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ZORAN&ANTONIA † the truth about friendship.

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The truth about friendship
ZORAN & ANTONIA

"C'est l'heure de dormir Nikola !" Je prends le petit amour dans mes bras tandis qu'il passe ses deux bras autour de mon cou pour me faire une grosse étreinte. Qu'il est adorable celui-là. Zoran et sa femme n'était pas le soir, cette dernière était en déplacement et Zoran faisait des heures sup, en bonne marraine que je suis on m'avait assigné la tâche de surveiller le petit Nikola ce soir. Et c'était toujours un bonheur car j'adorais ce gamin. Je l'emmenais faire sa toilette et étais au petit soin pour lui. Je le faisais asseoir sur le lavabo et lui brossais les dents, lui lavais le visage avec un gant de toilette, lui mettais de la crème pour bébé, telle une maman. Après avoir fini, je l'emmenais dans son lit. "Tata Antonia, tu peux me lire une histoire siteuplait ?" me demanda t-il de sa voix mielleuse et toute enfantine. Je ne pouvais qu'accepter cette demande, si gentiment demandé par un petit prince. Je terminais la lecture au bout de quelques minutes, Nikola s'étant enfin endormi. C'est avec des petits pas de chat que je sortais de sa chambre et me dirigeais à la cuisine pour préparer un petit quelque chose à Zoran qui n'allait pas tarder à rentrer.


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ZORAN & ANTONIA


J’avais bien de la chance d’avoir retrouvé quelques amis ici. Surtout une en particulier. Antonia était la marraine de Nikola et une amie de longue date. Je savais que je pouvais compter sur elle. Quand le coach de l’équipe de basket m’a demandé de rester plus tard afin de repenser le système de jeu, j’ai tout de suite demandé à mon amie de récupérer mon fils. Cette semaine est particulière, ma femme est en voyage professionnel et me retrouver seul avec mon fils alors que je travaille d’arrache-pied est un peu compliqué. La refonte des systèmes et l’étude du cas par cas pour les postes aura duré bien plus longtemps que prévu, et il me tarde presque de rentrer. Quand je sors du bureau du coach, je me pince les lèvres en voyant l’heure sur l’horloge. Nikola est déjà couché, j’irais donc le border, mais pas d’histoire ce soir. De toute façon, Antonia s’en est probablement chargée. Une fois à la maison, je pendis ma veste dans l’entrée et déposai les clés sur le petit meuble. Home sweet home. Je trouvai Antonia dans la cuisine et je m’accoudai au comptoir en souriant : « Qu’est-ce que tu fais ? La marraine est invitée, pas aux fourneaux ! » Je m’approchai alors d’elle pour l’enlacer, content de la retrouver : « T’es géniale Anto’, tu m’as sauvé la vie, c’était interminable ! » J’aimais mon boulot, mais il y avait des moments où je préférais rester en famille ou entre amis à me laisser vivre aussi. « Ca va, Niko a été sympa ? » C’était un euphémisme de demander cela, car mon fils était un garçon très enthousiaste mais respectueux au possible. Il était rare qu’il pleure ou fasse des crises. De ce côté-là, j’avais de la chance. Je pensais souvent à avoir un autre enfant, mais ces derniers temps, ce sujet n’était pas revenu sur le tapis. Regardant Antonia, je lui demandai : « Tu comptais faire quoi à manger, que je prenne le relais et que tu te reposes ? » On avait beau être riches ma femme et moi, on avait toujours mis un point d’honneur à faire les choses nous-mêmes, même si avoir une gouvernante aurait été une bonne chose, on ne voulait pas que Nikola grandisse en étant assisté.


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En me retrouvant dans la cuisine, je sortais les ingrédients dont j'avais besoin. Comme je n'osais pas vraiment fouiller, je prenais les premières choses qui s'offraient à moi. Des pâtes, des tomates, du steak et du bacon, un peu d'oignon, du sel.. est-ce que tout était bon ? Je commençais à préparer tout cela en repensant à l'amitié que je partageais avec Zoran. Il était rare que je me lie autant à quelqu'un, un homme en fait. Des amitiés aussi forte et durable, je n'y avais pas souvent eu le droit. C'est ce type de relation qu'il fallait préserver à vie. Zoran était un très bon ami, un très bon joueur, un très bon papa, mais je commençais à douter du fait qu'il soit un mari à part entière avec sa femme. Quelques échos, quelques jérémiades étaient arrivées à mes oreilles, et je pensais réellement en parler avec lui ce soir. Tandis que je mettais les pâtes dans l'eau chaude, j'entendis du bruit vers la porte d'entrée. Il devait sûrement être rentré. « Qu’est-ce que tu fais ? La marraine est invitée, pas aux fourneaux ! » Je souriais tout en continuant de faire ce que je faisais. "Oh je t'en prie, pas de ça entre nous Zoran." Il vint me prendre dans ses bras pour m'enlacer. C'était agréable, ça faisait longtemps que nous n'avions pas partagé d'étreinte, Zoran devait sûrement être plus heureux que je ne le pensais de me voir. « T’es géniale Anto’, tu m’as sauvé la vie, c’était interminable ! » Je grimaçais un peu. Son boulot n'était pas du tout facile je le concevais chaque jours, je serais toujours là pour lui et pour l'aider dans n'importe quelle situation. Il était un peu comme un grand frère pour elle, un membre de sa famille vous voyez ? « Ca va, Niko a été sympa ? » Je commençais à couper les légumes : tomates et oignons, tout en lui répondant. "Comme toujours, c'est un AMOUR ! Tu n'as même pas à me demander ça, je suis sa tata préférée." Je soupirais de bonheur en repensant à ce petit bout de chou. "Je l'aime tellement ton fils, si tu savais." Plus encore que notre amitié, je partageais un lien presque maternel avec Nikola. Je l'avais dès sa naissance et ça avait été le coup de foudre. Ce petit homme était devenu mon favori, mon petit prince. Je l'affectionnais beaucoup trop en réalité. « Tu comptais faire quoi à manger, que je prenne le relais et que tu te reposes ? » Alors ça hors de question. Je lâchais mon couteau et posais mes mains sur les épaules de Zoran (bien plus grand que moi.. certes !) pour le faire asseoir sur une chaise. "Hors de question ! Tu as travaillé toute la journée, tu es rentré super tard et il faudrait que je te laisse faire à manger ? Mon oeil oui ! Reste assis et je vais t'assister comme ce que j'ai fais à Nikola ce soir. Je vais m'occuper de toi." Je lui tirais la langue puis continuais mon découpage de légumes. J'étais une femme attentionnée qui prenais soin de ses proches, Zoran ne serait pas une exception alors je n'avais pas besoin d'aide. "Et toi ? Racontes moi ta journée. Elle a l'air d'avoir été longue, j'espère que tu tiens le coup." Je levais les yeux au ciel, essayant de me rappeler ce quelque chose qui m'avait échappé. " Ah oui ! et ta femme a appelé tout à l'heure, elle m'a dit que tu devais la rappeler dans la soirée, quand tu rentrerais." Sûrement parce qu'il avait éteint son téléphone.


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Antonia était le genre de personne que tout le monde se doit d’apprécier. Elle avait les pieds sur terre, elle ne faisait jamais ressentir à quiconque son statut de princesse. Et c’était tout à son honneur. Notre rencontre avait été fortuite, mais elle avait donné suite à une grande amitié et je ne regrettais absolument pas de l’avoir nommée marraine de Nikola. La jeune Windsor était juste parfaite dans ce rôle. Si bien que je m’imaginais déjà la voir devenir mère. Elle serait formidable dans ce rôle. Mais rien ne pressait, elle n’avait que vingt-trois ans, âge auquel j’étais devenu père suite à un petit accident. Pour autant, Nikola nous a comblés de bonheur depuis. Antonia savait tout faire. Elle cuisinait même, et si je ne souhaitais pas qu’elle commence à s’acharner, elle qui m’avait déjà rendu un fier service, elle me remit immédiatement à ma place, changeant de sujet pour parler de ma petite merveille. Nikola l’appréciait réellement. Il n’y avait pas beaucoup de personnes qu’il n’aimait pas, mais avec elle, il faisait les quatre cents coups et elle était presque comme une deuxième maman pour lui. J’étais ravi de la déclaration de la demoiselle envers mon fils, parce qu’elle montrait bien que Nikola était une totale réussite, et que j’avais fait le bon choix en acceptant de le garder et de l’élever comme il le fallait. « Moi aussi je l’aime ! J’en suis trop fier ! » Il mettait en lumière nos plus belles qualités. Avec Nikola, j’avais l’impression d’être le père idéal, chaque problème s’envolait dès qu’il souriait. J’avais presque envie d’abandonner Antonia pour aller le voir et l’embrasser et le border. Mais je préférais laisser mon petit ange dormir. Reprenant le sujet antérieur de celui qui doit faire la cuisine, la jeune femme mit les mains sur mes épaules pour me forcer à m’asseoir sur la chaise la plus proche. « Depuis quand c’est la princesse qui fait ?! Bon c’est bien parce que c’est toi ! » Dis-je en plaisantant. Oui j’avais eu une journée fatigante, mais d’ordinaire je m’occupais quand même de la maison puisque ma femme avait un emploi du temps tout aussi chargé. Journée qu’Antonia souhaitait que je lui raconte. « Oui, une journée de travail normale ! Comme tous les matins je nage, puis je vais au bureau faire de la paperasse, puis je mange, je passe des coups de fil pour le club comme pour l’université, et puis je fais les entrainements féminins et masculins. Sauf que le coach de l’équipe masculine voulait qu’on change tous les systèmes de jeu pour la nouvelle saison donc c’était bien long ! » Mais j’aimais mon travail, je m’y épanouissais tout autant que lorsque j’étais joueur, et parfois ça me replongeait dans mon passé glorieux, celui que l’on avait conservé dans une caisse bien rangée dans le bureau, au cas où on ait envie de se replonger dans mes heures de gloire au même titre que les premiers pas de Nikola. La marraine de mon fils me fit part d’une commission qui me mit la puce à l’oreille. Me tapant le front, je reconnaissais mon erreur : j’avais oublié de rappeler ma femme. Elle qui s’inquiétait de savoir si les hommes de la maison s’en sortaient. « Oh mince oui, j’ai complètement oublié de la rappeler à midi ! Et pour ne pas être dérangé j’ai éteint mon téléphone après t’avoir appelée… » A m’occuper de tout le reste, j’avais oublié l’essentiel. Ainsi, je préférais demander à Antonia si elle lui avait dit quelque chose de particulier, je la rappellerais plus tard. Je n’allais pas faire faux bond à mon amie pour discuter avec ma femme d’une journée sans intérêt. « Elle t’a dit quoi ? Ca se passe bien là-bas ? » Demandai-je alors que je me rendais compte que j’avais laissé mon téléphone dans la voiture. Distrait ou fatigué, je ne me laissais pas contrarier pour si peu. « Je la rappellerais tout à l’heure ! » Lui signalai-je alors que je me levais pour mettre la table.

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Zoran était à peine rentré et il animait déjà la maison entière, il la faisait vivre si naturellement. Je ne regrettais en aucun cas de l'avoir rencontré. Certes les conditions avaient été plus ou moins loufoques, mais avec le temps, nous avions appris, malgré notre différence d'âge à solidifier une réelle amitié. A la naissance de Nikola, quel ne fut pas mon bonheur de voir ce petit ange, le fils de Zoran quoi ! ce n' est pas rien. A cette époque j'avais épaulé Zoran pour qu'il le garde et j'étais sûr qu'il ne regrettait pas son choix. « Depuis quand c’est la princesse qui fait ?! Bon c’est bien parce que c’est toi ! » Bien heureusement qu'il allait me laisser faire ! Princesse ou pas, en présence de mes amis, je n'étais ni princesse ni comtesse ni ce que vous voulez, j'étais une femme normale, sans statut, sans rien. Et lui faire à manger était un réel service que je voulais lui rendre. Après une longue journée fatigante, quoi de mieux. Il commença d'ailleurs à me raconter sa journée, si fatigante soit elle. « Oui, une journée de travail normale ! Comme tous les matins je nage, puis je vais au bureau faire de la paperasse, puis je mange, je passe des coups de fil pour le club comme pour l’université, et puis je fais les entrainements féminins et masculins. Sauf que le coach de l’équipe masculine voulait qu’on change tous les systèmes de jeu pour la nouvelle saison donc c’était bien long ! » Je lâchais mon couteau en ouvrant grand les yeux, bon dieu rien qu'à entendre ça j'avais déjà mal à la tête et je n'avais plus de force dans les bras. Pourtant j'étais autant énergique que lui puisque nous partagions une passion en commun : le sport. "Et bien, ce n'est pas rien ! C'est le genre de journée que j'aimerais faire une fois dans ma vie, mais ne la faire qu'une fois tu vois ?" Car évidement, être une descendante de la famille royale d'Angleterre m'enlevait tout soucis à propos de l'argent. Parfois j'aurais aimé savoir me débrouiller seule et gagner ma vie par moi même, mais il fallait le dire, je n'avais pas le choix sur le mode de vie que je devais adopter. J'étais un peu le dernier espoir et la dernière étincelle de la famille Windsor. Après avoir rappelé à Zoran qu'il devait rappeler sa femme, je sortais les pâtes de l'eau bouillante pour les déposer dans une passoire. Il se rendit compte de son erreur et commençait à être légèrement paniqué. « Oh mince oui, j’ai complètement oublié de la rappeler à midi ! Et pour ne pas être dérangé j’ai éteint mon téléphone après t’avoir appelée… Elle t’a dit quoi ? Ca se passe bien là-bas ?» J'hochais la tête, déposant les légumes dans une casserole chaude. Etait-il temps que je fasse allusion à ce que j'avais remarqué et à ce que sa femme avait pu me chuchoter dernièrement ? Tandis qu'il commençait à mettre la table, je m'accoudais sur le comptoir, l'observant sérieusement. Il était temps de se lancer dans l'arène, maintenant que le sujet était abordé. "Dis moi... si ce n'est pas indiscret je peux te poser une question ?" J'inspirais un bon coup puis me mordais la lèvre inférieure, presque honteuse de demander une telle chose à Zoran. "Tout va bien avec ta femme ? J'ai des yeux et des oreilles et ça n'a pas l'air d'aller fort entre vous." Qu'on me tue si j'avais tort, car tout ce que je voulais c'est que mon ami se sente bien dans sa vie de famille et surtout Nikola, qu'il n'ait pas à souffrir à propos de leur problème.


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hj ; j'adore ta façon d'écrire, je devais te le dire Vic ZORAN&ANTONIA † the truth about friendship. 2511619667
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Jamais je n’avais considéré Antonia comme une princesse. En réalité, son statut n’avait guère d’importance pour moi. Elle pouvait même être présidente ou premier ministre de son pays que je ne changerais aucunement ma façon d’agir avec elle. On avait un lien fort. Son avis avait toujours compté, et pourtant, elle était plus jeune que moi. Sa maturité avait été précieuse à n’importe quel moment et notamment dans les situations de crise. Elle avait toujours la bonne solution sous le bras, elle était comme une bonne étoile. Assis, les coudes sur la table comme un enfant, je la regardais faire en silence tandis qu’elle semblait éreintée rien qu’à l’idée d’imaginer ma journée. Cela me fit rire et j’enchainais en lui rétorquant : « Pourtant elle est pas si chiante que ça, moi je m’éclate dans mon boulot ! J’aurais plus de mal avec tes obligations ! Mais je t’emmènerais un jour pour une journée dans la peau de Zoran Djordjevic ! » Il est vrai que je ne supporterais pas qu’on me dicte ce que je dois faire comme si je n’étais qu’un pantin. D’ailleurs, je pensais bien qu’Antonia et ce fort caractère ne se feraient jamais à cette vie. Quoiqu’à ce qu’on racontait, la reine d’Angleterre avait beaucoup d’humour et peut-être que l’idée qu’on se faisait de cette vie était erronée. Antonia était loin de l’image que l’on voyait d’ordinaire de la famille Windsor et c’était tant mieux, qu’elle vive comme elle l’entend ! Si elle avait des obligations, moi j’avais oublié les miennes. Ma femme devait croire que je lui faisais la tête. Je me rattraperais. Il le fallait. Mais j’étais curieux de savoir ce qu’elle avait dit à la marraine de notre fils mais elle se contenta juste d’acquiescer, ce qui me mit la puce à l’oreille. Quelque chose n’allait pas et j’attendais de savoir quoi en mettant la table. Je savais qu’elle parlerait tôt ou tard, achevant la préparation de notre repas. Je me retournai vers elle, intrigué par sa question qui laissait entrevoir que mes doutes se confirmaient : « Euh...oui, tu sais que tu peux tout me demander ! » Mais j’avais arqué un sourcil, qui montrait bien que je savais presque à quoi m’attendre. Elle me balança finalement le verdict, et ne cachant pas ma surprise, je me retournais vers elle et la dévisageai : « Comment ça ? Elle t’a dit quoi ? » Je voulais d’abord savoir ce qu’elle avait pu lui dire avant de m’aventurer sur ce terrain-là. Et puis j’haussais les épaules avant de lui lâcher : « Non… ça va, comme d’habitude ! » Je ne mentais pas, notre couple s’était installé dans une certaine routine, mais il me manquait la lueur de nos débuts, il n’y avait plus rien de fun, c’était comme si on avait pris quarante ans en une seule année. Aucune dispute, mais pas de folie, et ça me manquait, mais aussi ça m’éloignait. Ce n’était pas sa faute à elle, elle avait un boulot prenant, et le mien en prenait également beaucoup désormais. « On s’enferme juste dans une certaine routine de vieux couple, mais j’ai rien à lui reprocher. Mais j’avais bien hâte de savoir ce qu’elle allait me confier.
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HJ: Ooooh merci! Vic C'est super gentil! ZORAN&ANTONIA † the truth about friendship. 3850463188 Toi aussi t'écris super bien! ZORAN&ANTONIA † the truth about friendship. 1839924927
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