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Okaay. Des talons haut, des sous vêtements aussi chers qu’une voiture, des gros chèques qui font plaisir. Ouais et ? C’est ça un eliot ? Ca rime qu’a ca d’être un bleu dans sa p’tite vie parfaite ? Sérieusement ? Même pas besoin d’être un eliot pour être roche, pour avoir des gros chèques, pour vivre bien. J’suis une mather, récemment certes, mais quand même. Je suis riche, peut être trop. Je ne m’en vante pas et je ne supporte pas les gens qui le font. Cette petite blonde se croit supérieure. Ma bite et plus grande que ses talons réunis. Elle a dépassé les bornes largement, depuis trop longtemps. Je traine cette batte dans la rue, sans soucy, les gens devraient avoir peur, surement. Surtout me connaissant. Je connais sa maison, je me suis renseignée. J’ai eu mes infos. C’est parfait. Il m’a pas fallut longtemps pour rentrer chez elle, incognito de l’extrême. Faut dire que passer de foyer en foyer avec presque que des gars pour me servir de pote étant plus jeune, on apprend vite comment déjouer leur piège d’enfermer les filles dans la sale de bain ou dans le placard –sil ils enferment les filles dans les placards à balais-. Un sourire se dessine sur mes lèvres en regardant la pièce principale, la batte sur l’épaule. Okaaay. Que le jeu commence. Un, puis deux, puis trois vases, décorations fleurs tout y passes. Des trucs en verres, en je ne sais trop quoi que se brisent en miles morceaux sur le sol. La télé, ce bel écran plat dernier cris se retrouve n piteuse état. Déchainée, en colère. Je ne sais pas encore si c’est tout la haine de tout ce qui m’est arrivée récemment qui ressort. Je pense que oui. Je pense que ce n’est pas juste l’eliot qui me dégoute. Tout me dégoute. Moi, la vie. Ce que je fais. Mais putain, je prends ce malin plaisir de tout peter.
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