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Nickayla A. Chapman ► Laura Prepon

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Mon nom est
nickayla alex chapman

   

C'est le 14 mai 1986 à New-York, que les membres de la famille Chapman m'ont accueilli(e) dans leurs bras, ils m'ont prénommé(e) Nickayla Alex.  Je suis séparée, mais pas pour longtemps et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis bisexuelle, mais une préférence pour les dames et j'en suis fier(e). Je viens d'une classe sociale pauvre. Sinon, dans la vie de tous les jours je travaille en tant que ancien membre pour un cartel de drogue depuis neuf ans. Et pour terminer, je voudrais intégrer les citizens


   
Tell me some more about you

   
AVEZ-VOUS ÉTUDIÉ À HARVARD ?
   Nickayla n’a jamais été à l’université, très tôt, cette dernière rejoignit un cartel international de drogue. Son travail était simple, elle s’assurait du bon déroulement des livraisons. Elle n’avait aucun contact avec la drogue ou l’argent. Les études ne l’avaient jamais réellement intéressée plus que ça, elle préférait gagner de l’argent d’une manière simple et rapide. Enfin, son travail n’était pas si aisé que ça finalement, car il fallait faire preuve de jugeote et d’intelligence pour contourner la loi. Le principe est que Nickayla n’avait jamais travaillée auparavant, ni même étudiée, son truc à elle c’était les affaires. Elle vouait un culte pour l’amour du risque et de l’aventure. Son irréfrénable goût du risque lui avait pourtant, souvent jouer des tours.


         
APRÈS LA BOMBE.
   Nickayla est une personne sensible aux évènements qui touchent son pays. Ce jour-là, la jeune femme était en déplacement, plus exactement en Italie avec sa douce, pour un énième voyage d’affaire. Les chaînes italiennes diffusaient rarement les informations internationales, toutefois, alors qu’elle se trouvait devant son ordinateur, elle entend des coups de feux provenir de la télévision, bien évidemment. C’est là, qu’elle put observer le désastre, des bombes dissimulées dans des bâtiments, des étudiants touchés et achevés. La protagoniste était sensibilisée face à cette prise d’otage meurtrière, un problème qu’elle prenait sincèrement à cœur. Bien qu’elle était confrontée au milieu de la drogue et des règlements de comptes qui amenaient régulièrement la mort d’autrui, elle trouvait, toutefois cet acte lâche et inutile. La jeune femme était comme bouleversée d’apprendre que des adolescents étaient capable d’en arriver jusque là ! Ce qui la peinait d’autant plus, c’était d’apprendre que cet incident avait eu lieu dans non loin de la ville natale de sa compagne. Un réel choc.

   
APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES.
   Encore une fois, Nickayla n'était pas présente sur les lieux. Son arrivée à Cambridge date du premier septembre 2015. Étant en prison, elle peinait à suivre les évènements capitaux, ainsi elle en pris connaissance seulement à son arrivée. On lui avait énuméré les différents problèmes et conséquences. Des personnes c'étaient faites agressées engendrant ainsi une fermeture exceptionnelle des maisons. La protagoniste était tout à fait d'accord avec cette décision, car les universités étaient connues pour leurs bizutages qui causaient énormément de drames. Des jeunes démunies ne rentrant pas dans le moules des fraternités pouvaient se montrer hargneux et violents. Ils étaient si jeunes qu'un rien pouvait leur monter à la tête. Jeune également pour garder une situation sous contrôle. Le dérapage de la prise d'otage était, selon la brunette une précipitation et une peur effroyable de leur part. Ces personnes-là devaient être moralement fragiles pour agir ainsi. Ce qui n'excuse rien, ils méritent amplement la prison, ça leur ferait les pieds !

     
Mon pseudo internet est
Gaia

   
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Gaia et j'ai 22 ans. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à top-site.  Le forum est carrément génial alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Laura Prepon comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par Cranberry. Je fais environ 600 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.

   Mot de la fin ? ▲ Bonjour  :4: .

   Je souhaite ▲ (retire la balise le symbole et sa couleur qui ne correspond pas)
    adhérer un flood d'intégration (?)
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once upon a time !


L'amour c'est comme la grippe, ça s'attrape dans la rue et se termine au lit.
THÉRAPEUTE -- « Mademoiselle Chapman, comment percevez-vous votre partenaire conjugale, à l’heure d’aujourd’hui ? ». C'était-elle exclamée, plongeant ainsi son regard intéressé, dans celui de Nickayla, qui se voulait fuyante, alors que sa fiancée se tenait à côté d'elle. Il lui était tout particulièrement difficile de communiquer actuellement, depuis que son couple battait fortement de l'aile. La protagoniste aimerait tant lui avouer ce qu'elle ressentait sincèrement pour cette dernière, toutefois, une force surnaturelle l'empêchait. Une multitude de mensonges ont eu raison de leur stabilité. Cependant, neuf ans après, ses sentiments étaient toujours restés intactes. Sa dite femme était une narcissique doublée d'une pimbêche de première, mais c'était avant tout une femme aventureuse, qui s'épanouissait de l'adrénaline que lui offrait Alex. La blondinette était franche, droite dans ses baskets et surtout, une éternelle amoureuse qui s'extasiait de la passion. Puis, physiquement, la jeune femme était semblable à une déesse tombée du ciel, que les cieux eut mêmes auraient façonnés. De plus, l'alchimie qui les unissait était comme magique, une sensation unique comme si les deux jeunes femmes étaient dotées d'un aimant et les attiraient l'une vers l'autre. NICKAYLA -- « Froide, distante, dépourvue de tout sentiment … ». Lança-t-elle amèrement, réfugiant son visage entre ses mains, afin de dissimuler sa peine comme si elle cherchait à se cacher derrière un masque. Effectivement, sa compagne n'était plus la même, depuis quelque temps, comme si le temps c'était arrêté si soudainement dans une sombre période. La brunette était comme piégé dans un tourbillon, qui, l'entraînait malgré, dans un néant néfaste. Bien évidemment, Nickayla n'était pas facile à vivre, hautaine et imbu d'elle-même, celle-ci menait la vie dure à sa partenaire. Insouciante et avare, elle en grainait constamment sa tendre dans des histoires illicites. La protagoniste n'était pas à même de jeter la première pierre, les tords étaient visiblement partagés. THÉRAPEUTE -- « Mademoiselle Levy, et vous, comment percevez-vous Mademoiselle Chapman ? ». Mademoiselle Chapman, désespérée d’entendre la version de sa compagne, extorqua un profond soupir. Rebekka, contre toute attente, vouait un culte pour cette dernière. Elle l’avait souvent idolâtrée, voyant en elle, une sorte de guide spirituel. Elle émanait de la joie de vivre. Elle débordait d’assurance. Son goût irréfrénable pour le risque lui donnait un charme irrésistible. REBEKKA -- « Irrespectueuse, inconsciente et égoïste ! … Comment tu as put remettre ça ?! T’es une idiote ! ». Avoua-t-elle sèchement, ne prenant pas le temps de mâcher ses mots, les débitants à une vitesse grand V. Le venin était donc craché. Nickayla n'osait même pas relever le regard, appréhendant celui de sa femme, qui se voudra être naturellement meurtrier. Peut-être qu'elle avait une grand gueule, qu'elle était impulsive ou, mais encore inconsciente, face à sa copine, cette dernière n'en menait pas large.

L'amour c'est comme la grippe, ça s'attrape dans la rue et se termine au lit.
La première séance de thérapie conjugale pris donc fin sur une mauvaise et, la seconde n’allait être guère mieux. Cette fois-ci, la thérapeute comptait prendre connaissance des faits qui les avaient amenés à devenir ainsi. THÉRAPEUTE -- « Mademoiselle Chapman, selon vous quel a été l’élément déclencheur ? ». Lança-t-elle de manière incisive, provoquant un éventuel électrochoc chez la jeune femme, qui épousait un air nonchalant. La protagoniste était consciente des faits. C'était son irréfrénable goût pour le risque qui l'avait amenée à décevoir Rebekka. Autrefois, cette dernière travaillait pour un célèbre cartel international. Nickayla avait débuté cet emploi en bas de l'échelle comme mule. Son travail consistait à réceptionner des valises remplies d'argents, ou de drogues afin de les transporter à l'adresse qui avait été convenue préalablement à l'avance. Ensuite, naturellement, la brunette gravit très rapidement les échelons pour s'occuper essentiellement du transfert. Aucun contact avec la maille, ni même la marchandise. Son job consistait à s'assurer que la marchandise était arrivée à bon port. Nickayla était une personne avare, qui n'était jamais satisfaite, elle souhaitait constamment plus. Plus d'argents, plus de clientèles. De ce fait, la jeune femme avait fait le serment à sa tendre de ne plus recommencer cette débilité, toutefois, l'amour des affaires l'avait rattrapée. NICKAYLA -- « Mon infidélité probablement ! Je suis infidèle à la droiture, j’ai de nouveau sombrée dans mes travers … ». Expliqua-t-elle ouvertement sans être pour autant explicite, puis, elle tourna son regard en destination de sa copine. « Je suis navrée chérie, mais souvient toi de notre duo, tu m'accompagnais lors de mes déplacements et tu profitais des hôtels … ». Lança-t-elle amèrement, se souvenant ainsi de leur rencontre. La protagoniste faisait escale à Londres, pour son voyage d'affaire et, celle-ci c'était rendu dans une boite de nuit. Elle était avec ses copines, profitant de la musique et de l'occasion qui leur était donné pour danser. Son gay-dare activé, elle remarqua très rapidement une agréable silhouette accoudée au bar et, s'empressa ainsi d'aller l'aborder. Elles firent tout naturellement connaissance, parlant de tout et de rien, de la pluie et du beau temps. Nickayla ne c'était pas cachée de lui avouer qu'elle bossait pour un cartel. Très rapidement, autrement dit, le soir même les jeunes femmes mêlaient leur corps dans un plaisir charnel. Et, très rapidement encore, la brunette devait repartir pour un autre pays et, très rapidement Rebekka accepta de la suivre à travers ce cartel.REBEKKA -- « Oui c’était palpitant, bien sûr que je prenais mon pied à tes côtés, mais aujourd’hui, j’ai n’ai pas envie de terminée au fond d’un trou ! Et … Et, je n’ai pas envie de redevenir cette fadasse de femme au foyer ! ». Avoua-t-elle sensiblement, les yeux gorger de larmes. La blondinette était une personne sensible et, la protagoniste en avait conscience, c'est pourquoi, qu'elle l'avait longtemps soignée avec tendresse. Sa copine était comme un trésor qu'elle gardait soigneusement entre ses mains pour que personne ne lui vole. Toutefois, il vrai, que Rebekka appréciait la vie qu'elle menait autrefois avec la protagoniste. Jamais au grand jamais, Alex l'avait traitée comme une mule ou autre, non, elle l'aimait sincèrement. La brunette travaillait et celle-ci profitait aisément des a côtés. Elle ne pouvait rien reprocher à la protagoniste là-dessus.

L'amour c'est comme la grippe, ça s'attrape dans la rue et se termine au lit.
La thérapeute était quelque peu déphasée avec les aveux des deux jeunes femmes. Ce qu'elle en avait déduit c'est qu'elles s'aimaient grandement mais, qu'un élément au tableau venait entacher leur relation. Ce qu'elle ne savait pas, c'était que malgré leur relation fusionnelle, Nickayla délaissait souvent sa partenaire pour le travail et, la blondinette devait sûrement craindre que ce schéma se reproduise.THÉRAPEUTE -- « Mademoiselle Chapman, avez-vous rentrée des problèmes durant votre enfance ? ». S’intéressa-t-elle, alors que cette dernière n’était pas du genre a ressasser le passé. NICKAYLA -- « Ma mère était alcoolique, mon père absent, nous étions que deux, démunies, pas d’argent … ». Avoua-t-elle, osant affronter ses anciens démons. En effet, la mère de la protagoniste était alcoolique, par conséquent, elle n’était jamais présente pour la jeune femme, qui, très rapidement devint autonome. Pour ce qui est de son père, très tôt il avait abandonné le cocon familiale pour mettre en cloque une autre femme beaucoup plus jeune et plus séduisante que sa génitrice. Ce qu’Alex avait retenue de son enfance et adolescence, c’était les moqueries de ses camarades qui visaient lâchement sa tenue vestimentaire, mais également le fait de n’avoir jamais eu une épaule sur laquelle se reposer. THÉRAPEUTE -- « Et vous, Mademoiselle Levy ? ». Contrairement à Nickayla, Rebekka naquit dans une famille aisée qui lui ont toujours donné le meilleur. Constamment présent dans ses démarches, ils souhaitaient un bel avenir pour leur fille unique, qui c’était fait la malle avec une dealeuse de drogue. REBEKKA -- « Je n’ai jamais manquée de rien, mais je n’ai plus de contact avec eux depuis que je suis avec Nick’ … ». Lança-t-elle sans éprouver une once de remord, car finalement, elle l’avait choisit cette situation. Peut-être que silencieusement ses parents lui manquaient, mais elle se confiait très peu à ce sujet. NICKAYLA -- « Il faudrait peut-être que tu reprennes contact avec eux … ». S’exclama-t-elle en repensant au décès de sa mère qu’elle avait longtemps snobée. Elle ne souhaitait pas que sa copine émette des regrets et qu’elle rejette tout ça sur le dos de la protagoniste. REBEKKA -- « Ils acceptent pas mon homosexualité, tu le sais ! ». Clôtura-t-elle brièvement d’une intonation sévère, saisissant ainsi ses affaires avant de se redresser sur ses deux pieds et d’inciter sa copine à la rejoindre.

L'amour c'est comme la grippe, ça s'attrape dans la rue et se termine au lit.
PSYCHOLOGUE -- « Je sais que cela ne doit pas être évident pour vous, ce tragique accident qui a longtemps prolonger votre compagne dans un coma, cette sensation de penser que cela est de votre faute … » Lui lança-t-elle amicalement, scrutant amèrement son calepin qui retraçait les précédentes thérapies de la protagoniste. Nickayla, abattue, peinait à reprendre du poile de la bête, cette situation lui était plus qu'inconfortable et la noyait dans un bain de remords. Cette tragédie était effectivement de sa faute. Elle avait mis sa femme en danger en rejoignant dernièrement le cartel. Cette dernière lui avait formellement interdit de sombrer dans ses travers, mais l'amour du risque et des affaires l'avaient sensiblement rattrapé. Les deux jeunes femmes avaient suivis une thérapie de groupe afin de remettre leur union sur les rails, toutefois, un drame pointa le bout de son nez avant que les problèmes ne se résolve.NICKAYLA -- « Ce qui n’est pas évident, c’est de la savoir vivre sa vie sans qu’elle ne soit à même de me reconnaître ! Ses souvenirs ce sont arrêtés avant notre rencontre et, ses parents lui ont changer le reste. Ils l’ont incitée à rentre avec eux, ce qu’elle a fait, elle est dorénavant à Cambridge et moi je suis ici, à New-York  …  Aucun moyen de la contacter, ses parents me barre la route ! ». Avoua-t-elle le cœur brisé. Sa copine fut victime d'un représailles. Nickayla venait d'annoncer au cartel qu'elle se retirait de l'aventure et de ce fait, un soir, ils ont pénétré dans leur cocon familiale pour adresser une balle mortelle à la protagoniste, toutefois, cette dernière n'était pas présente dans le lit, c'est donc sa compagne qui se prit inévitablement une balle dans la tête. Quand la brunette était rentrée chez elle, elle remarquait en premier lieu, une flaque abondante de sang, couler du lit, avant de retirer la couverture et d'apercevoir sa tendre inerte. Son monde c'était comme cassé la figure, sur quoi elle pouvait se reposer, lui filait sensiblement entre les doigts. « Ca aurait dut être moi, pas elle … ». Ajouta-t-elle avant d’éclater en sanglot et de serrer fort ses poings pour venir les aplatir sur ses genoux. Bon sang qu’elle s’en voulait et qu’elle c’était jurer de tuer celui qui avait commit cela. Nickayla était prête à faire de la prison pour éradiquer cette ordure. PSYCHOLOGUE -- « Que comptez-vous faire à présent ? ». S’intéressa-t-elle sans se douter de la réponse de la protagoniste qui ne souhaitait que de répandre du sang. Elle souhaitait se venger sournoisement avant de reconquérir sa copine, de lui réapprendre les souvenirs qu’elles avaient partagées durant ces six dernières années. NICKAYLA -- « Traquer cet enfoiré et lui accorder une mort lente et douloureuse ! ». Conclu-t-elle avant de reprendre ses affaires et de disparaître dans la nature.

L'amour c'est comme la grippe, ça s'attrape dans la rue et se termine au lit.
Trois ans après .. Trois longues années à croupir dans une prison pour un salopard qui avait réduit son existence à néant, Nickayla revint enfin la liberté. Elle avait tué le meurtrier de sa femme. Une mort lente et douloureuse comme elle l'avait prônée autrefois. La vie carcérale ne fut pas de tout repos, toutefois, elle parvint à s'en sortir tout de même aisément. Les débuts étaient certes rudes, cependant, avec le temps, tout lui semblait normal, même banal. Bref, pour la sortir de ce trou, son avocat c'était rabattu sur une hypothèse, celle de plaider la démence et, ainsi donc, au cours du procès la brunette avait écopée de cinq ans de prison ferme et, une remise de peine de deux ans pour bonne conduite. A présent, elle n'avait rien dans les poches, pas même un sous. Son argent sale fut saisi au moment du procès l'a mettant ainsi sur la paille. Son objectif actuellement était de se rendre à Cambridge et de reconquérir les souvenirs de Rebekka. Cette dernière devait toutefois avoir refait sa vie, mais son ambition était telle qu'elle était prête à briser un couple pour la récupérer. Qu'importe, elle débarquait seulement à Cambridge le premier septembre 2015. Sa vie était à reconstruire. Il fallait qu'elle se trouve un emploi pour subvenir à ses besoins et afin d'avoir un toit. Elle n'avait jamais bossée auparavant, la protagoniste ne savait rien faire à part dealer. En espérant qu'elle ne retombe pas dans ses travers aussi rapidement.  
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Bienvenuuuue. Nickayla A. Chapman ► Laura Prepon 1153642411
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Bienvenue et bon courage pour ta fiche hanwii
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Bienvenue parmi nous Nickayla A. Chapman ► Laura Prepon 2511619667
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Merci les filles Nickayla A. Chapman ► Laura Prepon 2511619667 Nickayla A. Chapman ► Laura Prepon 2032734886
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