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F*ck you, sistah | ZEKEN

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Comme promis dans tes sms, tu allais la retrouver chez elle. La soirée étant terminée, t’étais un peu beaucoup éméché pour tout dire : avec les bonhommes, vous aviez fêté jusqu’à assez tard, même très tard dans la nuit, et même s’il était près de trois heures du matin, t’irais voir la Zeke. Cette idiote de Zeke qui t’faisait chier à tout va, et que tu faisais également chier à tout va. Et comme elle t’avait fait clairement comprendre que bah, elle ne voulait pas te voir, alors c’était bien simple : t’allais la voir quand même, à trois heures du matin, un peu bourré, mais tout de même capable de te tenir sur tes deux jambes. Haaaaa, la Zeke. T’arrives chez elle, tu toques à la porte et tu cries. ZEKE, OUVRE-MOI LA PORTE. Tant pis si ça réveillait tout l’monde. T’étais saoul, non?
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Il n'avait pas prévenu qu'il partait. C'était ok, un petit choc quand tu l'a su, mais tu avais pu faire avec et continuer ta vie. Il n'avait pas prévenu qu'il revenait. Là, c'était différent. T'avais du recevoir un sms d'un inconnu pote avec lui qui organisait une fête en son retour pour le savoir, et le premier sms que t'envoyais Warren, c'était un sms groupé, sans aucune personnalité, pour un dénommé Priape que tu t'en battais les couilles. Alors oui, évidement que ça t'avait énervée. Tu lui avais répondu, t'avais attendu d'avoir des explications, mais pas une seule fois il s'était excusé, prenant tout à la légère. Connard. Alors forcément, t'avais pas envie de le voir. Tu comptais si peu pour lui quand t'avais cru y avoir une once d'amitié depuis votre binôme ? Bah tant pis pour lui. C'est lui qui perdait au change, pas toi. Mais tout ça ne lui donnait pas le droit de venir beugler à ta porte, de briser le silence de ses poings contre le bois, rompant ton parfait sommeil de princesse. Il avait de la chance que Willow ne soit pas là le con, parce que tu étais presque sûre que pour une fois elle se serait ralliée à toi contre cet intrus. Tu sursautais, puis tu te levais franchement à cran quand tu compris qui c'était, tes cheveux en bataille et ne prenant même pas le temps d'enfiler une robe de chambre, et d'un pas déterminé t'allais ouvrir la porte, gueulant un gros " TA GUEEEEULE ! " avant de refermer la porte.
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Non, mais pour qui elle se prenait? Te faire lambiner autant de temps devant la porte, c'était pas poli du tout, bien loin de là. Si elle n'étais pas aussi jolie - ses traits te rappelaient ceux de Lydia, et si elle avait été plutôt un homme, tu ne te serais pas empêché de lui faire comprendre qu'on ne laisse pas un pote traîner devant chez soi comme un con. Mais bon, tu gueulais devant chez elle, y'avait de quoi te laisser poireauter là. Elle ouvre la porte. Enfin. Tu affiches un sourire niais, un sourire qui dévoile tes dents blanches, exagérant et étirant même les côtés de ta bouche pour paraître encore plus idiot que tu ne l'es déjà. " TA GUEEEEULE ! " Et sans que tu n'aies même le temps de réagir, elle te referme la porte au nez. Évidemment, tu perds ton sourire. MAIS QU'EST-CE QUE T'ES CHIIAAAANTE! Tu donnes un coup de pied dans le bas de la porte, espérant qu'elle s'ouvre, comme dans les films policiers. Vous voyez le genre? Mais non, elle demeure bien en place, et fermée. Tu prends alors la poignée et la tourne.. Aaaah, mais si elle est brillante la Lowell, elle a aussi ses failles. Tu pénètres rapidement dans sa chambre, l'air sauvage. Ah! Mais fallait verrouiller la porte, Zeke... Tu rigoles, et referme la porte derrière toi. Arrête de faire des gros yeux, j'suis pas un monstre, j'suis juste venu ici pour te voir. Comme promis! J'tiens toujours ma parole, et tu l'sais bien.
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Il avait cru le mec. Il avait cru que c'était politiquement convenable de venir te réveiller à trois heures du matin. Comme ça. Il n'avait pas réfléchit deux secondes hein ? Il savait bien que tu étais en colère contre sa tête d'imbécile, et le mec, con comme il était, il pensais réellement que ça allait s'arranger en venant te réveiller si tôt. T'applaudissais l'intelligence. En tout cas, ça ne t'avait sûrement pas calmé. Comme quoi t'aurais du en profiter pour sortir ce soir, t'aurais du te trouver un truc à faire - n'importe quoi, vraiment - pour pas rester dans ta nouvelle chambre chez les Lowells quand il avait dit qu'il viendrait te voir. T'avais pensé qu'il ne l'aurait pas vraiment fait vu la tournure de vos sms, mais il fallait croire qu'il adorait t'emmerder et qu'il était légèrement suicidaire. Alors tu lui demandais de fermer sa gueule. Ordonnais, vraiment. Et il criait à son tour que t'étais chiante quand tu refermais la porte. Tant pis pour lui, la flatterie ne l'amènera à rien. Tu rebroussais chemin et retrouvais le confort de ton lit, alors qu'il cognait dans la porte. T'espérais secrètement que quelqu'un de l'étage appelle la police pour trouble à une heure indécente. Ça serait drôle tien. Tu refermais tes yeux, prête à replonger dans les bras de Morphée, quand tu entendais à nouveau la voix de Warren, bien plus près de toi qu'auparavent. La poooorte. Qu'elle conne tu faisais à ton tour. Tu soupirais, avant de te remettre bien sur le ventre et d'enfoncer oreiller au dessus de ta tête. " Tu sais que c'est interdit de venir dans la chambre d'une fille ? Il est trois heeeeures, dégage Warren. " Tu lâchais fatiguée.
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" Tu sais que c'est interdit de venir dans la chambre d'une fille ? Il est trois heeeeures, dégage Warren. " Maiiiis, elle te prenait pour un con, ou quoi? Ouais, c'est ainsi qu'elle te voyait. Vous deux, c'était carrément de l'amitié féroce. Plus que ça, même. De l'amitié vache. Elle, c'était une grosse vache, toi t'étais un gros boeuf sale. Ouais.. Ça sonne bien, pas vrai? J'm'en fou, j'ai pas appris les bonnes manières. Espérant qu'elle appelle pas les flics, mais bon bourré comme t'étais, tu n'avais pas réellement cette préoccupation en tête. Elle est dans son lit, énervée et désespérée, et tu sautes dans celui-ci, même si la place est limitée et tu t'enfouis sous les couvertures. Écouuuuute, j'suis venu te présenter des excuses. Si c'est pas beau, ça! À vrai dire, tu lui dis cela d'un ton tout à fait sérieux et sincère. Et puis... j'ai quelque chose pour toi. Tu soulèves une fesse et la tâte (la tienne, hein.) Ah non, c'est pas la bonne poche. Tu soulèves l'autres fesses, et enfouissant ta main dans ta poche, tu en retires quelque chose de brillant, de somptueux. Tu savais pas trop si elle allait aimer, parce qu'elle était toujours un peu difficile à suivre, mais bon voilà, fallait essayer des trucs hors du commun dans la vie, pas vrai? C'est pour toi, Zeke. Tu attendis qu'elle sorte la tête de sous son oreiller, puis tu lui tendis son cadeau. Un bijou, somptueux, en signe de paix. Tu levais le drapeau blanc. C'était un magnifique collier avec quelques diamants dessus, pour enjoliver le tout. Cher? Oui, très. Mais tu avais l'argent, et puis.. C'était ton amie. Ouais, une pote de binôme, mais bien plus que ça. C'était une amie chère, voilà tout. Et rien que pour cette raison, elle méritait un cadeau de ce genre.
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Eeeeuh le mec il rentrait comme ça dans ton lit, au calme, ouais, tu voyais qu'il avait pas trop appris les bonnes manières. " J'vois ça, j'sais pas c'qu'on foutu tes darons, mais ça craint, tu fais limite violeur là, tu sais que je pourrais t'faire coffrer par les flics ? " On lui dit non et le mec il rentre, c'était clairement du forcing d'ordre harcèlement sexuel, sisi. " Des excuses ? Oh, mais fallait pas te déplacer pour si peu hein. Et puis surtout, te force pas, faudrait pas en plus que ça t'arrache la gueule de dire ce genre de mots. C'est pas grave Warren, c'est pas grave. T'as pas besoin d'moi, et j'ai pas besoin de toi. Si c'est pas beau ça ! " Tu t'exclamais avec un grand sourire hypocrite, lui balançant les derniers mots qu'il venait de te dire à la gueule. T'avais pas besoin qu'il se force, après tout vous n'étiez pas potes, qu'un ancien binôme de biologie. Tu l'avais bien compris maintenant. T'étais pas aussi importante que ce Priape ou ce Marshall, tu le savais, c'était même pas comparable tellement t'étais pas dans la catégorie. Tant pis pour lui. Tu feras attention la prochaine fois de mieux trier ceux que tu penses tes amis. Puis il te parlais d'avoir un truc pour toi, et tu l'entendais bouger dans le lit, et tu finissais par lever ta tête de sous ton oreiller, suspicieuse. Là il te tendit un bijou, un très très beau bijou orné de quelques diamants que tu ne voyais pas bien briller par le manque de lumière. Tu mordais ta lèvre en l'attrapant, et tu le fourais sous ton oreiller, y remettant ta tête avec. " C'est quoi le truc, j'ai une tête de meuf superficielle alors tu essaies de m'acheter ? " Tu demandais, le ton plus froid, et tu lâchais un faux petit rire. " C'est quoi, un cadeau fait à ta pute que tu m'as refiler ? " Comment s'appellait-elle déjà ? Olivia ? Olive ? T'étais presque certaine que c'était pas Olivier par contre. Tu savais que tu étais une meuf awesome qui méritait des cadeaux, mais pour le coup c'était flag que la connasse l'avait rejeté et qu'il te le refilait histoire de pas avoir dépensé bonbon pour rien.
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Ah bah ouais, vas-y, hein! Crie-au loup. J't'ai même pas touchée. Tu roules des yeux. Mais qu'est-ce qu'elle t'exaspère. Elle est toujours comme ça, au réveil? T'aimerais pas être son mec, une chance que tu n'as pas à endurer ça tous les matins, t'aurais envie de crever. Mais tu vas arrêter d'faire ton bébé, oui? On dirait une gamine qui chiale pour un suçon. C'est sûr, qu'avec l'attitude de merde que t'as envers moi, ça me donne plus trop l'envie de te faire des excuses. Elle t'en donnait presque mal au coeur, de vouloir faire l'effort. Elle agissait comme une putain de douche froide sur toi, te réveillant tout d'un coup, sans aucune façon. Puis essayant de passer par-dessus, tentant de préserver ta bonne humeur (très) matinale, tu lui sors le cadeau que tu lui a acheté, spécialement pour elle, parce que oui, t'as de bonnes intentions, et que oui, tu tiens à tes amis, assez pour dépenser une petite fortune pour ceux qui te sont chers. Mais non... Même pas capable de le prendre sans faire des chichi, la meuf. Elle t'énerve, c'est bon! MAIS FERME TA GUEULE, POUR UNE FOIS!, gueules-tu, bien malgré toi. Elle t'avais gonflé à bloc, c'est pas possible. Tu te lèves d'un bond, frustré, énervé. En plus, elle l'avait pris pour elle, le cadeau et elle osait te dire que tu lui refilais un cadeau de ta pute. Elle osait vraiment insulter ton ex-femme de la sorte? C'est un cadeau que j'ai acheté AVANT-HIER pour TOI. Pour TOI, Zeke. Tu pourrais apprendre à dire MERCI, des fois, ça aiderait. Garde-le, jette-le, fais c'que tu veux, j'men bats les couilles, j'dégage puisque t'as pas envie d'me voir. Et tu te rediriges à grand pas vers la porte de sa chambre, la claquant derrière toi pour sortir dehors prendre l'air et te sortir une cigarette. Ça non, le Pérou avait pas changé cette vilaine habitude. T'avais besoin de fumer, ça t'calmerait.
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« La faute à qui. » Tu lâchais à peine audible, fatiguée de sa présence. C'était juste une toute petite pique, après tout, c'était bien de sa faute s'il ne t'avait jamais touché, à vouloir se marier et être fidèle quand tu l'avais approché pour faire autre chose que de bosser sur la biologie. Regardez où il en était aujourd'hui, ça lui avait bien servi toute sa morale à deux balles. Tu haussais un sourcil, tes yeux posés sur lui, ton visage sans expression et émotion apparente, alors qu'il te traitait de gamine, et qu'apparemment, c'était à cause de ton attitude qu'il ne voulait pas s'excuser. Bah voyons. Qu'il reporte évidement la faute sur toi. Il voulait quoi, il aurait aimé que tu l'attendes durant des mois devant chez lui en pleurant à chaudes larmes, perdue sans sa présence suprême, et que tu cours dans ses bras quand il reviendrait un jour ? Bah ouais, t'avais que ça à faire de tes journées et de ton Summer Camp. Tu répondais même pas, parce qu'il finissait par te sortir un cadeau, et que tu ne savais pas si c'était gentil ou s'il fallait que tu ris de son putain de geste. Alors maintenant qu'il t'avait offert un bijou il fallait que tu fermes ta gueule et que tu le remercies d'avoir pensé à toi ? Si penser tout court à toi il avait fait, parce que tu le soupçonnais de t'avoir redonné un truc qu'il avait tenté d'offrir à son ex-femme pourrie, en mode cadeau de dernière minutes. Apparemment, ça ne lui faisait pas plaisir que tu doutes de lui comme ça, tant pis. A son tour il te gueulait dessus, et devenait aussi vulgaire que toi. Donc si tu suivais ses pensées, il fallait effectivement que tu fermes ta gueule et que tu lui dises merci car il avait réellement pensé à toi. Genre t'avais même pas le droit de remettre ses paroles en questions ou son attitude. Bien sûr. Alors il partait. Il sortait de ta chambre en claquant la porte, et tu te mettais à grogner parce qu'il continuait de te saouler même quand il était pas dans la pièce. C'était un dialogue de sourds, vous étiez tous les deux certains d'avoir raison – sauf que le truc, c'était que c'était bien lui qui était en tord, et qu'il n'avait pas à te parler comme ça. T'attrapais donc l'oreiller de @Willow Sanchez ( désolé heeeeein, je t'aime quand même. F*ck you, sistah | ZEKEN 166564858 :heaart:) et arrivée par la fenêtre, tu le jetais fort sur la silhouette de Warren qui était déjà en bas du bâtiment – Coach Reilly serait super fière de ton tir d'ailleurs. « Arrête de faire ta diva mec, si t'as même pas la patience de rester dans la même pièce que la gamine, tu fais bien d'pas avoir d'gosses tiens. Et tu te prends pour qui d'me parler comme ça ? Tu crois qu't'es qui dans la vie ? C'pas parce que tes potes ils sont tous heureux de te revoir et qu'ils t'organisent des fêtes pour ta super venue qu'on doit tous faire pareil. T'es parti mec. T'as choisi de partir comme un voleur. Et puis là tu reviens, comme une fleur, et tu penses qu'on va tous te baiser les pieds ? Il faudrait peut-être te réveiller mon gars, t'es pas dans une série là, c'est la vraie vie. Qu'tu sois beau ou populaire va pas changer le fait que quand tu te conduis en gros con, t'en subit les conséquences. Et si t'es pas content, fallait peut-être réfléchir à l'avance de laisser un petit mot, d'envoyer une carte postale, ou d'utiliser l'option sms de ton portable à cette chèèèèèère Zeke que tu estimes tant. » Tu lui faisais un fuck bien senti, et tu fermais tes fenêtres, retournant dans ton lit. Non mais sérieux le mec, il se prenait pour Dieu tout puissant.
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« La faute à qui. » Tu roules inévitablement des yeux. Mais elle te cherche, ou bien elle fait exprès? Ça n'aurait jamais pu se faire, toi et elle. Pas comme elle aurait pu se l'imaginer, pas dans un même lit. Tu ne te voyais pas du tout la toucher de cette façon. Ça aurait été bien trop zarb pour toi. Hum... ouais, voilà. Fais-moi pas sentir coupable, j'le suis pas. Tu croyais à quoi, en venant ici, au beau milieu de la nuit pour essayer de lui parler après ces froids sms échangés? Elle avait une tête de mule, un caractère de merde, et toi aussi, mais tu ne voyais pas quelle était la raison de cet acharnement et de cette haine, soudains envers toi. T'en as marre, et sans t'attarder sur quoi que ce soit, tu dégages de sa chambre et tu sors du bâtiment des Lowell. Non, mais attendez, t'allais pas la laisser s'acharner sur toi de cette façon, alors que tu ne sais pas pourquoi elle était de si mauvaise humeur. C'est quoi son problème? Elle a ses règles, ou quoi? Elle est mal baisée? Tu fumes ta clope tranquille - ou pas, dehors en espérant que ça te calme, mais tu te retrouves presque sonné par un coup dans le dos. En te retournant vers sa provenance, tu réalises qu'il s'agit d'un oreiller. Pas besoin de relever la tête pour voir qui t'a gentiment envoyé ce cadeau. Elle te fait un speech de la mort, duquel tu en tires une chose : si elle t'en veut autant, c'est pour ne pas l'avoir avertie clairement de ton départ. Elle croyait quoi? Que dans ton lit d'hôpital, qu'après ta tentative de suicide, tu prendrais la peine d'avertir tous les contacts de ton portable pour leur dire que tu prenais la poudre d'escampette pour le Pérou, dans l'espoir de chasser tes idées noires. Pathétique, ils auraient dit! Et puis... Étiez-vous plus que des potes de binôme? Alors, comme toute réponse, tu jettes ta cigarette par terre, comme un con malpropre, tu l'écrases et tu lui fais un doigt d'honneur avant qu'elle ne referme la porte : FUCK YOU, ZEKE. Ouais, ça sonnait mieux ça que "Va te faire foutre".

END.
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