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Le destin n'est pas une punition ( Nepherty )

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Aujourd'hui tu te sens d'humeur à te faire conduire, c'est pour cette raison que tu as refusé de venir avec ta voiture. À quoi sert de toute façon d'en posséder une, si on offre un tour d'autobus sur le campus? Autant en profiter, même pour un malheureux petit deux dollars. Tu as déjà été un habitué à ce transport il y a quatre ans, alors que ta bagnole avait décidé de faire chier et de ne plus fonctionner du tout. Pendant une semaine complète, tu t'es assit sur ces bancs, plutôt inconfortables honnêtement.  Tu ne pouvais même pas allonger tes jambes par-dessus un autre siège, parce que la banquette te rentrait dans la peau, c'était insupportable. Tu ne t'attendais pas à ce que l'intérieur soit plus moderne, alors que tu embarques en saluant le chauffeur. Peut-être qu'il y a eu des plaintes. Voyons voir s'ils sont douillets, tu as quand même un long trajet à faire parce qu'il y a quelques détours inutiles à faire. Tu as le temps de fermer tes yeux et de dormir, afin de rattraper du sommeil. Tu t'empresses de faire comme chez toi et de te coucher au fond du bus, les bras croisés derrières la tête. Enfin une banquette confortable! 
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Le destin n'est pas une punition
Lorsque j’avais posé mon pied sur le sol américain, mon cœur, mon âme s’est envahit d’un doute. J’avais peur, peur d’avoir fait le mauvais choix, peur de ce qui pouvait m’attendre, peur de l’inconnu. Mais la première chose qui me venait en tête était Simba, et d’un coup, toutes ses peurs s’étaient volatilisées pour laisser place à une chaleur, au bonheur de le revoir, bientôt. Je ne savais pas trop comment je devais faire mon entrée dans ma vie, de nouveau, je ne sais pas si il avait reçu ma lettre, ou pas. Mon cœur battait à la chamade en pensant à ce moment venu, le moment où je pourrais de nouveau être à ses côtés et combler ce manque que j’avais ressenti lors de son départ.
Levée de bonne heure, j’avais décidé de faire un petit tour dans la ville, juste pour dire de prendre mes repères, mes marques, me sentir un peu mon une étrangère dans cet endroit inconnu. Mon choix s’était porté sur le bus, le meilleur moyen de faire le tour de quelques rues sans fournir le moindre effort. Il s’arrête devant moi, je monte les quelques marches et me retrouve face à ses banquettes, quasiment vide. Soulagée de me retrouver seule, je me dirige dans le fond du bus. Bizarrement, c’est toujours sur les banquettes arrière que je prenais place. Même enfant, lorsque nous allions à la piscine avec l’école. J’avance, me retrouve face à Simba. Le cœur au bout des lèvres, ma tête prête à exploser, je ne m’attendais pas à le voir ici, maintenant, si ce n’est pas le destin … Il a les yeux fermés, la tête légèrement penchée en arrière. Que va être sa réaction, quand il va me voir, moi, jeune fille, aux yeux bleus et aux cheveux trop longs ? Je m’approche, me penche vers lui, ma crinière venant chatouiller son visage. A quelques centimètres de sa figure, je souris. L’observe, l’admire une nouvelle fois, comme si j’avais oublié tous ses traits, comme si il reprenait vie en moi.  Simba… Dis-je d’une voix douce, comme si on s’était vu hier, comme si c’était normal que je me retrouve au-dessus de lui, comme si on ne s’était jamais quitté.






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Tu sens une bosse dans ta poche arrière de jean. C'était la lettre de Nepherty qu'elle avait postée dès que tu étais revenu du Portugal. Tu appréhendais sa réponse en retour, la connaissant, elle avait dû partager un sentiment de colère comme un sentiment de tristesse, nostalgie et d'impuissance. Elle le savait que les jours étaient comptés, tu te sentais impuissant face à tout ça. Il t'était arrivé de l'espionner en cachette, Nepherty se réfugiait souvent dans ta penderie, prenant chaque vêtement et le porta à son nez, les reniflant tellement fort, afin d'ancrer l'odeur, ton odeur en elle. Jamais tu ne lui avais dit, elle n'avait pas besoin de savoir que tu l'épiais secrètement. Tu fermes tes yeux, en cherchant son visage dans tes souvenirs. Elle avait cette façon de te regarder dormir en silence, le soleil illuminait ses long cheveux bruns dans la lumière, ses yeux bleus étaient la couleur de l'océan. Tu le sais parce que tu sentais son regard sur toi, en regardant chaque parcelle de ton visage, chaque cerne, chaque poil. Elle restait souvent comme ça, pendant de longues minutes, puis se recouchait sa tête sur toi. Tu sentais sa respiration dans ton cou, ses doigts parcourant de ton nombril jusqu'à ton menton. Parfois elle chantonnait, tu sais pas ce que c'était mais, elle fredonnait si bien. Ils vous étaient arrivés de discuter du futur sans promesse, tu lui parlais notamment d'Harvard. Comment elle se sentirait bien, de faire connaissance avec tes amis. Qu'elle aurait l'occasion de faire partie d'un club culturel. Elle t'en avait beaucoup parlé, de sa motivation et de tout ce qu'elle était prête à sacrifier pour faire le bien dans les pays plus pauvres. Et son parfum, son odeur? Elle portait toujours ce parfum qui dégageait une odeur de vanille sucrée. Un parfum si doux, que chaque pièce en était bénis. Il t'arrivait de la suivre sans aucune raison, parce que cette odeur, tu l'aimais. À chaque fin de repas, tu lui offrais ta main, en vous dirigeant vers la véranda. Tu te débrouillais pas mal en danse, alors qu'elle, c'était à craindre. Tu lui demandais de rester tranquille et de se laisser emporter par tes pas, de te faire confiance. Lorsque tu étais enfant, tes parents avaient pris l'habitude de se retrouver entre amoureux, en savourant ce petit moment intime. L'arrêt brusque que fait le chauffeur, te ramène de ta rêverie. Tu hausses les sourcils, en gardant les yeux closes, tu n'apprécies pas qu'on gâche ce plaisir. Tu penches ta tête un peu plus vers l'arrière, en cherchant une nouvelle position pour te ramener aux souvenirs. Des petits pas se rapprochent de toi, puis plus rien. Cette odeur, celle qui était dans ton souvenir, chatouille tes narines. Tu secoues légèrement ta tête, ainsi, tu sens des cheveux qui viennent se déposer sur ton visage. Simba...  Tu ouvres un oeil à la fois, ça te prend quelques secondes à t'habituer à l'éclairage, une silhouette féminine se tient pencher vers toi, si près, que tu reconnais l'odeur de vanille sucrée, la voix si douce. '' C'est toi Nepherty?...'' Tu es encore en train de rêver ou quoi?
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Le destin n'est pas une punition
Mes yeux se posent sur les tiens, ils viennent de s’ouvrir. J’ai l’impression que mon cœur va s’arrêter de battre, sortir de ma poitrine, je t’observe, tes ciels, tes longs cils. Ton regard à la fois surpris et je vois le bonheur s’y installer, comme un voile. « C’est toi Nepherty ? » Je rigole, légèrement. Tu me donnes l’impression de sortir d’un rêve, tu me donnes l’impression de ne pas croire que je me tiens devant toi. Pourtant, je suis là, et j’ai moi-même du mal à y croire. Je me retrouve devant toi et ça me conforte dans l’idée que j’ai fait le bon choix, que j’ai bien fais de tout plaquer pour venir à tes côtés, que j’ai bien fais de suivre mon cœur, mon cœur et mes pensées qui me ramenaient sans cesse à toi. Mes yeux se posent sur ton nez, tes lèvres, ces lèvres si douces, si exquises. Mon cœur bat à la chamade, prêt à bondir de ma poitrine, j’ai envie d’exploser, d’exploser de joie, de bonheur de te voir en face de moi. J’ai envie de vomir tout mon amour, toutes ces choses qu’on ne sait jamais dites. Ma main passe sur ta joue, sourire aux lèvres. « Ben oui, c’est moi, banane. » Dis-je alors que mes lèvres se déposent au coin des siennes. Je me redresse brusquement, prenant ses jambes avec ma main pour le faire basculer en position assise. Je m’installe à ses côtés. « Dis-moi, tu vas où, comme ça ? » Dis-je en regardant curieuse à ma gauche et à ma droite, puisque à la base je venais repérer les lieux. « Je t’ai manqué, n’est-ce pas ? » Dis-je en tournant vers yeux bleus vers lui. Le bus passe devant un parc.
Ça me rappelle ce jour où nous sommes sorti prendre l’air, dans un parc, assis tous les deux contre un saule pleureur. Des fois, on n’avait pas besoin de parler, juste être l’un a côté de l’autre suffisait. Alors qu’il s’est mis à pleuvoir, tu voulais rentrer, moi je t’ai pris par le poignet et je t’ai demandé de rester. On était là, comme deux cons, sous la pluie, trempés, les cheveux collant dans notre visage. Je m’étais approchée de toi, j’avais dépose mes lèvres mouillées sur les tiennes, comme une caresse, elles avaient un goût de bonbon. Nous avions rien dit, nous sommes rentrés, et nous n’avons plus jamais fait référence à ce baiser. Pourtant Dieu seul sait que j’en rêve la nuit. Mais c’est comme si nous avions effacé ce moment de nos mémoires respectives. L’envie était tellement présente, l’envie de t’avoir contre moi, tes lèvres contre les miennes, ton corps contre le mien, nos deux peaux se touchant et pourtant, nous n’avions plus rien tenté.





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Elle rit à ta question, son rire que tu avais l'habitude d'entendre. Tu ne sais pas trop comment réagir, en fait, tu es surpris mais, tu partages également un certain soulagement. Tu ne t'attendais certainement pas à ce qu'elle te rejoigne, cette année même. Avec tout ce que vous aviez vécus en sept mois, elle a décidé de tout plaquer pour toi. Comment devrais-tu réagir? Elle se tient penché vers toi, un sourire se dessine au coin de ses lèvres. Ses lèvres que t'as déjà savouré une fois, tu avais ressenti un doux feeling que a un mec qui embrasse pour la première fois. Un simple petit baiser mais, voulait en dire tant. C'était peut-être la coïncidence avec le temps qu'il faisait. Comment oublier ce premier baiser? Vous étiez bien assit, là, sous la pluie. Tu avais insisté pour partir, parce que tu ne voulais pas qu'elle attrape froid. Nepherty avait fait sa tête de cochon, te forçant à rester. Tu l'as écouté et tu t'es rassis à ses côtés, en silence. Avec le silence, vous vous compreniez. Vous étiez tout simplement bien ensemble. Tu as pensé silencieusement si cela signifiait un merci d'être là, ou merci d'être resté. Ce soir-là, vous avez mangé ensemble. Tu avais demandé au domestique de maison d'installer votre repas devant le feu de cheminé. Pendant tout le dîner, vous avez parlé de tout et de rien mais, sans jamais mentionner le baiser de cette journée. Pourtant, tu ne t'étais pas senti mal à l'aise, au contraire. Après toutes les choses les plus folles que vous aviez fais ensemble, le baiser sous la pluie se trouvait en deuxième position. Celle qui avait gagné davantage de point, c'est la journée où tu avais décidé de l'emmener sauter en parachute. Nepherty t'avais cassé les oreilles, parce qu'elle voulait essayer quelque chose qui donnerait de l'adrénaline. Tu l'avais traîné alors sur un terrain, spécialement fait pour les pistes d'atterrissage de parachute. Elle s'était tourné vers toi, en te traitant de fou. Tu l'avais accusé d'être la seule responsable d'elle-même et de ses folies. Son contact de sa main sur ton visage, qui te fit frissonner. Elle te regarde de la même façon, ce regard qu'elle fait quand une question l'embête. Dis moi, où tu vas comme ça?  Tandis qu'elle se redresse, prend tes jambes et les traînes vers le bas, pour s'asseoir. Tu t'affales sur la banquette, putain tu étais bien toi. '' Je me suis réveillé avec la paresse dans le sang pour pouvoir traîner mes jambes à l'université. Tu sais que cette autobus est réservée aux étudiants?'' Tu te rappelles soudain de cette phrase qu'elle t'avait dit lors des confidences sur l'oreiller. Qu'elle serait prête à n'importe quoi  pour te voir heureux. Tu la regardes, tu as de la difficulté à transmettre l'information à ton cerveau, après ce petit souvenir lointain. Un sentiment d'euphorie traverse ton corps  '' Pince moi, j'ai l'impression de faire un rêve bien trop beau pour que ça soit vrai.'' 
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Le destin n'est pas une punition
Je me suis réveillé avec la paresse dans le sang pour pouvoir traîner mes jambes à l'université. Tu sais que cet autobus est réservé aux étudiants?Aux étudiants ? J’en suis une aux dernières nouvelles. Dis-je en haussant les épaules.Pince moi, j'ai l'impression de faire un rêve bien trop beau pour que ça soit vrai. J’attrape sa peau, au niveau du bras, la pincette du siècle dirons-nous.Si tu me le demandes. Il n’a pas l’air d’y croire, comme si il dormait et que j’étais apparue, dans son rêve. Seulement, il doit bien redescendre tout doucement sur terre, je suis bien en face de lui, vivante et en bonne santé. Je pose mon regard sur lui, je me sens tellement heureuse d’être là, à ses côtés, j’ai envie de me blottir dans ses bras, de l’embrasser, de sentir son parfum, de plonger mes yeux dans les siens et de le regarder, sans m’en lasser. Je ressens un truc, j’veux dire j’ai l’impression d’être une ado de 15 ans, comme quand on a cette sensation de papillon dans le ventre, cette sensation de cœur qui palpite, cette sensation de bienêtre quand on est à côté de cette personne. C’est ce que je ressens en ce moment, tout mélangé.Dis-toi que c’est vraiment, et que maintenant, je ne te lâche plus. Dis-je dans un souffle. Mes yeux plantés dans les siens. Ma main frôle la sienne, doucement, comme une caresse. Je ne sais pas ce qui s’est passé dans sa vie depuis notre séparation, peut-être est-il en couple, ou encore amoureux. Peut-être ai-je fait tout ça pour rien, peut-être que j’ai pris la mauvaise décision. Que soit, entre nous, un jour c’est je t’aime et l’autre c’est moi non plus. Je ne pourrais jamais lui avouer ce que je ressens, tellement peur de le perdre, de perdre notre amitié, notre complicité. Pourtant quand je le regarde, ça me paraît une évidence. Une évidence que je sois à ses côtés, comme quoi le hasard fait bien les choses et qu’il réunit les personnes. Je n’ai jamais cru à la notion d’âme sœur et pourtant … En quelques temps Simba est devenu mon frère, mon meilleur ami, mon amour. Comme une boussole, il est devenu mon nord, mon sur, mon est, mon ouest. Je ne me vois plus loin de lui, je ne me vois plus le rayer de ma vie. C’est comme une évidence, mon cœur crie son désespoir quand il n’est plus là, ma vie perd de sa saveur, de son sens. Le rayon du soleil tape dans mes yeux bleus, je fronce mon nez, plisse les yeux. Tu m’as pas répondu, je t’ai manqué Simba ? Dis-je en tournant ma tête vers lui.





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Nepherty hausse ses épaules lorsqu'elle te dit qu'elle est  désormais une étudiante à part entière à Harvard. En même temps, elle attrape ton bras pour exécuter ton souhait de te faire pincer, parce que là tu n'y crois pas, tu ne veux pas y croire. Tu ressens un chatouillement dans ton bras, bien que la pincette de Nepherty n'est pas forte. En secouant ton bras, tu reportes tes yeux sur elle. Tu n'es pas en train de rêver c'est vrai, elle est bien là, assit à tes côtés dans cet autobus. Tu prends le temps de regarder chaque minimes détails sur son physique. Ses cheveux sont plus pâles, son brun vire au roux pâle comme des mèches, peut-être à cause du changement de température. Ses tâches de rousseurs sont visibles, il y en a partout sur son visage. Elle est tellement belle. Elle l'est plus qu'un dans ton rêve que tu as fait ce matin et les nombreux rêves où son visage apparaissait dans tes rêves la nuit. Dis toi que c'est vraiment, et que maintenant, je ne te lâche plus. Tu la crois, tu crois à toutes les promesses qu'elle te dit là et toutes celles qu'elle t'ai dite au Portugal. Quand Nepherty a quelque chose en tête, elle se bat pour. Tu l'as ainsi appris alors qu'une nuit, elle tenait absolument à dormir d'un côté du lit. Genre que ça fait quoi d'être à l'opposer de ce côté, un lit reste un lit. Non pas pour Nepherty. Vous vous étiez tiraillés pendant dix minutes, elle te poussait en bas de celui-ci avec ses jambes maigrichonnes qui n'avaient aucune force. Donc pour venir te retrouver à Boston, tout quitter pour toi, pour sa vie, pour le pays, ses priorités. Avec tous les retrouvailles de cette année, Alba, Zoya, Sally, tu n'as jamais cessé d'avoir une pensée pour Nepherty. Qu'est-ce qu'elle était en train de faire pendant que toi tu mangeais à ta table habituelle à la cafétéria? Éprouvait-elle du désespoir de voir votre relation s'éteindre du jour au lendemain?  C'est difficile de tout remettre en ordre dans ta tête, la lettre que tu lui as écrite, ton départ, sa lettre en retour, les souvenirs qui font surfaces à nouveau, des images que tu ne te rappelais plus, de nouveaux sons, elle devant toi, son odeur qui te chatouille le nez. Nepherty tourne sa tête vers toi, protégeant ses yeux des rayons du soleil en prenant le temps de redire la question qu'elle t'a posée mais, que tu n'as pas encore répondu. Tu t'installes autrement pour lui faire un peu d'ombre. '' Si je te dis que quand je suis parti, j'avais l'impression d'abandonner une autre partie de moi, un autre membre de ma famille? Alors, oui, tu m'as manqué. Même la lettre que j'ai reçue de ta part, ne comblait pas le trou de mon départ soudain. '' 
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« Si je te dis que quand je suis parti, j'avais l'impression d'abandonner une autre partie de moi, un autre membre de ma famille? Alors, oui, tu m'as manqué. Même la lettre que j'ai reçue de ta part, ne comblait pas le trou de mon départ soudain. » Mon cœur rate un battement. Je le sens taper dans mes tempes, j’ai l’impression que cette situation est juste irréel et que quand je vais ouvrir les yeux, je vais me retrouver au Portugal. Simba est à mes côtés et il me fait toujours autant cet effet, comme la première fois où mes yeux ont rencontrés les siens, comme la première fois où j’ai entendu le son de sa bouche. Je ne sais pas vraiment comment je dois réagir, je n’ai pas envie de brusquer les choses et puis, je n’ai pas envie de m’imposer … Je pose mon regard sur lui, lui adressant un sourire bienveillant. Mes doigts partent à la rencontre des siens, les enlaçant. Je suis bien là, et je ne changerai ma place pour rien au monde. Je regarde la route, reste silencieuse pendant quelques instants comme si nous nous étions vu hier, comme si nous nous étions jamais quitter. « J’ai envie de découvrir. » Finis-je par lâcher, évidement je parlais bien de la ville, quoi que … J’avais rêvé de ce moment depuis des semaines, depuis que j’avais lu cette lettre, depuis que se vide en moi était apparu. « Tu ne me quitteras plus, n’est-ce pas Simba ? » Soufflais-je alors que je me suis blottie contre lui. J’avais tellement d’appréhension avant de venir, surtout mélanger à de la peur. Peur qu’il oublie notre histoire, qu’il me rejette, qu’il me délaisse, peur qu’il m’oublie, qu’il se comporte comme si j’avais été inexistante. Pire, peur qu’il se comporte comme si j’étais n’importe quelle fille. Simba avait le don de me faire sentir exceptionnelle, et il sait que j’adore ça.








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Tu ne sais pas comment décrire ce moment. Il y a encore cette scène irréelle dans ta tête. Bien sûr que Nepherty elle est à tes côtés gros con! Pourtant, c'est comme si tu sentais ta tête ailleurs, encore au Portugal. Que seriez-vous devenu si jamais tu ne serais pas parti? Si ta vie ne se serait tout simplement pas passé à Harvard? Il est fort probable qu'en ce moment, vous seriez en train de danser dans la cuisine, de ce chamailler comme des idiots, à faire mille et une expérience enrichissante. Vous couchez dans le gazon, en regardant les nuages passer et deviner quelle forme d'animal, de visage ou d'objet qu'il y a dans le nuage. Lors des nuits plus fraiches, vous installez avec une grosse couverture sur vos sacs de couchages en admirant les étoiles. Le contact de Nepherty te fait sursauter légèrement, ses doigts chatouillent les tiens, en cherchant à les rencontrer de nouveaux. Aucun de vous deux n'osent parler, vous gardez le silence tel des statuts de béton. Ce silence qui veut tout dire, que vous êtes heureux de vous retrouver enfin. Tu ne veux pas interrompre ce petit moment par besoin de vous parler. C'est la belle qui met fin à se silence. J'ai envie de découvrir. C'est de la ville dont elle parle, elle est enfin prête à te suivre partout à travers cette odyssée de ta vie au travers Harvard. Nepherty se rapproche un peu plus de toi, se collant contre ton corps. Tu ne dis rien, au contraire, ta main vient se déposer sur sa cuisse, en la caressant avec une telle douceur. Pourquoi je voudrais te quitter alors qu'on vient tout juste se retrouver?'' Son ton de voix te fait rappeler à quel point c'est une fille très sensible, indépendante et qui a peur d'aller de l'avant. 
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