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hundreds of boxes. (felaïa)

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Aujourd'hui est une nouvelle journée on ne peut plus excitante. Je me suis réveillée dans ma nouvelle chambre ce matin, une chambre qui a une odeur bizarre de peinture que je n'aime pas trop d'ailleurs. Mais ça ne m'a pas empêché de dormir, parce que j'étais fatiguée à cause de la longue journée d'hier. Maman est venue me sortir du lit quand je l'ai appelé, et j'ai passé une bonne partie de la matinée à jouer avec Hermès avec les jouets que nous avions retrouvé dans les gros cartons dispersés un peu partout dans le loft. On aurait pu continuer à s'amuser tout les deux, si mon frère jumeau n'avait pas subitement décidé d'arrêter de jouer avec moi et de se concentrer sur ses petites voitures. Je me levais, et je sortais de notre chambre, mécontente du désintérêt de mon frère envers moi. Je marchais dans le couloir en cherchant maman des yeux. Elle est penchée au dessus d'un carton, et semble chercher quelque chose. Mama ! Je l'interpelle pour qu'elle remarque ma présence. J'espère qu'elle va s'occuper un peu de moi là. Je m'avance vers elle, mais je m'arrête en remarquant un carton ouvert d'où dépasse un plaide qui était posé sur le canapé dans notre dernier appartement. Je tire donc dessus, essayant de le sortir de là, et le laissant traîner sur le sol carrelé. Il faut le remettre à sa place, non mais !
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Tu venais tout juste d’emménager dans ton nouvel appartement avec les jumeaux. Un magnifique Loft dans Back Bay, un quartier chic de Boston. Tu ne voulais plus vivre dans la villa d’Elios, c’était pour toi trop étouffant. Tu avais besoin d’un nouvel air, de recommencer autre part, et pas un endroit rempli de vieux démons. De plus, avec les jumeaux, c’était peut-être aussi sympa qu’il y ait plus d’intimité que l’immense villa. Les jumeaux aimaient bien aussi ce nouveau endroit. Tu avais du mal à croire que dans un peu plus d’un mois, ils auraient deux ans. Le temps passait tellement vite, qu’on avait du mal à y croire. Tu t’étais levée tôt pour ranger les cartons. Avec la reprise et surtout l’hospitalisation d’Alaska, tu n’avais pas encore pu tout déballer et il y avait surtout les lits et les affaires les plus importantes qui avaient mis en place, ainsi que les meubles. Aujourd’hui, ayant du temps devant toi, pas cours, tu décidais de finir de vider les cartons. Tu avais entendu Gaia et Hermes jouer ensemble dans leur chambre. Puis soudain alors que tu arrangeais certains des livres dans le salon, tu entendis Gaia derrière toi. Tu te retournais alors et la vit avec un plaide que tu devais encore remettre sur le canapé. Tu attrapais alors rapidement le plaide pour le poser sur le canapé, évitant que ta fille ne fasse des dégâts. « Mais qu’est-ce que tu fais ma belle? T’es pas entrain de jouer avec Hermès? »
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J'aime bien notre nouvel appartement. C'est plus petit que l'endroit dans lequel nous vivions avant, mais j'aime bien quand même. De toute façon, à partir du moment où maman et Hermès sont là, tout est parfait. Il ne manque que papa, mais de toute façon nous ne le voyons que rarement, lorsqu'il rentre aux Etats-Unis, ou lorsque nous allons en Italie. Mais du haut de mes onze mois, j'ai pris l'habitude de ne pas le voir aussi souvent que je le voudrais. Il nous envoie souvent des cadeaux. C'est lui qui a offert les petites voitures à Hermès. Ces petites voitures pour lequel mon frère me délaisse. Il faut donc que je trouve une autre occupation. Et quoi de mieux que d'aller voir ce que fait maman ? Ces grosses boîtes dans lesquelles elle fouille m'intriguent. Je ne comprends pas tout à fait pourquoi toutes nos affaires sont dedans. Ça me déboussole un peu, et j'aimerais que tout soit rangé. Je voulais remettre le plaid sur le canapé en cuir, mais maman le fait à ma place. Elle me demande pourquoi je ne suis pas en train de jouer avec Hermès. Ma lèvre supérieure se retrousse pour montrer mon mécontentement et ma frustration. Hermès, voitures. Deux mots. Mais je suis sûre qu'elle va comprendre. Maman elle comprend tout de toute façon. Je me tourne de nouveau vers un carton et je me hisse sur la pointe des pieds pour me pencher au dessus et en sortir un bougeoir que je mets directement sur le sol, parce que ça ne m'intéresse pas.
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Tu savais que tu aurais dû emménager il y a bien longtemps, que les boites auraient du être vidé également. Tu n’avais juste vraiment pas eu le temps de les faire. Tu étais tellement occupée entre les cours et les projets pour ta thèse de Master, que tu en perdais un peu le fil. Aujourd’hui était un cours calme, pas besoin de mettre les jumeaux à la crèche, et donc tu pouvais rester dans votre nouveau chez vous pour l’arranger comme bon te semblait. Les jumeaux allaient jouer ensemble, et tu serais calme de ton cote. Cependant, Gaia ne semblait pas d’accord avec ton plan de la journée. Tu la regardais, clairement mécompte face a quelque chose, et ce ne pris pas longtemps avant qu’elle ne me dise pourquoi. Hermes jouait avec les voitures qu’Elios lui avait offerte il n’y a pas longtemps. Il ne manquait plus que cela. « Tu ne veux pas aller jouer aux voitures avec lui? » Tu n’avais pas besoin de Gaia dans tes jambes pour le moment. Tu continuais d’arranger les livres dans le salon alors que Gaia retournait s’occuper du carton, posant un bougeoir par terre. « Gaia, non. » Soupirais-tu, venant chercher le bougeoir pour le poser sur la table basse. Il n’avait pas sa place là, mais c’était le seul endroit que tu avais pu trouvé pour le moment.
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J'étais loin d'être ravie que Hermès décide de se mettre à jouer de son côté avec les nouveaux jouets que papa lui avait offert il y a quelques semaines. Je voulais qu'il joue avec moi, mais il en avait visiblement décidé autrement. J'aurais pu aller jouer de mon côté, avec ma dînette, ou ma nouvelle poupée. Mais non. Je voulais jouer avec Hermès, ou ne pas jouer du tout. C'est pour ça que je suis allée voir maman, qui me demandait si je voulais jouer aux voitures avec mon frère jumeau. Non. répondis-je avec conviction en secouant la tête de droite à gauche, faisant ainsi virevolter mes cheveux blonds autour de mon visage. "Non" était devenu mon mot préféré ces derniers temps, je le disait à tout bout de champs. Ça et "oui", bien entendu, ainsi que "manger" et "pourquoi ?". Maman rangeait le contenu des grosses boîtes, et j'avais rapidement décidé de l'aider. Même si « aider » n'est pas tout à fait le bon terme à employer ici. J'étais plutôt en train de déranger, à la recherche d'un objet qui pourrait m'intéresser. Ce n'était pas le cas du bougeoir que je posais par terre, ni d'un bibelot que je prenais entre mes doigts et que je m'apprêtais à poser au sol également. Sauf que maman me coupa dans mon élan, me faisant comprendre que je ne devais pas faire ça. Non ! répétais-je pour moi-même avec une intonation similaire à celle de ma mère, pour montrer que j'avais compris. Je reposais alors le bibelot dans le carton et je me reculais d'un pas. J'aurais pu laisser tomber, mais j'aperçu un objet familier qui dépassait d'un autre carton. OLAAAF ! je me précipitais vers le carton, posé en équilibre sur un autre, et je tirais sur le bras en tissu de la peluche afin de l'attraper. C'est ainsi que le carton tomba et se renversa à mes pieds. Oh oh ! dis-je en regardant les objets éparpillés sur le sol, en serrant ma peluche contre moi.
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Les déménagements, c’était toujours une longue histoire. Le premier que tu avais fait, il n’y avait rien, car tu n’avais plus rien. Juste toi, et une peluche. Je l’avais toujours cette peluche, puis celle que Kakeru avait aussi. Mais au final, quad tu es rentrée sur ce pays qui était sensée être le tien, tu n’avais plus rien. Même aujourd’hui, tu avais l’impression de ne pas avoir beaucoup de choses. Tu avais toujours vécu avec le moindre minimum. Toute fois, tu te rendais contre que c’était les affaires des jumeaux qui s’accumulaient de plus en plus. Peut-être que tu irais donner ce qu’ils n’utilisaient plus à un charité pour les réfugiés syriens en Europe. C’était peut-être une bonne chose à faire. Tu ne voyais pas pourquoi les garder alors qu’ils n’en avaient plus besoin. Tu n’avais jamais été très matérialiste, bien que certaines choses tu garderais en tant que souvenirs. Toute fois, tu voulais que votre nouvel appartement soit parfait, et surtout que vous vous y sentiez enfin à l’aise. Les cartons commençaient a devenir lassant, et tu voulais les avoir fini aujourd’hui. Le seul hic était que Gaia avait décidé de venir t’aider, ou du moins ce qu’elle pensait été t’aider. Elle n’arrêtait de fouiller dans le carton ouvert par terre, mettant encore plus de désordre. Tu espérais qu’elle ait compris, mais la seule chose qu’elle te dit était non. Je soupirais, retournant a ton autre carton. Tu te disais qu’elle devait être retourné voir son frère, ou alors qu’elle s’était assise sur le canapé. Il y avait un bruit sourd qui résonnait derrière toi. Tu te retournais et vis Gaia debout avec sa peluche OLAF et un carton renversé à ses pieds. « GAIA! Je t’ai dis NON! » Criais-tu. Elle avait été trop loin. Tu espérais qu’il n’avait rien eu de fragile dans ce carton, sinon, t’allais vraiment piquer une crise.
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Tous les adultes de mon entourage disent la même chose à mon propos : je suis une petite fille bien trop curieuse et têtue. Loin d'être une peste, je pose juste mille et une questions par jour, et je ne lâche jamais l'affaire jusqu'à avoir ce que je veux. Ce n'est pas vraiment volontaire, c'est juste ma personnalité, accentuée par l'innocence et la naïveté d'une gamine de presque deux ans. Sauf que des  fois, ça énerve maman, comme maintenant. C'était loin d'être mon intention, mais c'était quand même ce que j'avais accompli. Tout ça parce que Hermès n'avait pas voulu jouer avec moi, parce que j'avais ensuite voulu aider maman, et que j'avais finalement voulu récupérer ma peluche coincée dans un carton. Celui-ci s'était retrouvé au sol, et les objets qu'il contenait s'étaient éparpillés un peu partout. Je serrais ma peluche contre mon corps tandis que maman se retournait et me criait dessus. Je ne suis pas le genre de bambin qui pleure à tout va, mais je n'aime pas non plus quand maman me cris dessus. Je baisse la tête tandis que les larmes me montent aux yeux. Pardon. je chuchote d'une voix presque inaudible. Puis je redresse le carton et je remets un objet dedans, comme pour essayer de réparer ma bêtise, pour ne pas que maman crie encore plus fort. Espérons que ça fonctionne.
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Si tu aimais tes enfants plus que tout, c’était aussi une tache difficile de devoir t’en occuper toute seule. Tu étais débordée certain jour, et dans ces moments-là, tu aimerai qu’Elios soit là pour te prendre un peu la charge. Cependant, il était en Italie, entrain de faire sa vie de roi, en te laissant dans ta merde. C’était si facile de juste payer. Il ne se réveillait pas chaque nuit dès qu’il y avait un bruit provenant de leur chambre. Il n’avait pas cette peur constante que quelque chose pourrait arriver à la crèche. Aujourd’hui, tu aurais bien aimé qu’il soit là pour t’aider avec les jumeaux. Hermès fait que sais-tu dans sa chambre, et Gaia était venue t’ennuyer pendant que tu vidais les cartons. Tu n’avais pas beaucoup de temps libres, alors oui, tu avais du le faire un jour de week-end, quand les jumeaux n’étaient pas à la crèche. Tu regardais Gaia avec sa peluche Olaf dans les bras. Tu ne savais pas ce qu’elle faisait dans ce carton, surement une inadvertance de ta part. Tu vois les yeux de ta fille s’embuer et tu viens t’accroupir devant elle. « Hey, ma puce, pleure pas. Je suis désolée, j’aurai pas dû crier. Il faut que tu comprennes que je suis occupée, et non, c’est non. Pourquoi tu n’as rien dit que tu voulais Olaf? » Tu lui pris sa petite main. Le carton n’était pas important pour le moment, il pouvait attendre.
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Je comprenais que je venais de faire une bêtise et que maman n'en était pas contente du tout. Elle me criait dessus et je n'aimais pas ça du tout. J'avais très envie de pleurer, mais je ne voulais pas qu'elle se fâche encore plus après moi. Mais mes yeux s'embuaient de larmes malgré tous mes efforts. Du coup, je commençais à ranger le contenu du carton qui était tombé au sol, remettant tout dedans, en reniflant de manière pas très discrète. À la base, j'avais juste voulu aider maman, et voilà que tout s'était mal passé. Maman venait finalement s'accroupir devant moi pour ne pas que je pleure, ma bêtise n'était peut-être pas si grave alors. Je gardais la tête baissée vers le sol en l'écoutant. Je voulais l'attraper toute seule.. chuchotais-je en serrant plus fort ma peluche Olaf contre moi. C'était sans aucun doute l'une de mes nombreuses peluches préférées. Maman m'attrape la main pour la serrer doucement dans la sienne. Je voulais me débrouiller comme une grande. Sur ces mots, je viens me blottir contre maman pour lui faire un gros câlin et me consoler.
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Je n’avais pas voulu faire pleurer Gaïa, et je m’étais toujours dis que je ne ferais pas partie de ses parents qui criaient constamment sur ses enfants. Je ne le faisais pas souvent, et j’évitais surtout de le faire. Cependant, cette fois-ci, je n’avais pas réussi à garder mon calme, et ceux avec raison. Nous venions d’emménager dans notre nouvel appartement, il y avait encore beaucoup de cartons, et peu de temps pour les vider à cause de mes études. J’avais voulu que mes enfants jouent ensemble pour que j’ai un peu de temps pour moi, pour faire la décoration, mais non, le destin avait décidé contre moi. Gaïa voulait m’aider à sa façon, récupérer Olaf. J’attendais déjà avec impatience le jour où elle ne sera plus amoureux de ce bonhomme de neige. Accroupie au niveau de ma fille, je lui tenais la main, séchant doucement ses petites larmes. « Je sais. Il faut que tu sois un peu patiente. Bientôt, tu pourras te débrouiller comme une grande. » Je la pris dans mes bras, elle et sa peluche, pour la consoler. « Tu veux aider maman à faire la décoration? » Ça l’occuperait peut-être, et après, j’irais vérifier ce que faisait mon fils depuis tout ce temps.
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