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Mon nom est
Valentina Rossi
C'est le 17 Juillet 1992 à Rome, que les membres de la famille Rossi m'ont accueilli(e) dans leurs bras, ils m'ont prénommé(e) Valentina. Je suis célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis bisexuelle et j'en suis fier(e). Je viens d'une classe sociale aisée. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études d' Astronomie et de Français depuis 1 an et travaille en parallèle de mes études en tant que ... Et bien je ne sais pas encore, il me faut trouver un nouveau travail. Et pour terminer, je voudrais intégrer les Lowells ou les Cabots.
Tell me some more about you
Lowell.
Pourquoi la Lowell House ? Parce que j'aime chanter. Non, je ne veux pas en faire mon métier, mais je me passionne vraiment pour le chant et la musique. Quand j'habitais encore à Rome, je faisais partie d'une Chorale Médiévale, et j'étais dans la catégorie Soprane. Plus jeune, j'ai eu la chance de profiter de quelques cours de violon. J'aimerai tellement m'y remettre ! Et quel meilleur moyen d'y arriver que de parvenir à intégrer cette Maison ? Je me rappelle mes cours de solfège ... Et je n'ai pas peur de faire crisser les cordes de mon violon ! Parce que oui, je possède mon propre violon qui me suit lors de tout mes voyages. De temps en temps je le sors de son étui, et je frotte délicatement le crin de mon archer contre les cordes ... Bon, le son n'est pas terrible parce que je manque d'entraînement, mais c'est comme le vélo, ça ne s'oublie pas ... N'est-ce pas ?
Pourquoi la Lowell House ? Parce que j'aime chanter. Non, je ne veux pas en faire mon métier, mais je me passionne vraiment pour le chant et la musique. Quand j'habitais encore à Rome, je faisais partie d'une Chorale Médiévale, et j'étais dans la catégorie Soprane. Plus jeune, j'ai eu la chance de profiter de quelques cours de violon. J'aimerai tellement m'y remettre ! Et quel meilleur moyen d'y arriver que de parvenir à intégrer cette Maison ? Je me rappelle mes cours de solfège ... Et je n'ai pas peur de faire crisser les cordes de mon violon ! Parce que oui, je possède mon propre violon qui me suit lors de tout mes voyages. De temps en temps je le sors de son étui, et je frotte délicatement le crin de mon archer contre les cordes ... Bon, le son n'est pas terrible parce que je manque d'entraînement, mais c'est comme le vélo, ça ne s'oublie pas ... N'est-ce pas ?
Cabot.
Ahhh pourquoi avoir aussi choisi la Cabot House ? Parce que j'aime la compagnie féminine, parce que je sais que je suis belle, et que je pense avoir les qualités requises pour être intégrée dans cette Maison. La Loyauté ? Mon maître-mot. En toute modestie, je suis la soeur et l'amie dont n'importe quelle personne puisse rêver d'avoir. Je sais que j'ai du charme, et de beaux atouts. J'en joue sans en jouer, disons que si j'ai décidé d'avoir quelqu'un ... Je l'aurai. Mais je donne sans compter à ma moitié. A mes risques et périls, je sais bien. Les filles, je vous promets de superbes Pyjama Parties si vous m'invitez dans votre maison !
Ahhh pourquoi avoir aussi choisi la Cabot House ? Parce que j'aime la compagnie féminine, parce que je sais que je suis belle, et que je pense avoir les qualités requises pour être intégrée dans cette Maison. La Loyauté ? Mon maître-mot. En toute modestie, je suis la soeur et l'amie dont n'importe quelle personne puisse rêver d'avoir. Je sais que j'ai du charme, et de beaux atouts. J'en joue sans en jouer, disons que si j'ai décidé d'avoir quelqu'un ... Je l'aurai. Mais je donne sans compter à ma moitié. A mes risques et périls, je sais bien. Les filles, je vous promets de superbes Pyjama Parties si vous m'invitez dans votre maison !
APRÈS LA BOMBE.
Je savais déjà que je voulais aller à Harvard pour mes études, après mes dix-huit ans. Quelle ne fut pas ma surprise lorsque ma mère m'a appelée pour que je descende dans le salon regarder les informations ! Harvard, mon but ultime, était en proie à un fou furieux qui menaçait de le faire exploser ! Mon coeur s'était douloureusement serré à cet instant. Mon estomac se révulsait à chaque explosion. Je n'avais qu'une envie, c'était pleurer. J'avais beau être à des milliers de kilomètres de l'endroit, j'avais l'impression d'y être, aussi désemparée que les étudiants, étudiantes et toutes les autres personnes présentes sur les lieux. Oui, j'ai peur que ça recommence. Mais qu'importe. Je ferai ma rentrée à Harvard, et c'est tout ce qui compte.
Je savais déjà que je voulais aller à Harvard pour mes études, après mes dix-huit ans. Quelle ne fut pas ma surprise lorsque ma mère m'a appelée pour que je descende dans le salon regarder les informations ! Harvard, mon but ultime, était en proie à un fou furieux qui menaçait de le faire exploser ! Mon coeur s'était douloureusement serré à cet instant. Mon estomac se révulsait à chaque explosion. Je n'avais qu'une envie, c'était pleurer. J'avais beau être à des milliers de kilomètres de l'endroit, j'avais l'impression d'y être, aussi désemparée que les étudiants, étudiantes et toutes les autres personnes présentes sur les lieux. Oui, j'ai peur que ça recommence. Mais qu'importe. Je ferai ma rentrée à Harvard, et c'est tout ce qui compte.
APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES.
Seigneur, comment ne pas se rappeler de ce moment ? Mes parents ont failli m'empêcher de lancer mon inscription à Harvard quand ils ont entendu parler de cette histoire d'agressions. La discussion s'est finalement terminée au bout de deux heures, et j'ai réussi à leur faire entendre raison. Ils étaient terrifiés ! Moi, j'étais en colère. Terriblement en colère. Mes parents ne voyaient que des failles dans la sécurité du campus, mais moi je ne voyais qu'une bande de ratés qui allaient m'empêcher de suivre le cursus de mes rêves. Mais en même temps, j'étais contente d'être à l'écart ... Et heureusement pour les agresseurs, je pense que je ne leur aurais pas fait de cadeaux si j'étais tombée sur eux ! !
Seigneur, comment ne pas se rappeler de ce moment ? Mes parents ont failli m'empêcher de lancer mon inscription à Harvard quand ils ont entendu parler de cette histoire d'agressions. La discussion s'est finalement terminée au bout de deux heures, et j'ai réussi à leur faire entendre raison. Ils étaient terrifiés ! Moi, j'étais en colère. Terriblement en colère. Mes parents ne voyaient que des failles dans la sécurité du campus, mais moi je ne voyais qu'une bande de ratés qui allaient m'empêcher de suivre le cursus de mes rêves. Mais en même temps, j'étais contente d'être à l'écart ... Et heureusement pour les agresseurs, je pense que je ne leur aurais pas fait de cadeaux si j'étais tombée sur eux ! !
It's all about...
once upon a time !
Bonjour, je m'appelle Valentina. Je suis née un beau 17 Juillet à Rome. Mes parents m'ont vraiment désirée, et honnêtement, je trouve qu'ils ont fait un boulot remarquable avec mes gènes. Mon père est PDG d'une multinationale qui importe du bois précieux de diverses partie du monde. Bien qu'il gagne suffisamment bien sa vie pour permettre à ma mère de ne pas avoir à travailler, cette dernière dispense des cours de chant et de violon. Vous comprenez mieux pourquoi ce sont devenus mes deux hobbies principaux ?
Déjà, quand Maman était enceinte, elle me jouait des airs de violon. Oh non, je ne m'en rappelle pas voyons, ça remonte à bien longtemps ! Non, c'est ce qu'elle m'a raconté, pour m'expliquer les raisons qui m'ont amenée à suivre ses cours. Je ressemble beaucoup à Maman. De Papa j'ai hérité un sourire à tomber, charmeur. De Maman je tiens ma chevelure blonde et mes yeux azurs. Elle me disait que si j'oubliais de respirer pendant quelques temps, je ressemblais à une poupée de porcelaine. Ca me faisait bien rire, quand j'avais cinq ou six ans.
Déjà, petite, j'étais un peu à l'écart du monde. Je passais mon temps à me documenter sur les étoiles tout en écoutant des morceaux de violon. Et puis j'ai commencé à chanter aussi, tout d'abord pendant que Maman coiffait mes longs cheveux. Nous chantions toutes les deux, et c'était vraiment très beau. J'avais déjà ce timbre particulier qui n'a fait que se développer durant ma croissance. Maman était très fière de la jeune fille que je devenais. J'étais très douée à l'école, aussi pour me récompenser de mes efforts, Papa et Maman m'emmenaient voir des Concertos de Violon. Je crois que jamais un cadeau ne me plaisait autant que ceux-ci.
Pendant ma scolarité en primaire, les autres enfants n'osaient pas m'approcher. Je n'ai jamais compris pourquoi, à cette époque. Maintenant, je me dis que je devais dégager une impression de ... D'anormalité. J'étais très, très calme, je ne courais jamais avec les autres, je ne criais pas. Je me contentais d'observer les autres élèves, et de fredonner des airs de musique classique. Peut-être avais-je un air hautain ? Je ne sais pas.
Quand je suis passée au cycle supérieur, mon comportement s'est mis à changer. Oh, pas en mal hein, j'ai toujours été une demoiselle très respectable et respectueuse. Non. je me sociabilisais. J'encourageais les autres à venir vers moi. Ah oui, parce que depuis toujours, je ne vais pas vers les autres, mais j'attends que les autres viennent à moi. Mettez ça sur le compte de l'orgueil ou ce que vous voulez, mais toujours est-il que si personne ne fait un pas dans ma direction, je préfère rester seule que de faire un pas vers quelqu'un. Je crois même que c'est vers la fin de cette période que j'ai connu mon premier petit copain. Non, nous n'avons rien fait, bande de pervers, on avait quatorze ans !
Puis vint le lycée. Parallèlement, j'intégrai une Chorale assez réputée, orientée médiéval. Heureusement pour moi, je n'étais pas seule dans ce nouveau monde. J'avais toute une ribambelle de copines qui étaient folles de ma voix et tout simplement de ma personne. Si si, je vous promets que c'est vrai. Je dégage une telle prestance, un tel magnétisme que si je vous attrape dans mon sillage, vous ne pouvez plus vous détacher de moi. A moins d'y être insensible, cela va de soi. Mes notes n'ont pas baissé d'un iota. J'étais première de ma classe, sans être la fayotte de service, car je n'en avais pas besoin. Tout les professeurs m'aimaient, sauf ... Le prof de sport. C'était réciproque d'ailleurs. Car c'était le seul cours dont je me contrefichais mais puissance un million. Et pourtant il était bien obligé de me mettre de bonnes notes, sans quoi il était clair que son jugement aurait été mal perçu. Quelle joie d'avoir quitté ce lycée !
J'ai passé un an en France, à Paris. Chez une correspondante charmante, qui pratiquait le chant elle aussi. Je lui ai parlé de mon intention d'aller à Harvard, malgré cette fameuse histoire d'alerte à la bombe et l'année suivante, d'agressions sexuelles. Qui avaient bien failli ruiner tout mes projets. Mes premiers accès de haine, je crois. Et les derniers, j'espère.
Je suis rentrée en Italie le jour où on m'apprenait que ma mère allait mourir. Cancer généralisé. Foudroyant. Et c'est aussi à ce moment là que j'ai perdu mon père. Pas physiquement, mais psychologiquement, il n'était plus là. Les deux mois qui suivirent la déclaration des médecins jusqu'à la mort de maman, c'est moi qui devait m'occuper de tout. Heureusement que je savais quoi faire pour l'entreprise de papa ! Il restait quand même suffisamment lucide pour m'aider de temps en temps. Mais par cet aléa de la vie, j'ai perdu 3 ans dans mon cursus ... Mais j'ai sauvé mon père en prenant soin de lui, de la maison, de son entreprise, son deuxième bébé. S'il l'avait aussi perdue, je pense que lui aussi aurait été définitivement perdu. Je suis plutôt fière de moi, j'ai accompli beaucoup durant ce laps de temps. Maintenant Papa a repris du poil de la bête, même s'il lui arrive toujours d'aller pleurer de longues heures sur la tombe de Maman ... Non, je ne dois pas pleurer. Je dois être forte, pour elle, car elle m'observe de là haut et elle ne souhaiterait pas que je pleure comme Papa. Ainsi, j'ai pu lancer réellement mon inscription à Harvard.
J'y suis. Je pénètre dans l'enceinte du campus. Mon coeur bat la chamade, tout mes membres tremblent, ma gorge se serre, mes yeux commencent à briller. Mon rêve vient de devenir réalité. Je suis à Harvard.
Déjà, quand Maman était enceinte, elle me jouait des airs de violon. Oh non, je ne m'en rappelle pas voyons, ça remonte à bien longtemps ! Non, c'est ce qu'elle m'a raconté, pour m'expliquer les raisons qui m'ont amenée à suivre ses cours. Je ressemble beaucoup à Maman. De Papa j'ai hérité un sourire à tomber, charmeur. De Maman je tiens ma chevelure blonde et mes yeux azurs. Elle me disait que si j'oubliais de respirer pendant quelques temps, je ressemblais à une poupée de porcelaine. Ca me faisait bien rire, quand j'avais cinq ou six ans.
Déjà, petite, j'étais un peu à l'écart du monde. Je passais mon temps à me documenter sur les étoiles tout en écoutant des morceaux de violon. Et puis j'ai commencé à chanter aussi, tout d'abord pendant que Maman coiffait mes longs cheveux. Nous chantions toutes les deux, et c'était vraiment très beau. J'avais déjà ce timbre particulier qui n'a fait que se développer durant ma croissance. Maman était très fière de la jeune fille que je devenais. J'étais très douée à l'école, aussi pour me récompenser de mes efforts, Papa et Maman m'emmenaient voir des Concertos de Violon. Je crois que jamais un cadeau ne me plaisait autant que ceux-ci.
Pendant ma scolarité en primaire, les autres enfants n'osaient pas m'approcher. Je n'ai jamais compris pourquoi, à cette époque. Maintenant, je me dis que je devais dégager une impression de ... D'anormalité. J'étais très, très calme, je ne courais jamais avec les autres, je ne criais pas. Je me contentais d'observer les autres élèves, et de fredonner des airs de musique classique. Peut-être avais-je un air hautain ? Je ne sais pas.
Quand je suis passée au cycle supérieur, mon comportement s'est mis à changer. Oh, pas en mal hein, j'ai toujours été une demoiselle très respectable et respectueuse. Non. je me sociabilisais. J'encourageais les autres à venir vers moi. Ah oui, parce que depuis toujours, je ne vais pas vers les autres, mais j'attends que les autres viennent à moi. Mettez ça sur le compte de l'orgueil ou ce que vous voulez, mais toujours est-il que si personne ne fait un pas dans ma direction, je préfère rester seule que de faire un pas vers quelqu'un. Je crois même que c'est vers la fin de cette période que j'ai connu mon premier petit copain. Non, nous n'avons rien fait, bande de pervers, on avait quatorze ans !
Puis vint le lycée. Parallèlement, j'intégrai une Chorale assez réputée, orientée médiéval. Heureusement pour moi, je n'étais pas seule dans ce nouveau monde. J'avais toute une ribambelle de copines qui étaient folles de ma voix et tout simplement de ma personne. Si si, je vous promets que c'est vrai. Je dégage une telle prestance, un tel magnétisme que si je vous attrape dans mon sillage, vous ne pouvez plus vous détacher de moi. A moins d'y être insensible, cela va de soi. Mes notes n'ont pas baissé d'un iota. J'étais première de ma classe, sans être la fayotte de service, car je n'en avais pas besoin. Tout les professeurs m'aimaient, sauf ... Le prof de sport. C'était réciproque d'ailleurs. Car c'était le seul cours dont je me contrefichais mais puissance un million. Et pourtant il était bien obligé de me mettre de bonnes notes, sans quoi il était clair que son jugement aurait été mal perçu. Quelle joie d'avoir quitté ce lycée !
J'ai passé un an en France, à Paris. Chez une correspondante charmante, qui pratiquait le chant elle aussi. Je lui ai parlé de mon intention d'aller à Harvard, malgré cette fameuse histoire d'alerte à la bombe et l'année suivante, d'agressions sexuelles. Qui avaient bien failli ruiner tout mes projets. Mes premiers accès de haine, je crois. Et les derniers, j'espère.
Je suis rentrée en Italie le jour où on m'apprenait que ma mère allait mourir. Cancer généralisé. Foudroyant. Et c'est aussi à ce moment là que j'ai perdu mon père. Pas physiquement, mais psychologiquement, il n'était plus là. Les deux mois qui suivirent la déclaration des médecins jusqu'à la mort de maman, c'est moi qui devait m'occuper de tout. Heureusement que je savais quoi faire pour l'entreprise de papa ! Il restait quand même suffisamment lucide pour m'aider de temps en temps. Mais par cet aléa de la vie, j'ai perdu 3 ans dans mon cursus ... Mais j'ai sauvé mon père en prenant soin de lui, de la maison, de son entreprise, son deuxième bébé. S'il l'avait aussi perdue, je pense que lui aussi aurait été définitivement perdu. Je suis plutôt fière de moi, j'ai accompli beaucoup durant ce laps de temps. Maintenant Papa a repris du poil de la bête, même s'il lui arrive toujours d'aller pleurer de longues heures sur la tombe de Maman ... Non, je ne dois pas pleurer. Je dois être forte, pour elle, car elle m'observe de là haut et elle ne souhaiterait pas que je pleure comme Papa. Ainsi, j'ai pu lancer réellement mon inscription à Harvard.
J'y suis. Je pénètre dans l'enceinte du campus. Mon coeur bat la chamade, tout mes membres tremblent, ma gorge se serre, mes yeux commencent à briller. Mon rêve vient de devenir réalité. Je suis à Harvard.
Mon pseudo internet est
Akasha
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Akasha et j'ai 26 ans. Je suis Française et j'ai connu le forum grâce à top-site. J'ai trouvé le design très joli, et le contexte me plaît assez, alors j'ai décidé de m'inscrire . J'utilise Anna 'Aya' Stefanowicz comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par DeviantArt. Je fais environ un certain nombre de mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.
Mot de la fin ? ▲ BAZINGA !
Je souhaite ▲
adhérer un flood d'intégration (?)
Mot de la fin ? ▲ BAZINGA !
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