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Ryder Jezabel Taylor >> Alexis le Trash

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Ryder Jezabel Taylor
fiche; Terminée

C'est le 15 Mars 1990 à Albuquerque, Nouveau Mexique , que la famille Taylor m'ont accueillie dans leurs bras, ils m'ont prénommé(e) Ryder Jezabel " R.J " pour les intimes. Je suis Célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis bi et j'en suis fiere. Je viens d'une classe sociale Moyenne. J'ai décidé de ne pas participer au Summer Camp organisé par Harvard pendant l'été. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études d' Design de mode depuis cinq ans et je bosse comme mannequin en parallèle . Et pour terminer, je voudrais intégrer les Students.

Études
La mode a toujours été une passion pour moi alors il était évident que je ferais des études là-dedans. Depuis toute petite déjà, je rêve de créer ma propre marque et ma propre ligne de vêtement et de devenir célèbre dans le monde entier comme Vuitton, Lagerfeld ou Gaultier. J’ai toujours adoré les vêtements, les dessiner, les porter alors pour moi c’était une évidence Donc voilà, je suis là parce que c’est ma passion, mon rêve.
En tant qu’étudiante, je suis de celle qu’on voit souvent dans les soirées, qu’on drague mais qu’on arrive jamais à avoir. Je délire souvent en cours avec mes amis et il n’est pas rare de me voir arriver la gueule enfarinée et la gueule de bois. Cependant, je reste sérieuse lorsqu’il s’agit des examens mais après je le fais un peu à ma façon.


Caractère
Ryder Jezabel Taylor , R-J pour les intimes , un nom bien masculin en somme. Vous devez vous dire que je dois être une véritable peste, doublée d’un garçon manqué n’est-ce pas ? Et bien vous ne vous trompez absolument pas. Je suis du genre à ne pas me prendre trop au sérieux et a accumulé les conquêtes lorsque j’ai décidé d’ajouter une ou deux têtes à mon tableau de chasse. J’aime bien regardé un match de baseball ou de basket, une bière et un paquet de chips à la main, avec des gars. Je n’ai pas peur de me comporter de manière plus ou moins salace. Tout comme je n’ai pas peur d’en venir aux mains avec quiconque me casserait trop les pieds. Bref, une fille bourrée de testostérone parfois.

Cependant, outre ce côté-là de ma personnalité, je reste une fille qui prend soin d’elle, qui se fait les ongles et qui aimes les vêtements et qui est douce et attentionnée, quoi ! Tout comme je reste un peu fleur bleue sur les bords et sensible. Et, comme une vraie, fille j’aime bien être une langue de vipère, être gênée quand je reçois un compliment de la part d’un garçon que j’apprécie plus que de coutume et qui n’est pas un coup d’un soir. J’aime les soirées pyjamas entre filles et aller chez le coiffeur. Pour le reste vous verrez bien si vous me croisez au détour d’une soirée ou d’un couloir.



Everyone Has Their Own Story

Le bruit des gouttes de pluie sur mon parapluie noir ne suffisait pas à calmer les soubresauts de mon cœur dû à chaque larme qui coulaient sur les joues de ma petite sœur, Stella. Perchée sur mes hauts escarpins noir, glissée dans un tailleur ébène stylisé année 50 et mes longs cheveux bleus remontés en chignon, voilà que j’enserrais les frêles de ma petite sœur et tenais la main tremblante de mon père. Mes larmes, elles, roulaient sur mes joues comme des perles sur mes joues. Je restais stoïque tandis que mes yeux suivaient les contours du cercueil qui nous faisait face. Nous enterrions notre mère, notre phare dans la nuit, notre épouse, celle qui avait fait de nous ce que nous sommes aujourd’hui. J’écoutais distraitement les dires du pasteur, trop meurtrie par cette disparition soudaine. Je vagabondais ailleurs, dérivant du cercueil sur les gens qui pleuraient ma défunte mère. Ce n’était pas juste, ni pour ma sœur, ni pour mon père. Ils ne méritaient pas ça. Mais moi si. Je passais de visage en visage, de mine triste en mine triste, ailleurs … Nous nous trouvions au beau milieu du cimetière d’Albuquerque, sous la pluie battante. Quel cliché ! Quand, appuyé au loin contre un arbre, je remarquais le souvenir de l’amour de ma vie… Mais avant de vous raconter tout ça , il faut que vous sachiez qui je suis et pourquoi je suis celle que je suis aujourd’hui.
Il y a maintenant un peu plus de vingt-deux ans, ma mère et mon père, des gens formidables, firent une fécondation in vitro dans le but d’obtenir un enfant. Depuis des années ils essayaient encore et encore, sans jamais perdre espoir, de procréer pour concrétiser leur mariage et leur couple. Mais ils n’y arrivaient pas. C’est alors qu’ils décidèrent de tenter de coup pour le coup en se tournant vers les fivs, essayant de nombreux échecs. De moins, jusqu’à ce jour, où il n’y eut ni perte de sang, ni douleur atroce dans le bas ventre. Ma mère, retrouvant un peu d’espoir, alla chez son médecin, accompagnée de mon père, sans se douter de la joie qui allait l’enivrer quand elle verrait mon petit cœur battre dans le moniteur. Et quelle joie d’ailleurs ! Ils n’en revenaient pas. Ils avaient réussis, ils allaient être enfin parents, la guerre était presque gagnée. Tout ça n’avait pas servi à rien , les piqures, les tests en tous genre , les nombreux sacrifices… Tout était parti en fumée à l’instant même où il avait vu l’ébauche de mon être, moi … La grossesse cependant ne s’annonçait clairement pas dans les meilleures conditions mais ma mère fit tout pour ne pas me perdre, exécutant les ordres des médecins sans jamais rechigné. Et très vite, mes premiers cris résonnèrent au creux de ses oreilles. J’étais là, enfin. Ils avaient réussis. Je fus une enfant très choyée durant les premiers mois de ma vie. Ils n’avaient d’yeux que pour moi. Ma mère décida même d’abandonné job et obligations en tout genre pour ne pas rater une seule minutes de mes premiers pas dans la vie. Pour mes premiers pas elle fut là. Mes premiers mots furent pour elle. Elle fut la première dans toutes les grandes étapes de mon début de vie. Mon père, lui, bien qu’il ne vienne qu’en seconde position, rayonnait de bonheur. Il avait un enfant, une famille, un boulot qu’il adorait, une situation confortable mais pas trop, bref, tout ce dont il avait toujours rêvé. Et ce qui le rendait le plus heureux, c’était l’inlassable sourire qui illuminait le visage de son épouse, son âme sœur, ma mère. Mais les enfants grandissent trop vite et très vite ma mère eut envie d’un second enfant. J’allais déjà à l’école en ce temps-là et ne comprenais pas tout encore. J’étais une enfant. Ils essayaient naturellement, pensant, que le problème serrait régler comme c’était arriver à d’autres couples. Mais au bout de deux ans, rien ne venait alors ils empruntèrent de nouveau le chemin qu’ils avaient pris pour mois et ce n’est qu’au bout d’une interminable autre année qu’un nouveau miracle se produisit : ma mère était de nouveau enceinte. J’avais 6 ans et je fus la plus heureuse des petites filles à l’idée d’avoir un petit frère ou une petite sœur. A cette époque, j’étais calme et très douce, adorable et ouverte. Je ne pestais jamais, ne réclamais jamais rien, m’amusant de ce que j’avais mais déjà, mon goût pour les vêtements commençait à se faire sentir. Et puis Stella vint au monde et la jalousie commença à monter en moi. Petit à petit, je changeais. Au fur et à mesure des années, je devenais râleuse, garçon manqué et impatiente. Tandis que ma sœur incarnait la petite fille modèle, parfaite en tout point. Au collège, je m’empirais encore et encore, jusqu’à développer une anorexie. Turbulente et sauvage, je n’étais plus la petite fille calme que je fus à un moment, au grand dam de mes parents et de ma mère surtout. Mais je me disais qu’il y avait toujours ma sœur pour me rattraper. De plus, je n’étais ni une mauvaise, ni une bonne élève, me contentant uniquement de la moyenne. Cependant, je passais quand même au lycée et c’est au lycée que tout devint catastrophique. J’étais comme un garçon. Je collectionnais les conquêtes comme je collectionnais les cartes de baseball. Je ne trainais qu’avec des garçons, ne m’intéressait qu’à des trucs masculin. Mais gardait un certain lien avec ma féminité à travers la mode. Et puis il y avait les fêtes, la drogue, l’alcool, les cigarettes et le sexe. Ce qui n’améliorait visiblement pas mes notes. Mais grâce c’est grâce à cet état d’esprit que je l’ai connu : Ethan Nathanaël Black. Il était fantastique, hypnotique, insaisissable. Il était lui dans toute sa splendeur. Le mec que toutes les filles de mon lycée voulaient. Le mec que je n’aurais jamais. Pourtant, il s’intéressa à moi et nous entrâmes dans un jeu de chat et de la souris. Et puis, lors d’une soirée, trop alcoolisée, trop droguée, trop déphasée avec moi-même, nous finîmes tous les deux nus au beau milieu d’un terrain de football à regarder le ciel. Depuis ce soir-là, nous fûmes inséparables. Nos parents respectifs tentèrent de nous séparer, de nous faire aller mieux. Ils réussirent et Je finis par partir en cure de désintox et contre les troubles alimentaires, enchainant les heures de psy. Il était tout pour moi, mon rayon de soleil, mon oxygène, mon eau, ma nourriture … tout. Lorsque je sortis de cure, c’était déjà trop tard. Il était parti, emporté par le mal dont on m’avait soigné : la drogue. Notre histoire aura, en tout, durée deux ans … et sa disparition eut pour résultats une dépression que je soignais à ma façon. Enchainant les hommes et les heures de bachotages. Mais cela ne servit à rien … je réussis le lycée et entrait, par on ne savait quel moyen, à Harvard. Là-bas, je décidais de me consacrer uniquement à la mode et d’arrêter les conneries. Cela dura deux ans à nouveau, puis les médecins décelèrent un cancer à ma mère, un cancer du côlon. Pendant deux ans, je fis les allers-retours d’Harvard au chevet de ma mère, reprenant les conneries de plus belles afin d’oublier la peur que me procurait l’idée de sa perte… Le cancer eut cependant raison d’elle au bout de trois ans.
C’est pourquoi, je suis là, sous la pluie rarissime d’Albuquerque à voir le fantôme de l’homme de ma vie. J’avais perdu les deux personnes qui avaient compté énormément à mon cœur, de façon trop prématuré et j’avais honte, honte, de faire souffrir les deux personnes qu’il me restait à cause de mon comportement. Mais on ne change jamais.


the face behind
↬ PSEUDO/PRÉNOM - iCamille / Snake
↬ ÂGE - 19 dans 5 jours
↬ PAYS/RÉGIONS - Toulouse
↬ OÙ AS-TU CONNU LE FORUM - via obsession
↬ TES IMPRESSIONS - Cool !
↬ CRÉDIT(S) - Snake & Tumblr.
↬ AVATAR - Alexis le Trash.
↬ SCÉNARIO OU PI? - Pi.
↬ LE MOT DE LA FIN - Faim !

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Rebienvenue ! Ryder Jezabel Taylor >> Alexis le Trash 2109348208
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Bienvenue parmi nous Ryder Jezabel Taylor >> Alexis le Trash 3400909363
Bonne chance pour ta fiche and have fun :luv2:
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bienvenue parmi nous miss Ryder Jezabel Taylor >> Alexis le Trash 1508216586
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BIENVENUE BIENVENUUUUUE !!
Bon courage pour ta fiiiche !!! 👋
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Alexi Ryder Jezabel Taylor >> Alexis le Trash 2511619667

Re-bienvenue !
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