Invité
est en ligne
Invité
Mon nom est
Zoran Djordjevic
C'est le 20 février 1988 à Belgrade en Serbie, que les membres de la famille Djordjevic m'ont accueilli dans leurs bras, ils m'ont prénommé Zoran Aleksandar. Je suis marié et père de Nikola, 4 ans et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis hétérosexuel et j'en suis fier. Je viens d'une classe sociale aisée. Sinon, dans la vie de tous les jours je travaille en tant que
Tell me some more about you
AVEZ-VOUS ÉTUDIÉ À HARVARD ?
Non, j’ai étudié dans mon pays en Serbie, puis à Moscou en Russie. J’ai en effet obtenu mon master en sciences et techniques des activités physiques et sportives en entrainement sportif là-bas. J’aspire à devenir coach de basketball depuis que je suis enfant. J’ai d’ailleurs entrainé des équipes de jeunes du Partizan Belgrade et également du CSKA Moscou. On me promettait une carrière de basketteur professionnel, mais vous savez ce que c’est, une mauvaise blessure et le rêve devient une illusion. Pour autant, je n’ai pas voulu me reposer sur mes lauriers. J’aurais aimé avoir eu la chance d’étudier dans une université si prestigieuse, mais sans ma bourse d’études, il m’était impossible de le faire, malgré l’argent de mon père. Mais je mets au défi n’importe quel élève d’être un plus grand tacticien du basket que moi. Je me renseigne sur tout, et je suis un bosseur. D’ailleurs, je ne serais pas tendre avec l’équipe.
Non, j’ai étudié dans mon pays en Serbie, puis à Moscou en Russie. J’ai en effet obtenu mon master en sciences et techniques des activités physiques et sportives en entrainement sportif là-bas. J’aspire à devenir coach de basketball depuis que je suis enfant. J’ai d’ailleurs entrainé des équipes de jeunes du Partizan Belgrade et également du CSKA Moscou. On me promettait une carrière de basketteur professionnel, mais vous savez ce que c’est, une mauvaise blessure et le rêve devient une illusion. Pour autant, je n’ai pas voulu me reposer sur mes lauriers. J’aurais aimé avoir eu la chance d’étudier dans une université si prestigieuse, mais sans ma bourse d’études, il m’était impossible de le faire, malgré l’argent de mon père. Mais je mets au défi n’importe quel élève d’être un plus grand tacticien du basket que moi. Je me renseigne sur tout, et je suis un bosseur. D’ailleurs, je ne serais pas tendre avec l’équipe.
QU'EST-CE QUI A VOUS A POUSSÉ À ENSEIGNER À HARVARD ?
Pour moi ce n’est pas vraiment de l’enseignement, c’est plutôt une transmission de passion. Mon boulot peut être très technique, mais il regorge de nombreuses satisfactions : on peut assister à l’envol et aux progrès de nombreux mecs, on tisse des liens forts autour d’une même passion, on grandit et gagne en maturité grâce au collectif, et surtout on inculque et on découvre des valeurs plus que vertueuses. Le basketball est un sport particulier dans lequel on passe par toutes les émotions, il faut donc apprendre à se maitriser et étant d’ordinaire calme, je sais que je peux apaiser la moindre tension chez chacun de mes joueurs ou joueuses. A Harvard, j’ai eu vent des ambitions et du projet de l’équipe et ça m’a tout de suite emballé. J’espère donc pouvoir parvenir à de résultats satisfaisants.
Pour moi ce n’est pas vraiment de l’enseignement, c’est plutôt une transmission de passion. Mon boulot peut être très technique, mais il regorge de nombreuses satisfactions : on peut assister à l’envol et aux progrès de nombreux mecs, on tisse des liens forts autour d’une même passion, on grandit et gagne en maturité grâce au collectif, et surtout on inculque et on découvre des valeurs plus que vertueuses. Le basketball est un sport particulier dans lequel on passe par toutes les émotions, il faut donc apprendre à se maitriser et étant d’ordinaire calme, je sais que je peux apaiser la moindre tension chez chacun de mes joueurs ou joueuses. A Harvard, j’ai eu vent des ambitions et du projet de l’équipe et ça m’a tout de suite emballé. J’espère donc pouvoir parvenir à de résultats satisfaisants.
APRÈS LA BOMBE.
Je n’y étais pas. Je n’ai eu vent que de ce qu’il passait à travers des échos entre les enseignants ou les étudiants. C’est triste ce qui est arrivé. Je ne suis pas un saint, mais j’ai bien du mal à comprendre les intentions de ces personnes qui persécutent les autres. Je ne vois pas quelle satisfaction ils peuvent retirer de ces agissements. Mais j’imagine que seuls les dérangés et les sociopathes sont à même de comprendre…
Je n’y étais pas. Je n’ai eu vent que de ce qu’il passait à travers des échos entre les enseignants ou les étudiants. C’est triste ce qui est arrivé. Je ne suis pas un saint, mais j’ai bien du mal à comprendre les intentions de ces personnes qui persécutent les autres. Je ne vois pas quelle satisfaction ils peuvent retirer de ces agissements. Mais j’imagine que seuls les dérangés et les sociopathes sont à même de comprendre…
APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES.
Là, c’est différent, j’étais présent ; Je faisais d’ailleurs ma formation pour ma prise de fonctions à venir. J’ai trouvé ça déroutant, voire immonde ce qu’il est arrivé à ces jeunes filles et ce que ces quatre types ont fait. Pourquoi en vouloir à cette université en particulier ? Je comprends que les filles aient peur à présent et qu’elles ne se sentent pas en sécurité. J’ai fait un geste dans ce but d’ailleurs : après l’entrainement, je m’assure que les filles ne rentrent jamais seules, et si c’est le cas, je préfère les ramener moi. Je n’accepterais pas qu’il arrive quelque chose à l’une d’entre elle. Parce qu’on ne sait jamais, si ça s’est produit une fois, ça peut évidemment se reproduire. Je suis rassuré que tout ça soit terminé en tout cas. La fermeture des maisons a été brêve et tant mieux, car si j’avais proposé à des étudiants de loger chez moi, ma femme n’avait pas envie que ça s’éternise.
Là, c’est différent, j’étais présent ; Je faisais d’ailleurs ma formation pour ma prise de fonctions à venir. J’ai trouvé ça déroutant, voire immonde ce qu’il est arrivé à ces jeunes filles et ce que ces quatre types ont fait. Pourquoi en vouloir à cette université en particulier ? Je comprends que les filles aient peur à présent et qu’elles ne se sentent pas en sécurité. J’ai fait un geste dans ce but d’ailleurs : après l’entrainement, je m’assure que les filles ne rentrent jamais seules, et si c’est le cas, je préfère les ramener moi. Je n’accepterais pas qu’il arrive quelque chose à l’une d’entre elle. Parce qu’on ne sait jamais, si ça s’est produit une fois, ça peut évidemment se reproduire. Je suis rassuré que tout ça soit terminé en tout cas. La fermeture des maisons a été brêve et tant mieux, car si j’avais proposé à des étudiants de loger chez moi, ma femme n’avait pas envie que ça s’éternise.
ITEM LIBRE (FACULTATIF).
Son nom se prononce : Zorann Djordévitch, hors de question de l’écorcher. – Il est le fils du basketteur professionnel Sasha Djordjevic, actuel coach de l’équipe de Serbie. – Il a commencé à jouer au basket à l’âge de 3 ans. C’est également un très bon handballeur. – Il parle couramment plusieurs langues : le serbo-croate, le russe, l’italien, l’espagnol et l’anglais. Cela dit, il garde un petit accent slave. – Il a joué meneur/arrière pour de nombreuses équipes partout où il a vécu au rythme de la carrière de son père jusqu’à sa grosse blessure qui a peiné à se remettre et il a préféré abandonner le doux rêve de marcher sur les pas de son père en tant que joueur pour se consacrer à une carrière d’entraineur comme lui. – La grossesse de sa mère était non désirée, mais après avoir décidé de le garder car la situation le permettait, Zoran a été élevé de la meilleure façon qu’il soit, ne manquant de rien. – Il s’est marié très jeune à l’âge de 22 ans, et il a accueilli son premier enfant il y a 4 ans : il s’appelle Nikola. Zoran est quelqu’un de très appliqué dans ce qu’il fait, il donne toujours le meilleur de lui-même et s’implique dans toutes sortes de projets. On peut dire que c’est un homme bien dans son travail. – Grâce à la carrière de son père, il a parcouru le monde. – Il aime se mettre sous un arbre et lire un bouquin. – Il lui est difficile de se lever tôt, il a besoin de nombreux rappels du réveil. – En tant que coach, il est tout aussi compréhensif que strict, si vous vous surpassez, il vous appréciera, si vous vous contentez du peu, il n’hésitera pas à vous reléguer sur le banc. – Il a véritablement aimé sa femme au début de leur relation, mais depuis quelques temps, le couple s’est installé dans une routine et les sentiments s’amenuisent. – Il a rencontré une femme dont il est tombé amoureux. S’il rechigne à foutre en l’air la vie de sa famille, il ne peut s’empêcher de penser à elle. Problème ? C’est une étudiante. – Il trouve bizarre d’être dans le camp des professeurs alors que certains des étudiants ont son âge. – D’ailleurs, il lui arrive de faire la fête avec eux, endossant le rôle de grand-frère. – Il une bonne hygiène de vie, parce que Zoran ne tient pas l’alcool, si au départ il est jovial et se plait à faire des conneries, il devient très vite agressif, impulsif au possible. – C’est un papa poule pour son fils, dès qu’il peut s’en occuper, il le fait volontiers. – Il déteste son beau-père et sa belle-mère qui pensent qu’il est un connard fini, profiteur, tout ça parce qu’ils sont plus riches que sa famille. – Il aime aller nager avant de rejoindre son bureau où il prépare les entrainements, les tactiques de matchs et autres événements sportifs. – Il adore jouer aux jeux vidéo, mais uniquement entre amis, sinon il ne touche pas la console. – Il vit dans une belle et grande baraque très bien entretenue. – Il est bon bricoleur, c’est un de ses passe-temps, il peut vous réparer plein de choses. – Il ne s’est jamais senti à sa place au milieu de stars car il reste une personne simple. – Il prend souvent part à des activités sportives caritatives pour collecter des fonds pour les associations.
Son nom se prononce : Zorann Djordévitch, hors de question de l’écorcher. – Il est le fils du basketteur professionnel Sasha Djordjevic, actuel coach de l’équipe de Serbie. – Il a commencé à jouer au basket à l’âge de 3 ans. C’est également un très bon handballeur. – Il parle couramment plusieurs langues : le serbo-croate, le russe, l’italien, l’espagnol et l’anglais. Cela dit, il garde un petit accent slave. – Il a joué meneur/arrière pour de nombreuses équipes partout où il a vécu au rythme de la carrière de son père jusqu’à sa grosse blessure qui a peiné à se remettre et il a préféré abandonner le doux rêve de marcher sur les pas de son père en tant que joueur pour se consacrer à une carrière d’entraineur comme lui. – La grossesse de sa mère était non désirée, mais après avoir décidé de le garder car la situation le permettait, Zoran a été élevé de la meilleure façon qu’il soit, ne manquant de rien. – Il s’est marié très jeune à l’âge de 22 ans, et il a accueilli son premier enfant il y a 4 ans : il s’appelle Nikola. Zoran est quelqu’un de très appliqué dans ce qu’il fait, il donne toujours le meilleur de lui-même et s’implique dans toutes sortes de projets. On peut dire que c’est un homme bien dans son travail. – Grâce à la carrière de son père, il a parcouru le monde. – Il aime se mettre sous un arbre et lire un bouquin. – Il lui est difficile de se lever tôt, il a besoin de nombreux rappels du réveil. – En tant que coach, il est tout aussi compréhensif que strict, si vous vous surpassez, il vous appréciera, si vous vous contentez du peu, il n’hésitera pas à vous reléguer sur le banc. – Il a véritablement aimé sa femme au début de leur relation, mais depuis quelques temps, le couple s’est installé dans une routine et les sentiments s’amenuisent. – Il a rencontré une femme dont il est tombé amoureux. S’il rechigne à foutre en l’air la vie de sa famille, il ne peut s’empêcher de penser à elle. Problème ? C’est une étudiante. – Il trouve bizarre d’être dans le camp des professeurs alors que certains des étudiants ont son âge. – D’ailleurs, il lui arrive de faire la fête avec eux, endossant le rôle de grand-frère. – Il une bonne hygiène de vie, parce que Zoran ne tient pas l’alcool, si au départ il est jovial et se plait à faire des conneries, il devient très vite agressif, impulsif au possible. – C’est un papa poule pour son fils, dès qu’il peut s’en occuper, il le fait volontiers. – Il déteste son beau-père et sa belle-mère qui pensent qu’il est un connard fini, profiteur, tout ça parce qu’ils sont plus riches que sa famille. – Il aime aller nager avant de rejoindre son bureau où il prépare les entrainements, les tactiques de matchs et autres événements sportifs. – Il adore jouer aux jeux vidéo, mais uniquement entre amis, sinon il ne touche pas la console. – Il vit dans une belle et grande baraque très bien entretenue. – Il est bon bricoleur, c’est un de ses passe-temps, il peut vous réparer plein de choses. – Il ne s’est jamais senti à sa place au milieu de stars car il reste une personne simple. – Il prend souvent part à des activités sportives caritatives pour collecter des fonds pour les associations.
Mon pseudo internet est
pseudo
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle pas ! et j'ai l’âge de la raison. Je suis un citoyen et j'ai connu le forum grâce à mon petit flair. Un seul mot : Magnifaïk ! alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Stefan Markovic, que personne ne connait comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par mes soins. Je fais environ 400 mots mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.
Mot de la fin ? ▲ Supercalifragilisticexpialidocious
Je souhaite ▲ (retire la balise le symbole et sa couleur qui ne correspond pas)
[/color][/font] adhérer un flood d'intégration ([/color] [font=FontAwesome][color=#529c39]?)
Mot de la fin ? ▲ Supercalifragilisticexpialidocious
Je souhaite ▲ (retire la balise le symbole et sa couleur qui ne correspond pas)
[/color][/font] adhérer un flood d'intégration ([/color] [font=FontAwesome][color=#529c39]?)
(Invité)