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Mon nom est
Chloé Summer Wingfield
C'est le 9 Mars 1993 à Tampa en Floride, que les membres de la famille Wingfield m'ont accueilli(e) dans leurs bras, ils m'ont prénommé(e) Chloé Summer. Je suis Célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis
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GROUPE 1 : QUINCY
Chloe Summer est une fille dynamique, enjouée, le coeur sur la main, altruiste. Elle est certes d'une famille aisée, mais a un très bonne conscience de la valeur de l'argent. Elle sait qu'elle fait partie des privilégiée, mais n'est pas du genre à en profiter comme une bonne fille à papa. Pour cause, elle travaille en parallèle pour s'assumer en partie, bien que c'est parent lui payent sa scolarité. Quant à son investissement personnel : Elle cherche souvent à participer à des causes qui se présente à elle. Elle n'a pas la prétention de pouvoir gérer son associations, et n'est pas ultra au courant de toutes les causes existantes, mais il suffit qu'un(e) étudiant(e) lui parle d'une cause, d'un mouvement qui l'intéresse et Chloe Summer se montre très vite volontaire, quitte à prendre sur son temps libre pour du bénévolat pour des associations caritative. C'est aussi pour cette amour des autres, et son besoin de se sentir utile qu'elle a choisi la médecine, espérant faire partie des médecins les plus prestigieux du pays, ou du moins reconnues par leur amour du métier plus que par leur amour pour l'argent...
Chloe Summer est une fille dynamique, enjouée, le coeur sur la main, altruiste. Elle est certes d'une famille aisée, mais a un très bonne conscience de la valeur de l'argent. Elle sait qu'elle fait partie des privilégiée, mais n'est pas du genre à en profiter comme une bonne fille à papa. Pour cause, elle travaille en parallèle pour s'assumer en partie, bien que c'est parent lui payent sa scolarité. Quant à son investissement personnel : Elle cherche souvent à participer à des causes qui se présente à elle. Elle n'a pas la prétention de pouvoir gérer son associations, et n'est pas ultra au courant de toutes les causes existantes, mais il suffit qu'un(e) étudiant(e) lui parle d'une cause, d'un mouvement qui l'intéresse et Chloe Summer se montre très vite volontaire, quitte à prendre sur son temps libre pour du bénévolat pour des associations caritative. C'est aussi pour cette amour des autres, et son besoin de se sentir utile qu'elle a choisi la médecine, espérant faire partie des médecins les plus prestigieux du pays, ou du moins reconnues par leur amour du métier plus que par leur amour pour l'argent...
GROUPE 2: LOWELL
Au delà de ses études, Chloe Summer est passionée d'arts. Son passe-temps ? La photo et la peinture et le chant. Dès qu'elle a envie de s'évader, elle le fait par la peinture, créant diverses paysage et style de peinture. Dès qu'elle a besoin de destressée, c'est le chant qui l'apaise. Quand elle veut se sentir plus proche du monde qui l'entoure, c'est la photographie qui comble ses désirs ! Cependant, elle veut garder ces 3 éléments de son quotidien comme de véritable passe-temps, loisirs qu'elle ne veut certainement pas transformer en études supplémentaires. La médecine lui suffisant amplement.
Au delà de ses études, Chloe Summer est passionée d'arts. Son passe-temps ? La photo et la peinture et le chant. Dès qu'elle a envie de s'évader, elle le fait par la peinture, créant diverses paysage et style de peinture. Dès qu'elle a besoin de destressée, c'est le chant qui l'apaise. Quand elle veut se sentir plus proche du monde qui l'entoure, c'est la photographie qui comble ses désirs ! Cependant, elle veut garder ces 3 éléments de son quotidien comme de véritable passe-temps, loisirs qu'elle ne veut certainement pas transformer en études supplémentaires. La médecine lui suffisant amplement.
APRÈS LA BOMBE.
On voit ça habituellement aux infos, et on pense que ça ne nous arrivera jamais. Bien qu'on se sente concerné - plus ou moins- en entendant les faits divers à la télévision, les attentats à la bombe dans certaines pays ou même un état voisins, on à toujours l'impression de vivre cela de bien assez loin pour ne pas s'inquiéter. Et puis il à fallu qu'Harvard soit une cible pour que les choses changent pour bon nombres d'entre nous.
J'y étais...et je pense avoir cru à ce moment là que ma vie s'arrêterait là. J'avais commencé à regretter pas mal de choses : les conflits familiaux, le fait de ne pas avoir accompli certaines choses, de ne pas avoir eu la possibilité de vivre certaines expériences...La peur m'avait gagné, pensant égoistement à ma vie alors que d'autres à côté de moi, n'avait pas été épargnée. puis cette peur s'était transformer en un courage, en un regain d'énergie. Peu importe ce qui allait advenir de moi, je souhaitais faire en sorte de ne pas être présente sur place pour rien. Quitte à mourir, je voulais le faire en ayant fait ce qu'il fallait avant. J'avais donc mis en pratique mes compétences en médecine pour soigner sur place, vérifier l'état de santé des étudiants, et tenter d'en sauver quelques uns...des gestes simples, anodins, que j'aurais cru inutile en d'autre circonstance, mais qui m'avait permis de rester concentrée, de ne pas paniquer, et d'aider bien plus que je ne l'avais imaginé.
PS : t'as plus d'infos à cet endroit !
On voit ça habituellement aux infos, et on pense que ça ne nous arrivera jamais. Bien qu'on se sente concerné - plus ou moins- en entendant les faits divers à la télévision, les attentats à la bombe dans certaines pays ou même un état voisins, on à toujours l'impression de vivre cela de bien assez loin pour ne pas s'inquiéter. Et puis il à fallu qu'Harvard soit une cible pour que les choses changent pour bon nombres d'entre nous.
J'y étais...et je pense avoir cru à ce moment là que ma vie s'arrêterait là. J'avais commencé à regretter pas mal de choses : les conflits familiaux, le fait de ne pas avoir accompli certaines choses, de ne pas avoir eu la possibilité de vivre certaines expériences...La peur m'avait gagné, pensant égoistement à ma vie alors que d'autres à côté de moi, n'avait pas été épargnée. puis cette peur s'était transformer en un courage, en un regain d'énergie. Peu importe ce qui allait advenir de moi, je souhaitais faire en sorte de ne pas être présente sur place pour rien. Quitte à mourir, je voulais le faire en ayant fait ce qu'il fallait avant. J'avais donc mis en pratique mes compétences en médecine pour soigner sur place, vérifier l'état de santé des étudiants, et tenter d'en sauver quelques uns...des gestes simples, anodins, que j'aurais cru inutile en d'autre circonstance, mais qui m'avait permis de rester concentrée, de ne pas paniquer, et d'aider bien plus que je ne l'avais imaginé.
PS : t'as plus d'infos à cet endroit !
APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES.
J'ai été chanceuse. Du moins c'est comme cela que je me suis sentie. chanceuse, épargnée. Et en même temps, je ne devrais pas ressentir cela. Personne ne devrait se sentir chanceuse de ne pas été parmi les victimes. Au contraire, le seul sentiment que tout le monde devrait ressentir, c'est la sécurité. Personne ne devrait avoir à se vivre avec cette peur constante d’être la prochaine victime, ou être soulagée à l'idée de ne pas l'avoir été.
Et pourtant, honteusement je me suis sentie soulagée: je n'étais pas présente sur le campus le jour de la prise d'otage. Ce jour-là je travaillais, mais j'ai su ce qu'il se passait. Tout le monde a su ce qu'il se passait. Et même si je me sentais en sécurité là où j'étais, j'avais cette boule au ventre, cette peur constante pour les autres étudiants et civil présents sur les lieux.
On n'a plus ou moins su ce qui avait poussé ces quatres agresseurs à en venir à ces extrémités. Je ne sais pas si leur raison est valable; extérieurement, j'aurais tendance à dire que la violence n'excuse rien ! Mais comment se sent-on lorsqu'on a l'impression d’être exclu, mis de côté. Je connais une infime partie de ce sentiments. Je ne le vis qu'à très faible échelle avec ma famille, donc j'ai du mal à juger de l'importance de cette exclusion que les quatres jeunes gens ont ressentis. Est-ce que tout le monde peut en arriver à commettre l'irréparable ? Je ne sais pas. N'importe qui peut craquer un jour, mais à ce point là...
Bref, je ne cautionne pas leurs gestes. Je ne veux pas leur trouver d'excuses...je cherche juste à comprendre la nature humaine au travers de ces événements, me demandant si des gens comme moi, peuvent se sentir à l'abri parce qu'ils se disent qu'ils sont incapable de faire le mal; ou au contraire, est-ce qu'ils devraient redoubler de vigilance et prendre conscience qu'on est peut de chose, qu'on ne se connait jamais vraiment très bien, et que tout basculer du jour au lendemain.
PS : t'as plus d'infos à cet endroit !
J'ai été chanceuse. Du moins c'est comme cela que je me suis sentie. chanceuse, épargnée. Et en même temps, je ne devrais pas ressentir cela. Personne ne devrait se sentir chanceuse de ne pas été parmi les victimes. Au contraire, le seul sentiment que tout le monde devrait ressentir, c'est la sécurité. Personne ne devrait avoir à se vivre avec cette peur constante d’être la prochaine victime, ou être soulagée à l'idée de ne pas l'avoir été.
Et pourtant, honteusement je me suis sentie soulagée: je n'étais pas présente sur le campus le jour de la prise d'otage. Ce jour-là je travaillais, mais j'ai su ce qu'il se passait. Tout le monde a su ce qu'il se passait. Et même si je me sentais en sécurité là où j'étais, j'avais cette boule au ventre, cette peur constante pour les autres étudiants et civil présents sur les lieux.
On n'a plus ou moins su ce qui avait poussé ces quatres agresseurs à en venir à ces extrémités. Je ne sais pas si leur raison est valable; extérieurement, j'aurais tendance à dire que la violence n'excuse rien ! Mais comment se sent-on lorsqu'on a l'impression d’être exclu, mis de côté. Je connais une infime partie de ce sentiments. Je ne le vis qu'à très faible échelle avec ma famille, donc j'ai du mal à juger de l'importance de cette exclusion que les quatres jeunes gens ont ressentis. Est-ce que tout le monde peut en arriver à commettre l'irréparable ? Je ne sais pas. N'importe qui peut craquer un jour, mais à ce point là...
Bref, je ne cautionne pas leurs gestes. Je ne veux pas leur trouver d'excuses...je cherche juste à comprendre la nature humaine au travers de ces événements, me demandant si des gens comme moi, peuvent se sentir à l'abri parce qu'ils se disent qu'ils sont incapable de faire le mal; ou au contraire, est-ce qu'ils devraient redoubler de vigilance et prendre conscience qu'on est peut de chose, qu'on ne se connait jamais vraiment très bien, et que tout basculer du jour au lendemain.
PS : t'as plus d'infos à cet endroit !
Mon pseudo internet est
S7K
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Sara et j'ai 30 ans. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à top-site et un forum partenaire sur lequel je suis inscrite : GTP. J'ai trouvé ILH intriguant, et jolie de premier abord. J'ai souhaité tenté l'aventure après en avoir entendu si souvent parlé, en créant un personnage différent de ce que j'ai l'habitude de faire sur d'autre forum alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Brittany Snow comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par S7K. Je fais environ 800 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.
Mot de la fin ? ▲ Im' on :onfire:
Je souhaite ▲ (retire la balise le symbole et sa couleur qui ne correspond pas)
adhérer un flood d'intégration (?)
Mot de la fin ? ▲ Im' on :onfire:
Je souhaite ▲ (retire la balise le symbole et sa couleur qui ne correspond pas)
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(Invité)