you were the safety blanket i needed most (denisa)

J'ai juste besoin de savoir qu'il y a des choses qui durent. des trucs comme l'amitié, comme le goût le chocolat, les chansons des beatles, les saisons qui défilent. et puis j'aimerais aussi croire que nous, on va durer.
 
Ce jour là, ton réveille n'a pas sonné. Pas de bruit anodin, ni de je ne sais quel radio allumé. Aucune des choses qui te réveille de tes rêves érotiques avec Ryan Renolds ne l'avait fait, cette fois-ci. Non, c'était un autre truc, plus mouiller, plus poilue et qui sentait étrangement le patté. Une petite boule de poil, qui léchouiller avec hardeur ta main pendante en direction de la porte. Tu aurai pu crier, si ça t'étonner. Mais ça ne t'étonne même plus. Dans cette baraque, c'était pire que Secret Story, les gens gueule, les gens meugle, les gens se hurle dessus, les gens ne referme pas les paquets de céréales entamer ce qui les rendes toutes môles, les gens bouffe du bacon à sept heure du matin embaumant la maison d'odeur de porc abattue, les gens regardes des séries débiles jusqu'à pas d'heure en riant la gorge déployer, les gens ne prennent pas la peine de fermer les portes pendant le pipi, les gens ne respecte rien. Et ta tête aller bientôt quitter ton corps pour aller ailleurs, si jamais ça continuer. Alors ce matin, lorsqu'un petit pug, ce mis à te léchouiller la main, ça ne t'étonnais même plus ,tu le regardais d'un air fatigué en fixant ses deux yeux globuleux comparable à deux billes, et la langue pendouillant sur le côté. Soupirant, tu quittes ton lit pour le prendre dans tes bras et le ramener dans la salle commune. Un sourire se dessine lorsque tu te rend compte que l'appartement est déjà vide, jusqu'à... Une tête brune ? Des valises ? Une bouteille d'Arizona Lemon et Ice Tea ?Un pug ? Une odeur de lavande et de bonbon skittles ? Et la chaîne E ! diffusant la dernière émission de Call Me Caitlin ? « OH MY GODMICHET !  DENISA ????? » oh non, oh non, oh non. Tu lèves le Pug en l'air. « JACK JACK ??? » c'était vraiment pas le jour pour faire semblant d'être la copine de Martin.
 

 DEPHYR  

J'ai juste besoin de savoir qu'il y a des choses qui durent. des trucs comme l'amitié, comme le goût le chocolat, les chansons des beatles, les saisons qui défilent. et puis j'aimerais aussi croire que nous, on va durer.
 
Sa première journée aux États-Unis était assez mitigée. Entre l'excitation qui était d'un coup redescendue par sa mésaventure à son arrivée, Martin qui l'engueulait comme une écolière, sans parler de ses affaires qu'elle ne reverrait jamais. Elle avait du emprunter un T-shirt à son jumeau pour dormir. Elle allait définitivement se souvenir de ses premiers jours à Cambridge ! La liste des choses à faire à son arrivée était longue, mais elle ne pouvait pas commencer trop vite ce matin. Préoccupée, elle avait eu du mal à trouver le sommeil et une fois qu'elle l'avait trouvé, elle devait faire avec le boucan des autres colocataires de Martin. Elle ne se leva qu'une fois tous partis pour donner à manger à Jack Jack, se servir un petit quelque chose à boire et finalement s'affaler sur le canapé devant la télé plutôt que de retourner dans la chambre. Elle magna la télécommande, curieuse de voir à quoi ressemblaient les chaînes américaine puis décida de regarder la nouvelle télé-réalité du moment, autrement  dit, la fameuse transformation de Bruce Jenner en femme.
Elle était concentrée, et manquait presque de faire une crise cardiaque lorsqu'elle entendit une fille hurler. « OH MY GODMICHET !  DENISA ????? » Elle bondit de sa place, tout en faisant volte face pour voir qu'il s'agissait en fait de.. « ZEPH' ! C'EST TOI !!! » Elle sautilla sur place, prenant conscience de a situation avant de courir vers elle et la prendre dans ses bras. Tout était flou dans sa tête. C'était la première fois qu'elle la voyait mais c'était comme si elle la connaissait depuis toujours. Martin avait de la chance de la connaître. « Je vois que Jack Jack s'est déjà présenté. Je suis suuuuuper contente de te voir !  » Elle rit avant de la relâcher. « Mais qu'est-ce que tu fais là ? T'es... Oh, t'es en colocation avec lui aussi ! Ah mais c'est logique d'un côté, je suis bête. » Les idées fusaient dans tous les sens, il fallait qu'elle se pose pour remette tout ça dans l'ordre.
 

 DEPHYR  

J'ai juste besoin de savoir qu'il y a des choses qui durent. des trucs comme l'amitié, comme le goût le chocolat, les chansons des beatles, les saisons qui défilent. et puis j'aimerais aussi croire que nous, on va durer.
 
Tout aller si bien dans la vie de Bruce Jenner, enfin Cailtyn Jenner, tandis qu'elle essaie pour la première fois de sa vie de femme un maillot de bain, et que par hasard elle est grave bonne avec ses seins 100% graise de porc. Tandis que ton monde à toi est entrée de coulé, comme le Titanic en encore plus dramatique. Tu as, à peine le temps de réagir que mini-Pecek te prend ardemment dans ses bras, elle fait la moitié de ta taille du haut de son mètre soixante, et tu l'enrobe entièrement dans tes grands bras, avant de la lâcher avec douceur ne trouvant toujours rien à dire. C'est le coup de l’émotion, ou juste le coup du : ça y'est t'es dans la merde. « Wow ; je.. Je sais vraiment pas quoi dire. » c'était le cas, en plus elle porte un tee-shirt de Martin, ça va pas t'aider tout ça. Tu repose Jack Jack au sol, avant de t’asseoir sur le rebord de la table. C'EST PAS VRAIS !! « Et toi ? Qu'est-ce que tu fais là ? J'veux dire ; pas là devant Call me Cailtyn, parce que je sais que t'adore ça, mais là, aux Etats-Unis ? J'pensais que ta mère refuser que tu quittes le pays ? » à croire que maman pecek est devenue grave sympa, entre ses séances de prières en ligne et ses postes hebdomadaire d'un passage de la bible sur les trucs qu'on a pas le droit de faire, tu t'étais imaginer qu'elle soit plus strictes avec ses enfants. Bon, reprend toi, on peut faire en sorte qu'elle oublie ce micro détail sur le fait que tu es dit, que Martin et toi était plus que des amis, en fait vous êtes même plus amis, tu le déteste, tu le déteste à fond, et il te déteste aussi, et vous êtes plus des non-amis que des amis-avec-plus. « J'suis conente de te voir, Deny, tu sais ce qu'on devrait faire ? Du shopping ! Et se trouver un autre appartement parce qu'y a trop de gens chelou ici, tu sais qu'y a deux Charlie ? On s'y perd, c'est le bordel. » sujet évitéééé, mission validé.
 

 DEPHYR  

J'ai juste besoin de savoir qu'il y a des choses qui durent. des trucs comme l'amitié, comme le goût le chocolat, les chansons des beatles, les saisons qui défilent. et puis j'aimerais aussi croire que nous, on va durer.
 
Elle est encore plus grande que ce qu'elle s'imaginait, et toute aussi surprise que Martin. Quoiqu'elle préférait encore la manière dont elle était surprise elle que son jumeau. Non, il n'était pas aussi ravi qu'elle ne se l'était imaginé. De tous les scénarios possibles et envisageables, Denisa avait choisi le meilleur. Quand est-ce qu'elle finira par comprendre ? Personne ne le sait. « Oui oui, et bien... J''ai réussi à la convaincre. Je ne lui ai pas laissé vraiment le choix en fait, et puis mon père était de mon côté. » Tous les moyens étaient bons pour venir rejoindre les futurs mariés, et partir vivre son aventure à elle aussi. Alors que la brunette se précipitait pour lui proposer une activité shopping, Denisa mit ça sur le compte de l'excitation. « Oh hum... d'accord ! » Elle affichait un grand sourire. Du shopping, elle ne demandait que ça ! Elle commença à se diriger vers la chambre de son frère. « Donne-moi deux petites minutes que je me prépare et on y va. Martin t'as raconté ? On m'a volé ma valise avec toutes mes affaires dedans ! T'y crois ça. Bon sang, il y a des gens cinglés sur cette planète !  Du coup, le shopping c'est une bonne idée. Je n'ai plus rien à me mettre. J'ai même dû emprunter ce T-shirt à Martin... » Après avoir enfilé quelques affaires propres, elle fit quelques pas en arrière afin d'observer son reflet dans le miroir, et elle n'aimait pas vraiment sa tenue, mais elle n'avait pas le choix. Elle finit par retourner dans le salon et se tourna vers Zéphyr, le regard taquin. « D'ailleurs en parlant de lui, ce petit cachottier ne m'a toujours rien dit ! Qu'il hésite à le dire à maman, ok, je veux bien comprendre ! Mais moi ! ...Ca ne fait rien, peut être qu'il a besoin d'un peu de temps... pour trouver la bonne manière de me l'annoncer. Ouais, ça doit être ça... » Elle essayait de s'en convaincre.
 

 DEPHYR  

J'ai juste besoin de savoir qu'il y a des choses qui durent. des trucs comme l'amitié, comme le goût le chocolat, les chansons des beatles, les saisons qui défilent. et puis j'aimerais aussi croire que nous, on va durer.
 
Mais moi personnellement, je pensais que la mama Pecek elle enfermer ses gosses dans uen cave, et les nourrissait de pain de mie et d'eau sacrée, mais ça a l'air plus fun que ça. Sinon, qu'est-ce que mini-Pecek ferais là, genre là tout de suite, maintenant ? Sa petite tête d'un mètre vingt dans un tee-shirt trop large et son sourire d'enfant. T'es aux anges, mais en enfer aussi. Une amitié c'est passer sur trois C, les connerie, les calins et la CONFIANCE, et quant on prétend être fiancer à quelqu'un qu'on est pas, qui est en le frère jumeaux de la copine en question, alors la CONFIANCE, n'est pas très présente. Heureusement, t'es futé, et après que Dénisa t'es expliquer son soucis de valise, et sa tenue vestimentaire, tu comprend qu'une opération shooping et commérage serais la bienvenue. Bien que ce tee-shirt lui aille à merveille, tu la prend les épaules et la dirige vers ta chambre, puis vers ton placard, puis vers se paradis remplis de haut American Apparel et de jean boyfriend. « Je ne sortirais pas dehors avec quelqu'un qui porte un tee-shirt trop large, je sais qu'on fait pas exactement la même taille, mais tu peux essaye de trouver quelques choses qui te plaise dans tout ce foutoir ? » dis-tu avec légerter avant de t’asseoir sur le lit. Aah oui, toi aussi tu devrait t'habiller, mais ton attention est tourner vers Jack Jack qui commence déjà à martyriser tes chaussons, il perd pas de ton le petit. Mais tu penses t'en tirée comme ça? HAHAHA, si le déstin te voulais une vie facile Van Der Woodson, tu ne serais pas coincé ici entourer par les deux Tchèques qui te font tant d'histoire. Martin étant évoquer, elle te parle du fameux mariage et du fait qu'il n'est toujours rien dit. Tu fait une tête de morte vivante, et essaie de te rappeler de tes cours de théâtre en 5ème. « Et sinon, t'as pris quoi comme études ? Laisse moi devinez : droit et mode ? Ou alors économie ? J'te préviens, j'ai fait biochimie en première année, et j'ai perdu un an de ma vie. En même temps c'est super chiant décortiquer des plantes à longueur de journée. » ON EST SAUVER, ON EST SAUVER. Tu grimaces et ramasse tes vêtements de la veille, ils sont à peut près propres. « J'vais te faire un petit déjeuner mon chat, ça te dit un truc bien americain ? Genre des toasts et du bacon ? Je touche pas le bacon généralement, mais pour tes beaux yeux, je le ferais. » oui parce que t'es végétalienne, mais quand il faut sauver une amitié, tu serais prête à égorger toi même le cochon, avant de le faire frire.
 

 DEPHYR