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Primaël Lévi Rae-Osbourne fiche; terminée C'est un 09 Octobre à Sacramento, que la famille Rae-Osbourne m'a accueilli dans ses bras et m'a prénommé Primaël Lévi. Je suis actuellement célibataire et, si vous voulez tout savoir, bisexuel, même si je dois avouer que je n'en suis pas très fier. Je viens d'une classe sociale aisée. J'ai décidé de participer au Summer Camp organisé par Harvard pendant l'été. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études d'Art (majeur) et de Sport (mineur) depuis quatre ans maintenant. Et pour terminer, je voudrais intégrer les Eliot House ou les Winthrop House. |
Études Depuis quatre ans maintenant, Prim est étudiant en Art et Sport. Sa filière Majeure, soit Art, est découpée en deux spécialités que sont le Théâtre et la Musique. Quant-à sa filière mineure, Sport, elle lui a permis d'intégrer l'équipe de Football du campus, où il occupe depuis deux ans le poste d'Halfback. Décidé à suivre les traces de sa mère et à devenir Comédien, Prim met tout en œuvre pour réussir ses études et sait par conséquent s'entourer des meilleurs pour arriver à ses fins. Moyennement populaire grâce à sa renommée au sein de l'équipe de Football ainsi qu'à ses petites chansonnettes visant à humilier les géants du Campus, notre ami n'en demeure pas moins connu et reconnu par les étudiants du fait de ses fréquentations pour le moins étonnantes. En effet, même s'il partage la tête d'affiche des beaux gosses footeux, la majeure partie de ses amis proches sont des geeks, des loosers, des étudiants qui nagent dans l'ombre des plus riches. Ce qui attise l'admiration de certain, comme le mépris d'autre. | Caractère Quand on ne connait pas Prim, on peut facilement penser que c'est un gars qui se fiche complètement du regard des autres. On l'idéalise beaucoup, et sa réputation de gentil gars bien sous tous les angles est un peu exagérée. Loin d'être un salaud de première, il n'en demeure pas moins un type avec son lot de défaut. Le premier est certainement son penchant un peu trop prononcé pour la bagarre. Impulsif et violent, il n'hésite pas à rentrer dans le tas si sa fierté viendrait à en prendre un coup. Orgueilleux ? Non. Disons juste qu'il met un point d'honneur à ce qu'on le respecte, et ce, malgré qu'il ne soit pas H24 entouré des élites d'Harvard. Sur ce sujet-ci, il se montre particulièrement cynique, voire exécrable. Il ne supporte pas les grands noms du campus. Jalousie, envie ? Quelque part, oui. Il a souvent été blâmé dans son adolescent, et pour le coup, rester dans la cours des petites notoriétés semble titiller sa frustration. Mais qu'importe, il n'en fait pas non plus une affaire d’État. Disons plutôt qu'il se plait à humilier ouvertement les fils ou filles à papa dès que l'occasion se présente. En outre, c'est quelqu'un d'honnête avec lui-même, à défaut de l'être avec les autres. Il sait ce qu'il vaut et le jugement des autres, si vidé de toute lucidité, ne l'atteint absolument pas. Et il se fera d'ailleurs un plaisir de le souligner. Enfin, si l'on devait citer sa plus grande qualité, ce serait sans doute sa spontanéité, ainsi que le fait qu'il n'a pas peur d'exprimer ses sentiments. S'il vous aime profondément, il vous l'avouera. Tout comme s'il ne peut pas vous voir en tableau, il se chargera de bien vous le faire comprendre. |
Everyone Has Their Own Story
Il n’était rien de plus que cette noirceur qui tapissait les murs de la demeure. Rien de plus que cette odeur amère qui embaumait le grenier. Il n’était pas plus présent que le vase de porcelaine qui habillait le coin de la cheminée. Ni plus remarquable que la rose rouge qui sommeillait sur sa commode. Il n’était que cette sinistre silhouette qui habitait les lieux. Que cette ombre vivace qui fuyait le jour. Il n’était que le fils de. Il n’était que l’enfant qui. Il n’était qu’un nom. Qu’une entité abstraite. Qu’un visage parmi tant d'autre. Qu’un corps sans vie. Il n’était que cette mélodie qui serpentait le long des couloirs. Que ce souffle qui chatouillait le papier peint. Que ces vieux mégots de cigarette qui croupissaient au fond de la cave. Il n’était que ce jeune adolescent appuyé contre la fenêtre de sa chambre. Il n’était que ce regard perdu dans le vide. Il n’était que cette pensée noire qui s’égarait dans son esprit. Il n’était que le reflet de lui-même. Le reflet de quelqu’un qui ne savait plus comment voir le monde. Ni comment le découvrir. Ni comment l’apprécier. Il ne faisait qu’être là. Statique. Inerte. Comme l’immense forêt qui se dressait devant ses prunelles livides. Comme la gigantesque fontaine qui prônait au beau milieu de la cour. Et il ne faisait que rêver. Rêver d’un ailleurs. Rêver d’un quelconque univers. D’une quelconque planète. Là où peut-être il pourrait s’échapper. Ne serait-ce que quelques secondes. Que quelques minutes. Jusqu’à ce que la réalité reprenne le dessus. Jusqu’à ce qu’elle le noie dans ses illusions. Jusqu’à ce qu’elle l’emporte dans son tourbillon. Jusqu’à ce qu’elle l’étouffe avec ses mensonges. Jusqu’à ce qu’elle lui redonne cet étrange goût de doute. D'incertitude.
Primaël Lévi Rae-Osbourne est né le 09 Octobre 1990 à Sacramento, capitale de l’État de Californie, aux États-Unis. Il est l'aîné d'une famille de deux enfants. Sa mère, Moyreen, d'origine Irlandaise, est une ancienne comédienne à succès de Broadway reconvertie aujourd'hui comme écrivaine. Son père, Tate Rae, mort durant l'été 2010, était natif de New-York et son actuel beau-gère, Karl Osbourne, compositeur à la notoriété grimpante, a toujours vécu à San Francisco. Prim tient son prénom de l’œuvre d'un poète Irlandais de la période Baroque, et son deuxième prénom, Lévi, fut le surnom d'un ami de sa mère, lui aussi comédien. Toute son enfance s'est déroulée à Sacramento. Il a été scolarisé aux écoles les plus prestigieuses des environs et s'est rapidement fait remarqué grâce à son talent pour la comédie. Durant l'été de ses 15 ans, sa famille a déménagé à New-York, où Prim a choisi de poursuivre ses études dans une école spécialisée dans l'art de la scène. Il s'est ensuite orienté vers une filière artistique dans le but de marcher sur les traces de ses parents. De même que grâce à l'appuie financier de sa mère et de son père, il a intégrer l'Université d'Harvard en 2008. En outre, il continue le football Américain (qu'il pratique depuis ses 11 ans), par le biais des clubs sportifs du Campus, ainsi que le violon (dont il a fait ses débuts vers l'âge de 13-14 ans). Il se passionne également pour le dessin (Banksy est son modèle), le cinéma (avec une affection toute particulière pour les films d'animation, "Là Haut" étant son favoris) et la musique classique (La Symphonie n°40 de Mozart est le morceau qu'il préfère, à ce jour, le plus).« J'ai cru, enfant, qu'en regardant le ciel pendant des heures, mes yeux deviendraient bleus. »
« Il y avait ma mère, ma mère et son sourire, ma mère et ses longs cheveux blonds, ma mère et son éternel regard inquiet. Il y avait mon père, mon père et ses idéaux révolutionnaires, son sens du devoir, et son humour décalé. Il y avait Sacramento, Sacramento et la petite villa où j'ai grandi. Avec sa piscine, son séjour immense, sa large cheminée, sa gigantesque bibliothèque, son parfum boisé, sa luminosité. Il y avait ma cousine, et sa frimousse attachante, son rire hystérique et ses innombrables poupées de porcelaine. Il y avait Maithias, le jardinier, et Roise, la femme de ménage. Il y avait les cours de dessin, les leçons de solfège, les premiers cours de chant. Il y avait les immenses forêts qui entouraient la ville. Il y avait l'océan, où l’on allait se baigner les étés. Il y avait les dîners de famille. Les affaires de mon père. Il y avait les parties de cache-cache. Les jeux de carte. Il y avait ma collection de timbre. De cailloux. De pièce. D'ouvrage ancien. Il y avait le cinéma, le théâtre, l'Opéra. Il y avait les premières amoureuses, les amis, les animaux de compagnie. Il y avait Lenny, le Jack Russel. Gobbles, le Rottweiler. Cuddle, le perroquet. Il y avait les bagarres à l'école, les colles, les bonnes notes, les mauvaises. Il y avait les matins ensoleillés, les soirées pluvieuses. Il y avait les colonies de vacance. Les auditions. Les rôles de comédie musicale. L'entrée au lycée. L'entrée à l'Université. Les premières fois. Les questions. (Un temps) Il y en avait des milliers, des rituels comme ça : Le réveil aux aurores ; le bisou du matin de ma mère ; le petit déjeuné en famille ; les beaux habits ; les cadeaux de fêtes ; les contes ; les histoires qui font peur ; Les souvenirs de mon père ; les romans de ma mère ; les visites de mes grands-parents ; les courses de vélos ; les surprises de mon parrain ; les lettres de mes oncles et de mes tantes ; les bouquets de fleurs ; les canicules ; les couchés de soleil ; la neige ; les nuits étoilées ; (Un temps) Et puis tout s'est arrêté. »
Prim parle couramment l'espagnol grâce à son père qui a vécu près de dix ans à Madrid. ๑ Il possède aussi quelques notions en allemand et en italien. ๑ Son plat favoris sont les lasagnes de sa mère , mais il est aussi très friand de mal-bouffe, tels que les kebab, pizza, mcdo, KFC etc. ๑ Il ne supporte pas l'odeur des cigarettes. Par contre, il consomme assez régulièrement du cannabis. ๑ Il boit peu d'alcool, excepté en soirée où là, il se lâche complètement. ๑ Il adule le chanteur (et acteur) Justin Timberlake. Ses groupes de rock fétiches sont les Beatles et les Rolling Stones. Il trouve Madonna et Nicki Minaj sexy. ๑ Il ne peut s'empêcher de fondre en larme devant un film émouvant. ๑ Il n'a jamais aimé lire. ๑ Il est capable de s'endormir n'importe où, et les transports ont tendance à vite l'emporter au pays des rêves. ๑ Il dit détester les animaux depuis que son chien, Lenny, est mort. ๑ Il ne sait pas cuisiner. ๑ Il déteste qu'on touche à ses cheveux. Sauf si c'est quelqu'un qu'il apprécie. ๑ Il chante toujours les musiques qui passe à la radio lorsqu'il est sous la douche. ๑ S'il pouvait remonter le temps, il aimerait pouvoir empêcher un adolescent de son ancien lycée de se faire tuer accidentellement par un autre élève. Il a en effet été témoin du drame et a donné les premiers secours aux côtés de son professeur de sport. ๑ Il se mord tout le temps la lèvre inférieure ou fait craquer ses phalanges. ๑ Il adore les boxers. Son préféré est un Calvin Klein blanc. ๑ Il est très affectueux et refuse rarement un câlin. ๑ Lorsqu'il était au collège, il adorait les mangas. ๑ Il est imbattable au circuit Arc-en-ciel à Mario Kart wii. ๑ Il est terrifié par les Montagnes Russes et refuse catégoriquement de s'en approcher. ๑ Il offre toujours la deuxième barre de Twix ou de Kinder Bueno à quelqu'un. ๑ Il aime les épinards, mais les carottes et les courgettes lui donne la nausée. ๑ Il est horriblement frileux et se couvre toujours trop. ๑ Il n'a jamais joué au Bowling et refuse d'y aller de peur de se foutre la honte. ๑ Il déteste prendre le bus car il estime que les systèmes de billet sont trop compliqués. ๑ Il s'imagine toujours des scénarios catastrophes les vendredi 13. ๑ Il est capable de repasser en boucle une musique durant toute une semaine, sans s'en lasser. ๑ Il a, pendant un temps, souffert d'une addiction au sexe. ๑ Il a déjà tourné quelques vidéos pornographiques pour public gay. ๑ Personne n'est -pour le moment du moins- au courant. ๑ Il collectionne les baskets (Converse, Adidas, Vans, Victoria, Feiyue). ๑ Il se fait passer pour le père d'un bébé qui est en réalité son petit frère. Le tout pour éviter à sa mère de faire la Une de la presse à scandale.
the face behind
↬ PSEUDO/PRÉNOM - THE WAVE. ↬ ÂGE - 17 ans. ↬ PAYS/RÉGIONS - France, Centre. ↬ OÙ AS-TU CONNU LE FORUM - Bazzart. ↬ TES IMPRESSIONS - ♥. ↬ CRÉDIT(S) - Tumblr, Livejournal. ↬ AVATAR - Hunter Parrish. ↬ SCÉNARIO OU PI? - PI. ↬ LE MOT DE LA FIN - Prout. (Oh et sinon, anciennement j'étais Tate Starkey). |
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