(Flashback) Night after prom

Torrey&Kovu I'llalwaysloveyou

Nous avions finalement quitté la salle de bal relativement tard et décidés d’un commun accord moi et Kovu de laisser tomber l’après bal. Nous n’avions pas vraiment d’intérêt d’y assister et nous avions envie d’être seuls tous les deux dans cette magnifique chambre d’hôtel que nous avions réservé plus tôt dans la semaine. J’étais toute excitée à l’idée de passer une nouvelle fois la nuit avec mon amoureux et, allez savoir pourquoi, je me sentais toute drôle. Je crois que quelqu’un avait mit de l’alcool dans le punch, mais je ne pouvais dire avec certitude que c’était le cas. Quoi qu’il en soit, Kovu avait été charmant toute la soirée durant et j’étais vraiment fière d’être sa petite amie. Malgré mon élan de tristesse par rapport à ma grossesse imaginaire, j’avais été agréablement surprise par mon prix de meilleure présidente de l’année. J’étais très heureuse et surtout très fière de gagner ce prix, ça représentait beaucoup pour moi. J’avais mis tout mon cœur dans mon travail de présidente cette année –enfin, j’en avais gardé un peu pour Kovu tout de même- et c’était la meilleure récompense que je pouvais recevoir pour ce travail. J’étais curieuse de savoir qui avait voté pour moi, mais ça, je ne le saurais jamais. J’espérais juste que les Dunsters avaient tous aimé m’avoir comme présidente et, qui sait, m’éliraient de nouveau l’an prochain. Arrivé à l’hôtel, je pris le temps de regarder le hall d’entrée et les moindres détails qui m’entouraient. Je voulais me souvenir de cette soirée toute ma vie puisque c’était la première fois que j’allais au bal avec un homme que j’aime et ce depuis mon bal de graduation au lycée. La décoration était très jolie et rappelait une autre époque. Nous nous dirigeâmes vers le comptoir pour demander la clé de notre chambre –ou plutôt la carte magnétique puisque c’était comme ça dans la plupart des hôtels désormais- et nous avons ensuite prit l’ascenseur. Je regardais Kovu avec un regard amoureux et la tête qui tournait légèrement chaque fois que l’ascenseur donnait un petit coup de travers. Je rigolai même lorsque nous arrivâmes à notre étage puisque le mouvement m’avait chatouillé de l’intérieur. Étais-je saoule et je ne m’en étais pas rendu compte? Je n’en sais rien… Notre chambre était la 510 et nous l’avons trouvé sans peine en arrivant sur l’étage. Je laissai à Kovu l’honneur d’en ouvrir la porte et il me laissa passer dans toute sa galanterie. Je lui souris largement avant d’entrer et de regarder encore une fois autour de moi pour me souvenir de tous les détails de la pièce. Il y avait un grand lit à baldaquin en plein centre de la pièce et une petite salle de bain était adjacente. C’était parfait. La tapisserie était magnifique et de petites lumières murales se trouvaient de chaque côté du lit. Je fis un tour sur moi-même avant de me retourner vers Kovu. Il semblait préoccupé. Je perdis lentement mon sourire et pris place sur le lit en tapotant l’espace à côté de moi pour qu’il vienne m’y rejoindre.

Kovu&Torrey Myonlylove

C'est vrai que j'avais passé un très bon moment au bal avec Torrey, mais ce qu'elle m'avait dit m'avais perturbé le reste de la soirée. J'avais été content qu'elle soit nommé meilleure présidente d'Harvard, même si après ça j'avais encore plus l'impression d'être inférieur par rapport à elle. Tout le monde la connaissait et l'aimait, alors que moi j'étais pour ainsi dire transparent. Pourquoi elle s'interessait à moi ?? Elle méritait tellement mieux. Après le bal nous avons décidé d'aller directement notre hôtel plutôt qu'à l'after bal.

C'était moi qui avais choisis l'hôtel et j'espérais qu'il lui plairait. Apparemment c'était le cas parce qu'elle admirait chaque détail de l'endroit. J'aimais bien le regard pétillant qu'elle avait alors que nous étions dans l'ascenseur. Seulement, arrivé dans la chambre je vis son regard changé et son sourire disparaître. Il fallait que je lui parle enfin, j'avais rien dis depuis qu'on était sortit du bal. Je me suis approché d'elle avant de m'asseoir sur le lit et de fixer quelque chose sur le sol. "Tu...ce que tu m'as dit au bal tout à l'heure. Tu...tu...tu es vraiment...dé...déçu de...de...de ne pas avoir été...en...enceinte ??" J'ai rougis avant de tourner la tête pour ne pas trop montrer ma gêne à la jeune fille. Chose qui ne servait à rien puisque je bégayais, ce qui prouvait que j'étais mal à l'aise. Seulement, j'avais vraiment besoin de savoir et de comprendre ce qu'elle ressentait.

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Kovu finit par venir me rejoindre sur le lit et il me sembla qu’il le faisait à contre cœur. Non pas parce qu’il ne voulait pas s’assoir près de moi, mais plutôt parce qu’il ne semblait pas trop vouloir parler, me dire ce qui n’allait pas. Il n’avait pas dit un mot depuis que nous avions quitté le bal et ça m’inquiétait. Il s’assit et fixa un truc au sol. Je ressentis une certaine déception. Il n’avait pas la force de me regarder ou bien il n’était pas encore suffisamment à l’aise avec moi? Je n’aurais su dire, mais ça m’attristait. Je l’aimais tant et je n’aimais pas qu’il se rabaisse par rapport à moi. Je n’étais pas une déesse ou alors la reine d’Angleterre. J’étais simplement moi, Torrey Morgan, fille de militaire et veuve de militaire, croyante de tout mon cœur et amoureuse de lui. "Tu...ce que tu m'as dit au bal tout à l'heure. Tu...tu...tu es vraiment...dé...déçu de...de...de ne pas avoir été...en...enceinte ??" Je déglutis difficilement. Voilà ce qui le dérangeait tant… Je savais que j’aurais du me taire. Je pris doucement sa main dans la mienne pour la serrer un peu et l’intimer de me regarder. Je sais à quel point ça le gêne de bégayer comme ça, mais personnellement, je trouve ça plutôt mignon. Ça fait son charme et ça fait aussi parti de lui. Je pris une grande inspiration, tant pis s’il ne me regardait pas. « Oui.. Je.. Enfin. Je m’étais faite à l’idée je crois et si le Seigneur à prévu pour moi d’être enceinte à mon âge et tout de suite, alors c’est que le temps est venu… tu ne crois pas? » J’avais l’impression d’être une illuminé sortit tout droit de l’asile avec mes histoires de Seigneur et tout le reste. Pourtant, j’y croyais et c’est cette idée qui ne quittait plus ma tête depuis un moment. J’avais cru être enceinte et maintenant que je savais que ce n’était pas le cas, je voulais l’être réellement. Seulement, Kovu ne semblait pas du même avis que moi et j’avais l’impression de lui faire peur en parlant de tout ça. Je me mordillai la lèvre inférieure en détachant lentement mes cheveux que je laissai tomber mollement sur mes épaules. J’avais un mal de crâne qui menaçait et valait mieux mettre les chances de mon côté en détachant cette coiffure compliquée.

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Je ne pu m'empêcher de sourire quand elle parla du Seigneur, personnellement je n'étais pas croyant, donc je ne pouvais pas vraiment dire si j'étais d'accord ou non. Je me contentais donc d'un vague hochement de tête. Alors que ses cheveux tombaient le long de son dos après les avoir détachés je me rendis compte que peut-être elle avait raison. Je me levais du lit et attrapais sa main avant de la lever pour lui retirer sa robe. Alors que le tissu glissait le long de son corps dévoilant sa peau je me rapprochais derrière elle pour l'enlacer tendrement. Je réfléchissais, puis j'ai finalement décidé de ce que je voulais. J'ai retiré ma chemise avant d'attirer la brune avec moi sur le lit. Alors que nous étions allongé j'ai sortie quelque chose de ma poche. "Tu vois...je...j'y avais pensé se soir...mais...mais on en aura pas besoin." J'ai jeté le codom à travers la pièce avant de me rapprocher un peu plus de la jeune femme. J'ai glissé ma main le long de son corps jusqu'à arriver à sa cuisse que j'ai caressé doucement. "Je...je veux te faire un enfant Torrey. Si tu pense que c'est le moment que tu sois maman...je veux être le père de se bébé." J'ai souris timidement avant de l'embrasser tendrement. Si elle était prête, alors j'étais prêt moi aussi, même si je ne l'était pas forcément. On aurait le temps plus tard pour les questions et surtout pour avoir peur. Pour le moment, je voulais juste donner à ma petite amie ce qu'elle désirait le plus : un enfant.

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J’étais légèrement découragé et je n’osais plus regarder Kovu de peur qu’il ne me juge ou de voir la déception ou l’incompréhension sur son visage. Plutôt que de dire quoi que ce soit, Kovu se leva du lit et se tourna face à moi avant de me tendre la main –que je pris- pour m’aider à me lever à mon tour. Je plantai mon regard dans le sien sans dire un mot. Lentement, il me retira ma robe qui tomba mollement sur le sol me laissant pratiquement nu avec seulement une petite culotte pour me couvrir. Mon chéri s’est alors approché de moi pour me serrer silencieusement dans ses bras et je fermai les yeux pour savourer le moment. Lorsqu’il brisa notre étreinte, c’était pour retirer sa chemise et s’étendre sur le lit en m’y attirant avec lui. Je le regardais toujours sans comprendre quel était le but de toute cette manœuvre et en tremblant légèrement. Je crois que c’était le stress…. Ou alors la peur mêlé à la température descendante de mon cœur. Il sortit un truc de sa poche que je ne reconnu pas tout de suite, puis j’eu un sourire las. "Tu vois...je...j'y avais pensé se soir...mais...mais on en aura pas besoin." Mon expression changea aussitôt. Pourquoi n’en n’aurions nous pas besoin? C’était important d’utiliser le condom sinon il y avait de grand risque pour que je…. Oh, mais oui. Mon sourire se transforma et je sentis presque les larmes me monter aux yeux alors qu’il balançait la capote au travers de la pièce. Je suivis sa trajectoire jusqu’à ne plus le voir à moins de me caser le cou et je regardai de nouveau Kovu qui s’était rapproché pour se coller d’avantage contre moi. Sa main sur moi m’arracha un grand frisson alors qu’il la glissait jusqu’à ma cuisse. "Je...je veux te faire un enfant Torrey. Si tu pense que c'est le moment que tu sois maman...je veux être le père de ce bébé." Mon sourire s’élargit bêtement alors qu’il posait ses lèvres sur les miennes pour m’embrasser. Kovu venait décidément de me faire la déclaration la plus romantique jamais entendu et j’étais touché. Bien que je ne sois pas encore certaine que ce soit là ce qu’il désirait vraiment, j’aimais à y croire et mon cœur se gonfla à l’idée de porter un enfant de lui. Après Brandon, Kovu avait été –et était désormais- l’homme de ma vie. C’est avec lui que je voulais avoir des enfants et me remarier un jour, finir ma vie main dans la main avec lui. Oui, voilà comment je voyais tout ça. Faisant un peu plus pression sur ses lèvres, je prolongeai le baiser en me glissant au dessus de lui tel un petit chat qui cherchait à se coller le plus possible. Je restai allonger contre son torse chaud durant de longues minutes à simplement l’embrasser avant de m’assoir à califourchon sur lui et de le regarder droit dans les yeux avec un sourire. « Je t’aime Kovu Blackwood. » Mes mains d’abord posées sur son torse glissèrent alors lentement jusqu’à atteindre le bouton de son pantalon pour le détacher d’un geste sensuel. Je lui lançai un regard pour m’assurer que c’était encore une fois bien ce qu’il désirait et n’y voyant aucune objection, je descendis la fermeture éclaire et glissai mes doigts sous le tissu avant de lui retirer complètement son pantalon.

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Je laissais la jeune femme faire glisser mon pantalon, fermant les yeux pour savourer ses doigts sur ma peau. C'était stupide, mais j'étais déjà en train de me demander si je serais un bon papa alors que la jeune femme n'était pas encore enceinte. J'ai souris bêtement, avant de replonger mes yeux dans ceux de la brune. Ils brillaient. On auraient deux étoiles que l'on aurait arrachés du ciel pour les mettre à l'intérieur de ses prunelles. Est-ce qu'ils brillaient autant quand elle regardait Brandon avant ?? J'aimais croire que non, même si je savais que c'était faux. J'ai attrapé sa main avant de l'attirer contre moi pour l'embrasser, nous faisant tourner sur le lit afin de me retrouver sur elle. J'ai caressé doucement sa poitrine, la couvrant de baisers au passage. Alors que j'allais descendre mes caresses jusqu'à son intimité je suis arrêté, me mordant la lèvre. "Torrey...mon amour, je veux juste que tu sache que si tu n'attend pas un bébé tout de suite...c'est pas important d'accord ?? Quoi qu'il se passe je t'aimerais toujours autant, que tu es un enfant ou non." J'ai serré sa main dans la mienne avant de recommencer mes caresses et mes baisers sur sa peau. J'avais peur tout à coup...si jamais elle ne tombait pas enceinte, elle allait croire que je n'étais pas assez bien. Peut-être que j'étais stérile, si jamais c'était le cas qu'est-ce qui allait se passer ?? Elle ne voudrait peut-être plus de moi. Tant de questions qui tourbillonnaient dans ma tête, c'était trop. Je me suis stoppé, comme bloqué, incapable d'aller plus loin.

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Je n’eu pas longtemps le contrôle de la situation avant que mon chéri ne m’attrape par la main pour m’embrasser et ainsi plus facilement me faire rouler sur le côté et se positionner au dessus de moi. Lentement, mais sûrement, ses mains se posèrent sur ma poitrine pour la caresser avant de laisser place à des baisers qui m’arrachèrent des soupirs d’aise. Chemin faisant, il se rendit jusqu’à mon intimité avant de soudainement s’arrêter. Je relevai la tête, je savais que quelque chose n’allait pas s’il s’arrêtait ainsi. Je me mordillai la lèvre pour contenir mes plaintes de mécontentement. "Torrey...mon amour, je veux juste que tu sache que si tu n'attend pas un bébé tout de suite...c'est pas important d'accord ?? Quoi qu'il se passe je t'aimerais toujours autant, que tu es un enfant ou non." J’esquissai un sourire. Kovu était certainement l’homme le plus mignon et le plus romantique que j’ai rencontré jusqu’à présent, mais il était aussi le plus insécure et peu sûr de lui-même. Il reprit ses caresses alors que je m’étais contenté de lui sourire en signe d’approbation –je ne lui en voudrais pas si je ne tombais pas enceinte maintenant, ce n’était pas le genre de chose qu’on pouvait facilement contrôler disons. Je reposais tout juste la tête sur le matelas lorsqu’il s’arrêta de nouveau. Je me redressai d’un coup, cherchant à comprendre si quelque chose d’autre n’allait pas bien et je vis dans son regard qu’il était totalement effrayé –mais par quoi? « Kovu… qu’est-ce qu’il y a mon amour? Parle-moi… » J’étais maintenant agenouillé devant lui et je lui avais pris le visage de mes deux mains, le forçant à me regarder dans les yeux. Je vins rapidement poser mes lèvres sur les siennes, l’embrassant tendrement et aussi longtemps que je le pouvais avant de manquer d’air. Ma main gauche glissa pour aller caresser doucement ses cheveux et ensuite se perdre sur sa nuque alors que l’autre demeurait sur sa joue, la caressant du pouce. « Je t’aime mon chéri et j’ai confiance en nous, ne t’en fais pas. » J’avais l’impression de pouvoir sentir sa peur jusqu’en moi et je ne voulais pas qu’il se sente ainsi. Je voulais qu’il profite de cette nuit comme moi et qu’il en soit heureux.

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Elle avait se pouvoir en un fraction de seconde de faire envoler ma peur, juste avec des paroles, juste avec un regard, juste avec un sourire. Elle avait se don. Je fixais mon regard dans le siens alors que sa main parcourait ma nuque et ma joue. J'étais plus calme, plus serein, même si une petite peur demeurait au fond de moi. J'ai étendu le bras pour éteindre les lumières, après tout on dit bien : les enfants dans le noir font des bêtises, mais les bêtises dans le noir font des enfants. Bon j'avoue à une époque je passais un peu trop de temps sur internet, mais bon j'avais que ça à faire. J'a attrapé le visage de la brune avant de l'embrasser doucement et de la faire allonger sur le lit. J'entendais sa respiration s'accélérer et c'est un truc que j'adorais chez elle, elle était tellement sexy quand elle faisait ça. J'ai commencé à parcourir sa peau de millier de baisers, n'oubliant aucun millimètre, comme s'ils auraient pu être jaloux les uns des autres. J'ai ensuite glissé ma main jusqu'au dernier bout de tissus qui lui restait, le faisant glisser lentement avant de le jeter par terre. J'ai ensuite fais de même et juste avant de rentrer en elle j'ai murmuré : "Tu en es sûr mon amour ??" Je voulais vraiment être sûr qu'elle faisait le bon choix, parce que si elle s'avérait enceinte après ça, je ne tenais pas vraiment à ce qu'elle change d'avis au bout de deux mois et qu'elle décide de ne pas garder se bébé. C'est pas le genre de décision qu'on prend à la légère d'avoir un enfant, mais au fond je savais déjà qu'elle avait réfléchis et qu'elle était vraiment certaine de son choix. Du moins je l'espérais vraiment.