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Mon nom est
Dayne Nelson
C'est le 18 février 1991 à New York, que les membres de la famille Nelson m'ont accueilli(e) dans leurs bras, ils m'ont prénommé Dayne Alexander. Je suis célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis hétérosexuel et j'en suis fier. Je viens d'une classe sociale tres aisée. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études de médecine depuis quatre ans et ne travaille pas en parallèle de mes études. Et pour terminer, je voudrais intégrer les Eliot House ou les Winthrop House.
Tell me some more about you
ELIOT HOUSE
L'indifférence des gens, tres peu pour Dayne. Celui-ci, en tant que fils de aimant profiter des avantages de son titre, n'a jamais connu l'indifférence publique. Cela semble donc normal de prime abord que ce choix fut le premier mis en avant par le jeune étudiant. Mais c'est surtout un interet beaucoup plus historique qui a poussé le jeune homme à pencher vers cette maison en premier. Son très cher père, Andrew Nelson, l'a lui aussi fréquenté lors de son passage remarqué à Harvard. Cela aurait été donc des plus compromettant si le jeune héritier n'avait pas pu l'intégrer également. Au premier regard, Dayne semble être l'incarnation parfaite d'un membre de l'Eliot House. Son compte en banque, tout droit rempli par celui de ses parents, semble être encore mieux rempli que la corne d'abondance et comme si cela ne suffisait pas, la renommée de son nom de famille n'est plus à faire. Aussi loin que l'on peut remonter dans l'histoireaméricaine, on trouvera toujours une trace des Nelson. De comment ils ont construit un empire en partant d'une simple auberge familiale, au conglomérat financier aujourd'hui regroupant hotels, resorts, casino mais également sociétés de construction et autres. Dayne ne fait pas seulement partie du 1%, il appartient au 0,01 de la classe supérieure, et il n'est pas peu fier de cette distinction. Publiquement, le jeune homme offre une image correspondant à son rang : égoïste, snob, mais suivant les directives de son père puisqu'il sait que même s'il devient médecin, il sera amené un jour à être au conseil d'administration de la multinationale. Par contre, lorsque la lumière des caméras s'éteint, le jeune homme est un être totalement différent : manipulateur, malin, joueur, presque maniaque, Dayne maitrise cependant l'art de profiter de ces talents personnels sans jamais laisser de trace, ne créant que des rumeurs peu vérifiables.
L'indifférence des gens, tres peu pour Dayne. Celui-ci, en tant que fils de aimant profiter des avantages de son titre, n'a jamais connu l'indifférence publique. Cela semble donc normal de prime abord que ce choix fut le premier mis en avant par le jeune étudiant. Mais c'est surtout un interet beaucoup plus historique qui a poussé le jeune homme à pencher vers cette maison en premier. Son très cher père, Andrew Nelson, l'a lui aussi fréquenté lors de son passage remarqué à Harvard. Cela aurait été donc des plus compromettant si le jeune héritier n'avait pas pu l'intégrer également. Au premier regard, Dayne semble être l'incarnation parfaite d'un membre de l'Eliot House. Son compte en banque, tout droit rempli par celui de ses parents, semble être encore mieux rempli que la corne d'abondance et comme si cela ne suffisait pas, la renommée de son nom de famille n'est plus à faire. Aussi loin que l'on peut remonter dans l'histoireaméricaine, on trouvera toujours une trace des Nelson. De comment ils ont construit un empire en partant d'une simple auberge familiale, au conglomérat financier aujourd'hui regroupant hotels, resorts, casino mais également sociétés de construction et autres. Dayne ne fait pas seulement partie du 1%, il appartient au 0,01 de la classe supérieure, et il n'est pas peu fier de cette distinction. Publiquement, le jeune homme offre une image correspondant à son rang : égoïste, snob, mais suivant les directives de son père puisqu'il sait que même s'il devient médecin, il sera amené un jour à être au conseil d'administration de la multinationale. Par contre, lorsque la lumière des caméras s'éteint, le jeune homme est un être totalement différent : manipulateur, malin, joueur, presque maniaque, Dayne maitrise cependant l'art de profiter de ces talents personnels sans jamais laisser de trace, ne créant que des rumeurs peu vérifiables.
Winthrop House
C'est notamment le charisme et la personnalité du jeune homme qui l'a fait demandé cette fraternité dans le cas où l'Eliot House le refuserait. En effet, même si Dayne s'avère être un jeune homme au fond tres peu respectable, il n'empêche que la gente féminine semble avoir un véritable gout pour le jeune américain. Serait-ce à cause de son charisme? De ce regard transperçant? Ou bien de ces bons mots, de cette répartie à toute épreuve qui pourrait faire croire que Dayne puisse toujours arriver à ses fins, si sombres soient elles? Malgré toute cette noirceur, il n'empêche que le jeune homme se retrouve dans l'univers de solidarité et de camaraderie des Winthrops. Même s'il est tout sauf un enfant de coeur, Dayne a su se lier d'amitié avec certaines personnes, celles-ci n'ayant pas eut peur de son coté plutot manipulateur. La renommée de son nom de famille, son compte en banque et ses facultés de manipulateurs déguisés font de Dayne un jeune homme qui a tout pour plaire, et qui pourrait donc intégrer les Winthrops.
C'est notamment le charisme et la personnalité du jeune homme qui l'a fait demandé cette fraternité dans le cas où l'Eliot House le refuserait. En effet, même si Dayne s'avère être un jeune homme au fond tres peu respectable, il n'empêche que la gente féminine semble avoir un véritable gout pour le jeune américain. Serait-ce à cause de son charisme? De ce regard transperçant? Ou bien de ces bons mots, de cette répartie à toute épreuve qui pourrait faire croire que Dayne puisse toujours arriver à ses fins, si sombres soient elles? Malgré toute cette noirceur, il n'empêche que le jeune homme se retrouve dans l'univers de solidarité et de camaraderie des Winthrops. Même s'il est tout sauf un enfant de coeur, Dayne a su se lier d'amitié avec certaines personnes, celles-ci n'ayant pas eut peur de son coté plutot manipulateur. La renommée de son nom de famille, son compte en banque et ses facultés de manipulateurs déguisés font de Dayne un jeune homme qui a tout pour plaire, et qui pourrait donc intégrer les Winthrops.
APRÈS LA BOMBE.
La bombe n'a pas touché directement Dayne. Celui ci n'était même pas dans le pays que celle-ci a détruit une partie des batiments et à tué des civils. En effet, le jeune homme était rentré en Amérique à cette période là, répondant à la demande expresse de son père. Il n'était encore qu'en deuxieme année, et son père espérait le faire changer de carrière, lui faire arréter la médecine contre la finance. En vain. Cependant, cette conversation vaine, ce voyage pas des plus agréables, lui ont surement sauvé la vie. Quand il a entendu la nouvelle, il a ressentit son coeur se serrer. Il faut noter ici la qualité exceptionnelle de cet événement, Dayne ne ressent en général pas grand chose pour le reste du genre humain, mais à cet instant, il ne saurait expliquer ni comment ni pourquoi, il s'est inquiété. Peut être parce qu'il avait été touché de plein fouet par les attentats survenus douze ans plus tôt à New York, ceux-ci le privant de la seule part d'humanité de sa famille, son oncle James? Il n'a pas vraiment cherché à comprendre pourquoi la nouvelle l'avait impacté, l'introspection n'étant pas son activité préférée. Mais qu'il veuille bien l'admettre ou non, cet événement est resté gravé dans sa mémoire, lui prouvant une nouvelle fois que l'argent et la renommée ne sont parfois d'aucune utilité, que même lui dans tout son coté démoniaque, pourrait être aussi physiquement atteignable. La bombe l'a ramené non seulement à sa condition de mortel, mais aussi au fait qu'il n'est pas si particulier comparé au reste de l'humanité.
La bombe n'a pas touché directement Dayne. Celui ci n'était même pas dans le pays que celle-ci a détruit une partie des batiments et à tué des civils. En effet, le jeune homme était rentré en Amérique à cette période là, répondant à la demande expresse de son père. Il n'était encore qu'en deuxieme année, et son père espérait le faire changer de carrière, lui faire arréter la médecine contre la finance. En vain. Cependant, cette conversation vaine, ce voyage pas des plus agréables, lui ont surement sauvé la vie. Quand il a entendu la nouvelle, il a ressentit son coeur se serrer. Il faut noter ici la qualité exceptionnelle de cet événement, Dayne ne ressent en général pas grand chose pour le reste du genre humain, mais à cet instant, il ne saurait expliquer ni comment ni pourquoi, il s'est inquiété. Peut être parce qu'il avait été touché de plein fouet par les attentats survenus douze ans plus tôt à New York, ceux-ci le privant de la seule part d'humanité de sa famille, son oncle James? Il n'a pas vraiment cherché à comprendre pourquoi la nouvelle l'avait impacté, l'introspection n'étant pas son activité préférée. Mais qu'il veuille bien l'admettre ou non, cet événement est resté gravé dans sa mémoire, lui prouvant une nouvelle fois que l'argent et la renommée ne sont parfois d'aucune utilité, que même lui dans tout son coté démoniaque, pourrait être aussi physiquement atteignable. La bombe l'a ramené non seulement à sa condition de mortel, mais aussi au fait qu'il n'est pas si particulier comparé au reste de l'humanité.
APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES.
Dayne se souvient particulièrement de l'ambiance sur le campus à cette époque. Ce qui l'a vraiment choqué dans un premier temps, ce fut la fermeture des maisons. N'étaient-ce pas celles-ci même qui assuraient un minimum d'ordre social? N'étaient-ce pas celles ci qui organisaient la société d'Harvard? Mais plus que la fermeture de celles-ci, on pouvait aisément sentir sur le campus un morbidité ambiante, une défiance grandissante entre une tres large partie des élèves. Les soirées se comptaient largement sur les doigts d'une main, et l'ambiance n'était plus vraiment au rendez-vous. Même si à ce moment là, les agressions avaient cessé, les agresseurs avaient réussi un magnifique tour de passe-passe en faisant naitre un profond sentiment d'insécurité de l'intérieur. Dayne devait avouer que même s'il n'était pas du tout la personne la plus agréable du monde, ces types se trouvaient à un niveau bien supérieur. Et il en eut la confirmation lors de la prise d'otages. C'est dommage qu'en se levant, ce genre de jour là, on ne puisse pas ressentir quelque chose de spécial dans l'air, un signal nous avertissant qu'il vaut mieux ne pas sortir de chez soi, et encore moins d'aller prendre son café comme tous les jours à la cafétéria. Ce fut le dernier qu'il prit, à la suite de ces événements Dayne ne remit pas un pied dans cet endroit. Faut il revenir sur les sentiments qui l'assaillaient alors qu'il était assis à boire un grand café noir tout en lisant les informations sur son téléphone? La peur, mais aussi l'envie de leur faire payer, immédiatement, bestialement? Son souffle qui s'accélérait alors que son rythme cardiaque ralentissait, signe de son essai vain de trouver une issue rapidement. De ce jour, il n'a gardé que tres peu de souvenirs. Ceux ci ne sont pas visuels d'ailleurs, mais auditif. La voix du premier preneur d'otage qui les menace, le crie perçant d'une fille, les chaises qui raclent le sol, et le silence de plomb qui vient peu de temps ensuite. Tous ces souvenirs, Dayne les a enterrés profondément et souhaite ne jamais se les rappeler, sachant pertinnement que ceux-ci pourrait le changer. Apres la prise d'otage, il a reprit sa vie normal, ordinaire, celle pronant son plaisir personnel avant le bien d'autrui. Si pour certains, ces tragiques événements on pu faire naitre des prises de consciences, de nouvelles carrières tournées vers autrui, le futur chirurgien quant à lui reste son propre centre de gravité.
Dayne se souvient particulièrement de l'ambiance sur le campus à cette époque. Ce qui l'a vraiment choqué dans un premier temps, ce fut la fermeture des maisons. N'étaient-ce pas celles-ci même qui assuraient un minimum d'ordre social? N'étaient-ce pas celles ci qui organisaient la société d'Harvard? Mais plus que la fermeture de celles-ci, on pouvait aisément sentir sur le campus un morbidité ambiante, une défiance grandissante entre une tres large partie des élèves. Les soirées se comptaient largement sur les doigts d'une main, et l'ambiance n'était plus vraiment au rendez-vous. Même si à ce moment là, les agressions avaient cessé, les agresseurs avaient réussi un magnifique tour de passe-passe en faisant naitre un profond sentiment d'insécurité de l'intérieur. Dayne devait avouer que même s'il n'était pas du tout la personne la plus agréable du monde, ces types se trouvaient à un niveau bien supérieur. Et il en eut la confirmation lors de la prise d'otages. C'est dommage qu'en se levant, ce genre de jour là, on ne puisse pas ressentir quelque chose de spécial dans l'air, un signal nous avertissant qu'il vaut mieux ne pas sortir de chez soi, et encore moins d'aller prendre son café comme tous les jours à la cafétéria. Ce fut le dernier qu'il prit, à la suite de ces événements Dayne ne remit pas un pied dans cet endroit. Faut il revenir sur les sentiments qui l'assaillaient alors qu'il était assis à boire un grand café noir tout en lisant les informations sur son téléphone? La peur, mais aussi l'envie de leur faire payer, immédiatement, bestialement? Son souffle qui s'accélérait alors que son rythme cardiaque ralentissait, signe de son essai vain de trouver une issue rapidement. De ce jour, il n'a gardé que tres peu de souvenirs. Ceux ci ne sont pas visuels d'ailleurs, mais auditif. La voix du premier preneur d'otage qui les menace, le crie perçant d'une fille, les chaises qui raclent le sol, et le silence de plomb qui vient peu de temps ensuite. Tous ces souvenirs, Dayne les a enterrés profondément et souhaite ne jamais se les rappeler, sachant pertinnement que ceux-ci pourrait le changer. Apres la prise d'otage, il a reprit sa vie normal, ordinaire, celle pronant son plaisir personnel avant le bien d'autrui. Si pour certains, ces tragiques événements on pu faire naitre des prises de consciences, de nouvelles carrières tournées vers autrui, le futur chirurgien quant à lui reste son propre centre de gravité.
ITEM LIBRE (FACULTATIF).
En dire plus sur Dayne, Facile! Il est plus ou moins l'archétype du gosse de riche qu'il est tres facile de détester. Né en Amérique et ayant passé toute sa vie dans les beaux quartiers de New-York, le jeune homme n'a apperçu de la pauvreté que les mendiants à travers la fenêtre de sa voiture en remontant la 7eme avenue. S'il a été elevé avec une petite culler en argent dans la bouche, le jeune homme n'a pas eut des parents en or. Ceux-ci, fasciné par leur carrière plus que par leur fils unique, ont fait preuve de la plus grande des absences et ne se sont pas cachés pour voir d'autres personnes en dehors de leur mariage. Quel plus bel exemple pour un enfant trop vite devenu un adolescent. Quelle facilité ensuite pour le jeune héritier de suivre de tels chemins, plutot que de croire au grand amour et à la fidélité. Au fond, Dayne n'est pas né aussi sombre et machiavélique qu'il l'est aujourd'hui, tout cela ne fut qu'une construction sociale des plus réussie, à imputer avec bravo à ses géniteurs. Dayne est donc devenu un archétype de l'enfoiré, un garçon au charme fou, à l'esprit des plus brillant, mais totalement manipulateur, machiavélique, don Juan et mystérieux. Il adore les femmes, mais uniquement quand celles-ci font un passage des plus brefs dans ses draps de satin sombres. Pourtant, quand on cherche vraiment bien, on trouve des qualités à l'enfant terrible de Manhattan. Il peut s'avérer protecteur, marrant et rusé, mais encore faut il qu'il vous donne la possibilité de le connaitre assez pour découvrir ces qualités chimériques.
Dayne a des passions variées. Tout d'abord, les femmes. Moins elles lui parlent, mieux ça lui va. Rares sont celles qui lui résistent, et cela ne fait qu'attiser sa curiosité, rendre les choses plus pimentées qu'elles ne devraient l'être. Il aime également l'adrénaline, ce frisson qui court le long de sa colonne vertébrale quand il conduit une de ses voitures ou de ses motos hors de prix. La vitesse grise le jeune homme, et la réaction chimique au sein de son cerveau le fait se sentir plus vivant que jamais. Dans ces moments, c'est comme-ci il était totalement seul sur terre, comme si rien ne pouvait l'atteindre.
En dire plus sur Dayne, Facile! Il est plus ou moins l'archétype du gosse de riche qu'il est tres facile de détester. Né en Amérique et ayant passé toute sa vie dans les beaux quartiers de New-York, le jeune homme n'a apperçu de la pauvreté que les mendiants à travers la fenêtre de sa voiture en remontant la 7eme avenue. S'il a été elevé avec une petite culler en argent dans la bouche, le jeune homme n'a pas eut des parents en or. Ceux-ci, fasciné par leur carrière plus que par leur fils unique, ont fait preuve de la plus grande des absences et ne se sont pas cachés pour voir d'autres personnes en dehors de leur mariage. Quel plus bel exemple pour un enfant trop vite devenu un adolescent. Quelle facilité ensuite pour le jeune héritier de suivre de tels chemins, plutot que de croire au grand amour et à la fidélité. Au fond, Dayne n'est pas né aussi sombre et machiavélique qu'il l'est aujourd'hui, tout cela ne fut qu'une construction sociale des plus réussie, à imputer avec bravo à ses géniteurs. Dayne est donc devenu un archétype de l'enfoiré, un garçon au charme fou, à l'esprit des plus brillant, mais totalement manipulateur, machiavélique, don Juan et mystérieux. Il adore les femmes, mais uniquement quand celles-ci font un passage des plus brefs dans ses draps de satin sombres. Pourtant, quand on cherche vraiment bien, on trouve des qualités à l'enfant terrible de Manhattan. Il peut s'avérer protecteur, marrant et rusé, mais encore faut il qu'il vous donne la possibilité de le connaitre assez pour découvrir ces qualités chimériques.
Dayne a des passions variées. Tout d'abord, les femmes. Moins elles lui parlent, mieux ça lui va. Rares sont celles qui lui résistent, et cela ne fait qu'attiser sa curiosité, rendre les choses plus pimentées qu'elles ne devraient l'être. Il aime également l'adrénaline, ce frisson qui court le long de sa colonne vertébrale quand il conduit une de ses voitures ou de ses motos hors de prix. La vitesse grise le jeune homme, et la réaction chimique au sein de son cerveau le fait se sentir plus vivant que jamais. Dans ces moments, c'est comme-ci il était totalement seul sur terre, comme si rien ne pouvait l'atteindre.
Mon pseudo internet est
Marinne
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Marinne et j'ai 22 ans. Je suis franco-américaine et j'ai connu le forum grâce à Bazzart. Je dois avouer que ce forum m'éblouit totalement alors j'ai décidé de m'inscrire . J'utilise Dane Dehaan comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par Daisy. Je fais environ 600 mots par RP et mon personnage est un scénario crée par Marin-Rhym Hamilton.
Mot de la fin ? ▲
Je souhaite ▲
adhérer un flood d'intégration (?)
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(Invité)