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LA RÉVÉLATION DE L’ANNÉE Δ MACHO

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Nuit blanche. Mal de tête et nausée qui ne voulaient pas se barrer. De quoi me donner envie de sauter par la fenêtre où j'étais assise, les jambes pendants dans le vide. Exhalant la fumée que je venais d'inhaler, j'observais les enfants du quartier monter dans leur bus avec un engouement innocent, les femmes d'affaires, l'air sérieux, prendre leur voiture pour partir vers une énième journée pleines de surprises, assises derrière des bureaux gris et fermés, en s'amusant à enculer les mouches. Triste vie. Pas pire que la mienne en tous les cas. Pauvre victime que j'étais. Je faisais partie de la coloc la plus fournie du campus. 11 putain de personnes dans une maison qui puait le vieux et aux murs jaunis par le temps. Mais j'avais pas trop à me plaindre. Si ce n'était que je devais me coltiner Charlie teub, le gros débile et Zépholle la schizo, tout allait très bien. J'appliquais minutieusement mon rôle de Mather de la maison. Rentrant à des heures ... trop matinales et fumant joint sur joint, enfermée  dans ma chambre en écoutant de l'electro jusqu'à l'overdose. J'faisais pas trop dans le sociale en ce moment. J'avais juste mes périodes. J'étais comme dirait Marie, le fantôme de la coloc. J'disais même pas au revoir quand je me barrais chez un pote le temps d'un week end. La politesse ? Haha, je l'emmerdais quoi ! C'était pour les faibles. Bref. Sur ces mots pleins de bon sens, je laissais tomber mon mégot de cigarette dans le vide avant de rentrer dans ma chambre. J'avais pas assez de thunes pour m'acheter un vrai lit. Alors j'dormais sur un matelas à même le sol. J'faisais pitié? Peut-être. Mais en attendant, j'avais pas que ça à faire de me procurer un lit à IKEA quoi. Je sortais de la chambre, entendant du bruit au sous sol mais j'y prêtais pas plus attention que ça. Une douche s'imposait car sentir la transpiration et d'autres odeurs non identifiables me donnait encore plus de vomir. Après m'être décrassé au karcher, j'enfilais les premières choses qui me tombèrent sous la main. Alors que je laissais ma brosse à dent entrer en contact avec mes dents, j'entendis encore du bruit en bas. C'était quoi le bordel encore ? Intriguée, je sortais de la salle de bain avant de descendre les escaliers et de découvrir le chèque-tout-puissant, le plus adulé par ces dames ... Ou pas. Continuant mon lavage de dents, je l'observais parler à un livreur ... J'haussais un sourcil tout en observant la scène, voulant m'éclipser discrètement ... C'est d'ailleurs pour cela que je finissais par repartir à reculons avant de trébucher sur la première marche de l'escalier et de me fracasser comme une merde AIEUH MERDE ! Et je décerne le prix de la personne la plus discrète à Echo Hamilton !
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Martin n’était pas fan de sa nouvelle chambre. Elle était pourrie. Il vivait sous les combles et ça avait besoin de quelques rénovations. Mais ça va, il avait quelques années de regardage de D&CO derrière lui et on lui avait greffé le cerveau de Valérie Damidot en matière de rénovation de chambre naze. Du coup, la peinture ; DONE. Le sol ; DONE. Il ne crissait plus sous ses pas et les colocataires qui vivaient en-dessous – Charlie schneck et Caly tu-meurs a priori – arrêtèrent de râler. Maintenant, il fallait qu’il aménage un peu la pièce, parce que c’était sympa les piles de carton dans tous les coins, mais y aurait assez de carton sur le prochain design Mather, donc inutile d’en laisser dans la chambre de Martin. Comme Echo, il avait ce problème de lit, mais il s’en foutait pas mal. Juste, puisqu’il était destiné à passer beaucoup de temps dans sa chambre puisqu’il n’était pas super apprécié par certaines de ses colocataires (aka Zéphyr et peut-être Echo), il acheta une télévision chez le revendeur du coin et demanda à ce qu’on la lui livre à leur adresse. Ça allait occuper ses longues soirées, alone sous les combles du toit. Doooonc, aujourd’hui, c’était le grand jour. A peine le doigt du livreur eut-il effleuré le petit bouton (de la sonnette, ici on ne touche que les petits boutons de sonnette, on ne s’appelle pas Solvan) que Martin dévala les escaliers et ouvrit la porte, avant de crier un monumental ; « BONJOUUUUUUUUUR. » Ceci est un homme heureux. Par contre, qui disait livraison disait ostensiblement paiement. Pas de problème pour Martin ; il dégaina sa Mastercard de Tchèque République. Sauf que la machine cromagnon du livreur ne l’accepta pas, et ce à plusieurs reprises. « Mais comment ça se fait ? C’est la première fois que ça arrive, j’vous jure ! » Et Martin essaya de trouver un moyen de régler ce souci, il discuta, débattit, négocia même un crédit à 0% d’intérêt les six premiers mois, il était à deux doigts de se déguiser en bonhomme Cetelem si ça pouvait changer quelques choses … Quand un gros boum éclata et le livreur et Martin observèrent Echo en bas de l’escalier, tous ses membres enchevêtrés les uns dans les autres. Wow, quelle souplesse btw, si Martin avait su ça avant … /SBAFFF/ « Echo, tu tombes bien ! » C’était monsieur Jeux-de-mots. Il l’aida à se relever et lui demanda ; « Tu peux m’avancer ma télé ? C’est jamais qu’une petite centaine d’euros, s’il te plaît, s’il te plaît. Je te rembourserais vite, genre tout de suite, on va à la banque après le repas et boum, je te file tout en liquide. S’il te plaît, s’il te plaiiiit … » Il mit ses mains en prière et afficha une moue, espérant qu’elle cède. C’est bon, c’est quoi cent euros quand on est riche ? Pour Martin, c’est rien, nada, nothing.
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J'étais pire que sexy là. Le dentifrice coulant sur mon menton, la brosse à dents coincé entre mes ... dents et le teint aussi frais que si j'avais été malade toute la nuit. En plus de cela, je venais de me casser la gueule comme une pauvre merde. Pathétique, vous dis-je. J'eus pas trop le temps de me relever et de filer à l'étage car Mr Pecek m'avait, bien évidemment, déjà vu. Le bâtard ... Il me releva vitesse grand V et se mit à me demander un truc qui me mit en total panique intérieur. Je ... Je tombe bien? demandais-je bêtement. Haha, super drôle ... Puis il me fit part de sa super demande de la mort qui tue. Je secouais lentement la tête, sachant pas trop quoi répondre. Je jetais un coup d'oeil au livreur qui me regardait avec un air dégouté. Bah quoi ? Je me brossais les dents c'est touuut. Je me décalais quelques minutes avant d'aller cracher dans l'évier (le glamour à son plus grand niveau) et me rincer la bouche. Je revenais vers Martin, comme si de rien n'était et mettait mon cerveau en action ... J'allais devoir soit avouer que j'étais pauvre et ça promettait de mettre une sale ambiance dans la maison, soit j'allais devoir mentir, une fois de plus. Je me sentais mal, super mal, j'avais encore plus envie de vomir. Je mettais un temps avant de répondre et sortit d'une voix trop aiguë pour que ce soit normal Euuuh ... J'ai perdue ma carte bancaire, en fait ... J'osais même pas le regarder dans les yeux. Si il était con, il allait me croire et être simplement déçu ... Sauf qu'il était tout ... sauf con, je devais bien l'avouer. Il allait me tuer, devant le livreur, ou pas, puis plonger mon corps dans de l'acide chlorhydrique, même si j'savais pas ce que c'était, et me pendre par les cheveux dans le vide ... Oui, bon j'allais trop loin dans ma tête mais la finalité serait la même : il allait m'en vouloir. Passant une main dans mes cheveux, cachant ma nervosité derrière un sourire crispé Tu pourrais demander à quelqu'un d'autre, non? On est 11, t'as largement le choix. Je lui lançais un regard interrogateur, qui vrillait presque à la supplication. Je priais presque pour qu'il soit con et me croit sur parole. Mais c'était franchement pas la solution. Il allait bien falloir que je lui dise la vérité ... Mais pas là, pas devant le monsieur en uniforme bleu qui nous regardait comme si on complotait un attentat contre lui.
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Alleeezzz, Echo pouvait faire un geste pour Martin. C’est vrai quoi, Christophe Maé chantait bien ’Un geste de vouuus et je suivrais le message nanananan tous les jours et je tourne la pageeee sans rien dire et sourire blablabla ne rien voir …’. OK, alors oui, j’avoue, cette chanson est totalement hors sujet dans mon RP, mais je trouve que je ne chante pas assez la comédie musicale du Roi Soleil dans mes RPs. Je voulais rattraper cet oubli. Et puis je donne matière à ce qu'on se foute de ma gueule encore, parce que ce rp a été écrit avant que je réalise qu'on bitch sur mooooi. Le Tchèque ne demandait que l’aide d’Echo, qu’elle lui avance sa télé. Après tout, elle avait consommé en drogue et alcool lors de leur première nuit plus que ce que valait la télé et EN PLUS Martin proposait de la rembourser juste. Elle avait tout à gagner, rien à perdre. Et Martin pouvait toujours la rembourser en nature avec un coït dans la super douche à hydro-jets dont ils disposaient dans la maison. Fin, sérieusement, y avait moyen de s’arranger quoi. Mais elle bidonna avoir perdu sa carte bancaire. Il soupira ; « Et si tu regardais dans ton sac à main là-bas ? » Il était juste posé sur la tablette à côté de l’entrée, là où elle le laissait généralement après les soirées arrosées/défoncées. Ouais, il avait remarqué qu’Echo avait cette tendance à se déshabiller dans le couloir de l’entrée en rentrant de soirée, peut-être pour gagner du temps une fois arrivée dans la chambre. « Mais y a que toi ce matin ici .... Avec le bruit que tu as fait en tombant, s’il y avait quelqu’un, ce quelqu’un aurait débarqué en courant pour vérifier que tu es toujours vivante. » Ben oui, on tient à la vie de la petite Echooooo LA RÉVÉLATION DE L’ANNÉE Δ MACHO  3997999705 Enfin, on tient surtout à avoir 11 colocataires, donc si un crève, faut vite le remplacer quoi. « S’il te plaît Echo, le livreur est là, il attend … » - « Oui je suis toujours là. » - « Toi, ta gueule. » Au livreur, puis à la Mather ; « Echo … Je t’en prie … » Toujours les mains en prière, il s’efforçait de rester sérieux alors qu’elle avait encore le tour de lèvres blanc de dentifrice.
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