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Mon nom est
Pablo, Herrera
C'est le 26 avril 1989 à Tumaco, Colombie, que les membres de la famille Herrera m'ont accueilli dans leurs bras, ils m'ont prénommé Pablo Diego Nando. Je suis célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis hétérosexuel aux dernières nouvelles et j'en suis fier. Je viens d'une classe sociale aisée sans être le gosse de riches par excellence. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études de médecine vétérinaire en majeur, danse en mineur depuis cinq ans et travaille en parallèle de mes études en tant que pas d'emploi pour moi, je vis d'amour et d'alcool (entendez par là que c'est sa famille qui finance). Et pour terminer, je voudrais intégrer les Winthrop House ou les Lowell House.
Tell me some more about you
WINTHROP HOUSE.
Le choix d'une maison n'est jamais une chose facile. Toi, tu as beaucoup hésité. Et tu t'es posé beaucoup de questions aussi. Intégrer une maison n'était-ce pas un peu te cataloguer? Te résumer en quelques mots, en quelques traits de caractère? Alors qu'au final, tu étais beaucoup plus complexe que cela. Alors, les maisons, au départ, tu les as observées de loin. Et tu as finis par te laisser approcher par elles. Tu as même pris le temps de jeter un œil aux descriptifs de chacune d'entre elles. Il fallait dire que c'était le seul choix que tu pourrais effectuer seul. Seul sans que ta famille n'y fasse aucune objection. Puisque finalement, la maison dans laquelle tu irais, eux, ils n'y portaient pas grande importance. L'important c'était de réussir. De faire la fierté de ta famille. Comme ils te le demandaient à chaque fois. Et ne pas faire de vagues. Ca pour toi, c'était toujours plus dur. Mais revenons-en à ce choix: les Winthrop. La confrérie des hommes. Celle des gentlemens. Et toi tu excellais dans ce genre de choses. Couvrir une demoiselle de petites attentions? Lui parler d'amour? Lui promettre monts et merveilles? Lui tirer la chaise avant qu'elle ne s'assoit? C'était tout toi. Charmer pour qu'elle tombe dans tes filets. Pour qu'elle se balade à ton bras. Et vu ton physique, tu n'avais jamais eu de mal à obtenir ce que tu souhaitais. Après tout, rien ni personne ne te résistait bien longtemps. Pas avec cette bouille d'ange, avec ce sourire charmeur et ces yeux pétillants de malice. Quand tu décidais quelque chose, tu finissais par l'avoir. Simplement. Alors tu avais choisi les Winthrop, en espérant qu'eux aussi ne dérogeraient pas à la règle et que tu obtiendrais ce que tu souhaitais: faire partie des leurs.
Le choix d'une maison n'est jamais une chose facile. Toi, tu as beaucoup hésité. Et tu t'es posé beaucoup de questions aussi. Intégrer une maison n'était-ce pas un peu te cataloguer? Te résumer en quelques mots, en quelques traits de caractère? Alors qu'au final, tu étais beaucoup plus complexe que cela. Alors, les maisons, au départ, tu les as observées de loin. Et tu as finis par te laisser approcher par elles. Tu as même pris le temps de jeter un œil aux descriptifs de chacune d'entre elles. Il fallait dire que c'était le seul choix que tu pourrais effectuer seul. Seul sans que ta famille n'y fasse aucune objection. Puisque finalement, la maison dans laquelle tu irais, eux, ils n'y portaient pas grande importance. L'important c'était de réussir. De faire la fierté de ta famille. Comme ils te le demandaient à chaque fois. Et ne pas faire de vagues. Ca pour toi, c'était toujours plus dur. Mais revenons-en à ce choix: les Winthrop. La confrérie des hommes. Celle des gentlemens. Et toi tu excellais dans ce genre de choses. Couvrir une demoiselle de petites attentions? Lui parler d'amour? Lui promettre monts et merveilles? Lui tirer la chaise avant qu'elle ne s'assoit? C'était tout toi. Charmer pour qu'elle tombe dans tes filets. Pour qu'elle se balade à ton bras. Et vu ton physique, tu n'avais jamais eu de mal à obtenir ce que tu souhaitais. Après tout, rien ni personne ne te résistait bien longtemps. Pas avec cette bouille d'ange, avec ce sourire charmeur et ces yeux pétillants de malice. Quand tu décidais quelque chose, tu finissais par l'avoir. Simplement. Alors tu avais choisi les Winthrop, en espérant qu'eux aussi ne dérogeraient pas à la règle et que tu obtiendrais ce que tu souhaitais: faire partie des leurs.
LOWELL HOUSE.
Qui n'a jamais rêvé de devenir un artiste? Tout le monde ne peut cependant pas prétendre pouvoir y arriver. Certains n'ont pas la fibre artistique. Du tout. Mais ça, c'était les autres. Pas toi. Car toi, tu bougeais ton corps depuis tout petit sur des rythmes endiablés. Tu avais toujours eu une préférence pour la salsa. Et puis tu avais évolué et tu étais passé par tous les styles, t'arrêtant plus longtemps sur le contemporain. La danse était et est toujours pour toi un excellent moyen de t'exprimer, de livrer tes émotions. Tu danses comme tu respires. Et quand tu décides de te poser un peu, on te retrouve avec un pinceau dans les mains. Une autre manière de t'exprimer sans utiliser les mots. Avec sincérité. Alors si on t'avait demandé de choisir seul tes études, tu te serais tourné vers tes passions. Sauf que tu n'as pas eu le choix. Tes parents ont décidé pour toi. Tu reprendrais un jour le cabinet de ton père. Sa clientèle, ses employés. Et ils étaient nombreux. Alors, tu étudiais dans une branche qui ne te passionnait pas. Mais ta plus grande réussite était certainement cette mineure en danse que tu avais négocié. Et ça, elle aurait mérité de t'inscrire automatiquement chez les Lowell.
Qui n'a jamais rêvé de devenir un artiste? Tout le monde ne peut cependant pas prétendre pouvoir y arriver. Certains n'ont pas la fibre artistique. Du tout. Mais ça, c'était les autres. Pas toi. Car toi, tu bougeais ton corps depuis tout petit sur des rythmes endiablés. Tu avais toujours eu une préférence pour la salsa. Et puis tu avais évolué et tu étais passé par tous les styles, t'arrêtant plus longtemps sur le contemporain. La danse était et est toujours pour toi un excellent moyen de t'exprimer, de livrer tes émotions. Tu danses comme tu respires. Et quand tu décides de te poser un peu, on te retrouve avec un pinceau dans les mains. Une autre manière de t'exprimer sans utiliser les mots. Avec sincérité. Alors si on t'avait demandé de choisir seul tes études, tu te serais tourné vers tes passions. Sauf que tu n'as pas eu le choix. Tes parents ont décidé pour toi. Tu reprendrais un jour le cabinet de ton père. Sa clientèle, ses employés. Et ils étaient nombreux. Alors, tu étudiais dans une branche qui ne te passionnait pas. Mais ta plus grande réussite était certainement cette mineure en danse que tu avais négocié. Et ça, elle aurait mérité de t'inscrire automatiquement chez les Lowell.
APRÈS LA BOMBE.
Janvier 2013 ✗ Dans la maison familiale, Tumaco, Colombie.
'Pablo, rends-moi ça!' Petit cri strident, à la limite de l'hystérie. Mon regard malicieux se posa sur la jeune femme qui se tenait face à moi. Plus petite de vingt centimètres, elle essayait en vain de rattraper son téléphone. Sa petite tête renfrognée me faisait toujours fondre. D'ailleurs, j'adorais la taquiner juste pour la voir dans cet état. Je savais qu'elle ne rendrait pas les armes. Après tout, elle avait cette désagréable habitude de ne jamais lâcher prise. La même obstination que son frère, aurait simplement dit ma mère. Et mon père aurait complété fièrement que c'était ce qui faisait de la graine de champion. C'était toujours comme ça dans ma famille. Il fallait être les meilleurs en tout. Bref. La petite boule d'énergie fonçait déjà sur moi. Je la repoussais gentiment et nous finissions, comme à chaque fois, dans les bras l'un de l'autre. Fusionnels. Depuis tout petits. Elle & moi, c'était à la vie à la mort. Le téléphone émit un bruit. Un sms qui m'avait valu un moment d'inattention. Elle avait attrapé l'appareil d'un œil victorieux, un sourire sur ses lèvres. Sourire qui s'était éteint quelques minutes plus tard. De l'angoisse déformait son beau visage alors qu'elle me tendait le portable. Le message était plutôt brouillon et je retenais simplement qu'il y avait eu une catastrophe sur le campus. Apeuré j'avais appelé de suite mes meilleurs amis, restés à l'université. Les sonneries semblaient durer des éternités. Le bilan final? Quelques blessures superficielles pour eux. Une belle angoisse pour moi. Si ils avaient été choqué, je l'avais été tout autant. Je pensais qu'Harvard était un des lieux les plus sécurisés de Boston. On était finalement à l'abri nul part. Finalement, j'avais remis les pieds à l'université. J'avais redoublé de protection envers ma sœur, qui avait fini par décréter que j'étais le pire pot de colle du monde. Cela devait être un compliment, sans doute. Rien que de penser qu'il aurait pu lui arriver quelque chose me glaçait le sang. Et me le glace encore à chaque fois que je repense à cet événement. Quelques jours plus tard, on aurait été là. Et dans quel état? Mieux valait ne plus y penser.
Janvier 2013 ✗ Dans la maison familiale, Tumaco, Colombie.
'Pablo, rends-moi ça!' Petit cri strident, à la limite de l'hystérie. Mon regard malicieux se posa sur la jeune femme qui se tenait face à moi. Plus petite de vingt centimètres, elle essayait en vain de rattraper son téléphone. Sa petite tête renfrognée me faisait toujours fondre. D'ailleurs, j'adorais la taquiner juste pour la voir dans cet état. Je savais qu'elle ne rendrait pas les armes. Après tout, elle avait cette désagréable habitude de ne jamais lâcher prise. La même obstination que son frère, aurait simplement dit ma mère. Et mon père aurait complété fièrement que c'était ce qui faisait de la graine de champion. C'était toujours comme ça dans ma famille. Il fallait être les meilleurs en tout. Bref. La petite boule d'énergie fonçait déjà sur moi. Je la repoussais gentiment et nous finissions, comme à chaque fois, dans les bras l'un de l'autre. Fusionnels. Depuis tout petits. Elle & moi, c'était à la vie à la mort. Le téléphone émit un bruit. Un sms qui m'avait valu un moment d'inattention. Elle avait attrapé l'appareil d'un œil victorieux, un sourire sur ses lèvres. Sourire qui s'était éteint quelques minutes plus tard. De l'angoisse déformait son beau visage alors qu'elle me tendait le portable. Le message était plutôt brouillon et je retenais simplement qu'il y avait eu une catastrophe sur le campus. Apeuré j'avais appelé de suite mes meilleurs amis, restés à l'université. Les sonneries semblaient durer des éternités. Le bilan final? Quelques blessures superficielles pour eux. Une belle angoisse pour moi. Si ils avaient été choqué, je l'avais été tout autant. Je pensais qu'Harvard était un des lieux les plus sécurisés de Boston. On était finalement à l'abri nul part. Finalement, j'avais remis les pieds à l'université. J'avais redoublé de protection envers ma sœur, qui avait fini par décréter que j'étais le pire pot de colle du monde. Cela devait être un compliment, sans doute. Rien que de penser qu'il aurait pu lui arriver quelque chose me glaçait le sang. Et me le glace encore à chaque fois que je repense à cet événement. Quelques jours plus tard, on aurait été là. Et dans quel état? Mieux valait ne plus y penser.
APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES.
Année 2014-2015 ✗ Harvard & ses environs.
J'hochais la tête pour la énième fois, soucieux. Je venais de promettre de veiller sur ma petite sœur, de promettre qu'il ne lui arriverait rien. Et dans un climat comme celui-ci, je me disais déjà que pour tenir cette promesse, il me faudrait un miracle. Tout le monde pouvait être touché. Encore plus les demoiselles puisqu'il semblait qu'elles seules étaient les cibles privilégiées de ces malades mentaux. J'avais de nouveau rassuré ma mère avant de voir la planifications des prochains jours avec mon père. Le Doyen avait décidé de fermer les maisons et il nous fallait donc un endroit sûr où loger. Mon père avait fait aller ses contacts et avait fini par nous louer un loft. Somptueux. Dire que je n'aimais pas crier sur tous les toits ma richesse, je devais bien avouer que cette fois, elle nous avait bien servi. Sans argent, on se serait retrouvé sans toit, dans la rue, à mourir de froid.
Une pause entre deux cours. J'en avais profité pour aller me restaurer à la cafétéria du campus. Je me retrouvais donc assis devant un sandwich, un jus de fruit à portée de main. La tête dans les nuages, je ne faisais pas attention aux personnes alentours. Plus rien n'existait. J'étais à mille lieux d'ici. Aux côtés de ma famille. Dire que je n'avais pas pu me rendre auprès d'eux cette année. Mon père avait prétexté un voyage d'affaires. Et cela me rendait soucieux. Il ne voyageait jamais plus de cinq jours. Un congrès vétérinaire à l'autre bout de la planète durait-il deux semaines? Impossible de savoir. Impossible de questionner mon père et ma mère restait évasive à ce sujet. La famille. Même si elle essayait d'avoir le contrôle sur moi, j'y tenais comme à la prunelle de mes yeux. Les portes de la cafétéria se fermèrent sans que j'y fasse attention. Un bruit assourdissant finit par me sortir de mes pensées. Sans trop comprendre, je posais les yeux sur une personne, une arme en main. Mon sang ne fit qu'un tour. "PERSONNE NE SORTIRA D'ICI EST-CE QUE C'EST CLAIR ?" Un hurlement. Et moi, je n'avais nullement envie de le provoquer. Nullement envie d'y passer. Alors j'avais attendu. Des secondes. Des minutes. Des heures. Dans la peur. Suivre comme un mouton les consignes d'un désaxé. Surtout ne pas le provoquer. Tout finirait par se terminer. Et je reprendrais ma vie tranquillement. Si c'était possible. Mon regard chercha une silhouette connue dans l'assistance. Il ne croisa pas celui de ma sœur. Fort heureusement, elle n'était pas ici. La peur monta d'un cran en moi alors que j'espérais qu'il n'y avait pas d'autres cinglés dans l'établissement.
Année 2014-2015 ✗ Harvard & ses environs.
J'hochais la tête pour la énième fois, soucieux. Je venais de promettre de veiller sur ma petite sœur, de promettre qu'il ne lui arriverait rien. Et dans un climat comme celui-ci, je me disais déjà que pour tenir cette promesse, il me faudrait un miracle. Tout le monde pouvait être touché. Encore plus les demoiselles puisqu'il semblait qu'elles seules étaient les cibles privilégiées de ces malades mentaux. J'avais de nouveau rassuré ma mère avant de voir la planifications des prochains jours avec mon père. Le Doyen avait décidé de fermer les maisons et il nous fallait donc un endroit sûr où loger. Mon père avait fait aller ses contacts et avait fini par nous louer un loft. Somptueux. Dire que je n'aimais pas crier sur tous les toits ma richesse, je devais bien avouer que cette fois, elle nous avait bien servi. Sans argent, on se serait retrouvé sans toit, dans la rue, à mourir de froid.
Une pause entre deux cours. J'en avais profité pour aller me restaurer à la cafétéria du campus. Je me retrouvais donc assis devant un sandwich, un jus de fruit à portée de main. La tête dans les nuages, je ne faisais pas attention aux personnes alentours. Plus rien n'existait. J'étais à mille lieux d'ici. Aux côtés de ma famille. Dire que je n'avais pas pu me rendre auprès d'eux cette année. Mon père avait prétexté un voyage d'affaires. Et cela me rendait soucieux. Il ne voyageait jamais plus de cinq jours. Un congrès vétérinaire à l'autre bout de la planète durait-il deux semaines? Impossible de savoir. Impossible de questionner mon père et ma mère restait évasive à ce sujet. La famille. Même si elle essayait d'avoir le contrôle sur moi, j'y tenais comme à la prunelle de mes yeux. Les portes de la cafétéria se fermèrent sans que j'y fasse attention. Un bruit assourdissant finit par me sortir de mes pensées. Sans trop comprendre, je posais les yeux sur une personne, une arme en main. Mon sang ne fit qu'un tour. "PERSONNE NE SORTIRA D'ICI EST-CE QUE C'EST CLAIR ?" Un hurlement. Et moi, je n'avais nullement envie de le provoquer. Nullement envie d'y passer. Alors j'avais attendu. Des secondes. Des minutes. Des heures. Dans la peur. Suivre comme un mouton les consignes d'un désaxé. Surtout ne pas le provoquer. Tout finirait par se terminer. Et je reprendrais ma vie tranquillement. Si c'était possible. Mon regard chercha une silhouette connue dans l'assistance. Il ne croisa pas celui de ma sœur. Fort heureusement, elle n'était pas ici. La peur monta d'un cran en moi alors que j'espérais qu'il n'y avait pas d'autres cinglés dans l'établissement.
ELECTRON LIBRE.
Parce que peut-être que t'as envie de nous faire partager des points essentiels à savoir à propos de toi ? Ouais, on pense à tout ici :p Du coup, cet endroit, c'est le tien. Sous forme de liste ou d'anecdote, tu peux laisser libre court à ton imagination ! Si t'en as pas envie, tu peux supprimer, tout simplement, on t'en voudra pas :D
Parce que peut-être que t'as envie de nous faire partager des points essentiels à savoir à propos de toi ? Ouais, on pense à tout ici :p Du coup, cet endroit, c'est le tien. Sous forme de liste ou d'anecdote, tu peux laisser libre court à ton imagination ! Si t'en as pas envie, tu peux supprimer, tout simplement, on t'en voudra pas :D
Mon pseudo internet est
pseudo
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle votre pseudo et j'ai votre âge. Je suis nationalité et j'ai connu le forum grâce à top-site/forum de pub/autre. Vos impressions sur le forum alors j'ai décidé de m'inscrire OU Je suis déjà présent sur le forum sous les traits de pseudos de vos comptes actuels (+ maison). J'utilise célébrité comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par crédits. Je fais environ nombre mots par RP et mon personnage est un personnage inventé/scénario crée par Pseudo du créateur du scénario si ç'en ai un.
Mot de la fin ? ▲ Ajout libre.
Je souhaite ▲ (retire la balise le symbole et sa couleur qui ne correspond pas)
adhérer un flood d'intégration (?)
Mot de la fin ? ▲ Ajout libre.
Je souhaite ▲ (retire la balise le symbole et sa couleur qui ne correspond pas)
adhérer un flood d'intégration (?)
(Invité)