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Mon nom est
Ladislava Elena Cseszneky
C'est le 4 décembre 1992 à Wien (Autriche), que les membres de la famille Cseszneky m'ont accueilli(e) dans leurs bras, ils m'ont prénommé(e) Ladislava Elena(s). Je suis statut Célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis ouverte au proposition et j'en suis fier(e). Je viens d'une classe sociale aisée. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études de Relation International et Administration depuis cinq ans et travaille en parallèle de mes études en tant que modéle pour créateur. Et pour terminer, je voudrais intégrer les Quincy ou les Cabot.
Tell me some more about you
Quincy
La Quincy ou comment être des gens simple et aider les gens qui ont une vie compliquée?Certes j'ai passé mon temps au milieu des fêtes mondaines, on peut me voir comme une fille superficielle, fille à papa qui à grandit avec une cuillère en argent dans la bouche, voyageant entre New York, Milan et Paris, mais j'ai toujours eu le besoin de m'investir dans des causes, aller donner un coup de main à l'orphelinat, récupérer les animaux errant et autre bonne cause que je pouvais servir. Ces cinq dernière année j'ai fait en sortir de partir au moins un mois dans des pays en difficulté pour aider les bénévole de la croix rouge lors de catastrophe naturelle. J'ai la chance de vivre au dessus de mes moyen avec simplement mon compte en banque, que la moitié des contrats de mode que je récupère vont directement à différente association d'aide à l'enfance. Je ne sais pas d'où je tiens ça, peut être de ma nourrice, qui m'a enseigner des valeurs moral qui n'allait pas forcement dans le sens de ma mère, mais ça c'est une autre histoire.
La Quincy ou comment être des gens simple et aider les gens qui ont une vie compliquée?Certes j'ai passé mon temps au milieu des fêtes mondaines, on peut me voir comme une fille superficielle, fille à papa qui à grandit avec une cuillère en argent dans la bouche, voyageant entre New York, Milan et Paris, mais j'ai toujours eu le besoin de m'investir dans des causes, aller donner un coup de main à l'orphelinat, récupérer les animaux errant et autre bonne cause que je pouvais servir. Ces cinq dernière année j'ai fait en sortir de partir au moins un mois dans des pays en difficulté pour aider les bénévole de la croix rouge lors de catastrophe naturelle. J'ai la chance de vivre au dessus de mes moyen avec simplement mon compte en banque, que la moitié des contrats de mode que je récupère vont directement à différente association d'aide à l'enfance. Je ne sais pas d'où je tiens ça, peut être de ma nourrice, qui m'a enseigner des valeurs moral qui n'allait pas forcement dans le sens de ma mère, mais ça c'est une autre histoire.
Cabot .
Je suis une fille tout ce qu'il y a de plus fille, maquillage, robe, talon, cœur sur la main, fraternelle, qui sait ce qu'elle veut et où elle va. Je pourrai très bien entrer à la Eliot, tout ces gosses de riches en façade je ne ferai pas tâche je me fondrais parfaitement dans le décors mais non, c'est pas moi tout ça. Je ne suis pas une façade, j'ai vus ce qu'étais la vie et de qu'elle façon il fallait procéder pour réussir. Je ne rechigne jamais à la tâche et je sais user de mes atouts féminin pour obtenir ce que je veux. Je suis déterminée, belle et intelligente, comme la plus part d'entre elles, certainement moins volage, si je peux me permettre, que certaine d'entre elles, je suis certaine que je pourrai avoir ma place à la Cabot.
Je suis une fille tout ce qu'il y a de plus fille, maquillage, robe, talon, cœur sur la main, fraternelle, qui sait ce qu'elle veut et où elle va. Je pourrai très bien entrer à la Eliot, tout ces gosses de riches en façade je ne ferai pas tâche je me fondrais parfaitement dans le décors mais non, c'est pas moi tout ça. Je ne suis pas une façade, j'ai vus ce qu'étais la vie et de qu'elle façon il fallait procéder pour réussir. Je ne rechigne jamais à la tâche et je sais user de mes atouts féminin pour obtenir ce que je veux. Je suis déterminée, belle et intelligente, comme la plus part d'entre elles, certainement moins volage, si je peux me permettre, que certaine d'entre elles, je suis certaine que je pourrai avoir ma place à la Cabot.
APRÈS LA BOMBE.
Janvier 2013, je sais plus exactement quelle heure il était, peu être en début d'aprés midi enfin je sais pas, j'étais en plein essayage pour la fashion week de Paris, enfin s'était cette période là quoi, j'étais à la fois concentré dans ma première session d'examen de l'année, mes essayages pour la fahsion week, j'étais donc passé de la bibliothèque, à la cafétéria pour manger prendre un sandwich, avant de partir récupérer ma voiture sur le parking le tout en moins de 10 minutes, histoire de tout traverser. C'est juste fou ce qui peut se passer en moins de 10 minutes à quel point tout peut changer. Enfin bref, j'étais à peine sortie du parking, c'est là que tout à explosé. Ça m'a comme tétanisé, 'fin je veux dire après la déflagration, parce que oui j'étais sortie du parking, mais c'est comme dire que Tchernobyl, n'étais jamais passé au dessus de la France et que ça n'a touché personne. Nan ma voiture a été projeté plus loin, contre un mur je crois que le ce qui m'a sauvé la vie c'est d'être dans ma putain de voiture et d'avoir des putain d'air bag, j'ai vus un putain de bloque de béton tomber à côté de la voiture, j'avais rien, j'étais une rescapée si je puis dire. Juste deux ou trois bleus, et des écorchures, sur le coup c'est certain j'ai été sonnée, et je sais pas ce qu'il m'a pris mais je suis sortie de la voiture pour aller voir si je pouvais donner un coup de main qu'est ce que je pouvais faire? C’était en feu, ça criait de partout ça pleurait, des … Et moi j'étais là je pouvais pas bouger, je regardais la scène impuissante, je n'arrivais pas à faire quoi que ce soit. J'avais l'impression que j'étais restée des heures là à regarder ce qu'il se passait. Ça se mis à bouger d'un seul coup, mais j'étais pas actrice dans cette scène, j'étais passive et je sais pas, sur le moment j'étais plus moi. S'il y avait eu un bouton off et que quelqu'un avait appuyé dessus. J'ai été étais prise en charge par les équipes de secours envoyé à l'hôpital parmi les premiers, les soins j'ai pas eu grand chose. Pour le reste je suis resté chez moi un moment, avant de remettre les pieds a Harvard, c'était trop difficile y avait mes amis, j'ai perdu personnes fort heureusement. Mais aujourd'hui j'y repense encore, j'me vois encore revivant la scène, ressentant ce que je ressentais à ce moment là, n’éprouvant aucune émotion, seulement de l’incompréhension. !
Janvier 2013, je sais plus exactement quelle heure il était, peu être en début d'aprés midi enfin je sais pas, j'étais en plein essayage pour la fashion week de Paris, enfin s'était cette période là quoi, j'étais à la fois concentré dans ma première session d'examen de l'année, mes essayages pour la fahsion week, j'étais donc passé de la bibliothèque, à la cafétéria pour manger prendre un sandwich, avant de partir récupérer ma voiture sur le parking le tout en moins de 10 minutes, histoire de tout traverser. C'est juste fou ce qui peut se passer en moins de 10 minutes à quel point tout peut changer. Enfin bref, j'étais à peine sortie du parking, c'est là que tout à explosé. Ça m'a comme tétanisé, 'fin je veux dire après la déflagration, parce que oui j'étais sortie du parking, mais c'est comme dire que Tchernobyl, n'étais jamais passé au dessus de la France et que ça n'a touché personne. Nan ma voiture a été projeté plus loin, contre un mur je crois que le ce qui m'a sauvé la vie c'est d'être dans ma putain de voiture et d'avoir des putain d'air bag, j'ai vus un putain de bloque de béton tomber à côté de la voiture, j'avais rien, j'étais une rescapée si je puis dire. Juste deux ou trois bleus, et des écorchures, sur le coup c'est certain j'ai été sonnée, et je sais pas ce qu'il m'a pris mais je suis sortie de la voiture pour aller voir si je pouvais donner un coup de main qu'est ce que je pouvais faire? C’était en feu, ça criait de partout ça pleurait, des … Et moi j'étais là je pouvais pas bouger, je regardais la scène impuissante, je n'arrivais pas à faire quoi que ce soit. J'avais l'impression que j'étais restée des heures là à regarder ce qu'il se passait. Ça se mis à bouger d'un seul coup, mais j'étais pas actrice dans cette scène, j'étais passive et je sais pas, sur le moment j'étais plus moi. S'il y avait eu un bouton off et que quelqu'un avait appuyé dessus. J'ai été étais prise en charge par les équipes de secours envoyé à l'hôpital parmi les premiers, les soins j'ai pas eu grand chose. Pour le reste je suis resté chez moi un moment, avant de remettre les pieds a Harvard, c'était trop difficile y avait mes amis, j'ai perdu personnes fort heureusement. Mais aujourd'hui j'y repense encore, j'me vois encore revivant la scène, ressentant ce que je ressentais à ce moment là, n’éprouvant aucune émotion, seulement de l’incompréhension. !
APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES.
A croire que le mois de Janvier avait un sale réputation, entre la bombe l'épidémie de 2014 et maintenant il y avait ce couvre feu et la fermeture des maisons. Je m'étais plus ou moins remise des événements précédent mais là s'était vraiment trop glauque en fait. Il y avait toute ses personnes qui s'était faites agressées ça aurai pus être n'importe lequel d'entre nous, ça aurai pus être moi. Je connaissais plus ou moins les victimes et j'avais de la peine pour eux, il ne pourrait certainement pas s'en remettre, certainement jamais. La fermeture des maisons ce fut juste la goûte d'eau de trop, je l'ai vraiment mal vécue c'est comme si on m'avait enlevé une partie de moi. Mais le pire dans tout ça je pense que ça à été la prise d'otage, j'étais dans la cafétéria, j'étais terrorisée, je comprrennais pas comment des personnes pouvaient arriver à une telle extrémité. J'ai été touché par une des balles, autant dire que maintenant le mannequinat pour moi c'est quasiment la fin et ça j'ai du mal à y faire face. !
A croire que le mois de Janvier avait un sale réputation, entre la bombe l'épidémie de 2014 et maintenant il y avait ce couvre feu et la fermeture des maisons. Je m'étais plus ou moins remise des événements précédent mais là s'était vraiment trop glauque en fait. Il y avait toute ses personnes qui s'était faites agressées ça aurai pus être n'importe lequel d'entre nous, ça aurai pus être moi. Je connaissais plus ou moins les victimes et j'avais de la peine pour eux, il ne pourrait certainement pas s'en remettre, certainement jamais. La fermeture des maisons ce fut juste la goûte d'eau de trop, je l'ai vraiment mal vécue c'est comme si on m'avait enlevé une partie de moi. Mais le pire dans tout ça je pense que ça à été la prise d'otage, j'étais dans la cafétéria, j'étais terrorisée, je comprrennais pas comment des personnes pouvaient arriver à une telle extrémité. J'ai été touché par une des balles, autant dire que maintenant le mannequinat pour moi c'est quasiment la fin et ça j'ai du mal à y faire face. !
ITEM LIBRE (FACULTATIF).
Les licornes c'est fantastiques
Les licornes c'est fantastiques
Mon pseudo internet est
Bab'
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle pas on me sifle et j'ai 8895 jours . Je suis Française et j'ai connu le forum grâce à mon superbe esprit de recherche. I love Harvard est un forum remplis de gens bizarre c'est donc parfait alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise célébrité comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par crédits. Je fais environ 250-500 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.
Mot de la fin ? ▲ CS est un salaud
Je souhaite ▲ (retire la balise le symbole et sa couleur qui ne correspond pas)
adhérer un flood d'intégration (?)
Mot de la fin ? ▲ CS est un salaud
Je souhaite ▲ (retire la balise le symbole et sa couleur qui ne correspond pas)
adhérer un flood d'intégration (?)
It's all about...
once upon a time !
Ladislava Elena Cseszneky ouai c'est un nom bizarre c'est vrai, je vous l'accorde, et je suis née à Wien en Autriche, bah oui ma mère était à Wien quand j'ai décidé de sortir le bout de mon nez, j'aurai du naître au pays, comme le répétait si souvent mon père, le pays la Slovaquie, et à croire qu'il m'en à voulut pour ça. Une Cseszneky devait naître au même endroit que tout les autres Cseszneky, à Bratislava, mais il semblerai que déjà j'en avait décidé autrement. Autant dire que ma mère à pas fait un très long séjour à l'hôpital et que je suis vite rentrée à la maison avec elle. Je vois pas trop en quoi ça posait problème puisque lui n'étais jamais là, il suivait son frère partout comme son ombre, inséparable, en même temps ils dirigeaient tout les deux l'affaire familiale, horlogerie de luxe. En y réfléchissant bien je me demande pourquoi ils avaient chacun leur maison dans le même quartier plutôt que d'avoir une seule et même grande maison, vus le temps que je passais chez mon oncles par la suite, ma mère et ma tante étaient inséparables elles aussi, séance maquillage et relooking tout les jours. Dés que j'avais un peu de répit j'étais bien heureuse de pouvoir passer mon temps avec mon cousin Milan, et vus les rapports qu'on avait et qu'on a encore il est plus un grand frère pour moi qu'un cousin. Certes il est plus jeune que moi mais je l'ai toujours vus comme tel. On a grandit ensemble. On était la seule famille qu'on avait l'un et l'autre, le seul repaire dans cette vie en perpétuelle changement, Bratislava, Paris, Londres, New York. Toujours des maisons séparé mais avec le temps on prenait des chemins différents, la passion de ma mère pour la mode, elle fit de moi une accro au shopping dés mon plus jeune âge. Ce ne fut donc pas étonnant qu'a 14 ans j'étais déjà passé sur plus d'un podium pour porter des créations juniors. Par la suite tout s’enchaîna, j'obtins de plus gros contrats, j'ai eu des occasions à ne plus quoi savoir en faire, sans parler de l'argent qui coulait à flot, la plus part des maisons de couture m'offrais des créations, je recevais des cadeaux enfin bref la belle vie, mais je voulais plus enfin je voulais que tout ça servent à quelques chose, s'était comme un besoin. Puis une occasion se présenta un été j'ai eu l'occasion de partir en Afrique avec l'Unicef, j'ai pus voir la misère du monde, des gens avec peu de moyen, des pays ravagés ravagés par la guerre, les maladies, je savais ce que j'allais faire de mon argents. En faire profiter tout ces enfants toutes ces familles. J'ai décidé de créer une fondation, afin d'aider les pays en sous-développement c'est ça que je voulais, j'étais pas la première des mannequin à faire ça c'est certain mais je m'en fichait pas mal, j'avais la possibilité de faire quelques choses, quelque chose de bien. J'étais destiné à reprendre les rênes de l'entreprise familiale mais ce n'est pas ce qui m’intéressais le plus, je voulais aider, aider tout ces petits bouts à pouvoir faire quelques chose de leur vie, avoir une éducation et tout ce qui s'en suis. Et j'étais déterminée à ça. Je pris donc le chemin d'Harvard Relation International et Administration, afin de pouvoir apprendre à entrer en contact avec les plus grands de ce monde et gérer les choses pour les faire changer s'était un projet ambitieux un projet d'une vie, s'était la vie que je voulais.
(Invité)