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the night is still young | ft. la plus belle

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Si ton plan fonctionnait, ce serait un succès. Merde, c'était l'anniversaire de Gwen, et si en général tu ne te rappelais pas des anniversaires de tes proches - honte à toi, tu avais eu de la chance de te rappeler de celle de Gwen. Tu ferais honneur à ses 25 ans. Elle le méritait. Tu lui avais envoyé un SMS de façon totalement incognito en début de journée pour savoir à quelle heure elle reviendrait chez elle. Autrement, ça n'aurait pas pu fonctionner, quoi. Deux heures avant qu'elle ne termine ses cours, tu t'empresses d'aller chez elle, une bobby-pin en main, prête à faire ce que toute bonne James Bond au féminin peut faire : déverrouiller la porte d'entrée principale avec comme seul outil capillaire. Finalement, après de longues secondes à essayer de faire tourner la poignée - c'est pas si facile que dans les films, finalement... tu pénètres chez elle. Ouf! Pas de système d'alarme. T'avais oublié de prévoir ça, pour le coup, mais bon, ça allait. Un sac plein de trucs bien précis à ton bras, on aurait pu croire à un cambrioleur, mais non! Il se trouve à être plutôt tard en soirée, autour de 18h ou 19h, et le soleil semble décliner au loin, à l'horizon. Parfait pour l'ambiance. Minutieuse et sérieuse pendant que tu prépares le tout, tu t'affaires à ne rien manquer, aucun détail ; c'est ton perfectionnisme qui ressort, d'un coup. Tu souris parfois, presque gênée de cet élan d'attention, de bonté et de romantisme qui te prend, en cette journée de son anniversaire. Finalement, lorsque tout est prêt, tu vas te cacher dans sa chambre, derrière son lit. Juste avant, tu as judicieusement pris soin de fermer toutes les lumières allumées, pour ne pas éveiller les soupçons avant même qu'elle ait pénétré dans l'appartement : de quoi lui foutre la trouille et te retrouver avec les flics alors qu'il n'y avait pas lieu d'être, loin de là! C'que t'avais préparé? Rien de bien compliqué : un petit repas aux odeurs si fraiches et appétissantes que tu avais concocté à l'avance. Hmm.. Dans la cuisine, sur la table, se trouvaient quelques belles et neuves chandelles, allumées d'une flamme qui brillait pour chacune dans l'obscurité. Dès que tu l'entendrais franchir la porte et refermer celle-ci derrière elle, tu enchainerais. Pour l'instant, c'était la patience.. T'avais peur d'avoir fait un gaffe. Au fond, elle avait p'têtre pas envie de te voir, ce soir. Surtout pour son anniversaire. Et si elle avait déjà planifié un truc? AVec quelqu'un d'autre? Merde, merde, merde... T'aurais pas pu penser à ça avant?!
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Cette journée, malgré de nombreux appels, messages et tout ce qui s'en suivait, à mes yeux c'était une journée de plus au compteur. Vingt-cinq ans. Un quart de siècle. Je me suis toujours demandée si un anniversaire servait à fêter la vie, ou la mort qui s'approche doucement de soi. Au final, même les grands philosophes de ce monde ou du monde précédent n'en avaient aucune idée. Alors c'est pour moi un jour comme les autres, qui me rappelle que je suis toujours là, que j'ai encore des choses à vivre, encore des choses à faire. Ce matin, Dixie m'a envoyé un message tout simple pour savoir à quelle heure je rentrais chez moi ce soir. Après lui avoir indiqué, je continuais ma journée paisiblement. Enfin, comme à mon habitude en fait. Les cours, quelques activités à côté, des visites de courtoisie chez des gens qui m'ont demandé de passer les voir pour qu'ils me souhaitent un joyeux anniversaire devant une bière ou un café. Aux alentours de dix-neuf heures, heure où le soleil commence à décliner bien plus sensiblement, je me trouvais sur la route de mon chez moi, me demandant finalement pourquoi Dixie m'a demandé à quelle heure je rentrais. Haussant les épaules dans mon véhicule, je continuais tranquillement mon chemin. Voiture garée, affaires récupérées, je montais les marches menant à mon appartement sans me douter de quoi que ce soit. Je glissais la clé dans la serrure, ouvrais la porte et me faufilais devant l'air content de mes chiens, qui comme d'habitude ne bronchaient pas. Je pourrais me faire braquer qu'ils feraient des câlins au voleur. Une lueur venait de la cuisine, avant même que je n'allume les lumières. Une fois encore, j'haussais les épaules en me demandant qui pouvait entrer dans mon appart. J'ai pensé à ma soeur Dylan, mais c'est pas le genre à faire un truc avec une lumière tamisée pour notre anniversaire. Je me dirigeais alors vers ma chambre pour y déposer ma veste et mon sac de cours sur le lit. Me pensant seule, je me posais la question à voix haute. Qui est-ce qui a réussi à entrer pour allumer des bougies ? Je n'étais visiblement pas au bout de mes surprises.
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Au final, tu te remettais en question. Tu finissais toujours par te remettre en question. Pathétique. Était-ce là le mot exact pour décrire la situation? Pour décrire au mieux ce que tu avais organisé pour Gwen, ce soir? N'aurais-tu pas simplement dû... t'acheter de la lingerie fine et lui faire une petite danse sensuelle, comme dans le bon vieux temps? Ou bien, lui faire le cadeau de la vie en arrivant avec des bonnes, délicieuses, dispendieuses bouteilles de vodka ou d'alcool forts en tout genre pour son plus grand plaisir? Mais non.. Au lieu de ça, tu pénétrais dans son appartement par effraction pour lui préparer un souper de sushis aux chandelles. Huuuuuh, soit elle se moquerait de toi, soit elle ferait sa gentille amie, se retiendrait de rire en se mordant l'intérieur de la joue et te botterait gentiment le cul jusqu'à ce que tu sortes de chez elle. Enfin... tu te répétais ça en boucle en espérant parfois qu'elle arrive au plus vite, et d'autres fois qu'elle ne vienne pas du tout, de sorte à te laisser le temps de tout remballer et de te sauver au plus vite. Mais il est trop tard pour faire marche arrière, puisque comme tu te lèves un peu pour ramasser tes choses, tu entends la porte de l'entrée claquer, comme tu l'avais prévu. Portant une oreille attentive, tu es presque soulagée de réaliser qu'il n'y a pas plus qu'une paire de pas parcourant le sol jusqu'à la chambre. Quelques arrêts, mais rien de suspect. Où va-t-elle? Oh! Mais elle vient vers la chambre. Elle s'approche même du lit... de l'endroit où tu te trouves, écrasée au sol, dissimulée par l'obscurité : Gwen n'a pas ouvert l'interrupteur, la lumière ne révèle pas ta présence. Elle se trouve juste devant toi, dos à toi. Qui est-ce qui a réussi à entrer pour allumer des bougies ? Tu te mords la lèvre inférieure, comme bloquée, et t'empêchant de rire, mais prise d'un élan, tu te lèves alors sur tes deux jambes, t'approchant en silence d'elle, rien qu'en faisant deux pas, puis tes mains se glissent sous ses aisselles, de sorte à se rejoindre et s'unir vers l'avant de son corps. Finalement, après une seconde ou deux passées comme ça, tu la retournes vers toi en la tirant légèrement de sorte à ce qu'elle te fasse face. Joyeux anniversaire, Gwen.. Tu lui souris, rougissante, mais impossible de voir cette teinte rosée sur tes joues dans l'obscurité de la chambre.
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Vingt-cinq ans. Un quart de siècle. La moitié de la moitié d'une vie selon les espoirs de certains. C'est un cap qui me rappelle que je deviens adulte, qu'il faut que j'arrête de vivre comme une adolescente attardée. Un cap qui me rapproche un peu plus de la trentaine et d'une crise existentielle à venir. Si j'ai peur de vieillir ? Un peu, mais on peut pas faire un arrêt dans le temps sans arrêter de vivre. Si j'ai peur de grandir ? Carrément. J'ai peur de devenir cette adulte qui perd espoir en ses rêves, qui devient cynique, aigrie, de l'aspect métro-boulot-dodo qui ne prend même plus la peine de vivre sa propre vie, esclave de ses responsabilités. Je déteste les anniversaires, surtout quand c'est le mien. J'm'imagine vieille et impotente, plus capable de rien, obligée de demander de l'aide aux autres pour survivre. J'préfère mourir avant ça, vraiment. J'veux pas être une vieille pleine de plis incapable d'être indépendante. Ca m'a un peu ruiné le moral cette journée. Mais j'ai gardé le sourire, pour ne pas montrer ces faiblesses. Je déteste être faible. Arrivée chez moi, j'me suis sentie normale, libérée de ces pensées, malgré que surprise par la présence d'un éclat lumineux dans la cuisine. Dans ma chambre, je n'ai pas pris la peine d'allumer la lumière pour jeter mes affaires sur le lit. Puis j'ai senti une présence derrière moi, des mains sur mon corps. J'ai sursauté, je l'avoue. Puis j'ai entendu sa voix. Dixie était là, dissimulée dans l'obscurité. C'était donc elle, la raison de ces bougies dans la cuisine. Me retrouvant face à elle, un sourire s'est dessiné sur mon visage instantanément. De ma main je cherchais son visage pour le caresser doucement, sans vraiment savoir pourquoi mon corps agissait seul. Merci, ma beauté... J'étais surprise de sa présence, me demandant comment elle avait pu entrer. J'avais peut-être oublié de fermer la porte à clé ce matin en partant, après tout, qui sait ? J'me souviens pas. Ca me fait plaisir, que tu sois là tu sais ? dis-je alors que la main qui se trouvait précédemment sur son visage venait rejoindre sa hanche pour me sentir plus proche d'elle encore. Que m'arrive t'il ? Pourquoi je sens mon coeur battre plus fort ?
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Elle vient d'avoir vingt-ans, tu viens d'en avoir vingt-quatre. Tu n'atteindras le quart de siècle que dans une année, mais le temps passe parfois trop vite et on se retrouve à faire face à une réalité qui, sans faire peur, choque sur le coup. Un quart de siècle.. C'est qu'elle avait vécu un quart de siècle sur cette planète, et tu étais bien contente d'avoir eu la chance de rencontrer cette femme extraordinaire qu'elle est. Avec ses défauts, avec ses qualités, avec ses traits féminins durs et doux à la fois qui te font frissonner chaque fois que ses yeux se posent sur toi. Où en es-tu? Tout est allé si vite, depuis vos retrouvailles, que tu sens un bonheur t'envahir si spontanément que c'en est bizarre, que ça te fait terriblement peur. Si tu es là, chez Gwen, c'est bien parce que tu as envie d'y être et qu'elle mérite qu'on célèbre son anniversaire. Pleinement, et pas qu'autour d'une bière dans un bar, ou la tête entre les jambes d'une demoiselle : tu la connais bien, quand même. Tu sais qu'elle a un tableau de chasse plutôt élevé, depuis qu'elle fréquente le campus. Et pourtant ce soir, elle est là, chez elle, seule - enfin, pas complètement, et tu en es bien contente. Il était maintenant grand temps de dévoiler ta présence à sa vue. Tu n'allais tout de même pas passer l'éternité à ruminer contre la crédibilité de ta surprise et ce qu'elle pourrait en penser. Tu lui souhaites un joyeux anniversaire, parce qu'elle le mérite bien, après tout. Merci, ma beauté... Sa main sur ta peau t'arrache un sourire et un frisson te parcoure le dos, longuement. Comme toute réponse, tu te contentes de lui sourire. Ca me fait plaisir, que tu sois là tu sais ? Penchant la tête tu le côté, tu te sens attirée vers elle de par la main sur ta hanche. Nouveau frisson. Putain, est-ce que ton corps va arrêter d'over react comme ça lorsque tu te trouves en sa présence? Contente que ça te fasse plaisir, j'aurais pas voulu que tu me mettes à la porte à coups de pied au cul.., souffles-tu en rigolant toujours un peu. J'avais un peu peur d'te retrouver avec une fille au lit pour ton anniv', mon plan aurait foiré! Toujours là à rire, tu retrouves ton sérieux lorsque, te penchant vers elle, tu attrapes ses lèvres dans une passion dévorante qui t'abrite depuis un moment déjà. C'était un premier cadeau d'anniversaire... Autant pour elle que pour toi, pour dire vrai...
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Vingt-cinq ans. Putain de grosse claque en pleine gueule. J'ai fait quoi en vingt-cinq ans ? Une relation basée sur l'autodestruction. Une histoire sérieuse qui a mal fini. Une blessure à cause d'une bombe qui a changé ma vie à jamais. Un bracelet électronique à cause d'une grosse bagarre. De la prison pour possession de came. Un nombre incalculable de femmes passées sous mes doigts. Alcool. Drogues. Overdoses. De la violence. La rédemption familiale. Découvrir des frères et soeurs, des cousins. Des décès. Si j'fais le point sur ma vie, j'ai pas fait grand chose de positif, en vérité. J'ai merdé tout ce que j'ai entrepris, en dehors de mes études et du salon de tatouage. J'ai passé mon temps à détruire ce semblant d'équilibre que je pouvais trouver à chaque fois, comme si tout ce qui était bien m'insupportait. Alors que j'avais seulement peur de ce bonheur et de ne pas avoir assez profité. Quelle conne je fais, maintenant que j'y pense. J'ai essayé de m'endurcir un peu plus en prison, pour mieux devenir ce flan bourré d'émotions et d'empathie vers les autres aujourd'hui. Ce flan qui fait un bilan de ces années perdues à se chercher pour au final, devenir celle que j'aurai du être depuis toujours. Ces pensées me foutent le cafard comme pas possible. Mais maintenant qu'elle est là, c'est comme si je n'avais pensé à rien, comme si sa simple présence effaçait tout et pansait les plaies de mon âme meurtrie par trop de ressentiments et de remords. Je me sens apaisée, comme si ce coeur si lourd devenait qu'un nuage léger au fond de ma poitrine. Le fait de la toucher me réanime, c'est une étrange sensation bien qu'agréable. Je me sens bien, et à la fois, je ressens une chaleur qui ne m'est pas habituelle. Un truc qui passe de la pointe des cheveux jusqu'aux orteils, comme un frisson mais à l'intérieur de moi. J'ai l'impression que mon coeur s'agite un peu plus que la normale. Pourquoi je te foutrais dehors à coups de pied au cul, mmh ? Un sourire s'étirait sur mon visage alors que, malgré l'obscurité, mon regard sur elle se voulait doux et tendre. Je n'avais pas envie de voir quelqu'un d'autre que toi, ce soir... dis-je avant de mordiller ma lèvre, rougissante, avant qu'elle ne m'embrasse. Elle m'offrait une passion que je ne lui connaissais pas encore, comme si à chaque fois j'apprenais à la connaître un peu plus à la manière de ses baisers. Cette chaleur m'emplissait un peu plus, tandis que mon coeur, lui, semblait au bord de l'explosion. En rompant doucement ce baiser passionné, je lui murmurais C'est un cadeau d'anniversaire ? avant de rire légèrement.
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Pourquoi je te foutrais dehors à coups de pied au cul, mmh ? Parce que souvent, tu faisais tout foirer. Et ça aurait pu être le cas, encore une fois. Les échecs, tu ne les comptais plus à force de les enchaîner. Son sourire te rassure sur ses bonnes intentions. Putain, dès qu'elle sourit, tu fonds. C'est quoi, ce putain de truc que tu ressens, chaque fois qu'elle pose les yeux sur toi? C'était pas comme ça, entre elle et toi, avant. Mais, maintenant, tu avais l'impression d'en avoir besoin, de ne plus pouvoir t'en passer. Tu imaginais la scène : toi, cachée dans l'ombre derrière son lit, tu la surprends, elle n'a pas envie de te voir, elle profite du souper qui reposait sur le four tranquillement, pour qu'il demeure chaud, mais te renvoie de chez elle sans prendre de gants blancs. Un instant, tu avais douté, ayant eu un doute quant à la réalisation de la scène. À ton tour, tu lui souris. Parce que tu n'aurais pas eu envie de me voir? Totuefois, bien vite, elle te rassure à ce sujet. Toi, depuis qu'elle est arrivée et que tu t'es dévoilée, tu te sens comme une gamine, peu confiante qui a constamment besoin d'être rassurée sur tout. Tu vas devoir te reprendre en mains, puisque ça commence à être pathétique. Je n'avais pas envie de voir quelqu'un d'autre que toi, ce soir... Sur ces mots, tu lui partages un instant que tu as envie de vivre encore une fois, ou pour une première fois - selon les points de vue, avec elle. Rien qu'avec elle. On aurait dit que cette passion dévorante te prenait chaque fois que tu te retrouves en sa présence, chaque fois que vous êtes à proximité. C'est divinement agréable, comme sensation. Tu ne t'en lasseras certainement pas de sitôt. Elle rompt le baiser, tu grognes faiblement de mécontentement, victime de cet attachement que tu lui voues un peu plus tous les jours? T'avoueras-tu ce que c'est? C'est un cadeau d'anniversaire ? Rougissante, tu hoches la tête, ne trouvant pas les mots pour t'exprimer, alors que tu pourrais simplement évoquer une réponse claire, nette et précise. Tu tournes la tête, t'étirant le bras vers l'interrupteur de la lumière pour l'allumer. Maintenant, tu la voies, resplendissante, et malgré ses vingt-cinq ans, elle n'a pas changé d'un poil depuis la veille. Mais, cet âge lui va bien. Vingt-cinq ans, ça lui donne un air... plus confiant, plus mature qui te plaît bien, qui t'attire comme un aimant vers elle. L'observant ainsi dans toutes sa splendeur, mais surtout dans sa simplicité, tes mains glissent de ses joues, passant par ses épaules et retombant lentement sur ses bras. Tu baisses les yeux vers ceux-ci, magnifiquement colorés et peints de tatouages. Ça lui va si bien. Tu parcoures les nombreux dessins, sentant sous tes doigts la chair de poule (frissons, si en france vous connaissez pas!) qui lui prend vivement. Tu pourrais te nourrir de cet agréable silence pendant des heures, à contempler sa beauté que tu jalouses, mais que tu admires tellement. Tu romps cet instant en relevant les yeux vers elle et en haussant légèrement la voix : Tu as faim? Je... j'ai préparé un p'tit truc pour le dîner. Si ça te dit, bien sûr... Encore, tes joues prennent leur teinte presque habituelle rosée, alors que tu t'éloignes d'elle pour sortir de la chambre, lui faisant signe de te suivre vers sa cuisine, où se trouvait une ambiance de... romantisme.
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J'ai toujours tout fait foirer. Même quand j'voulais pas que ça merde, j'trouvais un moyen inconscient de le faire. Même les quelques fois où j'ai songé d'mettre un terme à ma vie il y a quelques années, j'ai foiré. Avec le recul, j'me dis que si j'suis encore là c'est que j'ai quelqu'un au dessus d'ma tête qui m'interdit de passer de l'autre côté. Et maintenant, j'ai plus envie de faire capoter ces choses que la vie m'offre. La réussite, mes relations amicales, la chance de rentrer dans le droit chemin... J'veux devenir quelqu'un de bien, pour une fois dans ma vie, et tenter de le rester, aussi longtemps que possible. J'veux plus connaître l'enfer carcéral et toutes ces choses que j'ai dû subir sans broncher si j'voulais retrouver ma liberté plus rapidement. J'veux plus me retrouver dans le box des accusés dans un tribunal, payer un avocat une blinde pour rien, devoir supporter les visites de mon agent de probation et son air hautain, qui continue d'me casser les couilles une fois par mois. Devoir supporter la solitude quand on ne veut prévenir personne de l'endroit où on est pour les préserver. A cette période de ma vie, j'avais perdu le contrôle de tout, à mon sens. Le contrôle de mes envies, de mes mouvements, du temps et de mon esprit. J'devenais tout bonnement folle, enfermée dans cet espace pourtant grand mais étouffant. J'pouvais faire confiance à personne, pas même à moi-même. C'est assez drôle comme rétrospective de ma vie, j'pourrais dire ça à mes gosses un jour, si j'en ai. Ou quand j'serai vieille, plus que ça. Mamie a fait de la prison, sisi, j'suis qu'une thug. Trêve de conneries interpersonnelles. Dixie avait eu peur que je n'ai aucune envie de la voir ce soir. Pourtant, toute la journée, je n'avais que cette envie qui tournait dans ma tête, sans que je ne me l'avoue réellement. Depuis nos retrouvailles, je sais pas...quelque chose a changé entre nous. Pas le genre de changement désagréable, au contraire. Ca me plait, cette vive chaleur qui grimpe en moi rien qu'à l'idée de la voir, cette chaleur qui se décuple quand elle est là. C'est mon plaisir coupable, cette envie que je n'avoue à personne, mentant parfois à moi-même. C'est pourtant si flagrant quand on me voit, quand j'la regarde ou quand j'suis juste face à elle. Les paroles peuvent trahir, on peut contrôler ses gestes, mais on ne peut mentir par le regard. Et je suis loin de regarder tout le monde comme j'peux la regarder elle. C'est comme si une flamme s'allumait dans mes yeux dès qu'ils se posent sur elle. Elle a cette chose que les autres n'ont pas. Cette facilité à m'faire comprendre qu'elle n'est pas les autres. Merde, j'suis attachée... J'le comprends bien mieux, maintenant que nos lèvres se scellent dans une passion enivrante. Baiser qui, au fond de moi ne voulait pas rompre, baiser qui, malgré moi, me donnait envie d'en avoir d'autres. Son petit grognement m'arrache un sourire, me laissant croire que je ne suis pas la seule à ne pas vouloir qu'il s'arrête. Elle allume la lumière, me laissant enfin voir son visage angélique qui jusqu'alors était dissimulé dans la pénombre de la nuit tombante, et son regard que je cherchais malgré tout pour m'y fondre en grand. Elle est ravissante. Ses doigts sur ma peau me faisaient un effet boeuf, je me sentais faiblir sous le poids de ce trop plein d'émotions dissimulées depuis quelques semaines, de ces envies que je m'empêchais d'assouvir aux yeux du monde, juste avec elle. Quand elle a plongé son regard dans le mien, j'étais électrisée par une sorte de décharge mentale qui faisait bondir mon coeur en son lieu. J'hochais la tête, sous le choc de cette réaction de mon corps sans ne pouvoir dire mot. Je la suivais pour finalement découvrir l'ambiance que j'avais pu apercevoir en entrant chez moi. C'était magnifique, romantique. Je cherchais quoi dire durant un instant, j'voulais pas de ces phrases pré-conçues du genre "c'est trop beau" et toutes ces choses. Pourtant, j'trouvais pas les mots. Tu t'es donné vraiment beaucoup de mal pour faire tout ça, ma beauté...j'suis vraiment touchée, tu sais ? Je m'approchais alors d'elle, les yeux émerveillés par la beauté actuelle du lieu. Je venais la serrer dans mes bras, avant que mes lèvres ne se posent délicatement dans son cou.
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