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Mon nom est
cassidy bridgestone
C'est le quαtre septembre, mille neuf cent quαtre vingt-douze à dublin, que les membres de la famille bridgestone m'ont accueillie dans leurs bras, ils m'ont prénommée cαssidy. Je suis célibαtαire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis hétérosexuelle et j'en suis fière. Je viens d'une classe sociale moyenne. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études de communicαtion (informαtique) depuis cinq αns ans et travaille en parallèle de mes études en tant qu'αnimαtrice en centre de loisirs. Et pour terminer, je voudrais intégrer les students.
Tell me some more about you
STUDENTS.
Toi, tu ne corresponds à proprement dit, à aucune confrérie. Si pour certains l'appartenance à telle communauté est signe de suprématie, te concernant il en est évidemment, plus synonyme d'une perte improbable d'identité. Après tout, tu te fonds naturellement dans la masse et manifeste un désintérêt notoire envers toute confrérie telle qu'elle soit. Profondément hérétique aux coutumes élaborées de toute pièce par leur maison respective, tu privilégies ouvertement l'émancipation et l'indifférence extrême au risque intégré que de passer pour une individualiste agrée. Et puis, n'était-ce pas ce dont tu représentes, réellement ? Cette adolescente un brin étrange, subsistant continuellement, en marge de la société. Néanmoins, particulièrement, tolérante des autres et de leurs convictions, tu concèdes sans la moindre difficulté, aux préférences de chacun. Bien que tu ne pourrais supporter l'idée de toi-même appartenant à quelconque confrérie, tu n'irais foutrement jamais jusqu'à blâmer ceux qui en font partie. Faut dire que tu ne t'en sens pas davantage valorisée en t’évinçant toi-même du système, cependant, ta nécessité presque obsessionnelle d'indépendance te pousse catégoriquement à ne pas te calfeutrer dans une unique catégorie de personnes.
Toi, tu ne corresponds à proprement dit, à aucune confrérie. Si pour certains l'appartenance à telle communauté est signe de suprématie, te concernant il en est évidemment, plus synonyme d'une perte improbable d'identité. Après tout, tu te fonds naturellement dans la masse et manifeste un désintérêt notoire envers toute confrérie telle qu'elle soit. Profondément hérétique aux coutumes élaborées de toute pièce par leur maison respective, tu privilégies ouvertement l'émancipation et l'indifférence extrême au risque intégré que de passer pour une individualiste agrée. Et puis, n'était-ce pas ce dont tu représentes, réellement ? Cette adolescente un brin étrange, subsistant continuellement, en marge de la société. Néanmoins, particulièrement, tolérante des autres et de leurs convictions, tu concèdes sans la moindre difficulté, aux préférences de chacun. Bien que tu ne pourrais supporter l'idée de toi-même appartenant à quelconque confrérie, tu n'irais foutrement jamais jusqu'à blâmer ceux qui en font partie. Faut dire que tu ne t'en sens pas davantage valorisée en t’évinçant toi-même du système, cependant, ta nécessité presque obsessionnelle d'indépendance te pousse catégoriquement à ne pas te calfeutrer dans une unique catégorie de personnes.
APRÈS LA BOMBE.
Par chance, si nous pouvions nommer les choses ainsi, tu dois admettre combien le soulagement ne fut que plus intense lorsque tu assimilais vivement l'aubaine considérable que de ne pas avoir été sur les lieux, lors cette tourmente. Véritablement, tu prolongeais ton séjour à Dublin, un imprévu d'une semaine, t'ayant semble-t-il, épargné distinctement de cette innommable catastrophe. Néanmoins, il ne t'était pas inconcevable les conséquences de ce bouleversement par l'intermédiaire des journaux télévisés, se plaisant à ressasser les mêmes divagations d'une chaine à l'autre. Certainement ne serait-ce qu'absurde et mal venu que de prétendre à l'inverse, mais tu dois bien reconnaitre la totalité de ton appréhension, avant même ton retour sur les lieux. Sans omettre cette culpabilité improbable à l'égard des autres étudiants, victimes directes de cette tragédie. Et malgré toute la volonté du monde, tu ne pourras, assurément jamais appréhender un tel égoïsme, préférant définitivement ignorer, les raisons poussant un individu à agir, ainsi.
Par chance, si nous pouvions nommer les choses ainsi, tu dois admettre combien le soulagement ne fut que plus intense lorsque tu assimilais vivement l'aubaine considérable que de ne pas avoir été sur les lieux, lors cette tourmente. Véritablement, tu prolongeais ton séjour à Dublin, un imprévu d'une semaine, t'ayant semble-t-il, épargné distinctement de cette innommable catastrophe. Néanmoins, il ne t'était pas inconcevable les conséquences de ce bouleversement par l'intermédiaire des journaux télévisés, se plaisant à ressasser les mêmes divagations d'une chaine à l'autre. Certainement ne serait-ce qu'absurde et mal venu que de prétendre à l'inverse, mais tu dois bien reconnaitre la totalité de ton appréhension, avant même ton retour sur les lieux. Sans omettre cette culpabilité improbable à l'égard des autres étudiants, victimes directes de cette tragédie. Et malgré toute la volonté du monde, tu ne pourras, assurément jamais appréhender un tel égoïsme, préférant définitivement ignorer, les raisons poussant un individu à agir, ainsi.
APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES.
Était-ce un énième coup de chance, ou tout simplement le fruit du hasard ? Tu l'ignores, tout ce dont tu es certaine, est encore de ne pas avoir été victime de ces bourrasques incessantes. Bien qu'à proximité des lieux concernés, tu n'as guère appartenu à cette catégorie d'individus lamentablement brutalisés par ces immondices. Bien qu'ayant eu connaissance de ces agressions, tu as concédé à ne pas subsister dans l'appréhension, probablement as-tu même davantage persévéré dans ton imaginaire, pour ne pas avoir à constater ouvertement le précipice de ces derniers mois. Après tout, fallait-il réellement t'épouvanter de ces attaques ciblant délibérément les étudiantes ? N'ayant d'appartenance à aucune confrérie, de quoi devrais-tu faire les frais ? Toutefois, et bien qu'à l'aspect finement détaché de toute forme d'égarement, tu ne pouvais contenir cette psychose omniprésente qui rythmait ta solitude. Et puis, comment retracer cette sensation pour le moins étrange, si ce n'est absurde, que d'être parvenue à se dérober de justesse à cette méprisable prise d'otages. La bibliothèque, c'est l’emplacement même, dans lequel tu devais te trouver à l'instant où les circonstances n'ont été que plus extravagantes. Un empêchement de dernière minute en centre-ville, et te voilà une nouvelle fois émancipée par tant de connerie humaine -en si peu de temps remarquons-. Tu te remémores encore, ton visage blêmir instantanément, tant tes jambes ne te portèrent soudainement plus. Ton chocolat à peine happé, que tu te précipitais par conséquent en direction du campus, tentant difficilement d’accélérer la cadence, intérieurement horrifiée par cette morose découverte.
Était-ce un énième coup de chance, ou tout simplement le fruit du hasard ? Tu l'ignores, tout ce dont tu es certaine, est encore de ne pas avoir été victime de ces bourrasques incessantes. Bien qu'à proximité des lieux concernés, tu n'as guère appartenu à cette catégorie d'individus lamentablement brutalisés par ces immondices. Bien qu'ayant eu connaissance de ces agressions, tu as concédé à ne pas subsister dans l'appréhension, probablement as-tu même davantage persévéré dans ton imaginaire, pour ne pas avoir à constater ouvertement le précipice de ces derniers mois. Après tout, fallait-il réellement t'épouvanter de ces attaques ciblant délibérément les étudiantes ? N'ayant d'appartenance à aucune confrérie, de quoi devrais-tu faire les frais ? Toutefois, et bien qu'à l'aspect finement détaché de toute forme d'égarement, tu ne pouvais contenir cette psychose omniprésente qui rythmait ta solitude. Et puis, comment retracer cette sensation pour le moins étrange, si ce n'est absurde, que d'être parvenue à se dérober de justesse à cette méprisable prise d'otages. La bibliothèque, c'est l’emplacement même, dans lequel tu devais te trouver à l'instant où les circonstances n'ont été que plus extravagantes. Un empêchement de dernière minute en centre-ville, et te voilà une nouvelle fois émancipée par tant de connerie humaine -en si peu de temps remarquons-. Tu te remémores encore, ton visage blêmir instantanément, tant tes jambes ne te portèrent soudainement plus. Ton chocolat à peine happé, que tu te précipitais par conséquent en direction du campus, tentant difficilement d’accélérer la cadence, intérieurement horrifiée par cette morose découverte.
Mon pseudo internet est
treasure
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle treαsure (mαllαury) et j'ai vingt-deux αns. Je suis françαise et j'ai connu le forum grâce à je ne sαis plus. forum toujours αussi pαrfαit, alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise cαitlin stαsey comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par @wildheαrt. Je fais environ, tout dépend de l'αutre joueur, mots par RP et mon personnage est un personnαge inventé.
Mot de la fin ? ▲
Je souhaite ▲
adhérer un flood d'intégration (?)
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(Invité)