pourquoi j'lui disait ça à lui, j'comprenais pas c'qui m'avait poussé à lui parler à c'moment-là, c'tait seulement mon dealer.. Rien d'plus mais j'avais envie qu'il vienne, qu'il me rejoigne  là, maintenant, tout d'suite. - J'ai besoin de toi.. Je buvais une nouvelle fois une gorgée. - J'suis dans ma chambre. Je raccrochais aussitôt en jetant vulgairement mon portable sur le lit. J'expirais profondément en attendant que Thibalt arrive, s'il venait..  

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Tu étais silencieux, aujourd'hui tu n'avais pas vraiment l'envie de faire quelque chose. Tu n'avais pas envie de bosser, ni l'envie d'aller dehors. Tu restais dans ton appartement, devant cette immense baie vitré. Ton regard se posait sur les nuages, sur les voitures défilants dans les rues. Tu soupirais, te laissant tomber entièrement sur le canapé. Tu fermais les yeux pour enfin t'endormir. Cela faisait plusieurs jours que tu n'arrivais pas à trouver le sommeil, passant des longues nuits blanches. Tu allais sur ton ordinateur, regardais des films, des séries, tu fumais un ou deux joints. Tu allais traîner dans les rues, aller en boite et te déchirer un peu plus que tu ne l'étais. Mais aujourd'hui, tu n'avais aucune envie de faire tout ce que tu faisais d'habitude. Tu te laissais plonger dans un sommeil profond, à force de lutter, tu avais réussi à t'endormir. Tu allais enfin pouvoir te reposer, mais au lieu de dormir tranquillement, tu commençais à te débattre dans ton sommeil, rêvant encore de cet accident. Cette partie que tu n'oublierais certainement jamais, tu n'avais peut-être que trois ans et pourtant tu t'en souvenais. Des briques revenaient souvent te hanter pendant ton sommeil, ainsi que tes nombreux voyages entre des familles totalement différentes les unes aux autres. Tu n'as jamais connu la paix, l'amour dans ce monde. Tu n'as connu que la souffrance et la tristesse, et plus le temps passe et plus tu as du mal à le cacher. Ton cœur se sert un peu plus à chaque fois que tu croises des familles unies, joyeuses. Tu as encore les mains pleines de sang, c'est tout ce que tu te souviens. Après l'accident, tu t'étais blotti contre ta mère et ton père, déjà mort... Recouvert de sang de la tête au pied, tu n'as jamais réussi à t'en débarrasser. Tu te sent toujours aussi sale, il t'arrive parfois de revivre cette situation quand une livraison se passe mal. Nombre de cicatrices qui recouvrent ton corps, tu as déjà reçu des balles, tu n'es pas qu'un simple dealer. Tu faisais parti d'un castel, tu ne montres jamais vraiment ton corps, de peur que quelqu'un te pose des questions. Plus d'une fois tu revenais avec la chemise totalement recouverte de sang, plus d'une fois tu as passé une soirée entière à nettoyer tes vêtements et à te soigner. Et a chaque fois tu as l'impression d'avoir le sang de tes parents sur toi, encore et encore. Soudain, ton portable vibra cassant ton sommeil, ce qui n'était pas plus mal. Tu étais trempé de sueur, ta respiration était irrégulière et pourtant tu décrochas. Une voix tremblante, des sanglots au bout du téléphone. Tu ne sais pas quoi répondre, tu n'es pas du genre à réconforter les gens. Pourtant tu te lèves pour prendre des vêtements et tu réponds « J'arrive. » tu raccrochais, te glissais sous la douche pour au final t'habiller en quelques secondes. Un t-shirt noir, un jean et des baskets, une chemise à carreaux, un bonnet et tu partais en prenant ton portefeuille et tes clés de voiture. Tu roulais rapidement pour la retrouver, car même si elle n'était qu'une cliente, tu l'aiderais si tu pouvais, car ce petit bout de femme t’intéressait. Une fois sur les lieux, tu traversais le campus plongé dans l'obscurité, et dans un immense calme. Tu marchais tranquillement, montant les escaliers deux à deux avant de te glisser dans le couloir et de toquer à sa porte. Aucune réponse, tu n'allais pas attendre ici pendant des heures. Tu poussais alors la porte, la fermant derrière toi, tu retrouvais la jeune femme dans son lit, totalement différente. Quoi faire ? Si c'était Alexys ou une amie tu l'aurais pris directement dans tes bras, mais là... C'était si différent.
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THIBALT & JULES.

J'me sentais juste pathétique.. Complètement naze, j'appelais un mec qui en avait sûrement rien à foutre d'mes problèmes et qui allait sûrement m'envoyer chier pour venir m'tenir compagnie parce que j'étais dans un d'mes moments de crise d'angoisses incessantes, j'détestais quand j'en arrivais à m'mettre dans des états comme ça, j'me détestais moi-même en fait. Il ne répondit pas tout d'suite, sûrement l'temps d'analyser la chose ou d'me raccrocher au nez en m'disant d'me démerder toute seule mais à ma grande surprise il finit par m'dire d'une voix rauque qu'il arrivait. J'y croyais pas vraiment, j'avais même déjà oublié que j'venais d'appeler Thibalt en lui demandant de rappliquer, mon cerveau était tout embrouillé, j'y voyais pu très net, j'réfléchissais pu très bien, y'avait comme un court circuit et c'est c'qui m'fallait pour aller mieux, sauf que c'soir ça avait totalement l'effet inverse, j'tais dans un piteux état. On tape à la porte, les jambes recroquevillées sur moi-même, les yeux rougeâtres à force d'avoir pleuré, je relevais doucement la tête, incompréhensive, perdue, j'restais figé sur place ne trouvant même pas la peine d'aller ouvrir ou même d'dire un mot. Pas besoin, Thibalt venait finalement d'entrer, je fronçais les sourcils, plissés les yeux, ils m'brûlaient par les larmes.
- J'suis.. J'suis désolé.. J'savais pas quoi faire. J'avais une petite voix cassée, tremblante, Thibalt ne bougeait pas de devant la porte, j'me levais finalement prenant la bouteille que j'serrais contre ma poitrine comme un enfant qui tenait fermement son doudou. - J.. Je.. Hésitante, j'osais pas l'regarder dans les yeux, j'savais pas quoi dire, par où commencer.. Je m'approchais doucement, incertaine pour enfin me blottir contre son torse, le regard vide, bizarrement sentir sa présence m'faisait du bien.

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Pourquoi aller vers cette jeune femme, grand nombre tu en avais fait pleurer. Pourquoi maintenant tu allais la retrouver, elle n'était qu'une cliente, rien de plus. Et pourtant dans sa voix, tu ressentais sa peine et même si tu n'étais pas ce mec à soutenir quelqu'un, cette fois-ci tu levais ton cul pour la retrouver. En même temps tu étais mal, alors autant ne pas être seul, tu préférais être accompagné pour au moins cette soirée. Tu avais roulé rapidement pour rejoindre sa chambre, plus d'une fois tu l'avais livré dans cet endroit. Tu n'avais pas besoin de la chercher, tu n'avais pas besoin de l’appeler tu savais ou aller. Tu avais été silencieux tout le long du trajet, tu avais même baissé la musique histoire de n'entendre que ta propre respiration et le ronronnement du moteur. Une fois vers le campus, tu l'avais traversé rapidement, une marche plus que rapide pour enfin arriver devant sa porte. Tu toquais une fois, puis une deuxième fois et personne ne venait t'ouvrir. Pourtant elle t'avait bien stipulé qu'elle se trouvait ici. Sans plus attendre tu ouvrais doucement la porte, pour la retrouver dans son lit, recroqueviller sur elle-même. Tu ne savais pas quoi faire, tu restais bloqué, regardant la jeune femme dans les yeux. Au final, elle se levait doucement, même vaseuse jusqu'à toi, la bouteille entre les mains. Elle avait suffisamment bu, et il fallait peut-être l'arrêter. « Ce n'est pas grave. » soufflais-tu toujours avec un donc assez froid. Tu n'étais pas un homme à câlin et à bisous, mais bon tu ferais peut-être un effort. Et sans rien dire, elle venait se blottir contre toi, ce qui au début te déchirait une légère grimace, mais au final tu plaçais tes bras autour d'elle. La gardant contre toi pendant un moment, si tu n'avais que ça à faire, pourquoi pas après tout. Tu étais calme, serein, si tu pouvais lui transmettre tout ça, tu n'étais pas contre. « Je suis là, maintenant, calme toi. » soufflais-tu à son oreille.
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