BRINIX Δ Cuz I still got a little violence in me

Live for being a killer

Pour rentrer chez moi, j'devais forcément passer devant le campus et si au début, genre dans les premiers jours, ça m'faisait mal au coeur.. eh bien pu maintenant. Maintenant, j'souriais en voyant les étudiants sortir des grilles, être en train d'faire la pub pour leurs clubs, ou bien.. les bizutages. J'tais pas vraiment nostalgique car j'tais bien dans ma vie actuellement. Désormais, passer devant le campus n'était pu une épreuve et j'm'en réjouissais. Par moment, j'croisais des personnes que j'connaissais. Genre des amis, des mathers, des gens que j'appréciais moins, des professeurs.. et aujourd'hui c'tait Phoenix. J'le voyais avancer au loin, venir dans ma direction sans le savoir et mon coeur se mit à s'emballer comm un dératé dans ma poitrine au point que ça m'faisait genre vraiment mal. J'avais peur de ce mec, genre vraiment peur. J'avais envie de vomir, j'sentais la bile remonter.. mais pourtant, au milieu de la rue, j'devrais pas avoir peur et être tétanisée face à lui. Alors j'allais le provoquer. Parce que c'tait mon seul moyen de me défendre. Quel bonheur de te voir. lui dis-je avec un sourire en coin, faux naturellement. J'ignorais d'où j'avais la force de faire ça. J'espère que tu vas bien au moins, qu'être encore étudiant un an de plus n'est pas contraignant. Les mathers t'ont toujours pas jeté dehors d'ailleurs ?

CREDIT TO KAIJI FROM ILH

(Invité)

phoenix & briony
mise en page par mad loveDébut de soirée, me voilà avec une arme entre les mains prêt à appuyer sur la détente à tout moment. Ce mec face à moi n'est autre qu'une pauvre type, qui doit une dette à mon père je ne saurais même pas dire de quoi il s'agit, ni de combien si l'argent est cette fameuse dette, je sais simplement que je dois lui tirer une putain de balle dans la tête dans 48heures. Il me dit qu'il savait qu'un jour où l'autre son heure allait venir d'une balle dans la tête. Dans un moment comme celui-là je ne peux m'empêcher de sourire et même de rire aux éclats. Bref je ne cherche pas plus loin et lui donne un coup de poing en pleine dans le nez, et un coup de genou dans les côtes. « Je veux ce que tu dois à mon père. Tu as 48heures. » Je l'attrape par les cheveux et lui claque une dernière fois le visage contre le béton puis quitte les lieux comme si de rien. Je range rapidement mon arme puis au loin je reconnais Briony. Bon je comptais tuer cette fois ci un autre type mais faut croire qu'elle vient me faire chier « Tu m'avais tellement manqué, chérie, si tu savais. » dis-je d'un ton moqueur en me permettant de poser mes lèvres sur sa joue. Bien sûr elle ne peut s'empêcher de me tacler. Connasse. « Crois le ou non, j'ai eu mon année, donc tout va bien pour moi. Et les mathers ne m'ont pas jeté non, t'en fais pas pour moi. » ouais surtout que la VP c'est ma meilleure pote et que la P. a eu un petit faible pour moi. « Et toi ta petite vie n'est pas trop fade depuis que tu n'étudies plus ? »

Spoiler:

phoenix & briony
mise en page par mad loveHey, je peux juste pas passer à côté de ce connard sans lui dire un ou deux mots, ça s'fait pas, la politesse avant tout. Nan, en vrai, me foutre de lui, c'tait chais pas.. ma manière d'exulter ma peur, d'extérioriser et d'aller mieux. Pour certains, c'tait rire, vivre dans la peur, mourir de stress.. moi c'tait la provocation. Et on s'étonne que j'me fasse frapper ou quoi hein. « Tu m'avais tellement manqué, chérie, si tu savais. » Je frissonnais de peur quand il posa ses lèvres contre ma joue, me figeant. Quelle horreur. Là, oui, j'avais vraiment flippé. Qu'il fasse chais pas quoi, une prise de karaté pour m'briser la moelle ou chais pas quoi. C'tait un pervers ce mec, il jouit de la peur des autres. « Crois le ou non, j'ai eu mon année, donc tout va bien pour moi. Et les mathers ne m'ont pas jeté non, t'en fais pas pour moi. » J'haussais les épaules. Comme quoi l'argent ça peut tout acheter.. dis-je avec une petite moue compatissante. J't'en veux pas. Tu peux acheter tes études et tes potes stu veux, j'te jugerai pas dessus. « Et toi ta petite vie n'est pas trop fade depuis que tu n'étudies plus ? » Oh il prend même de mes nouvelles, il engage la discussion. J'savais que j'lui plaisais en fait, il aime ses soumises. Sans toi, ça perd du piquant. Bah ouai, c'est vrai. Mais la vraie vie c'est cool, tu verras ça un jour. Bon, j'vais pas m'attarder hein, c'est pas que j'ai pas envie de perdre la vie mais si quand même.

phoenix & briony
mise en page par mad loveLorsque l'on me provoque j'ai tendance à répondre, voire même pire. Je sais qu'une part de Briony a peur de moi, je ne sais pas à quel point, mais en revanche je sais que je peux facilement la manipuler à condition de bien s'y prendre bien sûr. Je lâche un petit rire mauvais, lorsqu'elle me dit que l'argent ça fait tout, haussant aussi les sourcils pour accentuer l'expression de mon visage. « Comme quoi, ta connerie est toujours présente. » Et au moins tu n'avais pas à l'acheter puisque t'as toujours été conne, désolé des mots, mais c'est je pense le terme adéquat. Ah, mais quel humour cette Forbes, il faudrait qu'elle monte un spectacle. « Tu m'étonnes que ça manque de piquant. J'suis tellement...formidable. » Et encore je pèse mes mots. Par contre le fait qu'elle me dise qu'un jour je verrais la vraie vie, c'est débile. Je l'ai vue bien avant elle. Pff. « Tu me prends pour qui ? Je sais déjà ce qu'est la vraie vie. Tu sais, certaines choses peuvent en cacher d'autres. » C'est surtout que le fait de faire des études c'est pour rassurer ma mère afin de reprendre les entreprises de papa, moi je préfère la mafia. Regarde l'heure. Fais les gros yeux. « Par contre faut que j'y aille. J'ai une vie, moi. » Et je continue mon chemin, laissant la brunette comme un poteau. « Bonne soirée. »

phoenix & briony
mise en page par mad lovePutain, je déteste, mais genre c'tait même au dessus, c'tait plus "hair", quand il riait comme un connard qui se foutait de tout, hautain ect. Mais au delà de ça, son rire m'faisait peur. Il s'jouait de moi et j'aimais pas ça du tout. « Comme quoi, ta connerie est toujours présente. » J'haussais les épaules, petit sourire aux lèvres pour le conforter dans cette opinion. La connerie était un terme bien subjectif mon cher. J'aurai bien voulu lui sortir ça, mais j'allais m'faire tuer. Littéralement et j'tenais à la vie. « Tu m'étonnes que ça manque de piquant. J'suis tellement...formidable. » J'le regardais.. désespérée de le voir aussi mégalo. Ah c'est certain. Ouai, encore une fois, j'arrête de provoquer, j'veux pas m'enfoncer ou aller trop loin sans m'en rendre compte, sinon j'pouvais prendre cher. « Tu me prends pour qui ? Je sais déjà ce qu'est la vraie vie. Tu sais, certaines choses peuvent en cacher d'autres. » J'fronçais des sourcils face à cette phrase.. ça voulait dire quoi ? Qu'il avait une double vie ? Wtfff ? J'avais même pas le temps de répondre un truc que déjà monsieur regardait sa montre. Oh come on, il va vraiment m'sortir une excuse aussi bidon que ça pour s'barrer.. ? « Par contre faut que j'y aille. J'ai une vie, moi. Bonne soirée. » Ah bah.. oui en effet. Okaaay. Tranquille le mec. J'décidais alors de le suivre dans les rues, me faufilant vraiment discrètement à travers la ville, sans m'faire repérer. Il va vite ce con et il checke souvent. Il fait chier. Mais il m'intriguait. Il voulait pas qu'on sache où il allait.. j'avais l'impression d'être dans un film d'espionnage ahahah. Phoenix commençait à aller dans des endroits vraiment reculés de la ville sans que j'comprenne ce qui allait s'jouer.

HS: j'préférais ne pas décrire ce que Phoenix allait faire vu que c'est ton perso BRINIX Δ Cuz I still got a little violence in me 1365124802

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