MARC A. DU V.-MONTET ► jon kortajarena

Paris, capitale de la France, Les Du Valzaquière-Montet, c'est une famille célèbre, réputée, puissante, influente et reconnue dans le pays entier, le père est le pilier de cette fortune française, classée dans le top dix des fortunes de France. Il est homme d'affaire, un grand homme, très influent dans le domaine financier comme dans pleins d'autres, il sait négocier, mettre des gens dans sa poche ou arriver à dénicher les meilleures affaires sur un simple coup d’œil, ce n'est pas pour rien qu'il a fait construire plusieurs infrastructures à l'étranger de l'entreprise Capgemini au plan international, première entreprise de services du numérique dans le secteur des services informatiques dont il est à la tête depuis plus de vingt ans une fois que son père lui a passé le relais. Sa femme est une grande avocate connue à Paris réputée et dite excellente dans sa profession, le parfait amour entre eux pendant de longues années, ils ont eu deux enfants d'ailleurs, moi-même, Marc né en premier et un an après, ma sœur, Margaux. Nous étions pourris gâtés par nos parents, ils nous suffisaient presque de claquer des doigts pour avoir tout ce qu'on voulaient, les vacances c'était dans un des trois châteaux qu’on avaient à travers le pays ou un petit séjour à l'étranger, des gouvernantes étaient à notre disposition dans notre résidence dans le premier arrondissement de Paris, on étaient invités à des dîners mondains avec toute sorte de personnalité, on nous apprenaient les bonnes manières et on nous emmenaient à l'école en berline de luxe. Margaux et moi on menaient la belle vie où prônait la richesse, où tout ce qui était inestimable pour les autres, ne l'était pas pour notre famille.

Après un passage au Lycée Passy-Saint Honoré dans le seizième arrondissement, ce fut les études supérieures qui nous attendaient Margaux et moi, pour ma part j'avais choisis de m'orienté dans le domaine de la médecine, j'y ai toujours trouvé de l’intérêt alors c'est pour ça que je suis entré à la faculté de médecine de l'université Paris-Descartes et quand à ma sœur  ce fut la Sorbonne pour des études en droit. Elise Sidonie De Chatelnay, elle a été deux années de ma vie, j'avais dix neuf ans et elle, dix-huit, quand on s'est rencontrés à Paris-Descartes, je venais d'entamer ma deuxième année en médecine et elle, c'était sa première année, je me rappelle encore d'Elise remettant sa petite mèche derrière son oreille, assise avec deux de ses amies à discuter et quand elle a sourit, je n'avais pas pu m'empêcher de la fixer quand je l'ai aperçu mais lorsqu'elle souriait, je restais comme un con planté avec mes cours de médecine, focalisé sur elle qui n'était qu'à quelques mètres d'où j'étais avec un de mes potes qui me parlait et que je n'écoutais plus tellement absorbé par cette fille. Et lorsqu'elle m'a regardée, qu'elle m'a sourit, j'ai su que c'était elle que je voulais, vous savez on a ce coup de foudre dans la vie, je l'ai eu pour elle parce que dès le lendemain soir on étaient dans un des restaurants les plus chics de Paris à boire du champagne, à discuter de tout et de rien, à rigoler puis à s'embrasser quand je l'ai raccompagné chez elle, devant sa porte d'entrée, et depuis ce fameux soir, Elise et moi on ne s'est plus quittés.

Du moins, notre histoire à prit fin après deux années à être fous l'un de l'autre, elle m'a quittée précipitamment, c'est con à dire mais c'était pour notre anniversaire de rencontre, j'avais tout prévu, le restaurant hors de prix, la limousine, le champagne à l'intérieur mais elle n'est jamais venu. Elle s'est faite faucher par une voiture sur le trajet pour venir chez moi, le gars avait je sais plus combien de grammes dans le sang, le feu rouge n'avait plus d'importance pour lui, ni même le passage cloutée sur lequel se trouvait Elise, c'est ce que m'ont dit les flics, ce mec à ruiner ma vie en me privant de la seule femme au monde que j'ai jamais aimé. Je m'en suis voulu, atrocement, j'aurai du aller la chercher moi-même mais j'ai préféré l'attendre chez moi, comme un demeurée, mes parents, Margaux qui ont toujours été là pour moi n'ont rien pu faire pour apaiser la peine que j'avais, j'ai bien mis six mois avant d'aller mieux, j'ai essayé de tourner la page depuis Elise mais rien n'a faire, entre temps ma famille et celle d'Elise ont conduit le type en question au tribunal, il à prit la peine maximal même si c'était pas nécessaire mais je vous l'ai dit, ma famille à des relations, de l'argent et quelque part ça adoucit ma peine de savoir ce connard derrière les barreaux. Depuis Elise, j'ai tracé un trait sur l'amour, je ne voulais plus ressentir un amour semblable à celui que j'ai ressentis pour elle, je ne voulais pas revivre une telle douleur de perdre l'être qu'on aime le plus au monde alors j'ai fermé ce cœur sensible. Je ne faisais que de penser à elle, elle me manquait comme jamais alors je me suis un peu plus enfoncé dans mes études, ne me focalisant que sur ça, à tel point qu'une bourse d'études à Harvard me fit attribué à la fin de ma troisième année de médecine pour mes résultats excellents. C'était une occasion en or pour parfaire mon parcours en médecine, continuer mes études à l’étranger, tourner la page et qui plu est j'allais aller dans la meilleure université du monde, ça ne pouvait que rendre mes parents et ma sœur fiers de moi, j'acceptais sans hésitation, laissant ainsi un bout de ma vie à Paris, laissant Elise ici, je suis sûr qu'elle est fière de moi de là où elle est.

Quatre ans que je suis ici à présent, j'ai résider à Harvard dans la meilleure confrérie qu'elle puisse compter, la Eliot House pendant mes trois premières années ici, suivre mes études de médecine avec toujours autant d'investissement. J'ai même une place au Massachussetts General Hospital de Boston en tant q'aide-chirurgien pour compléter mes cours et m'apporter de la pratique, ça va faire maintenant trois ans et j'adore ça. J'ai réussis à tourner la page depuis Elise, enfin je crois, je continue d'approuver un grand respect envers femmes mais elles restent toujours autant mon point faible. Je ne vais pas faire vœu d’abstinence pour le restant de mes jours, Elise à été l'amour de ma vie et elle le restera mais je ne me prive pas de fréquenter des femmes autant que je peux, je ne m'attache pas, du moins le moins possible, je me suis fais une promesse et je veux la tenir. L'attentat d'Harvard survenu il y a deux ans maintenant à été un impact majeur sur le campus, j'ai été traumatisé comme bon nombre d'étudiants, on oubliera jamais ce jour, comme les agressions et la prise d'otages survenu l'année dernière, à croire que le destin s'acharne sur Harvard. Et comme si ça ne suffisait pas, il a fallut que je quitte précipitamment le Summer Camp pour retourner en France, à Paris auprès de ma famille, rester près de mon grand-père malade, je ne voulais pas que Margaux gâche son été avec ça, elle voulait venir mais je lui en ai dissuader, je lui ai donné souvent des nouvelles et maintenant que ça va légèrement mieux pour mon grand-père, je suis de retour.