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Yakira Néri Mizrahi fiche; en cours - terminée C'est le 12 août 1990 à Tel Aviv (Israël), que la famille Mizrahi m'ont accueilli(e) dans leurs bras, ils m'ont prénommé(e) Yakira Néri. Je suis célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis hétérosexuelle et j'en suis fière. Je viens d'une classe sociale aisée. J'ai décidé de ne pas participer au Summer Camp organisé par Harvard pendant l'été. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études en Parapsychologie. Et pour terminer, je voudrais intégrer les Eliot ou les Dunster. |
Études A la rentrée prochaine, j'entamerai ma 4ème année en parapsychologie à savoir l'études des phénomènes paranormaux. Pourquoi me diriez-vous? Tout simplement parce que cela me fascine de savoir que malgré les avancées technologiques de l'homme, celui-ci se pose toujours des questions sur ce qui l'entoure. Mais bon forcément suivre ce cursus fait que l'étiquette de fille folle et bizarre vous colle à la peau. Mais qu'importe, j'ai vu pire. Mis à part ça j'intègre Harvard l'année prochaine car j'ai passé les trois dernières années à l'Université de Washington DC mais j'ai décidé de partir pour commencer une nouvelle vie, tourner la page. | Caractère Il y a chez moi tellement de tristesse que cela a influencé mon caractère. Un brin dépressive et beaucoup trop timide, je ne suis pas du genre à me faire beaucoup d'amis. De toute manière, j'ai beaucoup trop peur du regard des autres pour oser aller vers eux. Je suis ce que l'on peut qualifier comme une écorchée vive qui vit dans sa solitude depuis bien longtemps maintenant. Je n'ai rarement été heureuse dans ma vie peut être est ce du au fait que je ne suis pas du tout sociable et ouverte. Ma grande sensibilité et mon émotivité prend souvent le dessus dans ma vie, et il m'arrive très souvent de fondre en larmes. Une seule fois j'ai accordé ma confiance à quelqu'un mais malheureusement je crois que je ne le referais pas de sitôt. On dit souvent de moi que je suis bizarre, mystérieuse mais derrière cela se cache une jeune femme brisée qui n'aime pas forcément sourire et qui déteste que le gens ait pitié d'elle. Malgré tout quand on me connaît, je suis une personne attachante, naturelle, altruiste, à qui l'on peut tout dire. En amour, je suis passionnée et fidèle mais j'ai du mal à livrer mes sentiments notamment au début. |
Everyone Has Their Own Story
Triste nouvelle aujourd'hui, la célèbre chanteuse Israélienne Bracha Dalit Nissim épouse Mizrahi, plus connu sous son nom de scène Yasmina, est décédé la nuit dernière à l'hôpital international de Tel-Aviv. La naissance de sa fille a mis fin à ses jours. D'après ses proches, elle savait sa grossesse (que nous apprenons donc aujourd'hui) dangereuse mais a voulu quand même aller jusqu'au bout pour donner vie à son unique enfant. C'est son époux Mr Mizrahi, et actuel maire de Tel-Aviv, qui a révélé cette information à la presse préférant mettre fin au rumeurs qui circulent depuis plusieurs mois concernant l'absence de son épouse lors de grands évènements. Nous perdons aujourd'hui une des plus grande voix de notre pays, qui lors du concours de l'Eurovision de 1983, avait offert à Israël la première victoire de son histoire. Les funérailles de la chanteuse sont tenues secrètes. Toute la rédaction offre ses plus sincère condoléances à la famille Nissim et Mizrahi.
Extrait du journal national "Haaretz" datant du 12 Août 1990
C'est donc par cette macabre nouvelle que je suis venue au monde. En clair Israël a perdu sa plus grande chanteuse par ma faute. Et mon père me déteste depuis ce jour. Ce dernier beaucoup trop occupée, ou bien beaucoup trop horrifié de voir l’assassin de son épouse, préféra me donner à ses parents afin de faire mon éducation. Officiellement je suis sa fille, il m'a reconnu par respect pour ma mère, mais ce n'est pas parce que aux yeux de la science je suis sa fille qu'il est pour autant la personne qui m'a élevé. Je dois donc tout à mes grands parents paternels. Venant d'un milieu plus qu'aisé, je n'ai jamais manquer de rien (mon père se chargeant de faire des chèques, avec d'innombrables zéro au bout, à mes grands parents). Mon enfance fut plutôt calme. Comme toutes les jeunes filles de mon âge, je rejoignis très vite les bancs de l'école, me faisant des amis. Oui car aussi surprenant que cela puisse paraître, j'étais à l'époque une petite fille joviale surtout grâce à mes grands parents qui me couvraient d'amour. La religion a été également très présente durant mon enfance. De confession juive, ma famille était attaché aux traditions et je les suivais donc. C'est devenu quelque chose de naturel pour moi au fil du temps. Une enfance dorée dans les rues d'Israël en contraste avec le reste de la population de mon pays.
A l'âge de 10 ans, j'ai du quitter mon pays natal, mes amis, mes grands parents... pour le grand continent et tout cela pour suivre mon père à qui l'on avait proposé la place d’ambassadeur aux Etats-Unis. Cela ne m'enchantait guère de me retrouver dans un pays que je ne connaissais pas en compagnie de mon géniteur qui ne m'adressait même pas la parole. Et ce dernier a d'ailleurs eu le culot de me dire que s'il aurait pu me laisser en Israël, il l'aurait fait, mais il ne pouvais pas parce qu'il avait juré à ma mère de rester à mes côtés. La pilule fut dur à avaler car pour moi cela signifiait qu'il ne m'aimait vraiment pas, que s'il avait pu m'abandonner il l'aurait fait. Aucun enfant ne mérite cela hélas c'est ce à quoi j'ai eu le droit durant toute ma vie: aucun "je t'aime" de la part de mon père, que du mépris et du dégoût. Je laissais donc ma vie derrière moi pour arriver dans la capitale des USA. C'est exactement à partir de ce moment que j'ai commencé à me renfermer sur moi-même, vivant dans ma bulle, loin des autres mais surtout le plus loin possible de mon père. Je suis devenue cette fille invisible que personne ne reconnaît malgré mon nom et mon statut sociale. Mais je peux vous dire que je m'en contrefichais. J'ai beau vivre dans un milieu aisé, je ne m'y sens pas très à l'aise. Après je ne crachai pas sur l'argent évidemment mais accompagner mon père lors de grandes soirées de charité, d'évènements officiels se révélait être pour moi plus un fardeau qu'un cadeau. Je préférais nettement me plonger dans mes bouquins relatifs au surnaturel. Jusqu'au jour où lors de l'une de ces soirées, je fis une rencontre qui me changea complètement. Cet homme de 15 ans mon aînée fit chavirer mon coeur. J'étais à l'époque une jeune lycéenne de 16 ans alors que lui était un brillant et charmant politicien (un sénateur pour être exacte) de 31 ans. A partir de ce jour je ne pensais qu'à lui. Il était venu m'aborder et m'avait proposé que l'on se revoit quelques jours plus tard. Evidemment je ne ne savais nullement dans quoi je m'embarquais mais j'étais tellement en manque d'affection et tout simplement d'amour que j'en étais devenu aveugle. Je l'aimais comme une folle et durant 2 ans ce ne fut que pur bonheur, malgré le fait que nous ne faisions que nous voir en cachette pour éviter toutes rumeurs. Notre différence d'âge ne passera pas à la presse et encore moins aux yeux de mon père. Mais j'acceptai cette relation cachée car pour une fois dans ma vie j'étais heureuse de vivre.
Hélas cela ne pouvait plus durer plus longtemps enfin pour lui. Je venais d'obtenir mon diplôme de fin d'année et accepté à l'université de la ville de Washington grâce à mes notes plus que correctes et amoureuse cependant l'être aimé mit fin à notre relation. Je tombais des nues, tout mon monde s'écroulait et la tristesse avait envahi tout mon corps ce jour-ci. Mais le pire dans tout ça c'est lorsqu'il me donna la raison de la fin de notre histoire: sa femme attendait leur premier enfant. Oui il était marié depuis 5 ans et c'était seulement maintenant que je l'apprenais. J'avais été bien trop naïve de penser que notre histoire durerait. J'étais brisé de l'intérieur, mon coeur déjà meurtri à cause d'un père qui me déteste et maintenant celui-ci est en miettes à cause de l'être aimé qui part. Les jours qui suivirent cette perte furent les pires de ma vie et au bout du cinquième, je décidai qu'il était temps de faire quelque chose qui me permettrait d'enlever toute cette douleur en moi. C'était le 13 juin 2008, à 11h04: je me plongeai dans mon bain et entrepris de me couper les veines. Je me sentis partir et je me rappelle qu'à ce moment j'étais bien. Après tout n'était-ce pas ce que je méritais, mon père me tenait responsable de la mort de ma mère et au fil des années j'ai peu à peu aussi penser que si je n'avais pas été de ce monde alors ma mère serait de ce monde. Elle ne méritait pas de partir. Mais heureusement ou pas pour moi, mon suicide fut raté. La femme de ménage (oui elle, pas mon père c'est tellement logique) me retrouva dans ma baignoire qui avait pris la couleur du sang et m'emmena directement à l'hôpital. Après 3 jours de coma, je me réveillai mal au point et le seul réflexe que j'eu fut de pleurer en découvrant que j'étais finalement sur Terre et non au Paradis comme je l'aurai préféré. S'en suivirent des mois de suivi psychologique et on me diagnostiqua une dépression. Malgré cela j'entrai quand même à l'Université pour suivre un cursus en parapsychologie (cela n'enchantait guère mon père il fallait s'en douter mais il ne réussit pas à me faire changer d'avis). Durant des années, je continuai à être suivi par un psychologue, et les anti-dépresseurs étaient devenus mes meilleurs amis.
Tout ce que je souhaite aujourd'hui, c'est tourner la page, tenter d'être heureuse à nouveau. Et pour cela, le seule remède et de m'éloigner de mon père. Je lui est donc annoncé mon départ pour Cambridge à la fin de mon année. Je lui est dis qu'il n'entendrai plus parler de moi jusqu'à la fin de sa vie, lui crachant à la figure que comme ça il aurait au moins ce qu'il voulait, à savoir mer rayer une bonne fois pour toute de sa vie. En échange je lui demandai une bonne somme d'argent tous les mois, me permettant ainsi de vivre, de suivre mes études et d'avoir ma dose quotidienne de médocs. Il accepta le marché sans rechigner en me signant un chèque de 10 000 $ qu'il renouvellerai chaque mois. La seconde d'après, j'avais franchi la porte et me dirigeai vers l'aéroport direction Cambridge. J'avais deux mois pour m'acclimater avant la reprise des cours.
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