LADI + baby.

Dim 13 Sep 2015 - 15:25

Tu viens de finir tes heures de cours et tu as un rendez-vous pour un shooting. Il est rare que tu fasses ce genre de chose, mais tes parents veulent le meilleur pour toi et dès qu'ils le peuvent, ils te trouvent des choses pour te remonter encore et encore. Leurs rêves c'est de te voir au-dessus, loin de ta danse et de ta drogue, ils y vont doucement mais sûrement. Et tu ne veux en aucun cas les blesser, ils sont ceux qu'ils t'ont sauvés du foyer. Ils t'offrent une nouvelle vie, du coup tu leur dois énormément. Tu sors de l'université, pour rentrer dans ton appartement. Tu balances tes affaires sur ton canapé, tu te coiffes rapidement, tu changes de vêtements et t'enlèves tes piercings pour en mettre des autres moins voyants et vulgaires. Tu mets une chemise en jean, que tu fermes un maximum histoire de ne pas montrer tes tatouages. Tu es enfin prêt, tu prends ta voiture, lances la musique et tu profites de tes dernières minutes de tranquillité avant de bosser. Car oui, tout le monde croit que le mannequinat n'est qu'une passion, qu'il suffit d'enfiler des vêtements et de poser. Mais, loin de ça avant de pouvoir poser il faut encore passer par la case coiffure, maquillage, et tout ce qui va avec. Ce soir tu es censé passer la soirée en compagnie de tes potes Mather et de faire une petite soirée tranquille. Un peu d'alcool, beaucoup de drogue et pourquoi pas du sexe ? Il faut que tu répondes rapidement, histoire de ne pas les faire poiroter pendant plusieurs heures. Un message envoyé, et te voilà devant les bureaux. Une grande bâtisse, tu laisses ta voiture sur le parking et tu prends ton courage à deux mains. Tu rentres à l'intérieur, tu déposes tes affaires et tu laisses les personnes te donner des ordres. Tu changes de vêtements, de coiffure et tu dois prendre place maintenant à côté d'une demoiselle et poser avec elle. Ton regard se pose un instant sur elle, tu ne la connais pas spécialement, tu l'as juste déjà remarqué plus d'une fois à l'université. Un léger sourire et tu commences à faire ce que les gens veulent de toi. Une dernière photo, certainement la plus sensuel, tu te retrouves à seulement quelques centimètres de son cou, ton corps contre le sien. Un léger sourire sur les lèvres, tu ne dis jamais non à être dans cette posture avec une aussi belle femme.

(Invité)

Dim 13 Sep 2015 - 15:59

Je sais pas comment jamais fais. C'étais le premier shoot que j'avais depuis la prise d'otage, j'étais vraiment aux anges, mais aussi carrément stressée. Je savais que j'allais devoir montrer ma cicatrice, je sais bien qu'avec tout les photoshops et compagnie y avais de grande chance qu'on que cette cicatrice disparaisse à jamais dans les magasines, mais j'étais pas vraiment certaine de vouloir être retouchée à ce point là. Après tout elle faisait partie de moi maintenant je devais vivre avec. La marque était au courant bien sur mais elle ne m'avait rien dis sur le sort de ma nouvelle marque de fabrique. Cette cicatrice qui se trouvais au niveau de ma cuisse. J'arrivais au studio, passais au maquillage, coiffage et tout le blabla habituelle. Puis on me présenta les tenue, j'acceptais d'un sourire. J'étais tendu et ça se voyais, j'aimais pas être dans cette posture parce que c'était tellement pas moi. Avant j'étais détendu sereine, je savais que quoi qu'il arrive je serai parfaite. Mais là ça faisait tellement longtemps, quel en serai le résultat? Puis vint l'heure de la séance photo, il y avait un nouveau mannequin qui posait avec moi, il me disait vaguement quelques choses. Il avait cet air sévère et grave, de ceux qui en avait bavé dans la vie ça se voyais, il n'était pas de ceux que j'avais l'habitude de côtoyer c'est certain mais je sais pas il était quand même attirant. A un moment même je croisais son regard qui me dérouta un peu, je lui souris avant de chasser sa présence de mes penser, je devais rester concentrée déjà que j'étais pas mal stresser j'allais pas me laisser perturber un peu plus encore. Puis on nous annonça qu'on allait faire équipe. J'inspirai profondément, fermant les yeux quelques instant, j'étais prête. Tout le long de la séance, j'avais le cœur qui battait à cent à l'heure, et l'odeur enivrante de mon partenaire n'arrangeais pas les choses. Surtout à la fin, quand on se retrouva collé l'un contre l'autre. Je sentais son souffle dans mon coup, je fus parcourus par un frison. S'était vraiment étrange, j'avais jamais eu cette sensation par le passé, j’espérais juste que ça ne se verrai pas sur les photos. Puis s'était la fin. Le photographie nous permis de voir le travail accomplie et j'affichais un petit rictus en voyant les derniers clichés. Je m'étais pas mal débrouillé au final.

(Invité)