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Mon nom est
Baby Cerise Dewith
C'est le 15/28/1991 à Seattle, que les membres de la famille Dewith m'ont accueilli(e) dans leurs bras, ils m'ont prénommé(e) Baby. Je suis Célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis bisexuelle et j'en suis fier(e). Je viens d'une classe sociale riche. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études de Arts Plastiques/Architecture depuis 4 années ans et travaille en parallèle de mes études en tant que tatoueuse (facultatif). Et pour terminer, je voudrais intégrer les Lowell House ou les Mather House.
Tell me some more about you
LOWELL.
Artiste, art, passion, tout est dit. Baby passe son temps à dessiner, en fait c’est le seul moyen d’expression qu’elle a trouvé jusque maintenant. Elle dessine un peu de tout mais surtout de l’abstrait qui reflète son état actuel. Elle travaille également dans un salon de tatouage où elle propose ses œuvres aux clients. Le dessin est devenue plus qu’une passion, c’est également une thérapie.
Artiste, art, passion, tout est dit. Baby passe son temps à dessiner, en fait c’est le seul moyen d’expression qu’elle a trouvé jusque maintenant. Elle dessine un peu de tout mais surtout de l’abstrait qui reflète son état actuel. Elle travaille également dans un salon de tatouage où elle propose ses œuvres aux clients. Le dessin est devenue plus qu’une passion, c’est également une thérapie.
MATHER.
Baby pourrait très bien aussi rejoindre cette confrérie. Pour elle, la vie est un jeu où tout le monde autour d’elle sont des pions. Elle aime se rendre au soirée pour picoler et fumer, elle aime s’amuser et se retrouver dans un état lamentable, elle aime profiter de la vie – du moins pour elle. Elle est de nature extravagante et pas timide du tout, elle aime se mettre en avant et fera tout pour qu’on la remarque.
Baby pourrait très bien aussi rejoindre cette confrérie. Pour elle, la vie est un jeu où tout le monde autour d’elle sont des pions. Elle aime se rendre au soirée pour picoler et fumer, elle aime s’amuser et se retrouver dans un état lamentable, elle aime profiter de la vie – du moins pour elle. Elle est de nature extravagante et pas timide du tout, elle aime se mettre en avant et fera tout pour qu’on la remarque.
APRÈS LA BOMBE.
Je ne sais plus trop ce qui s’est passé, il faut dire que c’est encore flou pour moi et que personnellement je n’ai pas envie d’y penser et encore moins de me le rappeler. J’ai perdu une amie dans ce drame, elle qui était devenue mon pilier, mon soutien au sein de l’université. Il m’a fallu beaucoup de temps pour que je fasse mon deuil et surtout que j’accepte la situation, je me suis toujours sentie très coupable car je lui avais demandé de me rejoindre à la bibliothèque. Elle n’est jamais venue.
Pour ma part, j’ai été pas mal amochée, surtout des contusions, des blessures superficielles mais je n’ai pas été très belle pendant un certain temps, il a été difficile pour moi d’accepter l’image que je voyais dans le miroir. Autant physiquement que psychologiquement, j’étais devenue une loque.
Je ne sais plus trop ce qui s’est passé, il faut dire que c’est encore flou pour moi et que personnellement je n’ai pas envie d’y penser et encore moins de me le rappeler. J’ai perdu une amie dans ce drame, elle qui était devenue mon pilier, mon soutien au sein de l’université. Il m’a fallu beaucoup de temps pour que je fasse mon deuil et surtout que j’accepte la situation, je me suis toujours sentie très coupable car je lui avais demandé de me rejoindre à la bibliothèque. Elle n’est jamais venue.
Pour ma part, j’ai été pas mal amochée, surtout des contusions, des blessures superficielles mais je n’ai pas été très belle pendant un certain temps, il a été difficile pour moi d’accepter l’image que je voyais dans le miroir. Autant physiquement que psychologiquement, j’étais devenue une loque.
APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES.
Je n’attendais qu’une chose, qu’ils viennent à moi. Sincèrement, j’avais envie de me défendre et de leurs foutres la raclée qu’ils auraient dû avoir. Les maisons ont fermés, je n’avais pas d’endroit où aller mais finalement j’ai été hébergée chez une amie de ma mère, bon c’était un peu nulle comme situation car je devais me faire passer pour la jolie jeune fille polie des Dewith. Je ressentais de la compassion pour ses filles agressées que j’ai pu croiser plusieurs fois sur le campus et je ressentais tellement de rage envers ces agresseurs …
Je n’attendais qu’une chose, qu’ils viennent à moi. Sincèrement, j’avais envie de me défendre et de leurs foutres la raclée qu’ils auraient dû avoir. Les maisons ont fermés, je n’avais pas d’endroit où aller mais finalement j’ai été hébergée chez une amie de ma mère, bon c’était un peu nulle comme situation car je devais me faire passer pour la jolie jeune fille polie des Dewith. Je ressentais de la compassion pour ses filles agressées que j’ai pu croiser plusieurs fois sur le campus et je ressentais tellement de rage envers ces agresseurs …
Mon pseudo internet est
Pamplemousse
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Pamplemousse et j'ai 21 ans. Je suis Américaine et j'ai connu le forum grâce à autre. Il est super alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Amanda Hendrick comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par Bazzart. Je fais environ 600 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.
Mot de la fin ? ▲ :excited:
Je souhaite ▲ (retire la balise le symbole et sa couleur qui ne correspond pas)
adhérer un flood d'intégration (?)
Mot de la fin ? ▲ :excited:
Je souhaite ▲ (retire la balise le symbole et sa couleur qui ne correspond pas)
adhérer un flood d'intégration (?)
It's all about...
once upon a time !
Tu es bien sûr de vouloir faire ça ? La tension est palpable. Tu hésites, tu réfléchis, tu m’as juste aperçu et ton cœur est sorti de ta poitrine. Tu m’as juste aperçu et pourtant, je suis devenue ton monde, ton vie. Oui … Je, je ne pourrais pas … Tu n’arrives pas à mettre des mots sur ce que tu ressens, tu te sens prise au piège, tu as peur de regretter qu’importe la décision que tu es en train de prendre. Tu baisses ton regard, l’assistante sociale hoche la tête. Un geste de compréhension mélangé sûrement à la déception. Il ne dit rien, sort de la chambre. Ton regard se perd par la vitre de l’hôpital, étage maternité.
Regarde Preston, regarde comme elle est belle !Tu es grande, avec des jambes interminables, belles et fines, des longs cheveux blonds, des yeux couleurs jades. Tu ne me ressembles pas, tu incarnes la beauté. Ta main part à la rencontre de la mienne, si petite, tu me tiens comme si tu tenais un trésor, quelque chose de précieux. Ton regard est déjà remplit d’amour, je ne suis pas sortie de ton ventre et pourtant, dans ta tête, je suis déjà ta fille. Toi, je te regarde avec des yeux ronds comme des billes, tu as du charisme, tu es grands baraqués, habillé de ton petit polo qui pue l’argent, il ne manque plus que ton club de golf. Mais tu me regardes tendrement, comme une si j’étais la prunelle de tes yeux.
Baby, tes copains sont arrivés mon cœur. Je dévale les escaliers à toutes enjambées. Toute excitée, aujourd’hui j’ai 5 ans, tu as dit que j’allais avoir de belles surprises si j’étais sage, alors pour une fois, j’ai été sage. J’arrive dans le hall de notre grande maison, a défaut d’avoir une mère qui ne savait pas s’occuper de moi j’ai eu une famille bien trop aimante et surtout, très riche. Le salon a été joliment décoré, des ballons partout, des banderoles, une piniata, une avalanche de cadeaux se trouvent dans un coin. Mes longs cheveux bruns valsent dans le vent au rythme de mes pas, je débarque dans le jardin et cris de joie en les voyant tous. Oh maman, merci. Sa main se pose sur mon épaule, comme une caresse. Ses lèvres effleurent mon front, sa main se dépose dans mon dos et elle me pousse doucement vers la pelouse. Va donc, ton frère va bientôt arriver, papa est partit le chercher à son cours de sport. Mon frère, il a un an en plus que moi. Mes parents ont essayé pendant des années d’avoir un enfant, ils se sont donc tournés vers l’adoption. Quand ils ont commencé les démarches, elle a appris qu’elle était enceinte, le bonheur, la joie. Lui et moi, nous avons une relation très fusionnelle, même de trop. Nous exigeons de dormir dans la même chambre, il est très protecteur envers moi.
Preston, je ne pense pas qu’il faut lui dire, en tout cas, pas maintenant. Elle n’est pas prête à entendre ça. J’ai huit ans, je ne trouve pas le sommeil. Dans les escaliers en marbre de notre grande maison, je me suis posée. Je vois papa et maman parler dans l’encadrement de la porte. Je sais très bien que je suis au cœur de la conversation. Enfin chérie, il est de notre devoir. Nous avions dit que cette situation ne sera pas un secret pour elle. C’est important pour son équilibre … Oui, tu as raison, mais comment faire ? Mets-toi à sa place, j’ai tellement peur qu’elle nous déteste.. Nous irons demain, manger à l’extérieur tous les trois et nous lui dirons, que tu ne l’as pas portée dans ton ventre mais que nous sommes tout de même ses parents et … Le monde s’écroule. Je n’ai plus jamais été la même. Juste l’impression que ma vie a été bâtie sur un mensonge, une farce.
Suite à cette annonce, je m’étais toutes les différences qui nous séparaient en avant. Ils étaient blonds, j’étais brune, ils avaient les yeux foncés, j’avais les yeux clairs, ils étaient grand, j’étais petite, ils avaient de la grâce, je suis brusque, ils aimaient le sport, je déteste ça. Au fils des années, je me suis sentie comme un petit canard noirs, leur reprochant de m’avoir enlevé à ma mère, leur répondant, s les repoussants. Je n’acceptais plus que ma mère vienne me dire au revoir le soir, je restais cloîtrée dans ma chambre, à dessiner, dessiner ma vie, ma douleur. J’avais l’impression d’être inexistante, j’ai été abandonnée par une mère qui ne m’aimait pas, je ne comprenais pas comme c’est possible de ne pas aimer un enfant. J’ai fait des recherches, comme ça, par curiosité, mais elles n’ont menés à rien. J’avais l’impression que j’étais une bombe, qui faisait tic-tac, prête à exploser, prête à tout casser.
Les années passent, je me trouve une bande d’amis, comme ça. Je ne respecte pas le couvre-feu, je suis arrogante, je les envois tous chier, je les enmerde. La seule personne qui peut m’apaiser c’est mon frère, enfin mon frère. Je me sens attirée comme un aimant, d’une relation fraternelle je passe à quelque chose de complètement inconnu, interdit. On se taquine, on se cherche, je respire son odeur, m’en imprègne. Je suis avide de ses lèvres, je suis avide de lui.
Je sors, j’enchaîne les mecs assez tôt, je veux leur faire payer, je veux leur montrer que je ne suis pas faite pour une belle petite vie parfaite, une vie de mensonge. Je bois, je passe la nuit dehors, je fume, je rentre complètement stone à la maison, je veux rien faire de ma vie, je dessine. Je supporte plus.
Je dois m’éloigner, sortir de cette relation, sortir de tout ça. Université d’Harvard, pourquoi pas. J’ai beau être une rebelle, je travaille bien à l’école et mes notes sont plus qu’excellentes. Je suis prise, je choisis art plastique, le dessin. Je trouve un petit boulot, tatoueuse dans un salon du coin, je propose mes œuvres, abstraite, expressive. Je sais pas parler, j’sais pas mettre des mots sur mes maux, c’est mon seul moyen d’expression.
Les mecs, les filles, j’les prends, je les utilise puis dès que les sentiments s’installent, je les jette. Autodestructrice dans l’âme. Déchéance.
Sur le campus, j’enchaîne les soirées, l’alcool coule à flot, les joints, le sexe. Une seule amie, que j’ai perdu lors de la bombe, un décès, une perte, encore un abandon. Mon cœur saigne, j’ai dû mal à m’en remettre, mon pilier. L’impression d’être retournée au point de départ, une loque, plus de repère, une fille complètement paumée.
Regarde Preston, regarde comme elle est belle !Tu es grande, avec des jambes interminables, belles et fines, des longs cheveux blonds, des yeux couleurs jades. Tu ne me ressembles pas, tu incarnes la beauté. Ta main part à la rencontre de la mienne, si petite, tu me tiens comme si tu tenais un trésor, quelque chose de précieux. Ton regard est déjà remplit d’amour, je ne suis pas sortie de ton ventre et pourtant, dans ta tête, je suis déjà ta fille. Toi, je te regarde avec des yeux ronds comme des billes, tu as du charisme, tu es grands baraqués, habillé de ton petit polo qui pue l’argent, il ne manque plus que ton club de golf. Mais tu me regardes tendrement, comme une si j’étais la prunelle de tes yeux.
Baby, tes copains sont arrivés mon cœur. Je dévale les escaliers à toutes enjambées. Toute excitée, aujourd’hui j’ai 5 ans, tu as dit que j’allais avoir de belles surprises si j’étais sage, alors pour une fois, j’ai été sage. J’arrive dans le hall de notre grande maison, a défaut d’avoir une mère qui ne savait pas s’occuper de moi j’ai eu une famille bien trop aimante et surtout, très riche. Le salon a été joliment décoré, des ballons partout, des banderoles, une piniata, une avalanche de cadeaux se trouvent dans un coin. Mes longs cheveux bruns valsent dans le vent au rythme de mes pas, je débarque dans le jardin et cris de joie en les voyant tous. Oh maman, merci. Sa main se pose sur mon épaule, comme une caresse. Ses lèvres effleurent mon front, sa main se dépose dans mon dos et elle me pousse doucement vers la pelouse. Va donc, ton frère va bientôt arriver, papa est partit le chercher à son cours de sport. Mon frère, il a un an en plus que moi. Mes parents ont essayé pendant des années d’avoir un enfant, ils se sont donc tournés vers l’adoption. Quand ils ont commencé les démarches, elle a appris qu’elle était enceinte, le bonheur, la joie. Lui et moi, nous avons une relation très fusionnelle, même de trop. Nous exigeons de dormir dans la même chambre, il est très protecteur envers moi.
Preston, je ne pense pas qu’il faut lui dire, en tout cas, pas maintenant. Elle n’est pas prête à entendre ça. J’ai huit ans, je ne trouve pas le sommeil. Dans les escaliers en marbre de notre grande maison, je me suis posée. Je vois papa et maman parler dans l’encadrement de la porte. Je sais très bien que je suis au cœur de la conversation. Enfin chérie, il est de notre devoir. Nous avions dit que cette situation ne sera pas un secret pour elle. C’est important pour son équilibre … Oui, tu as raison, mais comment faire ? Mets-toi à sa place, j’ai tellement peur qu’elle nous déteste.. Nous irons demain, manger à l’extérieur tous les trois et nous lui dirons, que tu ne l’as pas portée dans ton ventre mais que nous sommes tout de même ses parents et … Le monde s’écroule. Je n’ai plus jamais été la même. Juste l’impression que ma vie a été bâtie sur un mensonge, une farce.
Suite à cette annonce, je m’étais toutes les différences qui nous séparaient en avant. Ils étaient blonds, j’étais brune, ils avaient les yeux foncés, j’avais les yeux clairs, ils étaient grand, j’étais petite, ils avaient de la grâce, je suis brusque, ils aimaient le sport, je déteste ça. Au fils des années, je me suis sentie comme un petit canard noirs, leur reprochant de m’avoir enlevé à ma mère, leur répondant, s les repoussants. Je n’acceptais plus que ma mère vienne me dire au revoir le soir, je restais cloîtrée dans ma chambre, à dessiner, dessiner ma vie, ma douleur. J’avais l’impression d’être inexistante, j’ai été abandonnée par une mère qui ne m’aimait pas, je ne comprenais pas comme c’est possible de ne pas aimer un enfant. J’ai fait des recherches, comme ça, par curiosité, mais elles n’ont menés à rien. J’avais l’impression que j’étais une bombe, qui faisait tic-tac, prête à exploser, prête à tout casser.
Les années passent, je me trouve une bande d’amis, comme ça. Je ne respecte pas le couvre-feu, je suis arrogante, je les envois tous chier, je les enmerde. La seule personne qui peut m’apaiser c’est mon frère, enfin mon frère. Je me sens attirée comme un aimant, d’une relation fraternelle je passe à quelque chose de complètement inconnu, interdit. On se taquine, on se cherche, je respire son odeur, m’en imprègne. Je suis avide de ses lèvres, je suis avide de lui.
Je sors, j’enchaîne les mecs assez tôt, je veux leur faire payer, je veux leur montrer que je ne suis pas faite pour une belle petite vie parfaite, une vie de mensonge. Je bois, je passe la nuit dehors, je fume, je rentre complètement stone à la maison, je veux rien faire de ma vie, je dessine. Je supporte plus.
Je dois m’éloigner, sortir de cette relation, sortir de tout ça. Université d’Harvard, pourquoi pas. J’ai beau être une rebelle, je travaille bien à l’école et mes notes sont plus qu’excellentes. Je suis prise, je choisis art plastique, le dessin. Je trouve un petit boulot, tatoueuse dans un salon du coin, je propose mes œuvres, abstraite, expressive. Je sais pas parler, j’sais pas mettre des mots sur mes maux, c’est mon seul moyen d’expression.
Les mecs, les filles, j’les prends, je les utilise puis dès que les sentiments s’installent, je les jette. Autodestructrice dans l’âme. Déchéance.
Sur le campus, j’enchaîne les soirées, l’alcool coule à flot, les joints, le sexe. Une seule amie, que j’ai perdu lors de la bombe, un décès, une perte, encore un abandon. Mon cœur saigne, j’ai dû mal à m’en remettre, mon pilier. L’impression d’être retournée au point de départ, une loque, plus de repère, une fille complètement paumée.
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