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BABYLONE & SOLVEIG
C'est dingue, c'est moche. Pourquoi est-ce que je l'ai invité alors que je savais pertinemment qu'il n'allait pas venir ? C'est comme si j'avais invité Chuck quoi. Inutile. Je soupire et je salue les quelques personnes présentes sur le stand qui s'en vont. Après tout, la soirée touche à sa fin et j'attrape la bouteille de vodka cachée dans le stand. Pourquoi est-ce qu'elle se trouvait sur mon chemin elle ? J'ai la tête qui tourne et j'ai envie de pleurer. Il faudrait que je sache que je ne dois pas boire parce que j'ai toujours envie de pleurer après. Aujourd'hui n'est pas une exception. Aujourd'hui, la vice-présidente Cabot s'est pris une cuite toute seule et elle est à deux doigts de pleurer. Quel bel exemple je fais pour ma maison. Mais bon, c'est le Homecoming, beaucoup de monde ont l'air de ne pas se souvenir comment ils s'appellent alors bon, ça passera inaperçu. Je balance la bouteille de vodka assez loin, et je secoue frénétiquement les jambes pour me calmer. Faut vraiment que j'me calme, ça sert à rien de se mettre dans des états pareils me dirait ma mère. Ma mère ne comprend jamais pourquoi, je me met dans de sales états pour quelqu'un, elle part du principe qu'on ne doit pas aimer quelqu'un qui nous fait du mal, sauf que 1) je n'aime pas Dean 2) il ne me fait pas de mal, c'est juste que c'est moi qui m'enflamme un peu trop. Comme d'habitude. Je ne veux plus souffrir à cause d'un garçon, j'ai assez donné. Mais les larmes coulent, et je me sens pathétique. Je me relève alors et je m'étale lamentablement sur le sol, je reste alors assise par terre, sans me rendre compte que ma très chère présidente vient de se planter devant moi, décidément, j'accumule les conneries et les boulettes. Bien joué Blackbird.
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Baby par ci, Baby par là. C'est qu'elle est demandée la présidente des Roses. Peut être même un peu trop à son goût. Alors elle court dans tout les sens, tente de bien gérer l'activié proposé par sa maison pour le homecoming. Faut pas décevoir, c'est sa première occasion de prouver qu'elle mérite son titre. Pourtant, elle attire les ennuis la petite brune. Suffit de voir le scandale de la Dunster pour le comprendre. Encore heureux que ça ne soit pas elle qui ait prit la gifle. C'est une rebelle la petite poupée, elle aime pas s'faire attaquer. Les participants s'enchaîne et la latina s'ennuie. Elle veut plus prendre de risque pour ce soir alors elle participe plus. Elle regarde juste d'un air distrait sans tellement s'préoccuper de ce qui s'passe. Des bisous, des plongeons, des questions. Ça aurait pu être drôle si elle était pas si triste la Babylone. Le manque de Valentin s'fait encore ressentir. C'est trop frais comme blessure, trop pesant. Et ça s'voit dans ses yeux azurs qu'elle a mal la pauvre petite, mais personne ne peut rien pour elle. La tête ailleurs, l'âme bien loin, elle s'retient de pleurer la frêle enfant. Elle n'aime pas attirer les regards à vrai dire, elle veut pas soulever les questions et finalement elle sourit. De la manière la plus fausse qui soit mais elle sourit. Son regard est attiré par le flamboiement d'une rousse. Coéquipière pour l'année. Solveig. Elle l'aime bien la Solveig, elle est cool. Mais la Solveig, elle a pas l'air dans son assiette. Un peu trop imbibé d'alcool qu'elle finit par constater la petite brune. Elle s'plante devant la rousse d'un air compatissant la main tendu vers elle. C'est pas le moment de laisser CS baver sur sa maison. Tu veux qu'on s'éloigne un peu ? Il reste plus grand monde dans le stade mais il n'est pas désert non plus. Peut être que parler un peu lui ferait du bien. Elle sait pas trop comment agir la présidente, elle est pas douée pour ça. Mais elle peut essayer, au moins un peu.
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Il faut dire que le Homecoming était bien tombé puisque j'étais arrivée à un point ou je me demandais si tout ce que je pouvais entreprendre était bien, et faire une soirée comme ça, après mon élection semblait être le mieux tombé. Même si j'avais tellement de questions dans ma tête que je me demandais sans cesse quand est-ce que j'obtiendrais des réponses, cette soirée tombait à pic. Je préférais faire comme si de rien n'était, regardant les gens finir dans l'eau, les couples qui se déchire, plutôt que de réfléchir à ma propre vie. Non, je ne me réjouirais pas du malheur des autres, je sais que trop bien ce que cela fait quand la vie décide de nous envoyer nous faire voir. Je sais aussi que ce n'est pas une solution de boire comme un trou, mais j'en ai besoin, l'alcool me fait oublier. Enfin oublier est un bien grand mot, l'alcool me fait juste penser un peu moins à ma vie minable c'est tout. Même quand je me rétale, quand je finis les fesses par terre, quand je me met à pleurer parce que bordel, il me manque, parce que je n'arrive pas à me dire que ça me fait quelque chose quand il me touche, quand il m'embrasse. Parce que je n'admet pas que j'ai envie de crever les yeux à chaque fille qui le touche. Non, je n'assume strictement rien. Lorsque je vois la main de Babylone qui se tend devant moi, je soupire avant de la saisir pour me relever, la tête qui tourne, l'estomac retourné. Je ne dois pas vomir. Non, on va se calmer direct. J'essuie mes larmes quand j'entend sa voix et je lui souris faiblement. « Oui si tu veux, je veux pas que cette vipère de CS ait des trucs à mettre sur moi dans ses colonnes. » Je me met alors en recul de tout le monde et je me rassois dans l'herbe. « Tu m'excuses, mais ça tourne. Je suis désolée de pleurer comme ça, surtout au Homecoming, je me demande ce que vont penser les gens qui voit la vice-présidente qui pleure mais parfois ça fait du bien. » Je lève les yeux au ciel en soupirant et je tape doucement la place à côté de moi pour qu'elle s’assoit. Elle me donnait le tournis à rester debout.
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Réconforter les autres, c'était pas donné à tout le monde. Et peut être bien qu'elle se mettait en mauvaise position la brune puisqu'elle n'était même pas capable de s'occuper d'elle même. Peut être bien qu'elle voyait trop grand mais elle ne pouvait laisser sa partenaire en piteux état sans essayer au moins un peu. Alors elle était là, sans trop savoir comme agir. Elle semblait un peu perdu la poupée, peut être même un peu trop. C'était difficile, fallait comprendre. Elle n'était pas de ceux à tendre la main par habitude. Parce qu'on lui avait si peu tendu en retour qu'elle s'était forgée sa propre carapace. Chacun ses soucis y avait pas à s'en mêler. Elle le répétait souvent la latina. Encore plus depuis que son meilleur ami avait mit les voiles sans se retourner. C'était sûrement la tristesse qui la faisait parler. Elle a toujours des choses à dire, même terriblement fausse. Avec le temps, elle avait juste apprit à ne plus y porter d'attention. Parce que c'était pittoresque de la part d'une anonyme de s'amuser à descendre ses semblables. Les rumeurs c'était le lot de tout le monde, même exposé sur internet c'était pas étonnant. Alors elle s'en fichait la Baby, parce que ceux qui la connaissait saurait déceler le vrai du faux et tant pis pour les autres, elle n'avait rien à prouver. Rien à part la présidence. La rousse s'laissait tomber dans l'herbe un peu plus loin et la latina restait planté là sans trop savoir quoi ajouter de plus. N'accorde pas d'importance à ce que pense les gens. Boire et pleurer, ça fais pas de toi une mauvaise présidente. Elle refusait d'employer le mot la mettant en dessous. Vice, c'était moche. Elle était aussi présidente que la petite poupée. Toutes les deux pour l'année au même pied d'égalité. Le regard suivant les gestes de main de la pâle présidente, Baby finissait par s'exécuter. Tu veux en parler ? De tes larmes qui inondait ton si jolie visage.
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Je ne voulais pas passer pour la fille qui déprime tout le temps, la fin de l'année dernière avait été propice à Bal de Promo et état dépressif à cause de mon divorce et je ne voulais pas que cela recommence à cause d'un garçon. Non, je ne voulais pas être dépendante de quelqu'un, je suis déjà bien trop dépendante de moi-même. Elle me faisait néanmoins sourire en parlant de CS et ce qu'elle disait était totalement vrai, CS n'avait pas la langue dans sa poche et je ne voulais pas qu'elle parle de moi. Surtout qu'elle mentionnerait Dean, et je ne veux pas cela. Certainement pas. Je ne répondais rien et je contentais de reporter mon regard -et ma vue troublée- sur ma collègue pour l'année. J'avais envie de côtoyer encore la bouteille, mais ce n'était définitivement pas une bonne idée. Non, j'avais trop bu et j'imaginais déjà le mal de crâne qui m'attendait. Chose que je déteste. Evidemment. J'avais peur du regard des gens, comme avant, mais elle me rassurait et me disait de ne pas m'y fier. J'haussais les épaules avant de répliquer « Oui mais tu sais, j'ai toujours été comme ça, à accorder de l'importance à ce que pensait les gens... » Je fermais les yeux en tanguant légèrement, j'ai l'impression d'être sur le titanic, sauf que le seul truc qui menace de couler c'est mon cœur. Je cachais mon visage de mes mains en le frottant pour me remettre d'aplomb et je cherchais mes mots. « J'ai pas spécialement envie d'en parler mais, est-ce que tu as déjà voulu, espérer que quelqu'un se pointe quelque part au point de te sentir blessée parce qu'il ne l'a pas fait ? » J'ai le coeur qui se serre quand je dis ça, et j'imaginais vraiment, au fond de moi, que Dean allait se pointer, après tout il était professeur. Mais moi j'étais simplement une élève. Je n'étais rien de plus. Et qu'est ce que j'imaginais ? Que s'il venait, il allait me prendre dans ses bras et m'embrasser devant tout le monde ? Naïve
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Et puis pourquoi pas après tout ? Elle pouvait être une oreille attentive la brune. Pour une fois. Peut être que sa propre tristesse l'avait rendu un peu plus généreuse envers les autres. Peut être qu'elle devenait un peu moins égoïste. Et puis elle l'aimait bien la rousse alors pourquoi la laisser dans cet état. Bien sûr, elle ne serait peut être pas la meilleure aide qui puisse être mais écouter c'était déjà bien. C'était plus que ce qu'elle faisait par habitude. Alors ouais, elle était prête à écouter ses tourments et même sans solution, elle pourrait tenter de calmer cette peine qui envahissait sa partenaire des roses. C'est le monde qui nous façonne comme tel. Trop d'apparence. Les médias appuyaient sur ce point, il était donc normal que les gens agissent de cette façon. Plaire aux autres, plaire aux inconnus. Mais pourquoi ? Dans quel but ? Etais-ce réellement important que de se construire une image de perfection ? Elle poussait un soupir la tornade brune ramenant finalement ses cheveux en un chignon mal fait pour se dégager le visage. Elle était nulle dans le réconfort, tellement nulle. Voyait-on la nullité inscrite sur son visage ? Sa question venait s'glisser simplement et la cabot fronçait les sourcils. Trop de souvenir faisant surface à un simple enchaînement de mot. Ouais.. Pourquoi est ce que tout la ramenait sans conteste à Valentin. Pourquoi ? Etais-ce le destin qui souhaitait une nouvelle fois se moquer de sa peine ? S'il n'a pas d'excuse, zappe le. J'suis bien placée pour te dire que.. T'auras de plus en plus mal si tu t'accroches à quelque chose qui n'est vivant que d'un côté. Lâche prise avant qu'il ne soit trop tard. Elle aurait du lâcher prise elle aussi, on lui avait mainte fois dit. Mais il n'était pas venu celui qui donnerait des ordres à la petite poupée. Et maintenant, elle en payait le prix.
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Je n'avais pas l'habitude de me confier, mais la j'en avais besoin. Grandement besoin, sinon j'allais exploser. J'étais une bombe à retardement et j'allais finir par me faire interner. C'est ça mon souci, j'attend, j'attend et après ça explose. Je ne voulais tellement pas cela, alors peut-être que finalement, me confier, me ferait le plus grand bien. Surtout que Babylone est au courant de la magnifique -ou pas- chute de mon histoire avec Chuck alors elle comprendra peut-être. Peut-être. J'ai envie de boire, de noyer mon chagrin dans l'alcool et de tout oublier demain matin. Mais le souci c'est que je risquerais de coucher avec quelqu'un, et je ne veux pas que la cabot house est une réputation de maison à chaudasses. Il fallait redorer l'image de la maison, et j'allais tout faire pour. Lorsque je réponds à sa question, j'espère sincèrement qu'elle ne le prendra pas mal, ou quoi que ce soit. S'il n'a pas d'excuse, zappe le. J'suis bien placée pour te dire que.. T'auras de plus en plus mal si tu t'accroches à quelque chose qui n'est vivant que d'un côté. Lâche prise avant qu'il ne soit trop tard Mais le souci c'est que je ne lui ai pas proposé, bon je ne le dirais pas à Babylone, mais c'est ça mon souci. « Mais de toutes façons... il serait venu on aurait agi comme deux inconnus... J'ai l'habitude, je sais que ça se serait passé comme ça... » J'ai le coeur qui bat à la chamade, et j'ai l'impression qu'il veut sortir de ma poitrine. Je ne prononce pas le nom de Dean, mais il est partout dans ma tête. Sauf que je n'ai pas le droit. « Et si jamais ça va pas, tu sais que j'suis la hein. » Je me met alors à quatre pattes et je me rapproche de la bouteille que j'ai abandonné quelques minutes plus tôt avant de reprendre place devant Babylone. Si jamais je veux taquiner de la bouteille, elle est près de moi.
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Parfois, elle se demandait si elle avait quelque chose de si mauvais pour mériter ça. Paraissait-il que les mauvaises actions finissait par s'faire payer. Alors qu'avait-elle fait de si mal pour mériter cette douleur et cette peine ? Adriana, Valentin.. Y avait tout qui était mis en oeuvre pour la détruire la petite poupée et à chaque fois, elle se demandait si elle méritait vraiment tout ça. Si elle méritait d'avoir aussi mal, d'être aussi bas. Rejetant une mèche de cheveux de son visage, elle poussait un soupir. Non, elle n'était peut être pas la fille parfaite, peut être bien qu'elle ne se rapprochait pas d'un ange mais.. Jamais elle n'avais commis d'acte horrible permettant de lui infliger ce qu'elle vivait maintenant. Le destin était une pute qui torturait les pauvres gens laissant les plus horrible vivre correctement. Elle méritait pas ça la latina, elle méritait pas cette souffrance et ce trou béant dans la poitrine. Elle ne demandait qu'à vivre la brune mais comment pouvait elle si chaque personne était destiné à la briser un peu plus ? « Mais de toutes façons... il serait venu on aurait agi comme deux inconnus... J'ai l'habitude, je sais que ça se serait passé comme ça… » Toutes les relations étaient compliqués. Sans exception. Les contes de fées c'était que pour les naïve puisque ça n'existait pas. Les "ils vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfant" n'était qu'un mensonge écrit dans les bouquins mais jamais ça n'se produisait. Jamais. « Et si jamais ça va pas, tu sais que j'suis la hein. » Un petit sourire venait étirer ses lèvres couleur carmin alors qu'elle observait la rousse rapatrier la bouteille près d'elle. Et si on faisait un pacte ? Quelque chose à quoi s'raccrocher, une promesse permettant de savoir où aller quand les choses n'allaient plus. Eclaircissant sa voix, l'Espagnole plongeait son regard bleuté dans celui de la rousse avant de prendre la parole. Je promet d'épauler, écouter et aider à surmonter toutes les épreuves que Solveig Blackbird aura à traverser cette année. Un petit rire sortait de sa bouche alors qu'elle reprenait presque aussitôt. J'suis pas ton amie, j'suis pas ta partenaire, ta présidente ou quoi que ce soit d'autre. J'suis ta soeur tu comprends ? Et en tant que soeur, je promet de toujours prendre soin de toi.
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BABYLONE & SOLVEIG
Je ne voulais pas paraître pour la fille forte mais pourtant, j'avais beaucoup de mal à faire confiance aux autres, j'étais faible mais je préférais consacrer ma vie à aider les autres, à bizuter les petites nouvelles et à diriger ma maison avec Babylone, je préférais nettement mieux me remplir la tête de pleins de choses plutôt que de ruminer comme si j'avais des choses à me reprocher alors que c'est tout le contraire. Mais j'ai tellement de choses dans ma tête que je suis à moitié bourrée, je tiens à peine sur mes talons et j'ai failli tomber trois quatre fois avant d'être attirée par le sol. J'aurais tellement voulu que Dean pointe le bout de son nez, mais c'était juste un rêve, une espérance pure et simple mais tant pis.Et puis, je n'étais pas la plus à plaindre. J'annonçais à Babylone que j'étais la pour elle, sa réponse me tire un faible sourire et j'essuie mes larmes, je dois avoir une mine affreuse. « Un pacte ? » Ma voix est interrogative et je sais très bien où elle veut en venir. Je laisse la brunette plonger son regard dans le mien et je l'écoute attentivement, j'ai envie de vomir, mais je me retiens. On dirait presque un mariage. Je ris comme une imbécile avant de chercher autour de moi et j''attrape un brin d'herbe assez épais avant d'en faire une espèce de bague et je reprend ses mots. « Je promet de t'épauler, de t'écouter aussi. De te conseiller dans tes choix de soeurs Cabot. » J'attrape doucement sa main et je lui met la bague en herbe au doigt. « Entre soeurs on se comprendra. » Je la prend alors dans mes bras et la serre doucement. C'est bien d'avoir trouvé quelqu'un qui te comprend sans te juger et je sais que Babylone est une personne comme ça.
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