C'est le Quatre Mars 1992 à Londres, en Angleterre, que les membres de la famille Sanchez m'ont accueillie dans leurs bras, ils m'ont prénommée Adrianna et en second prénom Willow en souvenir de ma grand-mère mais j'ai toujours garder celui-ci où que je vais. Je suis célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis hétérosexuelle et j'en suis fiere. Je viens d'une classe sociale qui se considère comme un peu aisée. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études de technique en théâtre, je suis présentement en cinquième année depuis maintenant deux ans et travaille en parallèle de mes études en tant que serveuse dans un petit café de Boston. Et pour terminer, je voudrais intégrer les Lowell House ou les Cabot House.
Amoureuse de théâtre et de musique, Lowell est un choix très judicieux pour la jolie Sanchez. Disons-le, la jeune femme s'est toujours baignée dans le petit écran puisqu'à l'âge de deux ans c'est sa mère qui lui fit passé des auditions pour quelques annonces commerciaux en Angleterre. Depuis ce temps-là, Willow n'a pas chaumé est c'est pour cela que cette maison serait l'idéale afin de l'accueillir comme bon lui semble. Il faut se vendre encore plus c'est ça ? Bon très bien. Même si elle ne semble pas comme cela, la jolie brunette n'est pas du genre à parler à tout le monde ni même de se montrer au grand publique. C'est une femme soignée qui met tout son coeur dans ses études et qui ne dit jamais aucun gros mots en 23 ans d'existence. Ses parents lui ont toujours dit qu'elle peut aller en enfer si celle-ci décidait un jour de faire des choses qu'elle regretterait. Presque un rat de laboratoire mais dans le domaine de la musique et du théâtre, Willow s'adonne à une autre passion. Celle du chant. Malgré le fait que ses parents n'aient pas approuvé qu'elle puisse devenir chanteuse puisque cela ne rapporte pas beaucoup, la brunette s'adonne à ce petit passe-temps dans le Glee Club. C'est presque son endroit favori depuis que sa famille est en cavale aux États-Unis et lorsqu'elle ne souhaite pas rester dans son dortoir, elle chante pour se changer les idées. Depuis son arrivée à Harvard, la demoiselle n'a chercher aucun problème avec personne. Je crois que c'est tout pour aujourd'hui.
Disons-le, la nature m'a bien gâtée et pour ce faire même si je ne suis pas quelqu'un qui adore envoyer promener tout ce qu'elle voit dans son chemin je crois que le Cabot House serait le meilleur deuxième choix pour moi. Pourquoi ? Parce que j'adore la mode et surtout comme mon paternel est un riche producteur aux États-Unis, je sais comment suivre les dernières modes. Que ce soit Londoniennes ou bien partout dans le monde entier, j'adore pouvoir défiler dans mes temps libres quand j'en ai envie. Malgré le fait que je sois une jeune femme timide qui n'aime pas nécessairement se montrer envers tous le monde et que j'ai une passion pour la musique, les hommes ne résistent en aucun cas à mon charme. Depuis mon internat, j'ai légèrement changer sur mon style vestimentaire et j'ai un peu plus d'assurance que je ne l'aurais jamais cru possible avoir. Autre chose à savoir sur moi-même et pourquoi je devrais être dans le Cabot House ? Parce que malgré tout, je suis une femme de groupe et qui serait prête à tout pour rester dans une nouvelle famille.
Durant ce grand séisme, ce fut l'une des journées les plus noires de toute ma vie. C'est en cette même journée que j'ai perdue l'une de mes meilleures amies, Cassandre. Je fut aussi blessée à la jambe. Tout à commencer lorsque je devais me rendre à la bibliothèque en compagnie de ma meilleure amie et que nous avions le même travail à faire dans un délai des plus courts. Le bourdonnement des projectiles me rendirent donc sourde pour un court moment et ce fut lorsque je sentis ma jambe me faire atrocement mal que je vint à hurler de mes poumons. Voyant le sang contre celle-ci, l'étagère m'avait tombée sur la chair qui s'était ouverte. Sur le moment je paniquait mais je savais que je devais retrouver Cassandre à tout prix. C'est en me glissant contre la carpette que je la retrouvais en sang. Elle était dans un piteux état et la seule chose que je fut capable de faire était de la prendre dans mes bras (D'où elle mourut quelques minutes plus tard). Depuis ce jour, j'ai seulement l'impression de ne pas avoir bien réagit envers elle puisque si j'aurais appeler les secours, peut-être qu'elle serait toujours en vie et que nous serions plus unies que nous ne l'aurions imaginer. Crier quand tout le monde était par terre et sous le choc ? Sans doute une mauvaise idée mais pour ma part, je ne fais que me culpabiliser et de me détruire à petit feu.
Heureusement pour moi je n'étais pas présente durant les nombreuses agressions dans l'université. Bon on peut dire malheureusement puisque la cause pour laquelle je n'étudiais pas pendant ces quelques mois c'était pour l'unique raison que j'étais en cure de désintoxication. Avec ce qui s'était produit lors de la mort de Cassandre, je ne me sentais plus aussi bien dans mon corps que j'aurais pût l'être dans le passé. Commençant à consommer de l'alcool et à tomber dans une soudaine dépression, mes parents venaient donc à m'envoyer au Texas afin que je puisse me faire soigner dans les plus brefs délais. Mais j'en ai entendu parler aux nouvelles. Tous le monde en parlait dans mon internat et disons-le, j'espérais qu'aucun de mes proches ne soient impliqués dans cet autre accident tout aussi désastreux que le premier. Revenue dans le mois de Janvier par obligation de mes parents, je voyais que tout autour de moi, tout avait changer en un seul instant. Ces jeunes adultes qui marchaient sans aucun sourire tandis que d'autres pleuraient presque. C'était morbide, il n'y a aucun mot plus juste pour décrire ce que j'étais en train de vivre. Malheureusement, nous devions nous redresser et avancer malgré tout.
Les parents de Willow sont arrivés aux États-Unis de façon illégale puisque son paternel à détourné plusieurs millions de dollars de son entreprise jusqu'à son compte personnel. Comme celui-ci était un riche homme d'affaire très puissant, des experts en informatique ont pût les envoyés vers un autre pays sans que personne ne puisse s'en rendre compte. ► Niveau caractère, Willow est très timide envers tout le monde. N'haussant jamais le ton envers quiconque, la jolie brunette garde toute sa colère à l'intérieur d'elle sans vraiment montrer qu'elle n'est pas bien dans sa peau. ► Elle tenait sa meilleure amie dans ses bras lorsque cette dernière est décédée lors des bombardements dans l'université. ► Willow n'a pas l'air de cela mais c'est une passionnée de mode et de chanson. Elle est née sous les projecteurs et malgré le fait qu'elle soit populaire en son genre, la demoiselle n'aime pas être l'attraction de tous le monde. ► Depuis les événements passés, elle consulte souvent le psychologue de l'école afin de l'aider à ne pas replonger dans la dépression. ► Lors des agressions dans l'université, elle était plongée dans la drogue et l'alcool. Cela lui a valu plusieurs mois dans un centre de désintoxication afin de suivre une cure et depuis cela, Willow n'a plus consommé aucune goutte d'alcool. ► Elle à du mal à se faire des amis dans l'université. C'est grâce à son manque de confiance en elle que la demoiselle n'en fait qu'à sa tête. ► Le glee club lui apporte de nouvelles connaissances vis-à-vis les autres. ► Ricaneuse, on peut dire que c'est elle la folle de service lorsqu'elle embarque dans un sujet. Lors de soirées de sa maison, Willow n'hésite pas à se défouler et cela lui fait extrêmement de bien.
Mot de la fin ? ▲ Je vous aimes tous maintenant et si quelqu'un aimerait un lien avec mon personnage, n'hésitez pas à m'envoyer un message privé .
Je souhaite ▲
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► (II) Cassandre et moi-même venions toutes les deux de franchir le seuil de la porte que la jeune femme vint à prendre ma main et de marcher d'un pas décidé. « On s'en va où ?. » Dis-je d'une voix qui n'était sûre de rien. Ma meilleure amie vint à continuer ses pas décidés en face de tous le monde qui nous regardaient. Ayant les joues devenir rouges et les yeux baissés vers le planché, j'étais loin de regarder où je mettais les pieds surtout. « T'as pas entendu le professeur ? On n'a jusqu'à Jeudi pour terminer ce devoir sinon nous n'auront pas une bonne note. » Elle était hilarante. Malgré le fait d'être une élève studieuse et ce depuis toutes ces années que j'étais à Harvard, jamais la demoiselle n'a coulé un seul examen et c'était loin de se passer ainsi. Sans poser une seule question, je venais à m'approcher de la porte de la bibliothèque pour pénétré à l'intérieur. Un silence de mort vint à se faire sentir dans mes oreilles. « On devaient pas aller prendre un café tout à l'heure ?. » Dis-je en chuchotant. Cassandre ne me répondit même pas qu'elle me lâchait donc la main pour se rendre vers le fond du local. Haussant les épaules, je posais donc mon sac contre la table afin de sortir les cahiers nécessaires pour ce test surprise et de m'asseoir afin d'étudier. Je savais que mes parents le prendraient très mal que je puisse avoir une mauvaise note et surtout en ce début de session. Glissant l'une de mes mèches de cheveux derrière mon oreille, je mordis légèrement mon crayon pour lever le regard vers la direction qu'avait pris mon amie. Cela faisais donc maintenant dix minutes que je ne l'avais pas revue dans le décor. Un beau garçon l'avait sans doute accosté. Décidant de replonger mes pensées dans ce bouquin, voilà qu'il y manquait une page. « Ah, c'est pas vrai. » Sans m'en rendre compte, j'avais trop parler fort que plusieurs me dévisageaient encore ici. C'était vraiment pas ma journée, pensais-je. Me redressant de ma chaise en prenant soin de ne faire aucun bruit, je fermais le livre pour me rendre vers l'allée et d'en prendre un nouveau. Soudain, un bruit vint à se faire entendre et c'était comme si un tremblement de terre vint à montrer le bout de son nez. L'étagère vint à me tomber contre la jambe. Hurlant de douleur, je tremblais comme une feuille. « Aidez moi. » Soufflais-je. Des cris, des pleurs... Les étudiants couraient dans tous les sens tandis que d'autres étaient gravement blessés. C'était comme si j'étais dans un film d'horreur. « Cass... Cassandre ! Où tu es !. » Tentant de m'extirper de là, je parvient donc de sortir ma jambe jusqu'à ce que je vit le sang par terre. Tentant de me ressaisir, je glissais sur la carpette pour chercher ma meilleure amie des yeux. « CASSANDRE !. » Avec la poussière, je ne voyais rien mis à part une ombre qui se trouvait au loin. Reconnaissant ses vêtements, je réussi à me lever pour sautiller jusqu'à elle et de me laisser tomber à ses pieds. Elle était dans un état si désastreux que j'avais envie de vomir. Les larmes vinrent donc à rouler sur mes joues et je parvient à la prendre dans mes bras. « Je suis là... Tout vas bien aller Cass... On va s'en sortir. » Même si je perdais beaucoup de sang, je tentais tant bien que mal de la rassurer. « Je vais mourir Willow. » Ce fut les seuls mots qu'elle trouvait à me dire. Me mordillant la lèvre, je caressais ses cheveux. « Non tu vas pas mourir, il faut que tu gardes les yeux ouverts. » Soudain, un sourire vint à se montrer sur son visage et j'en fis de même. Tournant la tête d'un bord et de l'autre, je tentais de voir quelqu'un sur mon passage et malheureusement, j'avais l'impression d'être avec que des morts. « Ils... Ils vont venir nous chercher et... » Lorsque je parlais et tournai la tête, Cassandre ne respirait plus. « Cass... Réveille toi ! Non me laisse pas seule, pas maintenant tu peux pas mourir ! » Lui tapotant le visage, elle n'avait aucune réaction. Pleurant de plus bel, un policier vint à faire son entrée.
► (III) Voilà que plusieurs mois se sont passés, je n'étais plus totalement moi-même. L'élève studieuse que j'étais s'était comme dissipée puisque sous les menaces de Ronnie du fait que j'ai été incapable de sauver mon amie lors de l'accident de la bombe, il m'en voulait. Marchant dans la rue, je m'approchais du point de rencontre pour mon dealer et moi-même. « C'est toi Willow Sanchez ?. » Tournant la tête rapidement vers la voix de cet homme, je hochais la tête sans vraiment dire un mot. Il pouvait voir la détresse qui régnais dans mon regard. Il glissait donc sa main dans la poche de son manteau noir et de balayer le coin des yeux pour voir si il n'y avait pas un gardien qui passait sur le parc de Harvard. Me tendant le sachet sous les yeux, je le lui pris en donnant la liasse de dollars. « Ça sera tout, merci. » Dis-je sans le moindre regard pour me reculer et marcher dans une direction tout aussi inverse que la sienne. Lorsque je vint à sortir du sentier, une ombre qui ne m'était pas totalement inconnue venait à se pointer. « Willow ? Mais qu'est-ce que tu fou ici. » Mon frère venait donc à poser son manteau contre mes épaules. Oliver avait toujours été aussi protecteur avec moi et ce même si je n'avais pas besoin de protection. Bien sûr, il essayait d'être meilleur que notre père dans ce genre de situation. « J'ai bien le droit de me promener. » Le voyant croiser les bras, il arquait un sourcil. « Même à deux heures du matin ? Tu sais qu'on ne peut pas partir de notre dortoir ?. » Poussant un soupir, je le contournais donc pour continuer à marcher quand sa main vint à m'empêcher d'avancer. « Bon tu vas venir avec moi Willow, t'es pas comme d'habitude. » Retirant sa main de mon bras, je lui jetais donc son manteau en pleine figure et de lui hurler. « Non ! Je suis plus une enfant comme dans le temps où nous étions à Londres ! J'ai pas besoin de ton aide et je n'en aurai jamais besoin. » Commençant à courir vers le dortoir, je fermais la porte sur mon chemin. Mon coeur battait si vite que je savais que c'était dût au manque de drogue dans le corps. Cassandre était morte et elle ne reviendrais jamais, j'en était consciente. Malheureusement, je n'étais plus moi-même. Cela durait des mois et même des années. Même si je réussissais tous mes cours haut la main, je ne m'adonnait à aucun passe-temps jusqu'à ce que je fis une overdose et que cela fut Oliver qui me trouvait sur le plancher. Mes parents prirent donc la décision de m'apporter dans un internat, là où je pourrai changer mes habitudes et de ne plus consommer la moindre goutte d'alcool ou prendre aucun sachet de drogue. « C'est débile ici, pourquoi les parents m'ont fait ça. » Oliver pris place en face de moi. La petite chambre qui me servait de lit douillait n'avait l'air de rien à comparer à mon dortoir à l'université. « Arrête, ils ont fait ça pour ton bien. » Bougeant mes doigts face à la drogue que je n'avais pas consommer depuis plusieurs semaines, j'avais l'impression que j'allais exploser. « Je vais mourir ici. » Mon frère soupirait avant de se lever et de me prendre dans ses bras. Restant en face de la fenêtre, j'avais hâte de partir de cet endroit où tous ces toxicomanes se trouvaient. Je voulais reprendre mes études, revoir mes amis et même sortir avec ceux-ci. « Tu vas voir, tout vas bien aller. Tu es plus forte que cela. » C'étais comme si cette phrase prit tout son sens. J'avais l'impression de me réveiller après une longue sieste. C'est en deux mois que j'étais sur pied et que grâce aux éducateurs, je ne pourrai prendre aucune goutte de substances illicites. J'avais aussi vue aux nouvelles les agressions qui étaient survenues à Harvard et cela me rappelait beaucoup cette bombe mais grâce à mes sessions avec le psychologue de l'école, je revint comme avant... Du moins, je l'espère.