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DAYNE NELSON ► Dane Dehaan

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Dayne Nelson

   

C'est le 18 février 1991 à New York, que les membres de la famille Nelson m'ont accueilli(e) dans leurs bras, ils m'ont prénommé Dayne Alexander.  Je suis célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis hétérosexuel et j'en suis fier. Je viens d'une classe sociale tres aisée. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études de médecine depuis quatre ans et ne travaille pas en parallèle de mes études. Et pour terminer, je voudrais intégrer les Eliot House ou les Winthrop House.


   
Tell me some more about you

   
ELIOT HOUSE
  L'indifférence des gens, tres peu pour Dayne. Celui-ci, en tant que fils de aimant profiter des avantages de son titre, n'a jamais connu l'indifférence publique. Cela semble donc normal de prime abord que ce choix fut le premier mis en avant par le jeune étudiant. Mais c'est surtout un interet beaucoup plus historique qui a poussé le jeune homme à pencher vers cette maison en premier. Son très cher père, Andrew Nelson, l'a lui aussi fréquenté lors de son passage remarqué à Harvard. Cela aurait été donc des plus compromettant si le jeune héritier n'avait pas pu l'intégrer également. Au premier regard, Dayne semble être l'incarnation parfaite d'un membre de l'Eliot House. Son compte en banque, tout droit rempli par celui de ses parents, semble être encore mieux rempli que la corne d'abondance et comme si cela ne suffisait pas, la renommée de son nom de famille n'est plus à faire. Aussi loin que l'on peut remonter dans l'histoireaméricaine, on trouvera toujours une trace des Nelson. De comment ils ont construit un empire en partant d'une simple auberge familiale, au conglomérat financier aujourd'hui regroupant hotels, resorts, casino mais également sociétés de construction et autres. Dayne ne fait pas seulement partie du 1%, il appartient au 0,01 de la classe supérieure, et il n'est pas peu fier de cette distinction. Publiquement, le jeune homme offre une image correspondant à son rang : égoïste, snob, mais suivant les directives de son père puisqu'il sait que même s'il devient médecin, il sera amené un jour à être au conseil d'administration de la multinationale. Par contre, lorsque la lumière des caméras s'éteint, le jeune homme est un être totalement différent : manipulateur, malin, joueur, presque maniaque, Dayne maitrise cependant l'art de profiter de ces talents personnels sans jamais laisser de trace, ne créant que des rumeurs peu vérifiables.

   
Winthrop House
 C'est notamment le charisme et la personnalité du jeune homme qui l'a fait demandé cette fraternité dans le cas où l'Eliot House le refuserait. En effet, même si Dayne s'avère être un jeune homme au fond tres peu respectable, il n'empêche que la gente féminine semble avoir un véritable gout pour le jeune américain. Serait-ce à cause de son charisme? De ce regard transperçant? Ou bien de ces bons mots, de cette répartie à toute épreuve qui pourrait faire croire que Dayne puisse toujours arriver à ses fins, si sombres soient elles? Malgré toute cette noirceur, il n'empêche que le jeune homme se retrouve dans l'univers de solidarité et de camaraderie des Winthrops. Même s'il est tout sauf un enfant de coeur, Dayne a su se lier d'amitié avec certaines personnes, celles-ci n'ayant pas eut peur de son coté plutot manipulateur. La renommée de son nom de famille, son compte en banque et ses facultés de manipulateurs déguisés font de Dayne un jeune homme qui a tout pour plaire, et qui pourrait donc intégrer les Winthrops.

   
APRÈS LA BOMBE.
   La bombe n'a pas touché directement Dayne. Celui ci n'était même pas dans le pays que celle-ci a détruit une partie des batiments et à tué des civils. En effet, le jeune homme était rentré en Amérique à cette période là, répondant à la demande expresse de son père. Il n'était encore qu'en deuxieme année, et son père espérait le faire changer de carrière, lui faire arréter la médecine contre la finance. En vain. Cependant, cette conversation vaine, ce voyage pas des plus agréables, lui ont surement sauvé la vie. Quand il a entendu la nouvelle, il a ressentit son coeur se serrer. Il faut noter ici la qualité exceptionnelle de cet événement, Dayne ne ressent en général pas grand chose pour le reste du genre humain, mais à cet instant, il ne saurait expliquer ni comment ni pourquoi, il s'est inquiété. Peut être parce qu'il avait été touché de plein fouet par les attentats survenus douze ans plus tôt à New York, ceux-ci le privant de la seule part d'humanité de sa famille, son oncle James? Il n'a pas vraiment cherché à comprendre pourquoi la nouvelle l'avait impacté, l'introspection n'étant pas son activité préférée. Mais qu'il veuille bien l'admettre ou non, cet événement est resté gravé dans sa mémoire, lui prouvant une nouvelle fois que l'argent et la renommée ne sont parfois d'aucune utilité, que même lui dans tout son coté démoniaque, pourrait être aussi physiquement atteignable. La bombe l'a ramené non seulement à sa condition de mortel, mais aussi au fait qu'il n'est pas si particulier comparé au reste de l'humanité.

   
APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES.
   Dayne se souvient particulièrement de l'ambiance sur le campus à cette époque. Ce qui l'a vraiment choqué dans un premier temps, ce fut la fermeture des maisons. N'étaient-ce pas celles-ci même qui assuraient un minimum d'ordre social? N'étaient-ce pas celles ci qui organisaient la société d'Harvard? Mais plus que la fermeture de celles-ci, on pouvait aisément sentir sur le campus un morbidité ambiante, une défiance grandissante entre une tres large partie des élèves. Les soirées se comptaient largement sur les doigts d'une main, et l'ambiance n'était plus vraiment au rendez-vous. Même si à ce moment là, les agressions avaient cessé, les agresseurs avaient réussi un magnifique tour de passe-passe en faisant naitre un profond sentiment d'insécurité de l'intérieur. Dayne devait avouer que même s'il n'était pas du tout la personne la plus agréable du monde, ces types se trouvaient à un niveau bien supérieur. Et il en eut la confirmation lors de la prise d'otages. C'est dommage qu'en se levant, ce genre de jour là, on ne puisse pas ressentir quelque chose de spécial dans l'air, un signal nous avertissant qu'il vaut mieux ne pas sortir de chez soi, et encore moins d'aller prendre son café comme tous les jours à la cafétéria. Ce fut le dernier qu'il prit, à la suite de ces événements Dayne ne remit pas un pied dans cet endroit. Faut il revenir sur les sentiments qui l'assaillaient alors qu'il était assis à boire un grand café noir tout en lisant les informations sur son téléphone? La peur, mais aussi l'envie de leur faire payer, immédiatement, bestialement? Son souffle qui s'accélérait alors que son rythme cardiaque ralentissait, signe de son essai vain de trouver une issue rapidement. De ce jour, il n'a gardé que tres peu de souvenirs. Ceux ci ne sont pas visuels d'ailleurs, mais auditif. La voix du premier preneur d'otage qui les menace, le crie perçant d'une fille, les chaises qui raclent le sol, et le silence de plomb qui vient peu de temps ensuite. Tous ces souvenirs, Dayne les a enterrés profondément et souhaite ne jamais se les rappeler, sachant pertinnement que ceux-ci pourrait le changer. Apres la prise d'otage, il a reprit sa vie normal, ordinaire, celle pronant son plaisir personnel avant le bien d'autrui. Si pour certains, ces tragiques événements on pu faire naitre des prises de consciences, de nouvelles carrières tournées vers autrui, le futur chirurgien quant à lui reste son propre centre de gravité.

   
ITEM LIBRE (FACULTATIF).
  En dire plus sur Dayne, Facile! Il est plus ou moins l'archétype du gosse de riche qu'il est tres facile de détester. Né en Amérique et ayant passé toute sa vie dans les beaux quartiers de New-York, le jeune homme n'a apperçu de la pauvreté que les mendiants à travers la fenêtre de sa voiture en remontant la 7eme avenue. S'il a été elevé avec une petite culler en argent dans la bouche, le jeune homme n'a pas eut des parents en or. Ceux-ci, fasciné par leur carrière plus que par leur fils unique, ont fait preuve de la plus grande des absences et ne se sont pas cachés pour voir d'autres personnes en dehors de leur mariage. Quel plus bel exemple pour un enfant trop vite devenu un adolescent. Quelle facilité ensuite pour le jeune héritier de suivre de tels chemins, plutot que de croire au grand amour et à la fidélité. Au fond, Dayne n'est pas né aussi sombre et machiavélique qu'il l'est aujourd'hui, tout cela ne fut qu'une construction sociale des plus réussie, à imputer avec bravo à ses géniteurs. Dayne est donc devenu un archétype de l'enfoiré, un garçon au charme fou, à l'esprit des plus brillant, mais totalement manipulateur, machiavélique, don Juan et mystérieux. Il adore les femmes, mais uniquement quand celles-ci font un passage des plus brefs dans ses draps de satin sombres. Pourtant, quand on cherche vraiment bien, on trouve des qualités à l'enfant terrible de Manhattan. Il peut s'avérer protecteur, marrant et rusé, mais encore faut il qu'il vous donne la possibilité de le connaitre assez pour découvrir ces qualités chimériques.

Dayne a des passions variées. Tout d'abord, les femmes. Moins elles lui parlent, mieux ça lui va. Rares sont celles qui lui résistent, et cela ne fait qu'attiser sa curiosité, rendre les choses plus pimentées qu'elles ne devraient l'être. Il aime également l'adrénaline, ce frisson qui court le long de sa colonne vertébrale quand il conduit une de ses voitures ou de ses motos hors de prix. La vitesse grise le jeune homme, et la réaction chimique au sein de son cerveau le fait se sentir plus vivant que jamais. Dans ces moments, c'est comme-ci il était totalement seul sur terre, comme si rien ne pouvait l'atteindre.  

   
Mon pseudo internet est
Marinne

   
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Marinne et j'ai 22 ans. Je suis franco-américaine et j'ai connu le forum grâce à Bazzart.  Je dois avouer que ce forum m'éblouit totalement alors j'ai décidé de m'inscrire . J'utilise Dane Dehaan comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par Daisy. Je fais environ 600 mots par RP et mon personnage est un scénario crée par Marin-Rhym Hamilton.

   Mot de la fin ? ▲  DAYNE NELSON ► Dane Dehaan 1001568715

   Je souhaite
    adhérer un flood d'intégration (?)
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once upon a time !

   
Fermez les yeux, un instant. Prenez votre temps, et imaginez vous au cœur de The City. New-York, la seule, l'unique, la grosse pomme. Essayez de ressentir l'atmosphère oppressante de la mégalopole, sa chaleur étouffante par une trop chaude soirée d'été, son humidité. Écoutez ses bruits permanents, les sirènes des voitures de polices et des ambulances, le pas répétitif des touristes se baladant sur le trottoir, les traders pressés tentant de les éviter, les cris permanents des vendeurs de nourriture à emporter. Essayez d'humer les différentes odeurs, celles des hot-dogs et des bagels, celle de l'herbe fraichement coupée alors que l'aube ne s'est pas encore levée sur Central Park. Les yeux clos, les mains frolant la rembarde de son balcon, Dayne essaie en vain de retrouver les mêmes sensations qu'à New-York. Sa ville, son terrain de jeu et de chasse, son défouloir, lui manquait. New-York l'avait vu venir au monde, l'avait vu grandir, l'avait vu se transformer en l'individu qu'il était aujourd'hui, avant de le voir s'embarquer dans un jet privé à JFK pour rejoindre Harvard. Certes, ce n'était pas si éloigné que ça de la Grosse Pomme, mais pour Dayne, ce n'était clairement pas sa maison. Et pour commencer, toutes ces sensations qu'on peut ressentir en fermant les yeux même ne serait-ce qu'un instant en se trouvant en plein Manhattan.

Il y a un peu plus 24 ans, un jeune garçon naissait dans la haute société New-Yorkaise. Son père était parti en France pour la semaine, et ne verrait son fils que lorsqu'il fêterait sa première semaine. Quel présage pour la suite! Sa mère, ravissante blonde aux traits nordiques malgré sa nationalité américaine, n'avait pas épousé le père du petit Dayne par amour. C'était un de ces mariages arrangés entre enfants de bonnes familles qui ne voulaient pas voir leur fortunes diminuer en accueillant en leur sein des individus qui n'auraient pas été de leur monde. Quelle prévenance! Un mariage arrangé, dénué de toute forme de sentiments, ou ne serait-ce que du respect. Dayne était le fruit d'un marché purement économique, et lorsqu'il hériterait, il deviendrait un des meilleurs partis du monde. Mais ça, un bébé d'une semaine ne le sait pas. Tout ce qu'il peut réclamer, ce ne sont pas des billets verts, mais de l'amour, de la tendresse. Heureusement, tout s'achète en ce bas monde, et des nannies très compétentes prirent soin du petit Dayne durant toute son enfance. Apres tout, pourquoi s'occuper de son enfant quand on peut payer quelqu'un ayant des qualifications pour le faire? Pourquoi perdre un temps précieux à créer du lien quand notre temps utilisé d'une manière différente peut nous rapporter de l'argent? Des les premières semaines de la vie du jeu homme, l'aspect monétaire était venu l'empoissonner, même s'il était encore trop petit pour se rendre compte. Et ce poison était là pour durer. En grandissant, il n'avait vu qu'à de rares occasions ses parents, et il s'était vite rendu compte que c'était pour le mieux. Dayne avait appris à aimer ses nannies, avant d'aimer éventuellement ses géniteurs. De plus, l'image que ceux-ci renvoyaient à leur fils n'avait rien à voir avec ce que les émissions de télé et autres films proposaient comme image de la famille iédale américaine. Il n'était pas rare de voir Johanna Nelson un verre à la main alors que le soleil n'était pas encore au Zenith, où encore une des très nombreuses ( et jolies) assistantes du patriarche répondre au téléphone avec un essoufflement assez caractéristique. Bienvenu chez les Nelson ! Modèle de réussite et de perfection devant les flashs et les caméras, climat rivalisant avec la guerre froide entre les parents quand ceux-ci se retrouvaient au sein de leur foyer. Pourtant, chacun essayait, avec plus ou moins de réussite, d'inculquer à leur descendant les valeurs de la famille : l'argent, la réussite, la perennité de l'entreprise familiale, le tout à tout prix. S'il fallait pour cela écraser des gens pour arriver à ses fins, qu'il en soit ainsi. Ne jamais reculer, manipuler et blesser s'il le fallait. Et il faut croire que Dayne finit par aller au delà des attentes familiales.

S'il avait été elevé dans une autre famille, Dayne serait-il devenu un être meilleur ? Peut être. L'obscurité lui ayant clairement été transmise par sa famille. Toutefois, il faut admettre que le jeune homme a développé un véritable talent pour cela. En virtuose du mystère et de la manipulation, Dayne s'est vite également créé une réputation de gosse de riche ascendant enfoiré, mais qu'il est pourtant capital de garder dans ses bonnes relations. Car avec un pédigré pareil, Dayne peut facilement tirer de très nombreuses ficelles à New-York, ou empoisonner la vie de ceux qu'il souhaite avec une dextérité sans commune mesure. Prince des nuits mais également de la manipulation, le nom de Dayne Nelson commença à résonner dès l'adolescence de celui-ci. Comment aurait il pu en être autrement ? Livré à lui même, ayant son propre appartement dès l'âge de 14 ans, comment un adolescent habitué à la décadence de sa famille, et au coté insipide de leurs moeurs, aurait il pu ne pas suivre un chemin autre que le plus sombre se présentant à lui ? Seulement, même dans l'exces il y a certaines limites à ne pas franchir. Alors que le jeune homme venait de fêter son seizième anniversaire, avec une fête qui était restée dans les annales des gosses de riches de son âge dans la grosse pomme, il avait fait le pas de trop. Il en voulait toujours plus, cherchant à repousser encore et encore ses limites. Dayne était sorti dans un club assez réputé pour ne pas être regardant envers les envies des gosses de riches : alcool, drogues et autre bonne compagnie était fournie à loisir. La soirée s'était finie sur les berges de l'Hudson River. Le fleuve mythique s'écoulait paisiblement dans la nuit. Distinguer l'eau du rebors n'était pas une tâche aisée mais les quatre jeunes gens se baladaient tels des funambules sur un muret de 30 centimètres de largeur. On entendant le claquement des talons vertigineux des deux jeunes femmes, pas apres pas. Enfin, c'était surtout de ça que Dayne se souvenait, de ça et du cri que l'une des deux poussa lorsqu'elle trébucha et tomba dans l'Hudson. En y repensant ce soir, il ne se souvenait même plus de la tête qu'elle avait, des vêtements qu'elle portait, ni même de son prénom. Il avait méticuleusement choisi d'effacer ces souvenirs, de ne rien garder en tête de cette soirée, excepté les conséquences qu'elle avait eut. Six heures plus tard, Dayne était en garde à vue. Pour la première fois de sa vie, il se rendait compte qu'il avait perdu le contrôle. Ils avaient été arrêtés, lui et son ami, dénoncé par la seconde fille qui était avec eux le soir. Combien de temps était il resté entre ces quatre murs ? Sa Rolex, cadeau d'anniversaire de son père, lui avait été retiré. Tout comme son portefeuille. Mais pourtant, il comprit vite que l'argent pouvait tout acheter, même une carte «  sortez moi de prison » . Un des meilleurs avocats de New-York avait été engagé par son père pour sortir les deux jeunes gens de prison et Dayne apprit plus tard qu'une large somme avait été donné à la famille de la jeune femme. Sa disparition, puis le fait qu'on avait retrouvé son cadavre, firent deux fois deux lignes dans le Times, mais jamais le nom de Nelson n'apparut dans cette affaire. L'argent avait acheté la tranquillité de Dayne. Seulement, le patriarche Nelson tint à faire prendre conscience à son fils non pas de la valeur de l'argent, mais de l'importance de protéger son nom de famille. Jamais les Nelson ne devaient être mêler de pres ou de loin à quelque affaire louche ou judiciaire. Il lui fit comprendre de la plus violente des manière, laissant d'ailleurs deux cicatrices cuisantes dans le dos du jeune homme. Vivre sa vie de la plus décadente et la plus sombre des manières, certes, mais le faire sans que personne n'ait jamais de preuve, sans que jamais les rumeurs ne se transforment en fait concrêt.

Dayne s'alluma une cigarette en repensant à ce souvenir. Merci Papa. Pas étonnant qu'il ait refusé de suivre le même chemin que lui. Harvard, OK, mais en aucun cas la finance. Pas besoin pour lui de devenir un monstre avare, il l'était déjà. Sa passion, scolairement parlant, avait toujours été les sciences. Il trouvait fascinant le fait que l'infiniment petit pouvait être infini. Que toujours, on puisse trouver de nouvelles choses, alors c'était presque naturellement qu'il s'était dirigé vers la médecine. Qu'on soit bien clair, il n'avait absolument pas choisi un tel objet d'étude pour aider son semblable, son prochain, ou encore pour se faire de l'argent ; ce qui l'interessait, c'était le combat permanent, une lutte incessante dont l'issue finale, elle, ne pouvait pas être achetée. Et puis, il avait trouvé relativement facilement sa spécialité. Le cerveau. L'esprit humain avait toujours été son jouet préféré. Disons que Dayne se plaisait à manipuler les gens, à leur faire faire ce qu'il souhaitait sans qu'ils ne se rendent compte. Surtout aux membres de la gente féminine d'ailleurs. De ce don était née une fascination, presque une obsession pour l'esprit humain, et pour son pendant physique, le cerveau. Il trouvait fascinant que certaines paroles, certaines émotions, certains sentiments puissent créer des réactions chimiques dans le cerveau, que l'immatériel puisse créer du matériel à l'intérieur de la boite cranienne d'un individu. Ainsi, ses études devinrent littéralement une passion pour lui, une parmi d'autres, mais une sacrément chronophage tout de même. La seconde est les femmes. Cependant, il faut avouer que pour Dayne, celle ci s'allie à la première. Jouer avec l'esprit féminin est facile, enfin la plupart du temps. Il prend d'ailleurs un grand plaisir à jouer avec elle, à leur faire croire à ce qu'elles désirent le plus pour obtenir ce que lui souhaite : une nuit dans des draps de satin, et ne jamais les revoir ensuite. C'est d'ailleurs souvent beaucoup trop facile. Cependant, ce qui lui semble autrement plus difficile, c'est de s'attacher. En même temps, comment le pourrait il ? Il n'a jamais connu un seul exemple de relation amoureuse normale, il n'avait jamais vu ses propres parents s'aimer. Comment pourrait il vivre une vraie relation ? Ceci est très loin de ses plans actuels et préfère utiliser la variété des corps féminin plutôt que de s'embêter avec leur esprit compliqué dans le long terme.

A cette pensée, Dayne éprouve un sourire. Sa cigarette est presque terminée. Il veut encore profiter de la fraicheur de cette nuit, réfléchir à ce qui l'obsède actuellement. Ou plutôt celle. Un nouveau pari, un nouveau défi, loin de ces filles plutôt faciles qu'il a l'habitude de cotoyer. Une expérience à la saveur nouvelle, une véritable aventure dont il sait qu'elle sera chronophage, mais au combien savoureuse au final. Le plus grand ennemi de Dayne est l'ennui. Or, quand celui-ci se couple avec l'envie d'un nouveau challenge, gare aux dégats que le diabolique gosse de riche pourrait faire à la si sage et mystérieuse nouvelle arrivante.
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Oh Dane, il est génial & ce scénario. DAYNE NELSON ► Dane Dehaan 2488611924

Bienvenuuuue. DAYNE NELSON ► Dane Dehaan 2511619667
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BIENVENUE PARMI NOUS ! hanwii
Bonne chance pour la suiiiite ! :heaart:
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Bienvenuuuuue. DAYNE NELSON ► Dane Dehaan 1153642411
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Bienvenue parmi nous ! DAYNE NELSON ► Dane Dehaan 1001568715
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Ottis Heimann

Âge : 25
Lieu de naissance : florence (italie)
Quartier d'habitation / Colocation : South Boston
Situation sentimentale : en couple avec kat
Études / Métier : étudiant en technologie et innovation (6ème année)
Date d'inscription : 10/08/2012
Pseudo & Pronom(s) IRL : overlander (elle)
Icon : DAYNE NELSON ► Dane Dehaan 20fa7210
Faceclaim : Arón Piper
Crédits : lumos solem
Multicomptes : tatum ferguson & wilhem oswald
Description (1) :

If everything was perfect
you would never learn and you would never grow

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Ottis , il a le syndrome de peter pan. il veut pas grandir, il est bien dans son confort enfantin, gamin dans l'âme, tête à claques à l'humour de con. c'est simple, soit on le supporte, soit on le supporte pas. et même si t'arrives à le supporter, y'a forcément des moments ou tu veux l'étrangler. mais c'est un bon vivant, l'italien, une pile électrique, électron libre que tu peux pas attraper à mains nues. ambitieux, il a confiance en lui et s'il pense aller loin dans la vie, il va tout donner pour y arriver. n'a jamais connu l'amour, s'est toujours contenté de lui-même et c'est peut-être mieux comme ça. fêtard, un peu trop accro à la coco, mais c'est qu'un détail. sociable, toujours opé pour faire de nouvelles rencontres et il a tendance à mettre les gens à l'aise dès les premiers instants... ou pas.
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populaire ⬖ amical ⬖ blagueur ⬖ studieux ⬖ fêtard ⬖ loyal ⬖ capricieux ⬖ zen ⬖ sensible



Description (2) :

DAYNE NELSON ► Dane Dehaan SL6w7W2Q_o

Description (3) : Katalia Borgia : petite amie (29.06.20) ⬖ Magdalena Heimann : soeur ⬖ Rosa Gimenez : cousine ⬖ Lexie Coleman : amie ⬖ Harlem Wayne : ami
RPS en cours : katalia - harlem - james - saphyr - quentin - zephyr
Warnings : maladie/cancer, sexe

RPS : 197
Messages : 53977
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Ottis Heimann
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PFORZHEIMER HOUSE › prestige redefined
Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t114720-ottis-heimann-aron-piperRépertoire rps : https://www.i-love-harvard.com/t155331-ottis-gustin-easton-loyd-quito-repertoire-rpsFiche de liens : https://www.i-love-harvard.com/t155389-ottis-gustin-easton-loyd-fiche-de-liensProfil meetsachussets : https://www.i-love-harvard.com/t155368-meetsachussets-hottis#6932223
Bienvenue parmi nous et bon courage pour ta fiche DAYNE NELSON ► Dane Dehaan 3850463188 :nyan:
(Ottis Heimann)


✧. ❛ love on top. i know nothing's perfect but it's worth it after fighting through my tears and finally you put me first. it's you.

DAYNE NELSON ► Dane Dehaan UqVihWUg_o
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HAAAAAAAAAAAN DAYNE NELSON ► Dane Dehaan 2109348208 mais que dire, à part que tu fais un excellent choix DAYNE NELSON ► Dane Dehaan 1881463262
je suis vraiment ravie de voir que le scénario te plaise DAYNE NELSON ► Dane Dehaan 152426858 DAYNE NELSON ► Dane Dehaan 2109348208 Je te souhaite la bienvenue ici pauvre connard #sbaff DAYNE NELSON ► Dane Dehaan 1881463262 DAYNE NELSON ► Dane Dehaan 152426858 merci merciii merciii encore de l'avoir prit (je pense que tu vas pas t'ennuyer avec ce perso, je l'espère en tout cas DAYNE NELSON ► Dane Dehaan 2109348208)
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bienvenuuuuuue hanwii DAYNE NELSON ► Dane Dehaan 2511619667 .
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bienvenuuuuuue. DAYNE NELSON ► Dane Dehaan 2109348208
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