(fb) Croire en soi c’est déjà presque réussir. ∞ LEYHARY

Accompagné de ton grand-père, tu rentres dans la demeure des Windsor. Habillé d'un costume cravate, les cheveux en crête à l'aide du gel, ton papi te dit la conduite à avoir, le protocole à tenir. Toutes les choses chiantes. Le père de ton père marche devant toi et tu le suis. Tu avais une mission à accomplir, celle d'habiller la famille royale aux couleurs d'Armani. Tu serres la main de la reine d'Angleterre ainsi que la famille royale comme convenu. Lorsque l'homme avec qui tu es le plus proche dans la vie prend la parole. « Ma Majesté, je vous présente mon petit-fils et futur successeur d'Armani, Leyhan Armani-Di Laurentis, je voulais lui apprendre le métier, j'espère que ça ne vous dérange pas. » Tu avances alors pour te placer aux côtés de l'homme d'un certain âge. Tes yeux verts se posèrent sur la magnifique brunette aux yeux bleus qui devait être la petite-fille de la reine. Suivant les ordres de ton padré, tu te diriges vers une grande pièce en portant les valises où il n'y avait les accessoires, robes et talons pour les femmes et costumes pour les hommes. Tu étales le tout pour que chacun puisse faire son choix. « Leyhan, tu veux bien t'occuper de Mademoiselle Windsor s'il te plaît ? Je pense que vous pourriez très bien vous entendre. » Aussitôt dit, aussitôt fait. Te dirigeant vers la femme de vingt-cinq ans, tu lui tends le bras afin de la diriger vers la pièce où il n'y avait plein de vêtements de luxe créé, pensés par ton grand-père.

Copyright Clochette

Aujourd'hui quelqu'un de la plus haute importance devait venir pour nous habiller. Il s'agissait de monsieur Di Laurentis. Effectivement, c'est l'un des plus grands couturiers de la bourgeoisie et il plaisait fortement à ma famille royale. Il était venu en compagnie d'un beau jeune homme qui avait l'air d'avoir mon âge. Ses beaux yeux et son sourire lorsqu'il sers la main de ma grand mère, me laissais sans voix. J'eus alors un gros coup de coeur, j'admets qu'il est carrément mignon, j'avais rarement vu un jeune homme comme lui et avec une grande politesse que son grand père a dû beaucoup lui apprendre. Son grand père le présente à ma famille et son prénom est plutôt original mais aussi beau que lui. Il porte les valises alors que son grand père lui demande de s'occuper de moi, quelle excellente idée et je suis certaine qu'il a raison à propos de notre bonne entente. Leyhan s'approche de moi et tandis qu'il me tends le bras, je mets mon bras en dessous du sien, ravie de l'avoir que pour moi et pouvoir apprendre à le connaître d'avantage. Je le suis et avec un joli sourire affiché à mes lèvres, je lui prend la parole. « Je m'appelle Mary Elena Windsor. Enchantée de te connaître. Leyhan est un très joli prénom original. » Il est si craquant, je dois dire que j'étais heureuse de l'avoir à mes côtés. « Ton grand père est quelqu'un de bien, il fait de beaux vêtements qui savent me mettre en valeur ainsi qu'à ma famille qui en est fier de les porter. Tu fais bien de suivre cette voie, je suis certain que tu en fera tout autant. Ton grand père doit être fier de toi. » Je plongeais mes yeux dans ses beaux yeux verts. Son regard me fait plonger dans un rêve où il n'existe que nous.

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Dire que tu étais zen, que tu n'avais aucune pression serait mentir. Tu voulais tout simplement suivre à la lettre les instructions de ton grand-père afin de satisfaire la famille Windsor. Ne pas décevoir la royauté anglaise ainsi que ton papi qui misait tout sur ta petite personne. Lorsque le créateur de la mode italienne te dit de t'occuper de la jolie robe brunette aux yeux verts après avoir installé les robes, chaussures et différents accessoires dans l'immense pièce privatisée pour faire les essais, tu reviens sur tes pas tendant au passage ton bras pour lui offrir ce dernier dans le seul but que Mary puisse essayer plusieurs tenues pour son gala de charité. Voilà que la petite-fille te fait du rentre-dedans. Cela n'est pas très politiquement correctement Mademoiselle. Pourtant, tu n'avais pas le droit d'être aussi proche de la femme de vingt-cinq ans. C'était écrit dans ce fichu protocole, mais tu t'en fichais un peu – même si tu ne voulais pas créer des soucis - « Enchanté de faire ta connaissance Princesse Mary. Merci beaucoup pour le prénom. » Tu ne pouvais pas t'empêcher de lui adresser un immense sourire en la tutoyant. Espérant qu'un membre de la famille n'allait pas passer dans les parages pour te réprimer. Marchant jusqu'à la pièce où tu avais tout installé, Mademoiselle Windsor te parle alors de ton destin déjà tout tracé. « Je suis ravi que les vêtements d'Armani plaisent à ta famille ainsi qu'à toi. J'avoue que reprendre une entreprise familiale aussi prestigieuse et connue, j'ai beaucoup la pression. Fier de moi ? Je pense que oui même si je n'ai pas encore fait mes preuves. » Tes yeux étaient plongés dans ceux de la demoiselle, quand tu te rends compte que vous étiez arrivés à la destination voulue. Tes yeux verts se posèrent sur une magnifique robe longue rouge qui faisait une petite traîne allant jusqu'au sol. Tu te détaches en quelque sorte de l'Eliot pour aller, la chercher et lui montrer. « Je n'y connais rien en fringues, mais je pense que cette robe t'irait à merveille. » Tu souriais toujours comme un con subjugué par la beauté de la brunette.

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Malgré que je sois née dans une famille royale, je sais avoir ce protocole et l'attitude parfaite pour ne pas passer pour un imposteur, mais je sais aussi être une femme normale même si mon statut fait que je ne le serais jamais. D'ailleurs, parfois j'aimerais beaucoup être une femme normale comme les autres et j'imagine ce que ça ferait de ne pas se faire escorter à chaque endroit où l'on va ou bien de ne pas obéir au doigt et à l'oeil à ma grand mère et ma famille entière. Je ne dis pas vouloir être une rebelle non plus, mais juste être simple. C'est en présence de Leyhan qui me fit sentir être une femme normale et j'en fus ravie qu'on est déjà passé ce stade en un rien de temps, je ne rendais même pas compte que je l'avais tutoyer et lui fis de même. Je lui souris poliment et en plongeant son regard dans le sien, j'avais juste l'envie de rester à ses côtés durant une éternité. « Derien. Mais s'il te plaît, oublions juste les "princesse" etc... Je t'avouerais que parfois j'aimerais juste être une femme comme les autres. » Je lui avoue déjà mes ressentis alors qu'on viens  peine de se rencontrer, mais il me donne cette impression de confiance. Je lui avoue aussi que les vêtements de son grand père étaient formidables et me plaisent fortement, sa réponse me redonne le sourire. « C'est un très grand monsieur reconnu, j'avoue que j'apprécie beaucoup ton grand père pour ce qu'il est, il est même très agréable. Tu ne devrais pas avoir la pression, je sais ce que ça peux faire d'avoir cette pression et je la ressens chaque jour dans une famille royale comme la mienne, mais il faut avoir confiance en toi. Je sais que tu peux y arriver, même si on viens à peine de se rencontrer, je peux le voir. » J'étais sincère dans mes propos et je sais ce que je dis. Je suis toujours franche et même si je le connais peu, je sais qu'il peux rendre les vêtements encore plus magnifique que son grand père. D'ailleurs il me fit découvrir une belle robe longue rouge et j'en rester bouche bée, avec un grand sourire radieux je me précipite telle une gamine devant cette robe et la prends doucement, me retournant vers Leyhan. « Elle est magnifique ! Je vais l'essayer immédiatement. » Ni une, ni deux, je me dirige avec la robe rouge à la main dans ma chambre à côté le laissant seul le temps d'enfiler cette robe. Je me déshabillais et pris la robe pour pouvoir la porter, ainsi je la porte sur moi, mais il ne manquait qu'une chose, juste de fermer la fermeture éclair qui se trouvait derrière la robe. Du coup, je sortais de la chambre et regardant Leyhan, je lui demandais d'une façon quelque peu gênée et timidement. « Euh... Pourrais-tu me fermer la fermeture éclair, s'il te plaît? » Je me mordille la lèvre inférieure comme une gamine.

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Que tu sois le petit-fils d'un nom connu, ou petite-fille de la reine d’Angleterre, on ne peut pas avoir une vie normale. Entre reprendre une entreprise mondialement connue ou montrer sur le trône, cela n'a rien de normal. Suivre les règles du protocole et tout le bazar, cela devait être bien chiant et tu comprenais que la brunette en avait marre. Si tu pouvais la faire se sentir comme une femme qu'on prend pour madame tout le monde pendant quelques instants, pas de soucis. Et ça commence en la tutoyant. C'est comme si tu la connaissais depuis longtemps alors ça ne doit pas faire cinq petites minutes. Mary te demande alors d'oublier les princesses. Tout ce que tu pouvais répondre en l'observant dans les yeux en grimaçant avec ta bouche. « Désolée, je vais faire comme si tu étais normale. » Puis vient les confidences ce qui te fait assez bizarre puisque tu n'as pas l'habitude de te confier, n'aimant guère cela. La brunette parle alors ton grand-père et fait l'éloge de la marque, mais aussi de la personne qui est l'ai crée. Face à tant de compliments, tu ne pouvais pas t'empêcher de sourire comme un idiot. « Je confirme que c'est une personne formidable, Et je ne dis pas parce qu'il fait partie de ma famille. J'espère juste être à la hauteur. » En effet, tu t'entends mieux avec ton papi que ton propre père qui te casse littéralement les bonbons. C'est le cas de le dire puis ton paternel est toujours sur ton dos à vouloir diriger ta vie, De tout ce que tu fais, ce n'est pas assez bien. Combien de fois ta sœur t'a séparé de lui avant que vous en finissiez aux mains ? Ne parlons pas de sujets qui fâchent. Quelques minutes plus tard, tu avais proposé une jolie robe rouge qui faisait une petite traîne sur le sol. Le vêtement de luxe avait l'air de plaire à la princesse. Tu avais tapé dans le mile sans connaître la jeune femme de vingt-cinq ans. Faisant oui de la tête, tu laisses la brunette aux yeux bleus / verts partir vers sa chambre, tu te diriges vers la fenêtre le temps que l'Eliot se change. Quelques minutes plus tard, tu vois le reflet de la belle. Te retournant vers cette dernière, celle-ci te demande de fermer la fermeture éclair. « Oui bien sûr » Pendant quelques secondes, ton regard fixe le joli dos de Windsor en louchant presque dessus. Clairement, tu étais en train de la regarder mais de manière discrète et de prendre la fermeture éclair entre les doigts afin de la remonter jusqu'en haut. « Et voilà. La robe te va super bien. Tu veux peut-être mettre un bijou, un sac, une pochette ? » Te mettant devant elle, tu glisses une main dans une de tes poches de ton costume.  

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Il est vrai qu'on venait à peine de se rencontrer, mais il m'inspirait la confiance directement, j'ignore pour quel raison, mais lorsque je le voyais face à moi, j'avais juste une envie de paraître normale à ses yeux durant quelques minutes au moins. Parfois, ça fait tellement du bien d'être une femme normale. Je sais qu'il me disait "princesse" etc... Parce que son grand père lui a appris et que l'on est comme ça dans la famille royale, le protocole est très stricte. Du coup, je ne lui en voulais pas d'être autant poli. Lorsqu'il me réponds, j'en vins à sourire doucement, contente qu'il comprenne ma situation. Il devait être du même bord que moi puisque son grand père est quelqu'un de très respecté et aussi riche que la famille Windsor. Le jeune homme avait peur de ne pas être à la hauteur, j'essaye de le rassurer. « Je comprends bien... Il faut juste ne pas stresser, tu sers à la hauteur, j'en suis certaine. » Je disais ça comme si je le connaissais depuis des années. Déjà rien que le tutoiement voulait tout dire, ce n'est pas parce qu'il est dan s la même classe que moi, simplement parce qu'en le regardant, je vois juste un homme charmant et avec une totale confiance. Pourtant ile st très rare quand je parle de moi et de ma façon de penser, mais Leyhan il est juste différent des autres. Ainsi, il me montrais cette belle robe longue rouge avec une trainée au sol et je me changeais dans ma chambre directement. Bien sûr, je ne pouvais pas fermer la fermeture éclair de derrière, donc je sors de ma chambre et lui demande avec un petit sourire gênée qu'il me ferme la fermeture éclair. Il accepte et vins s'approcher de moi, allant dans mon dos. Je sentais ses doigts qui vint agripper la fermeture éclair pour la remonter jusqu'en haut et ça me donnait quelque peu des frissons lorsqu'il frôlait mon dos. J'espérais qu'il ne verrait rien, j'avais un peu honte pour le coup. Ce qu'il me dit, me fit afficher un nouveau sourire doux, il était si agréable et si mignon. « Merci... Hum.. Pourquoi pas, un petit bijou. Qu'est-ce qui m'irait bien, d'après toi? Je veux pouvoir mettre la robe en valeur. » Je suis si fière de la porter sur moi, j'avais l'impression d'être une princesse. Oups, suis-je bête, je suis une princesse. En revanche, j'avais l'impression d'être dans un conte de fées et que Leyhan serait mon prince charmant, pourquoi pas? J'avais tellement envie d'en savoir plus sur lui et j'avais tellement envie de me rapprocher de lui. Mes yeux plongeaient dans les siens, je voulais tellement lui plaire.

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Il faut dire que Mary et toi n'étiez pas des personnes normales. L'une était princesse du Royaume-Uni et l'autre le futur successeur de Gorgio Armani. Autant de responsabilités sur vos petites épaules, surtout que vous n'avez même pas encore trente ans. C'est normal de la considérer comme une femme normale pendant quelques instants, c'était la moindre chose que tu pouvais faire la considérer comme telle. Tu avais fait part de tes doutes – chose que tu n'aurais pas fait en temps normal – te fermant comme une huître sur tes soucis. Néanmoins, la voix de Mary te rassurait et tu ne pouvais que de bouger la tête de haut en bas en essayant de te convaincre. Pendant que la miss essayait sa robe, tu t'étais dirigé vers la fenêtre main dans la poche de ton pantalon de costume pour regarder le paysage que tu voyais depuis la vitre. Quelques minutes, plus tard, en voyant le reflet de la brunette aux yeux verts, tu te retournes face à elle en adressant un grand sourire. Sauf que la femme de vingt-cinq avait le dos dénudé à cause de la fermeture qui se trouvait derrière la robe. Tu remontes la fermeture éclair jusqu'à l’endroit où, cette dernière ne pouvait plus aller plus loin. Le temps que tu fasses cette action, tu n'avais pas cessé de regarder le dos de la belle en ayant une drôle de sensation dans ton corps, te sentant oppresser dans ton costume taillé sur-mesure. Tes phalanges avaient frôlé cette partie du corps, te mordillant les lèvres, découvrant ainsi les frissons de la princesse. Mettant la tête en arrière, tu regardes le plafond en te mordillant les lèvres pendant quelques instants et la remettre droite lorsque l'Eliot prend la parole. La petite-fille de la reine te demande ce que lui irait le mieux en matière de bijoux afin de mettre la jolie robe rouge. Sauf que tu étais trop absorbé par les pupilles de Mademoiselle Windsor, tu mis un certain temps à répondre. Ne pouvant décrocher tes yeux de ton regard, voulant déposer tes lèvres sur chaque partie du visage de la princesse. Tu savais que tu ne devais pas le faire. Ce n'était pas respectueux, ni écrit dans le protocole. Te faisant violence pour éviter de céder à la tentation, ne voulant pas créer des soucis à ton grand-père. Après de longues minutes de silence et avoir chassé tes mauvaises pensées, tu réponds enfin. « Je pense qu'un bracelet en diamants et une petite pochette seraient parfaits. » Tu n'avais même pas pris le temps de regarder les accessoires posés un peu de partout. Tout ce que tu avais trouvé à faire, c'est de prendre sa main dans la tienne afin de l'amener devant les bijoux et d'en glisser un autour de son poignet en prenant bien soin de lui toucher le bras du bout des doigts. L'étudiante à Harvard lui plaisait déjà et essayer de lui faire comprendre à travers les caresses sur le bras. Maintenant, fallait plus qu'à espérer que les membres de la famille royale et Armani se trouvent loin, si les choses venaient à se corser.  

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Cela faisait un bien fou de côtoyer enfin une personne de son âge et qui pouvait me faire paraître pour une personne normale pendant l'espace d'un instant. C'est rare que lorsque je ne connais pas vraiment quelqu'un j'ai cette impression d'avoir cette confiance en lui, il avait cette apparence et ce regard ainsi que ce beau sourire qui savait m mettre en confiance et qui savait m mettre à l'aise. Lui aussi devait savoir ce que ça faisait d'être une personne riche et célèbre et d'être cette personne correcte et poli tout le temps, je me voyais en lui et c'était bien de voir quelqu'un comme moi. Il avait ce petit truc n plus, que d'autres hommes n'avaient pas et je ne parle pas d'argent et de bourgeoisie, ça m'en était tout à fait égal. Mais juste son comportement doux et généreux. Lorsqu'il remonte cette fermeture éclair derrière ma robe, j'us les frissons à sentir ses doigts s’agripper et j'avais envie de connaître d'avantage le jeune homme dans touts les situations possible, esprits pervers quand tu nous tiens... Je me sentais honteuse tout à coup, comme si je bravais l'interdit et si quelqu'un passait par là à ce moment là? Qu'en pensait notre famille? Lorsqu'il se retourne face à moi, j'avais cette envie de goûter ses lèvres, mais je me retiens. Je ne veux pas passer pour cette femme aguicheuse. Je l'écoute me conseiller un bracelet en diamants et une petite pochette, pensant que c'est lui qui est parfait. Il vins prendre ma main et sa main rejoignis la mienne afin de m'emmener devant ces beaux bijoux, j'en reste bouche bée. Ce contact de nos mains me fait ressentir la plus belle des sensations. Il vins alors mettre le bracelet dans mon poignet et je restais sans voix quand il me touche le bras du bout des doigts, je ne vois que lui et moi à ce moment là. Regardant alors le bracelet, ce beau sourire s'affiche sur mes lèvres. « Il est magnifique. » Je comprenais à travers ses caresses sur mon bras que mon sentiment envers lui était réciproque, du moins j’espérais ne pas me tromper. Je plonge mon regard dans le sien et approche mes lèvres des siennes, venant l'embrasser tendrement, le coeur battant.

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Tu étais en train de lui caresser le bras après lui avoir conseillé une petite pochette et un bracelet en diamants qui mettraient sa jolie tenue en valeur. Tu peinais beaucoup pour résister à la tentation de l'embrasser même si l'envie est tellement forte. Tu n'avais plus en tête les vêtements, ni les bijoux de la princesse d'Angleterre, mais plutôt la personne. Soudain, Mary dépose ses lèvres sur les tiennes. C'était elle qui avait cédé à la tentation. Sentant ta bouche contre celle de la brunette, tu sens tous tes sens se mettent en ébullition – comprise ceux d'homme - . Tu hésites un instant, restant à l’afflux de chaque bruit pour finalement prolonger le baiser tout doucement et d'en plus en plus passionnément au fil des secondes. Ne voulant pas la brusquer, tu poses tes mains au niveau de ses joues posant ton front contre celui-ci de la princesse. Ne sachant pas si tu devais aller plus loin. Tu hésites un instant, restant à l’afflux de chaque bruit pour finalement prolonger le baiser tout doucement et d'en plus en plus passionnément au fil des secondes. Finalement, tu l'embrasses à nouveau sur la bouche, la pulsion était plus forte que tout, la faisant reculer pendant que tu avançais en marchant jusqu'à sa chambre en ne quittant pas ses lèvres. Tu ne comprenais pas ce qu'il t'arrivait. Tout ce que tu savais, c'est que tu avais envie de la découvrir dans d'autres circonstances, qu'elle devienne tienne pendant quelques instants. Comment un homme pouvait résister à une telle beauté ?   

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Cette situation aussi étrange soit-elle était vraiment agréable. Si quelqu'un nous surprendrais alors qu'il aille au diable je m'en fiche. A ce moment précis, c'est comme si nous étions seuls au monde, qu'il n'y a que nous et surtout que lui... Je crois qu'il m'a envoûter, avait-il mis quelque chose dans mon verre auparavant et discrètement? Je ne me reconnais même plus, dans  ma tête je ne suis pas une princesse toute polie et toute sage, non loin de là. J'ignore ce qu'il s'était passé durant ces quelques minutes avec Leyhan que j connais depuis peu de temps, mais il a quelque chose qui me plaît et qui sait me séduire, il a su en tout cas me pousser plus loin à ce moment précis dans mes pensées. Que m'arrivait-il bon sang? Tant pis, vivons le jour présent et l'heure d'aujourd'hui et surtout ne pensons plus à rien, on ne pense même pas. Je fais ce que j'ai voulu faire depuis le début, mais je me retenais beaucoup trop depuis un certain moment et je devenais incontrôlable au moment où il me caresse le bras afin de mettre ce bracelet magnifique. L'embrassant tendrement, je fus ravie et mon coeur s’accélère lorsqu'il prolonge le baiser, même si il a eu un moment d'hésitation. J'apprécie ce moment et mes pensées s'évapore de plus belle, lorsqu'il pose ses mains sur mes joues puis il pose son front contre le mien alors je plonge ms yeux dans les siens. A ma surprise, ses lèvres vinrent se reposer sur les miennes pour un nouveau baiser passionné et l'excitation commençait à monter doucement. Tandis qu'il m’embrassait, il me fit reculer en marchant jusqu'à ma chambre, je la referme derrière moi, ne perdant plus de temps. Tout en l'embrassant langoureusement, je commence à le déshabiller, ne pouvant pas enlever ma robe puisqu'il faudrait enlever la fermeture éclair derrière. Je décide alors d'enlever sa veste de costume la laissant tomber au sol et sans plus attendre, je lui déboutonne sa chemise d'une manière sauvage, la tigresse en moi resurgit soudainement. La chemise totalement ouverte à présent, j'en profite pour caresser son torse sensuellement au passage.

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