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EDEN&CHUCK ⚘ like a fresh start. (NC-18)

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Mouvementée. C'était ainsi que l'on pouvait décrire cette dernière année. Mouvementée, turbulente, progressive ... Ils avaient débuté quelque part, et terminé ailleurs ; loin ailleurs, par ailleur. Amant parmi tant d'autres de la renommée Chuck Davis, fille du maire et bombasse par excellence, et ce, depuis quatre ans, ce n'était que plus récemment qu'il avait découvert la portée de son affection à son égard. Il leur avait fallu quatre années d'illusions, de disputes, de ruptures, d'explorer de nouveaux horizons, de moments si mélodramatiques que Leighton Meester et Ed Westwick dans leurs rôles de Blair & Chuck ne pouvaient paraître que fades ; il leur avait fallu quatre ans pour se retrouver, finalement, l'un et l'autre. Il leur avait fallu tout ce temps pour s'avouer cet amour qui pourtant, avait toujours été là, et n'était jamais allé ailleurs.

Sous le soleil éclatant d'été, les éclaboussures que la cascade leur jettait ainsi que la paix, le calme et la bonne humeur engendrée par l'arrivée de l'été, ils étaient enfin là. Unis. Heureux. Sans problèmes, sans soucis, sans prises de tête. Elle lui appartenait. Elle lui était fidèle. Il n'arriverait toujours pas à regarder dans les yeux directement tous ceux ayant couché avec elle, et se savait incapable d'un jour pouvoir se lier d'amitié avec eux : Eden & Chuck ... C'était l'histoire d'Harvard la plus ancienne et la plus connue, et eux n'en avaient eu rien à faire. Ils s'étaient foutus autant de ses sentiments que de son honneur, et il ne leur devait que mépris pour cela. Certes, elle aurait pu lui être fidèle. Mais ça, il ne pouvait ni ne voulait pas le voir. Il l'aimait, elle l'aimait, et dans sa manière purement imbécile et romantique de penser, cela pardonnait tout.

Leur voyage au Maroc avait été exquis ; avec elle dans ses bras, il avait pu dormir. Calmement. Paisiblement. Jouïssivement, lorsque l'occasion s'y était prêtée. Puis, les examens les avaient séparés, lui, ayant eu besoin de se concentrer loin d'elle ... Même si ça ne pouvait marcher qu'en théorie. En pratique, elle le rendait malade. Il ne fasait que penser à elle. Il ne voulait qu'être avec elle. Dès qu'il la voyait, son monde s'illuminait, comme si le jour venait de remplacer la nuit dans sa vie.
L'été venait d'arriver, et cela ne voulait dire qu'une chose : il comptait passer le plus de temps possible avec sa belle. Il avait d'ailleurs trouvé le parfait moyen de commencer leurs 'vacances' communes. Et malgré les rivalités inter équipes, il était persuadé que tout irait bien avec elle.

Prenant doucement la main de Chuck dans la sienne, assis un rocher, Edenshaw lui demanda :

- Comment te sens-tu ?
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Un besoin naturel de le voir, de l'avoir contre moi ? C'était pire que du naturel, c'était un vrai besoin, une raison de vivre dont je ne pouvais me détacher. Les vacances ensemble au Maroc nous avaient fait le plus grand bien, mais les examens étaient là et contrairement à Edenshaw, je n'avais pas à craindre pour l'année prochaine. Le revoir, l'avoir entièrement rien que pour moi, j'avais l'impression de retrouve un bonheur perdu. Et sur le bord de ce petit bassin, à me tenir la main de mon aimé dans la mienne, j'étais la femme la plus comblée du monde. Je me blottissais dans les bras de mon petit ami, j'étais bien. A part un peu d'eau fraiche, je n'avais besoin de rien d'autre. Il me demandait alors comment je me sentais, c'était tellement une évidence à mes yeux, j'avais des ailes dans le dos. Si vivre une véritable histoire et romance avec toi, c'est le paradis. Alors le paradis des anges, ça doit être vraiment rien à coté de ce qu'on vit ensemble. Et j'suis heureuse de passer du temps avec toi. J'espère que tu as réussi tes examens mon amour. Je souris en prenant son visage pour l'embrasser tendrement. A chaque fois que je l'embrassais, je retombais une nouvelle fois alors, plus amoureuse encore, plus heureuse. Rien ne pouvait gâcher ça.

D'ailleurs, une fois que je reprenais mon souffle, je me laissais glisser dans l'eau, tirant par la même occasion Edenshaw avec moi. Mes bras entourèrent son cou pour venir me blottir contre lui; tendrement, m'amusant même de plaquer ma poitrine voluptueuse contre son torse. hm...c'est inhumain d'essayer de résister au romantisme de la situation. Vraiment...très...inhumain. lui dis-je alors que je posais mes lèvres sur les siennes, coupant parfois mes paroles. Nous étions seuls ici, et c'était vraiment agréable. D'ailleurs, j'en profitais pour m'écarter quelques secondes d'Edenshaw pour retirer mon haut de maillot de bain et lui jeter au visage, en arborant fièrement un air taquin sur le visage, l'air de dire « Chiches que tu m'attrapes ». Je me pinçais la lèvre inférieur alors que je me glissais vers la chute d'eau, à moitié nue, comme une petite nayade qui attendait son prince. Je me hissais difficilement sur un caillou, laissant l'eau des chutes caresser mon cou, ma poitrine, mon ventre et même mes cuisses qui étaient légèrement entre-ouvertes vers Eden.
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- Alors tu sais quoi ? lui chuchotta-t-il alors tentativement dans l'oreille, tentant de l'enthousiasmer davantage quant à eux ; en effet, Edenshaw se refusait de rendre leur vie de couple monotone, et essayait tant bien que mal de mettre un peu de piment dans leur relation. Ne mourons jamais !

Ses lèvres s'écrasant contre les siennes lui donnaient toujours cette sensation de vitalité, de complétion ; comme si une part de lui-même lui était revenue à chaque fois qu'il s'embrassaient. Sa main glissait le long du bras de sa belle, tandis qu'il continuait de l'embrasser.

- Et je t'en prie, ne perdons pas notre temps avec des trivialités telles que des examens. Ça n'a juste pas de sens pendant les vacances.

Elle le tira alors vers les chutes ; acte auquel il n'allait point protester, ne serait-ce que pour la belle vue qu'il avait sur ses seins ; se rinçant les yeux, il la suivait donc, jusqu'à ce qu'elle vienne se plaquer contre lui. À ce moment là, il leva ses yeux afin de les plonger dans ceux de Chuck. Ses magnifiques yeux bleus ... Des millions de femmes tueraient pour ce regard qui voulait tout dire.

- C'est inhumain d'essayer de résister au romantisme tout court, tu ne crois pas ? demanda-t-il alors en souriant. Puis, glissant ses mains le long de son dos, avant de les arrêter sur les fesses de celle-ci, en profitant pour la tirer davantage vers lui, il ajouta alors d'un ton enjoué : Mais résister aux désirs et aux pulsions tout court, ça, c'est tout simplement diabolique.

Il avait commencé à l'embrasser dans le cou, et c'est à ce moment là qu'elle s'était défaite de son étreinte. Au départ désorienté, le haut de bikini qu'il s'était reçu dans le visage avait servi de parfait réveil.

Un sourire parcourut alors ses lèvres.

Puis, sans dire mot, il se jeta dans l'eau, à la suite de sa belle, de sa douce, de son aube et de son crépuscule. S'arrêtant juste devant le rocher où Chuck s'était perchée, il lui demanda alors :

- Tu n'as pas peur de sauter dans mes bras, quand même, à ton âge. Une grande fille comme toi ... Je ne saurais le croire !
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C'était inhumain, c'était aussi pour ça que j'allais pas résister plus longtemps. J'aimais Eden et j'avais besoin d'un peu de romantisme, il n'y avait pas de limite pour profiter de mon homme. Je m'amusais à le taquiner, mon haut de bikini... ? Un simple avant-gout de ce qu'il allait lui arriver. Et une fois qu'il était revenu vers moi, je le dévorais des yeux. Je riais à sa phrase, il était adorable. Je me mis alors sur le ventre, toujours perchée sur mon petit rocher. Une grande fille comme moi ? Ah ah... Je n'ai pas peur, j'ai juste hum... je fis le tour sur moi-même pour m'asseoir et glisser le bas jusqu'à mes chevilles, le jetant sur la tête d'Edenshaw. Je riais aux éclats avant de me glisser entre roche et amour. C'était toute excitée que je me blottissais contre lui en m'emparant de ces lèvres pour l'embrasser aussi langoureusement, amoureusement que je le pouvais. Et soudainement... je m'arrêtais. Je le fixais tendrement dans les yeux, un petit air de coquine sur les joues, un air qui avait envie d'embêter Edenshaw. ça fait longtemps que je ne suis plus une enfant. Et je n'ai plus peur de quoi que ce soit avec toi. Je saisissais le visage de mon petit ami pour l'embrasser avec autant d'amour que j'en avais l'habitude. Je descendais ma main le long de son torse musclé, parcourant le chemin de son torse musclé à ses hanches pour faire descendre son caleçon de bain. Maintenant qu'on est à armes égales... je fis un petit sourire avant de sauter véritablement sur Edenshaw, j'entourais ses hanches avec mes cuisses, et je l'embrassais. Ma réelle intention de cette baignade était de lui faire l'amour en premier lieu sur ce rocher... et peut-être aussi sur la rive là-bas, et pour égaliser, aussi de l'autre coté de l'étendue d'eau. Enfin... si je réussis à dominer.
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Elle l'avait trouvé amusant, et c'était tout ce qui comptait. Riant à son tour, il la regardait, avec amour et tendresse, ne se sentant plus impressionné par son corps nu depuis qu'il avait appris à le connaître par coeur, après toutes ces années. Toutes ces années ... Tout ce temps perdu. Et finalement, plus une minute à perdre. Il était heureux d'avoir enfin obtenu tout ce qu'il désirait, dans sa vie : sa bourse, l'amitié, la place de vice président, la plus belle fille du campus ... La vie souriait à l'heure actuelle à Edenshaw Daniel Cartwright.

Elle lui jeta une nouvelle partie de sa lingerie au visage. Il ne comprenait d'ailleurs toujours pas pourquoi elle avait pris cette habitude ... Non qu'il s'en plaignait. Au moins, là, elle était toute nue. Il se dirigea alors vers le rivage afin d'y déposer l'article vestimentaire, histoire de ne pas le perdre, avant de revenir vers Chuck.

Il n'y avait qu'une chose de mieux, dans la vie, que d'embrasser une "belle meuf super super trop canon", comme dirait Jared. Et ça, c'était d'embrasser une "belle meuf super super trop canon" nue.

L'éclat de défiance de le regard de Chuck le mettait hors de lui. Elle avait toujours su comment l'exciter à un point autrefois cru humainement impossible. Discrètement et subtilement, elle lui ôta son caleçon de bain.

- Mettons cette affirmation à l'épreuve, veux-tu ?

Sans prévenir, elle lui avait sauté dessus, et il manqua de la lâcher, mais se rattrapa de justesse. La portant dans ses bras, il se laissait l'embrasser, avant de l'allonger sur le rocher et de lui dire.

- Ça fait des semaines que je ne pense qu'à ça, si tu savais.

Puis, l'embrassant un peu au dessus des seins, il leva les yeux avant d'ajouter :

- Mais ce n'est jamais comparable avec le moment réel, évidemment.

____

HJ ; Je modifie le titre ? EDEN&CHUCK ⚘ like a fresh start. (NC-18) 2157042859
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J'avais envie de lui faire l'amour. C'était juste une torture cette attente. Il était nu, j'étais nu ? Il ne manquait rien, mon envie était présente. Et lorsqu'il m'avoua en avoir rêver depuis des semaines. J'eus un petit sourire coquin, espérant que l'attente ne le déçoive pas trop. Je frissonnais lorsque ses lèvres se posèrent sur ma peau. C'était une perche qu'il me tendait sans le savoir. Même si j'étais allongée, que je lui laissais voir mon corps entier, je n'avais pas pu m'empêcher de me relever un petit peu, faisant face à Eden. Notre proximité fit que nos bassins étaient en contact et je ne pouvais pas m'empêcher de me sentir lancer par cette caresse accidentelle, je me pinçais la lèvre inférieure, tentant de tenir quelques secondes à l'envie de le violer. Vraiment...pas...comparable. Je souris avant que je pris les lèvres de mon aimé pour l'embrasser tendrement, alors que je glissais ma main dans la sienne pour l'emmener dans un endroit où ce serait plus accessible pour nous deux. Je poussais mon petit ami sur le bord de l'eau pour qu'on profite de la douceur et fraicheur des chutes tout en profitant du corps de chacun. A genoux sur le sable, je commençais généreusement les hostilités.

Que dire d'Edenshaw? C'était un dieu, l'homme parfait. Il savait comment contenter la mangeuse d'homme que j'étais, à me contenter à tel point que je ne voyais que lui pour atteindre un palier que jusque là, personne ne franchissait à part lui. Satisfaits, heureux dans un bonheur complet, je me laissais choir sur le coté. Andromaque, une position connue et très utilisée du Kamasutra, une position qui était simplement divine pour un couple, j'avais pu laisser Edenshaw admirer mon corps alors que je m'étais évertuée à nous offrir une union parfaite. Je posais ma tête sur son épaule tout en posant ma main sur son torse que je caressais. Je t'aime, Eden. lui disais-je dans un souffle, alors que je tentais de récupérer un peu de force.
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Il était consommé par une fièvre qui le caractérisait. Le flot de passion s'écoulant en lui devenait si intense qu'il commençait à avoir du mal à le contrôler et à le retenir. Rien ne l'empêchait de faire passer un après-midi mémorable à Chuck, et il avait du mal à attendre avant que cela ne se produise. C'était comme s'ils ne l'avaient pas fait depuis des mois ... Alors qu'en réalité, leur dernière fois ensemble devait dater d'une ou deux semaines, tout au plus, même si avec tous les exams, il n'était pas prêt à en parier sa main au feu.

Il se mit à l'embrasser le long du corps, descendant des clavicules, remontant de temps en temps vers ses lèvres, essayant de faire durer le moment de tension sexuelle avant l'acte en lui même : pour l'avoir eue dans son lit pendant maintenant quatre ans, il savait à quel point c'était meilleur lorsque les deux avaient une soif insatiable de l'autre. Lorsque son corps nu brûlait de l'ardent désir de se retrouver contre le sien.

Elle l'avait entrainé vers le sable, et il avait suivi sans protester. Une fois arrivés où ils étaient, il s'était retrouvé allongé, Chuck à genoux au dessus de lui. Ses mains lui glissaient du dos, le long de ses courbes féminines, tandis que son regard retraduisait à merveille tout l'amour qu'il possédait pour elle ... C'était elle qu'il voulait, et personne d'autre.

- Attends. demanda-t-il alors.

Levant sa tête vers Chuck, il lui rapprocha la sienne à l'aide de sa main, avant de déposer un tendre baiser sur ses lèvres.

- Je t'aime. dit-il alors. Tellement.

Et sur ce, il l'avait mise sur le dos, dans le sable, prenant la position dominante au dessus d'elle. Il était fou. Il était passioné. Il était probablement l'homme le plus corné de la planète à ce moment là.

L'embrassant dans le cou, ses mains se balladaient de part et d'autre du corps de Chuck ... Il avait envie d'elle, se retenant pour ne pas le faire le plus rapidement possible, cherchant à faire durer leur plaisir.


Et puis, ça prit fin. Essouflé, fatigué, reposé et heureux, il laissa sa douce prendre appui sur son torse, l'embrassant sur le front.

- I love you ... So much.

traduction:

Il n'hésitait plus. Il n'attendait plus. Certains croiraient qu'il brûlait les étapes, mais seul lui savait que c'était la prochaine chose à faire, après tout ce temps d'attente.

- Chuuuck ? demanda-t-il alors d'un ton interrogateur.

Il la vit lever les yeux vers les siens, et sentit son coeur chavirer à la vue de ces perles bleues. Se lançant finalement, il tatonna de la main gauche avant d'attraper son caleçon entre ses doigts, et de ramasser quelque chose dans la poche de celui-ci, tout en restant allongé. Puis, il prit sa main gauche dans la sienne, la caressant avec amour et tendresse, avant de doucement glisser un anneau doré le long de son annulaire.

- Will you do me the honour of becoming my wife ?

Traduction:

Des mots simples, mais explicites. Des mots qui n'accepteraient qu'une réponse. Il la fixait dans les yeux d'un regard douloureux, comme par peur qu'elle refuserait. Mais au moins, il aurait essayé ; il ne lui restait plus qu'à attendre sa réponse.
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Nous venions de faire l'amour, et j'étais essoufflée. Je me reposais dans les bras d'Edenshaw, ça me faisait du bien de sentir son corps contre le mien, et aussi ses lèvres. Je me blottissais sagement dans les bras d'Eden, je me reposais. C'est alors qu'il m'appela, je relevais les yeux vers lui. Yes, darling ? J'étais surprise, je me demandais ce qui le rendait si trouble et prévenant avec moi d'un coup. Je le regardais, surprise, je l'attendais. j'espérais qu'il n'allait pas m'annoncer une mauvaise nouvelle. C'est alors qu'Edenshaw glissa un anneau à mon doigt, l'endroit où deux personnes qui se fiançaient la mettaient. Mon coeur cessa de battre lorsqu'Edenshaw me posa la fameuse question. Je le regardais fixement, surprise par la demande qu'il venait de me faire. Il voulait ... m'épouser ? Après de longues années dans le brouillard, des années de larmes, et autres souffrances, il se lançait. La preuve d'un amour invicible, il voulait s'engager avec moi. E-den-shaw... Je sautais sur lui, l'embrassant avec tout l'amour que je ressentais pour lui. La plus belle des choses venait de m'arriver aujourd'hui, j'étais toute émue. Je quittais ses lèvres, caressant tendrement la joue de mon aimé. Indeed on that I want to marry you. I would be the most filled woman. You will be the most beautiful of the husbands, most the handsome man of my life, my angel, my sunbeam, you are my reason to live on this Earth, Eden. I could not cross otherwise my life that with you, you are irreplaceable in my heart.** Je l'embrassais encore et cette fois, de façon plus longue, plus tendre, plus passionnée que jamais. Je me mettais au dessus de lui, encore nue, encore suintante à cause de notre étreinte précédente, mais je m'en foutais. Ma partie intime caressait celle de mon aimé, j'arrêtais de l'embrasser pour le regarder dans les yeux : je voulais qu'il me fasse l'amour, encore. Je voulais "fêter" sa demande en mariage et rien de mieux que de faire l'amour avec lui; encore une fois. Je reprenais possession de ses lèvres pendant qu'une de mes mains libre vint caresser l'entrejambe de mon "fiancé".

** Bien sur que je veux t'épouser. Je serais la femme la plus comblée. Tu seras le plus beau des maris, le plus bel homme de ma vie, mon ange, mon rayon de soleil, tu es ma raison de vivre sur cette Terre, Eden. Je ne pourrais pas passer autrement ma vie qu'avec toi, tu es irremplaçable dans mon coeur
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Un silence avait été présent, il en était certain. À moins qu'il ne l'ait rêvé ... Mais pourtant, ça avait semblé si réel, ce moment où son coeur s'était arrêté et où il avait attendu avec espoir et incertitude la réponse de sa dulcinée ... Comment cela n'aurait-il pas pu se produire s'il se rappelait sans difficultés du malaise qui avait commencé à prendre place dans son ventre, de l'étrange boule qui nouait alors toutes ses cordes vocales, sans aucune exception, ainsi que du tourment et de la torture psychologique que son pauvre cerveau subissait ? Comment aurait-il pu ne pas y avoir un silence, s'il se rappelait pertinemment avoir entendu les battements de son coeur, qui avait accéléré son tempo habituellement si régulier pour battre à un rythme digne de la chanson pop la plus mouvementée de la planète ?

Et puis, comment l'expliquer ? C'était comme si toute la négativité qu'il aurait pu éprouver s'était volatilisée, évaporée. Comme si ses doutes, ses peurs, ses incertitudes et ses insécurités avaient décidé de se nouer en un seul filament avant de se faire couper en deux par les ciseaux de l'amour. Elle lui avait sauté dessus. Elle l'avait embrassé. Et comme ça, son coeur se mit à reprendre un battement normal. Ses paupières se remirent à cligner. Sa gorge se dénoua d'un coup sec, tandis que ses maux d'estomac s'estompèrent inexplicablement. La tenant par le bassin, il l'embrassait en retour. Elle l'aimait. Il le savait, et s'il ne l'avait pas su auparavant, il en avait à présent la preuve vivante.

- Je ... je ... parvint-il finalement à balbutier entre deux baisers. Mais les mots ne lui venaient plus. Il était si heureux que c'était comme si son cerveau s'était endormi, incapable de tenir le rythme face à la passion qui bouillonnait dans son sang. Il était heureux, et il ne savait que dire.

- Je ne crois pas avoir été aussi heureux de ma vie entière. souffla-t-il finalement avant de laisser sa Chuck repasser à l'offensive avec ses fataux baisers. Et puis, cela semblait si naturel, si normal ... Il avait compris où Chuck voulait en venir, et évidemment, ne tentait même plus de résister. Il la voulait. Ses entrailles brûlaient pour Chuck. Son coeur criait son nom, sans cesse, depuis quatre heures. Ses poumons respiraient uniquement afin de lui laisser le temps de vivre à ses côtés. Sa vie en elle-même semblait s'être synchronisée sur celle de sa petite-amie fiancée, et il ne pouvait pas ne pas la désirer 24 heures sur 24, sept jours sur sept, vacances comprises. L'attrapant autour de la taille, il la renversa sur elle-même, lui plaquant le dos au sable.

- Je t'aime. Tellement.

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