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Penelope ☼ Rendez-vous à l'infirmerie !

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Rendez-vous à l'infirmerie !
Pénélope & Léonora



Dimanche 6 août,
10h30.
Club de boxe à Boston.


Je devais avouer que pour travailler dans l'infirmerie d'une salle de boxe, c'était magnifique. La soirée de la veille était fantastique ! Un mélange de calme et d'action en une soirée, je ne pouvais pas en rêver mieux. Je m'étais éclatée à recoudre des plaies avec Luna, l'étudiante de première année en médecine. Elle était maladroite, mais futée. Je l'avais sous-estimée et elle m'avait époustouflée avec sa vitesse à recoudre une plaie à l'arcade. Je me demande si elle avait essayé sur une dinde... Je ne vous cache pas que je l'ai déjà fait durant mes deux premières années de médecine. Le chronomètre en main et hop, je faisais une opération chirurgicale à une dinde pendant la Thanksgiving. C'était drôle et tellement difficile à faire lors des premières tentatives. Aujourd'hui, je faisais ça avec les deux mains. J'avais l'avantage d'être ambidextre et la rapidité était mon amie. Finalement, la médecine était un jeu pour moi. Je cassais, mais je réparais les os cassés à l'hôpital en chirurgie orthopédique. C'était beau... Or, je doutais ce que je ferai à l'avenir. Infirmière ou chirurgienne ? Bonne question. J'avais encore trois ans à méditer là-dessus...Du moins, si je n'étais pas morte avant.

« Monsieur, votre veste ! » interpellai-je le Malabar en désignant son blouson avec le bout de mon stylo. Je n'étais pas du genre à croquer les stylos à bic. Ce n'était pas hygiénique, mais je faisais les majorettes avec mes crayons. L'homme récupéra sa veste en me remerciant et sortit de l'infirmerie. Tout compte fait, je me faisais chier toute seule dans cette pièce. Blanchâtre qui sentait mauvais, enfin pas la merde, mais une odeur stérile. Enfin, je ne pouvais pas vous expliquer correctement. Un coup d'oeil sur mon dossier de stage et me demandais si j'allais ou non le faire. La paresse pourrait prendre le dessus sur moi. La première fois que j'avais rencontré l'un de mes meilleurs amis, Priape, il faisait son dossier le dernier jour tandis que moi, j'avais déjà rédiger le mien le premier. Oh et puis merde ! Je le ferai plus tard. J'étais ici pendant deux semaines, je n'allais pas faire des bêtises. J'hésitais à sortir de la pièce pour aller me chercher un gobelet avec du lait chaud dedans. Mais je me ravisais et démontais mon style. Ce lieu était d'un ennui mortel ! Et pourtant, j'aimais travailler ici, juste pour me foutre de la gueule des gens qui se faisaient laminer par une fille. Je ne connaissais pas son prénom, mais après avoir vu un combat tout à l'heure, j'avais juste envie de rire. Franchement, les matchos devraient retourner dans les jupes de leur grand-mère. C'était beau de draguer une nana, mater son cul et ses seins, mais il fallait toujours se méfier de son caractère. Bande de chiens galeux ! Rien qu'à cette pensée, je me mis à sourire. Ouais. Les femmes au pouvoir et les hommes au dortoir. Mais ce sourire s'effaça aussitôt lorsque quelqu'un frappa à la porte. Je relevais les yeux et fronçai les sourcils. « Entrez ! » ordonnai-je sur un ton autoritaire. Méchante ? Non, jamais. Juste en apparence.


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Ce matin, je m'étais réveillé du mauvais pied. Je ne me sentais pas super en formes. Ce n'est pas dans mes habitudes, mais j'ai poiroté dans mon lit pendant quelque heures. Il faut dire ici que j'ai très mal dormis. J'ai passé la nuit à faire tout pleins de cauchemars. Je repense souvent à ce jour là où tout commençait à bien aller dans ma vie. Mais il a fallut que je me retrouve au mauvais endroit au mauvais moments. Je parle bien évidemment du jour où j'ai subis mon viol. J'en ai encore parlé à personne. Je n'ai pas envie d'entendre des phrases tel quel : Tu devrais porter plaintes ou encore me faire des dires des conneries comme je dois avoir plein de maladies. Pour tout de suite répondre à ces jugements, non je n'en ai pas et oui j'ai passé tout les testes possibles. Un jour ou l'autre, je me ferai justice moi-même. Je refuse de me l'avouer, mais c'est bien pour cette raison que j'ai commencé à apprendre toute les art martiaux passant par le judo au jiu-jitsu brésilien. Mon problème en ce moment, c'est que j'ignore oû trouver les deux mecs qui m'on fait subir ce supplice. J'ignore aussi leur identité, enfin bref, j'ignore tout! Je sais, je suis bien mal barré. Je pourrais par contre les décrire. Je me souviens à cent pourcent de leur apparence. Tous ce que j'espère c'est de les recroiser un jour pour ainsi leur faire passer un mauvais quart d'heures. Non, je n'ai pas l'intention de les tuer quand même. Je serais incapable de faire une telle chose.

Malgré mon humeur et ma fatigue, je me suis tout de même levés les fesses pour aller m'entrainer. On me reproche d'y aller peut-être un peu trop souvent. Moi je ne trouve pas que six ou sept jours par semaines, c'est trop. Comme a mon habitude, je suis passer par le vestiaire pour me changer. Je commençais ensuite à faire du vélo pour m'échauffer, puis je me rendis vers le matériel de boxe. J'utilisai tout d'abord la corde à danser, puis je fini sur le punching bag. Disons que je lui fis passé un mauvais quart d'heure. En sautant pour lui donner un coup de pied circulaires, je tombai par terre et je me fis très mal à la jambe. Je n'étais plus capable de mettre de pression dessus tellement ça me faisait mal. Heureusement, il y avait un médecin dans cette établissement. Un homme m'avait alors vu tombé et m'aida pour marcher jusqu'au bureau du médecin. J'espérais que ce soit rien de grave, car je n'Ai pas envie d'arrêter l'entrainement pendant quelque temps. Je savais que j'aurais dû prendre une ou deux journées de repos, mais bien évidemment je suis trop borner. Après avoir cogner à la porte du bureau du médecin et après l'avoir entendu crier d'entrée, j'ouvris la porte, puis je m'assois alors sur la chaise la plus proche.

Je me suis fait mal à une jambe en tombant!

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