C'est le 5 septembre 1989 à Sydney, que les membres de la famille Targaryen-Escobar m'ont accueilli(e) dans leurs bras, ils m'ont prénommé(e) Neymar Laserian Damian Alexis. Je suis célibataire n'ayant malheureusement pas eu de relation sérieuse avec les filles dans le passé et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis un pur hétérosexuel depuis mon arrivé sur terre désolé pour les hommes et j'en suis fier(e). Je viens d'une classe sociale aisé même beaucoup trop, l'un des plus riches au monde. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études de Politique (Majeur) et Psychologie (Mineur) depuis 4 ans et travaille en parallèle de mes études en tant que sauveteur sur les plages (facultatif). Et pour terminer, je voudrais intégrer les Student.
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STUDENT. Pourquoi je pourrais faire un parfait Student ? Tout simplement parce que je préfère largement me consacrer à mes études, les études c'est très important pour moi, plus que perdre mon temps avec les histoires de confrérie. Je suis peut-être un parfait Dunster, le gars le plus intelligent, le plus ambitieux, celui qui bosse le plus dur pour arriver à ses fins pour exceller dans son propre domaine. Mais j'en ai un peu marre des conneries qui se passent, je faisais parti de la Dunster House, je me suis fait beaucoup d'amis là-bas, c'est ma deuxième famille, mon tout, je les soutiens à fond depuis le début et même jusqu'à la fin. Pour tout vous dire, je préfère rester un simple Student et de ne pas perdre mon temps et rester dans le sérieux jusqu'à la fin de mes études à Harvard. Même si ça me fait très mal de ne plus faire partie de la Dunster House. Des fois j'ai l'impression de regretter, mais je ne peux plus retourner en arrière malheureusement, je dois continuer dans le futur.
APRÈS LA BOMBE. Pourquoi tant de violence dans ce monde ? Pourtant, tout le monde a de la chance de vivre, d'avoir l'opportunité de faire partie de la vie. Les gens ne méritent pas la violence, même ceux qui sont les plus pourris existants sur cette terre. Tout le monde a le droit au bonheur et non au malheur. Ceci est ma manière de penser de la vie, mais beaucoup de gens ne partagent pas mon avis. J'étais dans les couloirs d'Harvard et je me dirigeais vers la bibliothèque pour emprunter un livre. Soudain une explosion retentit juste en face de moi et j'ai été propulsé contre le mur violemment. Ma tête a heurté de plein fouet le mur et j'ai été assommé sur le coup. Quelques minutes plus tard, je me suis enfin réveillé mais avec beaucoup de difficultés. Il y avait un vacarme assourdissant dans les couloirs, des hurlements des étudiants qui avaient très peur et qui se posaient la question de savoir, mais qu'est-ce qui nous arrives bon sang. J'étais complètement sonné, ensanglanté, ce bourdonnement dans mes oreilles était très pénible pour moi, j'étais très essoufflé du fait des gaz toxiques de l'explosion, j'avais beaucoup de mal à respirer, heureusement mes blessures n'étaient que superficielles et j'ai pu me remettre sur pied très rapidement. Je ne réalisais pas vraiment comment tout ceci avait pu se dérouler, ni même quelle a été l'origine de cette catastrophe ; en réalité, tout ce qui comptait pour moi, c'était de sortir vivant de ce malheur en précisant toutefois que mon souhait le plus cher est de pouvoir effacer de ma mémoire les scènes pénibles que nous avons vécues et ce le plus rapidement possible.
APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES. Le 17 janvier 2015, je me trouvais dans le McDonalds où je mangeais tranquillement avec mes amis étudiants. Nous abordions plusieurs sujets, nous discutions de tout et de rien lorsque des hommes masqués et armés sont entrés dans le restaurant, les balles fusaient de partout. Je me suis empressé de me glisser sous une table pour me protéger et mes amis en ont fait autant. Sur le moment, j'avais très peur de ce qui pouvait nous arriver mais je gardais mon calme vu que j'avais appris à l'armée. Pourtant j'ai un coeur en pierre et je ne me laisse pas démonter même dans des situations difficiles, j'amoindris toujours les choses il faut reconnaître que j'ai cette force de caractère mais cette fois-ci, devant des hommes armés qui hurlaient et nous menaçaient, j'ai tout de suite eu une pensée pour ma famille, mes amis et tout mon entourage. J'avais très peur de mourir et de ne plus les revoir. Tout à coup, j'ai remarqué qu'un élève s'est fait prendre par un des agresseurs qui pointait son arme sur son crane. L'agresseur menaçait les élèves en criant que s'ils ne se montraient pas, ils tuerait le jeune homme. J'ai hésité longtemps mais après mure réflexion je me suis présenté devant eux en levant les mains, bien évidemment, je voulais que personne ne soit agressé vu qu'il y avait eu des précédents. À vrai dire, j'ai voulu faire un peu le héros, même si dans cette situation il était assez difficile de vouloir jouer le superman de Métropolis. Pendant plusieurs minutes, j'essayais de coopérer avec eux comme à l'armée, en conservant mon calme pour ne pas prendre une balle dans la tête. Ces gens-là étaient impulsifs et très violents. Lorsque je voyais les corps par terre, j'avais une envie de vomir ; les pauvres, je les connaissais très bien et j'avais eu des affinités avec ces derniers. Enfin, Les policiers sont arrivés en force et ont réussi à neutraliser ces salopards et ce sans pitié. De toute façon, s'ils n'étaient pas arrivés à temps, je reste persuadé que j'aurais eu une balle dans la tête et adieu la vie ! Heureusement que la guerre m'a forgé, tout de même j'en garde un très mauvais souvenir, il m'arrive d'ailleurs fréquemment de faire de très mauvais cauchemars et aussi de mon passé sombre.
Mon pseudo internet est
daffyduck
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle votre pseudo et j'ai 14 ans. Je suis un pur Français et j'ai connu le forum grâce à Bazzart, mon meilleur ami, mon frère, ma vie, mon amour, mon tout. Ce forum est tout simplement le meilleur forum université que je n'ai jamais vu, toujours accueillant et très actif comme d'habitude alors j'ai décidé de m'inscrire OU Je suis déjà présent sur le forum sous les traits de mon ancien barbu djihad. J'utilise Aaron Johnson le plus beau des Quicksilvers comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par MIND la déesse. Je fais environ 500 à 1000 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé crée par moi-même.
Mot de la fin ? ▲ Je vous aimes tous.
Je souhaite ▲ (retire la balise le symbole et sa couleur qui ne correspond pas) adhérer un flood d'intégration (?)
Life is good, life is sad, our life belongs to us, it is for us to embellish it day after day, through our actions, our thinking, our reactions to the difficulties, the importance we gives things to people. We tend to rely on others to make us happy, sometimes we want them not to do it all the time when in fact it is for us to bring us happiness, to make good the life, this can only come from ourselves. This life which for some is a delight and a torture for other awaits you, it is there, she is watching you, waiting for your happiness. Then live.
Citation de la Navy Seal : J’ai fait deux fois le tour du monde, parlé une fois à tout le monde, mangé avec des pigmés, vu des baleines baiser et je connais même en Thaïlande un homme qui a une bite en bois. J’ai tiré plus de coups dans plus de trous que les plus grands baiseurs, parce que je suis un vrai tombeur, un vrai baroudeur. Je suis robuste, plongeur et tireur d’élite. Je suis soldat, marin et parachutiste. Close combat et détonateurs n’ont pas de secrets pour moi. Rien ne m’est impossible, aucun ciel n’est trop haut, aucune mer n’est trop forte, aucune chatte n’est trop étroite. La vie m’a appris des tas de trucs comme de jamais tirer sur un homme de gros calibre avec une arme de petit calibre. J’ai conduit des tas de véhicules : deux roues motrices, quatre roues motrices, six roues motrices et même ces énormes pépères qui s’écrasent et qui font « pshhh pshhh » quand on appuie sur les freins. Tout ce qui est bon dans la vie mérite qu’on en abuse, la modération c’est pour les lâches ! J’suis un amant, j’suis un combattant, je suis un NAVY SEAL ! Je bois, je bouffe, je baise ! Et je repars discrètement dès que le plein est fait. Et si ça plait pas à quelqu’un qu’il vienne me le dire en face : quand il s’agit de coller des pains j’suis aussi un as ! A la vôtre camarades !
Lorsque l’on meurt ou que l’on souffre d’une horrible perte nous traversons tous cinq étapes de la peine. On passe par le déni car la perte n’est pas envisageable, on ne peut imaginer que c’est réel. On s’énerve contre tout le monde, contre les survivants, contre nous-même. Puis on trouve un arrangement, on supplie, on implore, on offre tout ce qu’on a, on offre nos propres âmes en échange d’un jour de plus. Quand les négociations échouent la colère est difficile à contenir, on tombe dans la dépression, le désespoir, jusqu’à ce qu’on accepte finalement que l’on a tout tenté. On abandonne. On abandonne et on accepte. Le chagrin peut être une chose que l’on a en commun mais il est différent pour tout le monde. Il n’y a pas que la mort dont on fait le deuil, de la vie, d’une perte, d’un changement. Et on se demande pourquoi ça bloque autant parfois, pourquoi ça fait tant de mal mais la chose dont on doit se souvenir c’est que ça peut changer. C’est comme ça qu’on reste en vie, quand ça fait si mal, qu’on ne peut plus respirer, c’est comme ça qu’on survit. En se rappelant, qu’un jour, qu’en quelque sorte, vous ne le ressentirez plus de la même manière, ça ne fera plus aussi mal. Le chagrin vient à chacun en son temps, de sa propre manière. Alors le mieux que l’on puisse faire, le mieux que chacun puisse faire est de recourir à l’honnêteté. Le truc vraiment merdique, la pire partie du chagrin est que vous ne pouvez le contrôler. Le mieux que l’on puisse faire est d’essayer de laisser nos sentiments quand ils viennent. Et les laisser partir quand on peut. La pire chose c’est qu’à la minute où vous pensez l’avoir surmonté, ça recommence. Et toujours, à chaque fois, vous ne pouvez plus respirer. Le chagrin comporte cinq étapes. Elles nous semblent à tous différentes, mais il y en a toujours cinq : le déni, la colère, les négociations, la dépression, l’acceptation.
Je m'appelle Neymar Laserian Damian Alexis Targaryen-Escorbar, mais la plupart du temps on m'appelle Neymar ou Laser, comme le sabre laser dans Star Wars. La vie a été tellement facile avec moi, j'ai vécu la belle vie Australienne avec ma famille. Malgré les problèmes que l'on avait vécus par moment, nous sommes restés unis, ce qui nous a donné la force pour survivre dans ce monde de brute. Rien ne pouvait nous arrêter, nous nous soutenions jusqu'à la fin, tout ce qui comptait pour nous c'était la santé. Je suis né le 5 septembre 1989 à Sydney plus précisément en Australie, dans un petit quartier riche très connu à Sydney. Ma famille était des gens très riches. Mon père s'appelait Aaron Targaryen, c'était un Suédois-Brésilien, son travail était celui d'un fabriquant d'arme pour sa propre entreprise qui est la Targaryen Enterprise. Il vendait des armes à l'armée, c'était un grand homme courageux, il ne reculait devant aucun sacrifice, il ne montrait pas ses sentiments, c'était quelqu'un de très dur, mais ceci seulement en apparence, il n'était pas démonstratif, il fallait le comprendre par ses actions. Il n'était pas très câlin, mais cela venait du fait de l'éducation qu'il avait reçu. Ma mère s'appelait Maria Escobar, la fille du fameux Emilio Pablo Escobar Gaviria, le célèbre narco-trafiquant de la Colombie. Heureusement pour elle, elle n'a pas suivi la voie de son père, elle est partit loin des problèmes pour se faire une nouvelle vie. Elle était avocate, elle avait son propre cabinet à Sydney, elle s'occupait de nous, de moi, de mes frères et soeurs ; nous étions très proches de nos parents, même s'ils étaient stricts comme je vous l'ai dit précédemment. Sinon, j'avais trois grands-frères, un qui s'appelait Reese, c'était un petit bouffon qui se croyait supérieur aux autres. L'autre s'appelait Kyle, on n'avait tous les deux aucune affinité on ne s'entendait pas du tout, il était tout de même mon frère, je devais donc le respecter, il fallait tout le temps que l'on se frappe, en réalité il était taquin il me cherchait et me provoquait pour que je m'énerve et que je finisse par le frapper. Mais au fond de moi, je l'aimais bien quand même et peut être que c'était réciproque pour lui. Puis mes deux autres grandes soeurs qui étaient Ariane et Jocelyn dont elles étaient mes protectrices. Pendant toute mon adolescence et durant ma scolarité j'avais vécu la belle vie. Je faisais du basket en club durant de longues années. J'avais des amis, et même des petites amies, des ennemis, un peu de tout globalement. Puis mes profs étaient vraiment fiers de moi, ils disaient tous que j'étais un très bon élève et que j'étais un bon exemple pour mes camarades de classe et que dans le futur j'aurai un travail très prometteur. Bref, il n'y avait aucun soucis avec les élèves, j'ai bien vécu mon adolescence dans le calme, bien sûr j'ai fait quelques conneries avec mes potes, comme tout le monde quoi, mais sans que ce soit trop grave bien sûr, sinon je vous le dirais aisément, et j'aurais vite été remis dans le droit chemin par ma famille qui me protégeait.
Vers l'âge de 18 ans, je n'avais pas d'idée bien arrêtée en ce qui concerne le métier que j'exercerai plus tard. J'étais insouciant je vivais au jour et je ne me préoccupais nullement de l'avenir. Un jour je me promenais dans la rue pour tuer le temps et j'avais remarqué au loin, dans une petite rue, une affiche de pub ; celle-ci avait attiré ma curiosité. J'avais alors décidé de m'approcher pour mieux lire le texte. C'était une affiche de recrutement pour l'école militaire de l'armée de terre. J'avais soif de justice, je détestait l'injustice ainsi que la violence. J'avais tout de suite pensé que cette proposition pouvait changer ma vie. Le lendemain, j'avais décidé de me rendre à l'US ARMY, et plus précisément à l'agence de recrutement militaire pour m'engager dans ledit service. Je dois reconnaître que je stressais beaucoup ; je ne savais pas comment j'allais être accueilli et, de plus, j'étais très mal à l'aise lors des entretiens. Malgré mon appréhension, je faisais celui qui était calme et posé, mais au fond de moi il n'en était rien je paniquais ; je me trouvais enfin devant cette agence de recrutement. Je respirais profondément avant de me rendre à l'accueil pour y prendre un rendez-vous. La femme qui était assise en face de moi m'a demande gentiment de patienter dans la salle d'attente avec les autres personnes qui s'y trouvaient et qui étaient là juste pour s'engager dans le service militaire. Plusieurs minutes passèrent, qui me semblaient des heures, lorsqu'un recruteur est venu me chercher. Je m'étais levé afin de le saluer et il m'avais demandé posément de le suivre dans son bureau. Les minutes passèrent très rapidement il me posais beaucoup de questions sur mes antécédents, mes ambitions mais aussi sur mes motivations. Il m'a demandé aussi si j'étais un grand sportif et ma résistance physique, tout cela pour savoir si j'étais apte à effectuer le poste que je souhaitais intégrer. Le rendez-vous allait bientôt prendre fin et je pensais avoir fait une bonne impression à mon interlocuteur car j'espérais avoir un aboutissement à la future carrière qui me tenait vraiment à coeur. J'avais alors regagné mon domicile, un peu fatigué, je n'avais plus maintenant qu'à attendre la réponse que, j'espérais favorable, et d'attendre d'être convoqué pour faire les fameux tests préliminaires avant le contrat final.
Un mois s'était écoulé depuis le rendez-vous très important que j'avais réussi à obtenir pour la présentation de mon dossier de candidature, mais aussi l'entretien qui m'avait été accordé pour déterminer si j'étais apte à cette fonction. Ma carrière de futur militaire était en jeu et il était très important pour moi de connaître la réponse, espérons, positive. Un matin, très tôt, le téléphone sonna alors que je venais juste de me réveiller. Je m'étais levé brutalement pour attraper le téléphone qui sonnait, lequel se situait sur mon bureau dans la salle à manger, de peur de louper la communication que j'attendais avec une réelle impatience. Hélas, je n'étais pas entrain ce matin-là, mais ce coup de fil allait peut-être changer mon destin. Toutefois, je n'étais pas certain qu'il s'agissait bien de la communication que j'attendais compte tenu de l'heure aussi matinale. L'interlocuteur ne parlant pas, j'avais alors demandé à qui j'avais affaire. Une voix grave m'avait répondu que c'était le recruteur de l'agence US ARMY que j'avais eu l'occasion de rencontrer lors de mon déplacement et que son appel avait pour objet de me donner une réponse au questionnaire que j'avais en son temps déposé. Ce monsieur m'avait annoncé une bonne nouvelle, même une très bonne nouvelle, ma candidature était acceptée ; je devrais toutefois passer de nouveaux tests, dans deux mois, à l'école militaire de Sydney afin de savoir officiellement si ma candidature serait retenue. Un grand sourire s'était dessiné sur mon visage, il n'aspirait qu'à de la joie et du bonheur. Quelques minutes plus tard, après la discussion qui s'était instaurée entre moi et le recruteur de l'agence depuis un bon moment, nous avons enfin décidé de raccrocher le téléphone, après avoir pris soin bien entendu de remercier infiniment ce dernier avec un petit sourire au coin de mes lèvres, car satisfait de la nouvelle. J'allais pouvoir passer une agréable journée lors de ma promenade dans les rues de Sydney. Deux mois plus tard, le grand jour était enfin arrivé, puisque je devais me rendre au rendez-vous fixé à l'école militaire de Sydney. J'étais en forme pour m'y rendre et je me préparais à rencontrer des moments intenses et difficiles. J'étais quelqu'un de très courageux et je n'abandonnais jamais l'objectif que je m'étais fixé. J'avais donc préparé mon sac très tôt le matin dans lequel j'avais réuni toutes mes affaires personnelles. J'étais donc sorti de mon domicile en n'oubliant pas de bien fermer ma porte à clé. Je m'étais dirigé vers l'arrêt de bus pour aller à l'école de Sydney. Plusieurs heures de trajet, mais j'arrivais enfin à destination avec une petite boule au ventre. Il faisait très froid. Le bâtiment était très grand et très sombre. J'étais entré en respirant un bon coup et j'observais comment étaient les lieux, il y avait des militaires qui s'entrainaient. J'admirais beaucoup leurs forces et leur courage, cela faisait partie des qualités des militaires et j'avais le souhait de leur ressembler, un vaillant soldat qui voulait protéger son pays jusqu'à la mort. Les tests que j'avais dû passer sur une durée de six mois avaient été concluants, un poids de moins sur ma conscience, car il faut dire que j'avais beaucoup d'appréhension quant au doute qui planait dans ma tête de ne pas savoir si oui ou non j'allais avoir la chance d'être accepté parmi-eux.
Cela faisait déjà plus de 5 ans que j'assurais le rôle de militaire au côté de la Navy Seal durant lequel j'avais obtenu un grade, celui de lieutenant. J'étais parti dans plusieurs pays dont j'avais fait la guerre, par exemple en Afghanistan. J'avais maintenant beaucoup plus d'assurance, et avec le sport qu'on m'avait infligé journellement, mon corps s'était transformé, j'étais devenu plus musclé et j'avais obtenu de très bonnes connaissances en sport de combat et en matière d'armes. Toutefois, à la suite du décès brutal de mes parents dû à un accident de voiture, j'avais été lourdement affligé et je n'avais plus la même énergie pour continuer dans la voie que j'avais choisie. J'avais donc décidé de ne pas poursuivre le contrat qui me liait à l'armée, j'avais malheureusement démissionné pour me changer les idées étant assez choqué de la nouvelle qui m'avais été très fatale, je l'avais très mal vécu. Quelques semaines plus tard, j'avais entendu parler d'une université très connue à Cambridge dans le Massachusetts, du nom d'Harvard. Alors, j'ai pris la décision de m'y inscrire puisque mon unique souhait depuis mon plus jeune âge était celui de fréquenter une école renommée même si j'ai été militaire depuis quelques années. J'ai eu la chance d'être accepté et j'en ai été satisfait. Je n'avais pas informé ma famille, j'ai préféré partir comme un fantôme sans leur dire un dernier au revoir. Je fais maintenant des études de politique en majeur et en mineur des études en psychologie. La première année, je me suis inscrit au club de basket parce que c'était une très grande passion pour moi et pour mon père et cela pour me défouler un peu, puis j'en ai fait pendant mon adolescence je suis très fort dans ce domaine sans être prétentieux bien sûr. Ah aussi j'ai oublié, je me suis inscrit dans le club de voyage humanitaire depuis que je suis à Harvard, je veux y apporter mon aide, mon soutient, de la nourriture, et parfois même des cours pour leurs apprendre pleins de choses qui ne savent pas encore. En dehors de tout cela je suis sauveteur sur les plages à Cambridge et je prends beaucoup de plaisir à y travailler vu que j'aime un peu faire le gars d'alerte à malibu vous voyez un peu l'acteur principal ? Bah voilà. Plus sérieusement je préfère sauver des gens qui se noient. Cela fait maintenant plus de 4 ans que je suis installé là-bas. Je suis devenu quelqu'un de très populaire en si peu de temps, la vie est belle, il faut en profiter jusqu'au bout, puis franchement j'aime amplement ma nouvelle vie d'étudiant. J'espère en tout cas, vivre une nouvelle vie et non retourner dans le passé pour vivre dans l'obscurité. Je suis heureux, je n'ai plus envie d'être malheureux.