Calysta D. Acciaro ► Chloé Moretz

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Mer 2 Sep - 21:33Lien du post

It's all about...

once upon a time !

Two baby girl

Un petit cri se fait entendre dans la salle d'accouchement de la clinique privée. La petite fille gémit en sentant la lumière qui lui agresse les paupières, elle gigote pour essayer de retrouver la douce obscurité apaisante du ventre de maman. Mais elle ne pourras pas y retourner, on vient de la projeter dans ce monde, alors elle exprime son mécontentement en braillant de plus belle. Puis elle se tait soudainement, elle remarque un manque, sa sœur, dans le ventre de leur mère elles étaient toujours en contact, chacune sentait les mouvements de l'autre et là plus rien, elle ressens ce manque et ça lui coupe toute envie de pleurer, elle se met à trembler alors qu'on la place contre maman. Maman qui sourit en lui caressant les cheveux, alors malgré l'absence de sa sœur un petit sourire se dessine sur son visage, elle se sent bien contre maman. Soudainement un nouveau cri retentit dans la pièce, le sourire sur le visage de Calysta se fait plus grand et elle joint alors son cri à celui de sa sœur, elle ne l'a pas perdu, elle est juste restée un peu plus longtemps dans l'antre du ventre de maman. Calysta hurle pour montrer sa joie, même si vu de l'autre côté ça ne doit pas vraiment être compréhensible. Le père la prend délicatement pour la bercer et essayer de la calmer, mais ça ne marche pas. Calysta ne se calme que lorsqu'on dépose Charlotte près d'elle, sa petite main se pose sur celle de sa sœur, un sourire se dessine sur son visage et ses petits yeux se ferment, elle est bien seulement maintenant, car Charlotte est sa jumelle, sa moitié, celle avec qui elle a passé sept mois dans le ventre de sa mère et celle avec qui elle va passer un bon bout de son enfance. Les parents regardent leur deux filles en souriant, ils sont heureux. Malgré tout le médecins vient les voir, les petites sont nées tôt, trop tôt, il craint qu'elle en garde des traces, les parents ignorent les mots du médecin, leurs petites filles sont parfaites. Le père l'affirme même à haute voix, les enfants d'un des plus grands homme d'affaire du pays ne peuvent pas être autre chose que parfaite.

One baby girl

La nourrice les emmène au parc, Calysta aime bien ça, allez au parc, car il y a un tas de choses à voir, des enfants qui jouent, des gens qui courent et puis même des animaux des fois, des gros chiens qui vont chercher les frisbee que leur maître leur lance. Alors elle regarde partout, avec de grand yeux émerveillé, elle gigote dans la poussette double, Chacha à l'avant et elle derrière comme toujours, car sinon Calysta hurle de tous ses poumons, elle veut voir le sommet du crane de sa sœur, elle peut pouvoir la toucher et sourire en sentant les cheveux de sa jumelle dans sa main. Après avoir fait le tour du parc la nourrice s'arrête et s'assoit sur un banc. Calysta gigote, elle ne veut pas rester dans la poussette, pas alors qu'il y a autant de choses à découvrir dans ce monde si vaste, alors elle s'agite jusqu'à ce que la nourrice vienne la libérer, elle sourit, elle a gagné. Elle balbutie « Marcher ! », l'un de mots qu'elle connaît mais qu'elle utilise souvent, même si marcher est encore un bien grand mot, pour le moment ça se résume à explorer la plupart du temps à quatre pattes et de temps en temps essayer de se mettre sur ses pieds pour faire comme les adultes, mais c'est souvent un échec. En tout cas maintenant qu'elle n'est plus dans la poussette elle file à toute vitesse vers quelques choses qu'elle trouve intéressant, sa nourrice la suit, attentive mais négligeant sa sœur restée sagement dans la poussette. Le moment d'inattention suffit, quand la petite décide de retourner vers sa sœur, c'est le drame, Charlotte n'est plus là. Les larmes de Calysta coule tout de suite, un véritable torrent impossible à arrêter. La police débarque et les parents des jumelles. La mère prend sa fille dans ses bras mais Calysta reste inconsolable, elle veut sa jumelle. Les larmes ne s'arrêtent que lorsqu'un médecin lui injecte un calmant. Lys se reveille dans son lit, elle croit avoir fait un mauvais rêve mais quand elle tourne la tête pour regarder sa sœur dans le lit d'à coté, le choc est pire encore, ce n'est pas seulement Charlotte qui manque mais aussi toute trace de son existence, plus aucune de ses affaires dans la chambre, comment c'est possible. Alors elle hurle une nouvelle fois et maman arrive. Calysta sanglote le prénom de sa jumelle, sa mère la berce sans un mot et puis papa arrive, il prend Calysta dans ses bras et prononce ces mots « Charlotte n'a jamais existé ! » Il le répète plusieurs fois alors que Calysta fait nan de la tête, c'est pas vrai, Charlotte est sa jumelle, Charlotte existe. Mais Calysta est une petite fille et face à la voix assurée de son papa elle finit par céder Charlotte n'était que l'œuvre de son imagination.

Sorry dady

Le bruit fait sursauter la plupart des invités, certain font même tomber leurs verres sur le sol et tout le monde se tourne vers la source du bruit. La petite regarde tout autour d'elle, elle devient toute rouge et son regard va se fixer sur sa maman, elle se mordille la lèvre pour ne pas pleurer, mais elle tremble de tous son corps, elle ne voulais pas briser le saladier, il est juste tombé, car elle courait. La foule ne parle plus, il fixe la catastrophe que Caly vient de déclencher. Au milieu des bouts de verre et du liquide elle n'ose plus bouger, elle reste silencieuse en fixant maman avec de grand yeux apeurés, on peut presque lire combien elle s'en veut, alors qu'au fond ce n'est pas grand-chose, pour une petite fille de quatre ans, on fait tous des bêtisess a cet âge là.. Mais Calysta sait qu'ici elle n'a pas le droit à ce genre de gaffe et surtout pas quand il y a autant de monde. Elle se mord un peu plus fort les lèvres, ne pas pleurer, même si elle sent un bout de verre dans sa main, si elle pleur alors il seras encore plus fâché. Puis elle entends des pas, son père se rapproche d'elle, elle le regarde effrayé et gémit qu'elle est désolée, il soupire avant de la soulever pour la prendre dans ses bras et la serrer contre lui. Elle se laisse faire, croyant qu'il ne lui en veut pas elle se blottit même contre lui en souriant et elle passe ses bras autour de son coup en balbutiant « Pardon papa » .Il l'entraîne à l'étage dans sa chambre et là elle se doute qu'un truc cloche alors elle le sert un peu plus fort, apeuré et elle couine « Papa ? ». Il lui tape sur la main pour qu'elle le lâche et il la pose violemment sur le sol. Elle le regarde, les yeux embués de larme et répète qu'elle est désolée mais il la regarde d'un air noir, elle commence à pleurer pour de bon. Il la gifle brusquement avant de lui dire de se taire, elle arrête subitement de pleurer, pour porter la main à sa joue, elle le regarde perdue, si avant papa la grondait souvent jamais il ne l'avait tapé. Il lui a fait mal, ses lèvres tremble et elle hurle « Maman ! » Il la frappe de nouveau, plus fort encore, la faisant chuter sur le sol. Elle le regarde terrorisé alors qu'il lui dit qu'elle lui fait honte, qu'elle est grande maintenant et qu'elle ne peut plus se permettre de faire n'importe quoi, elle se recroqueville en gémissant et en appelant maman. Maman entre à cet instant et se précipite vers sa fille. Mais l'homme repousse durement sa femme « Je m'occupe de ça ! » Il attrape fermement sa fille et se dirige vers le placard, quand il ouvre la petite comprend et se met à paniquer « Nan papa ! », elle gigote et pleur mais l'homme ne se laisse pas attendrir, il la dépose dans le placard et referme la porte « Tu vas apprendre Calysta ! ». La petite fixe la porte maintenant close et se met à gratter en sanglotant, elle hurle « Papa pardon me laisse pas ! » Mais il ne revient pas, il entraîne sa femme hors de la chambre et éteint la lumière.

This place is not safe

Assise sur le brancard Calysta tremble encore, le bruit de l'explosion résonne encore dans ses oreilles, la voiture, la voiture... Elle revoit l'explosion, elle entend les cris des passants, ceux de maman surtout. Elle sanglote, prise en même temps par une crise d'asthme, elle se sent mal et elle à peur mais elle est seule, papa travaille et maman est avec un médecin, elle aussi elle à eu peur, très peur même. Leur voiture, quelques secondes de plus et elles auraient été toutes les deux dedans, si Calysta est trop petite pour se rendre compte, Annabelle, elle, sait que ce n'était pas une attaque faite au hasard. D'abord l'enlèvement de Charlottte, puis ça, elle sait de qui ça vient, elle sait que son mari à beaucoup plus d'ennemis qu'il a d'amis et elle sait que ça risque de mal finir, encore une fois. Calysta appelle maman d'une petite voix, mais elle ne vient pas alors elle décide de la chercher par elle même et elle tombe nez à nez avec papa. Elle le regarde, est ce qu'il est fâché ? Elle plante son regard dans les yeux de son père, le visage de la petite transpire la terreur et sa joue est écorché, un débris de la voiture a volé trop près de son petit visage. Il la regarde un moment sans rien dire, doucement Calysta tend ses bras « Papa » elle gémit ce mot, elle à besoin de réconfort, elle veut se blottir contre lui et pleurer encore plus. Il continue de la fixer en silence, il regarde sa fille un long moment puis il soupire avant de la prendre contre lui. Elle se blottie doucement dans son cou et il trouve ça étrange, ça fait un moment qu'il ne l'a plus pris dans ses bras. Alessio grimaça en sentant les larmes de la fillette couler dans son cou. Il fait un signe à l'une des infirmières qui vient prendre Calysta, la petite gémit et essaye de protester mais le père se contente de lâcher « Arrête tes caprices Calysta ! » La fillette baisse les yeux, elle ne veut pas que papa se fâche, elle ne veut pas qu'on la gronde devant tous le monde alors elle se remet à sangloter en murmurant des excuses, se demandant pourquoi papa ne l'aime pas. L'infirmière ramène la petite dans sa chambre alors que son père vas voir sa mère, il est inquiet pour sa femme, il n'arrive pas à croire qu'on ai osé attaqué encore une fois sa famille. Il à déjà placé certain de ses hommes sur le coup mais il sait que ça ne suffiras pas, il est beaucoup trop engagé dans la mafia, il faut qu'il s'en sorte, au moins pour sa femme, car il l'aime, même s'il ne lui montre pas. Il ne veut pas quitter l'Italie, mais il n'a plus le choix, alors il prend la décision d'emmener sa famille aux États-Unis, loin de la plupart de ses ennemis.

I don't want go

Voilà trois ans qu'ils ont changés de pays, Calysta s'y est fait, au final rien n'a vraiment changé, elle prend toujours ses cours auprès de prof particulier et son père se montre toujours aussi froid et violent, il n'y a que sa mère qui lui montre un peu d'affection, mais Annabelle est sous l'emprise totale de son mari et elle le laisse faire. Souvent elle regarde sa fille avec un air désolé alors qu'Alessio lui hurle dessus ou qu'il la frappe, mais jamais elle n'ose intervenir, car il n'hésiterait pas à la remettre à sa place, elle le sait. Alors elle ne dit rien et tout ça devient habituel, on s'habitue à tout après tout, même au pire. Calysta n'aime pas vraiment cette vie, évidemment mais c'est tout de même sa vie, ses points de repères, elle ne veut pas changer encore une fois et c'est pourtant ce que son père désire pour elle, car il ne supporte plus d'avoir sa fille dans les pattes en réalité, car il n'a jamais voulu d'enfant et car il ne veut pas devoir gérer le passage à l'adolescence de sa fille, alors il décide de l'envoyer ailleurs, loin de lui. Elle soupire en écoutant ses paroles, nan, nan elle ne veut pas aller en pension, elle veut rester à la maison, avec sa mère et tout ce qu'elle connaît. Elle secoue la tête doucement avant de murmurer « Je ne veux pas, s'il te plaît papa », son regard est implorant mais comme toujours il n'a pas d'effet sur son père, si ce n'est l'énerver un peu plus, elle s'en prend une, encore, elle ne les comptes même plus. Elle regarde sa mère, cette dernière pourrais dire quelques choses nan ? La jeune femme regarde le sol, elle n'empêcheras pas son mari d'envoyer leur fille loin d'eux, elle ne feras rien, comme toujours. L'homme regarde furtivement sa femme puis de nouveau sa fille « Ce n'était pas une question, tu iras un point c'est tout ! » La petite baisse à son tour les yeux, et voilà, à neuf ans elle quitte sa maison et sa mère sous les ordres de son père.

New life

L'internat, elle ne l'a jamais quittée depuis ce jour là, depuis la première rentrée elle n'est rentrée à la maison que pour les vacances et encore pas toujours, souvent son père l'envoyait dans des camps de vacances pendant qu'Annabelle et lui allaient sur une île à un bout ou à l'autre de la planète. Elle n'aime pas l'internat, nan c'est même plus que ça, elle déteste cet endroit et plus que tout elle déteste ses camarades, tous sans exceptions, elle n'a aucun ami, elle en a eu quelque uns au début mais ils ont vite compris qu'il valait mieux ne pas être trop proche d'elle, car c'était elle qui prenais tout, avec son allure un peu faiblarde et puis son année d'avance déjà. Alors elle subissais tout depuis des année, bouc émissaire sans qu'aucun prof ne s'en rende compte, ou sans qu'aucun prof ne fasse rien en tout cas. Alors elle se plonge un peu plus dans ses études, histoire de pouvoir se tirer loin d'eux au plus vite, ainsi elle saute une nouvelle classe, pour son plus grand soulagement, car ça veut dire qu'elle quitteras plus vite cet endroit, mais en même temps pour son plus grand malheur, car ça donne une raison de plus à ses camarades pour la faire suer.Mais Calysta décide de subir, plutôt que faire des vagues, plusieurs fois elle songe à se défendre mais elle laisse tomber, se raccrochant à l'espoir de bientôt se tirer de là, elle sait qu'elle ne retrouveras pas ses camarades dans la fac qu'elle vise, car ils sont simplement trop mauvais pour y aller, pas trop pauvre car c'est une établissement de gosse de riche mais trop bête ça c'est certain et pour entrer à Yale et bien il faut un minimum d'intelligence. La fin de l'année était enfin là, il était temps Calysta n'en pouvais simplement plus, de ses camarades, de leur remarques puériles, de leur coup dans le dos et leurs rumeurs, on ne se rend pas compte de combien tout ça peut détruire quelqu'un et pourtant si, si ça détruit de l'intérieur, ça donne envie de crier, de tout renverser sur son passage, mais Calysta ne fait rien, elle garde tout ça en elle, jusqu'au jour où ça exploseras, jusqu'au jour où elle craqueras et feras une connerie. Mais la lettre libératrice arrive, l'admission à Yale, Calysta n'y croit pas, enfin, elle vas pouvoir quitter cet enfer et en plus ses parents vont être fiers d'elle, pour la première fois. C'est donc la tête haute qu'elle quitte cet endroit pour Yale, une nouvelle vie, une libération.

It's not me

Assise face au doyen, Calysta se sent très très mal, elle ne sait pas ce qu'elle fait là mais elle n'aime pas être là. Elle le regarde et déglutit face à son regard, il semble furieux. Elle baisse le regard puis écoute les mots de l'homme qui lui fait face « Vous n'avez rien me dire Mademoiselle Accario ? » Elle le regarde de nouveau, intrigué, est ce qu'il sait ? C'est impossible, elle était seule à ce moment là, enfin seule avec la coupable mais c'est tout. Elle secoue négativement la table, elle ne balanceras pas ce qu'elle a vu, elle ne veut pas d'ennuis ni d'ennemis. Le doyen souffle et la regarde d'un air mécontent « Très bien alors je vais vous aider. On vous a vu mademoiselle, plusieurs de vos camarades m'on certifié que c'était vous dans cette salle, juste avant le départ du feu. » Calysta cligne des yeux, quoi ? On l'accuse elle ? D'avoir mit le feu à la fac ! Elle en reste sans voix, nan, nan ce n'est pas elle, c'est l'autre, comment on a pût la dénoncer ? Elle secoue la tête « Ce n'est pas moi monsieur, je vous assure, jamais je n'aurais fait ce genre de choses » Le doyen la regarde d'un air plein de mépris « Il y a des témoins mademoiselle ! » Calysta soupire, elle sait, elle sait qu'on ne vas pas la croire, il y a trop de monde contre elle. Elle soupire avant de répéter « Ce n'est pas moi » Le doyen se lève et commence à faire les cents pas « Je ne veux pas que cette histoire se répande alors je vous demanderais simplement de ramasser vos affaires et de ne plus jamais revenir. » Calysta le regarde, nan, c'est impossible, il ne peut pas la jeter comme ça. Mais le doyen ne fait pas preuve de pitié et elle se retrouve à la porte. Seule devant la fac avec ses cartons, Calysta n'a pas d'autre choix, elle prend sa voiture et rentre chez ses parents. L'accueil n'est même pas froid, c'est plus que ça, sa mère pourrais lui montrer de la sympathie, mais il y a son père, qui la regarde d'un air dégoutté et qui lui claque la porte au nez. Lys se retrouve seule, à la rue.

Help me please

Le téléphone sonne un long moment dans le vide, de l'autre côté Calysta le sert fort, décroche s'il te plait, décroche, maman pas papa. Elle tremble, regardant autour d'elle. Elle pose une main sur son ventre, elle à besoin de sa mère, là tout de suite. Soudain on décroche, Calysta reconnaît la voix de sa mère, elle pousse un soupir de soulagement avant de murmurer « Oh maman » Un soupir de soulagement se fait entendre de la part de sa mère, Annabelle était inquiète pour sa fille, depuis le jour où son mari l'a mit à la porte, depuis près de deux ans maintenant. Calysta fond en larme, elle n'en peut plus, elle veut sa mère alors elle supplie « Maman vient me chercher s'il te plaît » La jeune femme semble hésiter, il y a son mari, mais Calysta est sa fille. Elle murmure « Dit moi où tu es, j'arrive. » Calysta lui donne l'adresse du centre où elle se trouve et raccroche, rendant son portable à la directrice, elle hoche la tête quand cette dernière lui demande si elle vient, oui, oui cette fois sa mère vas s'occuper d'elle contre l'avis de son mari. Une heure plus tard Annabelle arrive, Calysta se jette dans ses bras, en larme. Sa mère, la rattrape et la sert fort, très fort, sa fille lui a manqué. Quand Calysta s'écarte sa mère remarque alors son ventre, elle la regarde et murmure « Oh ma chérie » Lys pose ses mains sur son ventre, gonflé, beaucoup trop gonflé pour que ce soit normale, elle est enceinte, neuf mois très bientôt. Sa mère se sent mal, elle ressert sa fille contre elle avant de lui dire qu'elle est désolée. Lys se laisse faire et fond elle aussi en larme, ses deux ans à la rue ont été pire que tout et elle ne veut pas que cet enfant vive ça, elle ne veut pas non plus l'abandonner, elle veut de l'aide. Sa mère l'emmène dans sa voiture, la questionnant, elle veut savoir qui est le père. Calysta ne répond rien, pour la simple et bonne raison qu'elle n'en sait rien, elle n'ose pas dire à sa mère qu'elle n'a pas fait que voler pour survivre dans la rue, comment lui dire qu'elle à dut se vendre pour avoir de quoi manger ou pouvoir se payer un endroit pour dormir. Le silence de sa fille fait peur à Annabelle mais elle n'insiste pas. Calysta caresse son ventre pensivement « Papa vas me tuer » Sa mère soupire avant de répondre « Je ne le laisserais plus faire, je … je vais demander le divorce. » Calysta la regarde, émue, elle ferais vraiment ça ? Pour elle ? Calysta ferme les yeux, une larme coulant doucement sur son visage « Merci maman » Annabelle pose sa main sur le genou de sa fille et lui sourit d'un air rassurant, la cauchemar est fini.

It is the last turn

Doucement Calysta pousse la porte de la chambre, la petite fille est déjà debout, agrippé au barreau de son lit, elle sourit « Maman ! » Calysta vient prendre sa fille dans ses bras en souriant. La petite se blottit dans son cou en souriant et mâchouille ses doigts. Calysta la met dans sa chaise haute et sourit à sa mère. Elle sort un yaourt du frigo et commence à nourrir sa fille, Théoline qui vas sur ses deux ans très bientôt. Elle regarde par la fenêtre, elle guette quelqu'un, le facteur en réalité, car il y a une lettre importante qui doit arriver très bientôt, la réponse qu'elle attend avec encore plus d'impatience que celle pour Yale. Sa mère capte son regard et sourit « Je suis sûre que tu seras prise ma chérie. » Calysta essaye de sourire d'un air convaincu mais en réalité elle flippe, comme une malade. Le facteur passe, mais Théo n'a pas finit de manger, Calysta regarde la boite-aux-lettres, sa mère sourit et prend la cuillère de sa petite fille « Vas y, je finis de la nourrir » Lys la remercie et saute dehors, elle ouvre la boite et fouille parmi le courrier, elle reconnaît le blason d'Harvard, son cœur s'accélère, après avoir repris ses études par correspondance elle a décidé de reprendre le chemin de la fac et après avoir repassé ses SATs elle a décidé de postuler dans la meilleure des fac à ses yeux. Elle tremble en ouvrant l'enveloppe et quand elle lit la réponse elle croit rêver, elle est acceptée, elle vas pouvoir faire sa rentrée à Harvard, elle sourit et puis elle hurle « Putain oh putain ! » Elle rentre dans la maison en souriant. Sa mère comprend de suite « Bravo ma chérie ! » Lys prend sa fille dans ses bras et la fait tourner dans les airs et elle continue de sourire, comme une idiote mais elle est tellement heureuse. Elle repose sa fille dans sa chaise et murmure une nouvelle fois qu'elle en revient pas, en septembre elle feras sa rentrée dans la meilleure fac du monde, elle sait qu'elle auras un avenir fantastique, de quoi offrir à sa fille la plus belle des vie. Mais il lui faut avant tout étudier, c'est pour ça qu'elles ont décidé avec sa mère que Théoline resterais avec cette dernière, pendant que Théoline est à la fac.

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Mer 2 Sep - 21:49Lien du post

Bienvenue parmi nous et bon courage pour ta fiche Calysta D. Acciaro ► Chloé Moretz 2511619667

Par contre est ce que tu pourrais mettre le titre de ta présentation sous cette forme PSEUDO ► Avatar merci Calysta D. Acciaro ► Chloé Moretz 3850463188

Calysta D. Acciaro ► Chloé Moretz 3850463188

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Mer 2 Sep - 22:05Lien du post

Bienvenuuuue. Calysta D. Acciaro ► Chloé Moretz 2511619667

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Mer 2 Sep - 22:15Lien du post

Bienvenue et bon courage pour ta fiche Calysta D. Acciaro ► Chloé Moretz 3850463188

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Âge : 25

Lieu de naissance : florence (italie)

Quartier d'habitation / Colocation : South Boston

Situation sentimentale : en couple avec kat

Études / Métier : étudiant en technologie et innovation (6ème année)

Date d'inscription : 10/08/2012

Pseudo & Pronom(s) IRL : overlander (elle)

Icon :

Calysta D. Acciaro ► Chloé Moretz 20fa7210

Faceclaim : Arón Piper

Crédits : lumos solem

Multicomptes : tatum ferguson & wilhem oswald

Description (1) :

If everything was perfect
you would never learn and you would never grow
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Ottis , il a le syndrome de peter pan. il veut pas grandir, il est bien dans son confort enfantin, gamin dans l'âme, tête à claques à l'humour de con. c'est simple, soit on le supporte, soit on le supporte pas. et même si t'arrives à le supporter, y'a forcément des moments ou tu veux l'étrangler. mais c'est un bon vivant, l'italien, une pile électrique, électron libre que tu peux pas attraper à mains nues. ambitieux, il a confiance en lui et s'il pense aller loin dans la vie, il va tout donner pour y arriver. n'a jamais connu l'amour, s'est toujours contenté de lui-même et c'est peut-être mieux comme ça. fêtard, un peu trop accro à la coco, mais c'est qu'un détail. sociable, toujours opé pour faire de nouvelles rencontres et il a tendance à mettre les gens à l'aise dès les premiers instants... ou pas.

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populaire ⬖ amical ⬖ blagueur ⬖ studieux ⬖ fêtard ⬖ loyal ⬖ capricieux ⬖ zen ⬖ sensible

Description (2) :

Calysta D. Acciaro ► Chloé Moretz SL6w7W2Q_o

Description (3) : Katalia Borgia : petite amie (29.06.20) ⬖ Magdalena Heimann : soeur ⬖ Rosa Gimenez : cousine ⬖ Lexie Coleman : amie ⬖ Harlem Wayne : ami

RPS en cours : katalia - harlem - james - saphyr - quentin - zephyr

Warnings : maladie/cancer, sexe

RPS : 192

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Ottis Heimann

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